La quatrième de
couverture
Avertissement : Vous l’aviez compris, ceci n’est qu’un roman, une fiction,
une « pure construction intellectuelle », sortie tout droit de l’imaginaire de
son auteur. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions,
des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et
autres galaxies), y compris sur la planète Terre, y est donc purement,
totalement et parfaitement fortuite !
01 - La narratrice :
Alexis Dubois est
journaliste. Maîtrise de lettre moderne à Paris-Sorbonne et pigiste puis
reporter, elle devient la « biographe » officielle de Paul de Bréveuil alias
l’agent « Charlotte » non pas par hasard, mais comme d’une nécessité. Aussi,
elle enquête et poursuit « son sujet » au cours des années récentes qui restent
denses. Elle est en contact permanent et direct avec ce dernier qu’elle suit à
sa demande et sous le contrôle duquel elle travaille.
« Le Gardien », alias «
Flibustier 20260 » (parfois aussi « Flibustier 75006 »), directeur de
publication, fait la liaison entre Alexis Dubois et l’inventeur du personnage
central dans la collection des « Enquêtes de Charlotte » en libre publication.
Il est chargé par les uns et les autres d’éditer les volumes successifs
relatant la vie de Paul de Bréveuil.
I3 est « l’inventeur » de
« Charlotte », le créateur, inspiré à la fois par ce dernier (qui prend corps)
et « Le capitaine Haddock » (Jean-Charles Duboc) : des personnes « réelles »
qui toutes existent ou ont existé sur la planète Terre au confluent du XXème
et XXIème siècle.
Paul de Bréveuil est le
personnage central de cette série : son rôle reste ambigu.
S’il opère bien en toutes
ses qualités, de façon parfois très « discrètes » au fil du temps, au moins aux
yeux du public (mais pas des autorités), il est l’homme qui a besoin, pour des
raisons qu’on découvre au fil du temps, d’avoir un biographe officiel. D’où «
l’inspiration » téléguidée d’I3 puis, parce que tout le monde est mortel, d’Alexis
Dubois.
Une saga qui tourne sur
elle-même…
0.2 - Le résumé de
l’épisode :
« L’année Covid de
Charlotte » retrace les faits et gestes de Paul de Bréveuil, alias « Charlotte
», durant l’année 2020.
L’année est marquée par
la pandémie de Covid qui aura bouleversé durablement les économies mondiales.
Ce qui n’empêche pas «
Charlotte » de poursuivre ses objectifs personnels.
Il reçoit successivement
des émissaires Chinois et Nord-Coréens en préparation de la visite de la sœur
du dictateur de ce dernier pays.
Puis le cofondateur de
Microsoft.
Et enfin des agents du
Mossad Israélien.
Tous sont tour à tour «
enrôlés » pour prêter mains fortes aux projets de Paul de Bréveuil qui les
protège des Russes, dans la mesure où ces derniers tiennent à récupérer un
sous-marin volé par les équipes de « Charlotte », épisode raconté dans le
précédent opus, « Dans le sillage de Charlotte ».
Paul de Bréveuil ira
jusqu’en Chine récupérer le « Nivelle 002 », un prototype hypersonique
suborbital de son invention, et fera face à deux incursions de la marine Russe
jusqu’aux Îles Chagos sous le nez des anglo-américains, où « Charlotte » crée
un site spatial innovant.
Leur dernière apparition
coïncidera d’ailleurs avec la présence iconoclaste d’un vaisseau « aliène ».
Tout ce que vous n’auriez
jamais pu savoir si cet ouvrage ne vous les révélait pas.
0.3 - Préface de la
narratrice :
Un « épisode » une fois de plus éreintant : j’aurai
passé mon année 2020 à poursuivre mon sujet de biographie, Paul de Bréveuil,
alias « Charlotte », capitaine de frégate de réserve, industriel, agent
spécial français et que sais-je encore à découvrir.
Juste pas très loin de lui quand il requiert ma
présence, « pour témoigner » : je n’ai été que spectatrice !
Et il m’aura promené de France à l’océan Indien, en
passant par la Chine, la Normandie et entre autres l’Ardèche…
Je retrace comme je peux, avec mes mots à moi, sous le
contrôle de « mon sujet » mais également et selon l’accord conclu avec le «
Gardien », que je rencontre plusieurs fois, et derrière lui l’auteur premier, «
I3 », notamment pour finaliser les « volume en attente ».
Ce dernier, je ne sais toujours pas comment il fait,
m’aura fait remettre très en amont (en mars 2020) un scénario détaillé de ce
volume, qu’il aura enrichi jusqu’en mai, puis en janvier 2021, pour en faire «
ses posts-d’été » de la même année.
C’est lu et validé par « Charlotte » en février, relu
et complété en avril.
D’autant mieux que c’est quasiment conforme au déroulé
de ce que j’ai vécu à suivre « mon sujet » : je n’avais plus qu’à retracer…
« avec mes mots à moi » !
Normalement, le « Gardien » doit en faire un volume
broché aux « éditions I3 » (en réalité fabriqué par Amazon.com
qui se charge également de sa distribution).
Pour ma part, même si j’ai été parfois un peu
débordée, j’aurai pris plaisir à « raconter » comme ça s’est passé « pour de
vrai », même si certaines parties ont été, comme d’habitude, censurées,
d’autres restant volontairement incomplètes et quelques-unes rajoutées
ex-nihilo.
En réalité, se dessine toujours un scénario beaucoup
plus vaste qui prend toute sa cohérence au fil du temps.
Et là, je dois avouer que ça devient passionnant :
nous sommes comme « guidés » par des « mains invisibles » qui mènent leur jeu,
nous prennent par la main et nous conduisent là « où c’est déjà écrit ».
Une aventure fascinante, finalement : j’en viens jusqu’à
confirmer qu’il n’y a pas vraiment de hasard !
Alexis DUBOIS
0.4 - Le mot de « l’auteur » :
J’aime bien ce volume, même si finalement il manque un
peu trop d’humour et de « romance ».
Mais l’époque de la pandémie de « Conard-virus » n’est
vraiment pas glamour.
C’est comme ça.
Ceci dit, c’est aussi une année où il se sera passé de
nombreuses choses intéressantes sinon étonnantes.
J’y reviens en « postface ».
Tout n’a pas pu être intégré, loin de là.
Et nous en ferons également l’impasse sur le volume
suivant.
Mais peut-être pour y revenir ultérieurement : le
monde change à vive allure, redessine ses « frontières géopolitiques » et il
faudra bien que « Charlotte » y prenne part d’une façon ou d’une autre.
Ce qui m’a le plus intéressé c’est passé en fin
d’année : c’est le Vendée Globe challenge et l’étonnant naufrage d’Escoffier.
Je vous propose une « solution aliène », en tout cas
extraordinaire : car comment peut-on « plier » en deux un IMOCA en 4 secondes ?
Alors que ce sont des voilier conçus comme des
coffres-forts en carbone destinés à affronter les conditions les plus extrêmes
de courses sur les mers et océans les plus invraisemblables et les plus
« difficiles » qui soit…
Le plus incroyable dans cette histoire – alors que c’était
tout de même « hors-sujet » –, c’est que ça aura été « réarrangé » par «
Charlotte » qui aura « inspiré » ce passage-là à travers le canal habituel « sa
narratrice/mon gardien » avec l’introduction des « Hyturtes » !
Effectivement, j’avais prévu dès l’année précédente
une « bagarre » autour du sous-marin-pirate soustrait par « Charlotte » aux
Canaries. Mais originellement, ça ne devait pas se passer comme ça. Il aura
donc fallu « adapter » le récit au desideratas de Paul de Bréveuil soi-même,
qui correspond mieux à la réalité.
Comme quoi, il y a tout de même un « alignement des
pensées » qui m’échappe, une fois de plus !
Que je sois « inspiré », je veux bien l’admettre, mais
à ce point-là jusqu’à en corriger le scénario originel, j’en reste tout de même
tout ébouriffé du neurone…
C’est manifestement une pièce de plus dans cette
relation, « créateur/créature », « bibliographe/narrateur-auteur » qui
sort totalement de l’ordinaire !…
En principe, je ne suis pas né pour ça.
À cette époque-là et sur cette planète-là.
Enfin peu importe : bonne lecture à toutes et tous !
I3
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