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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

samedi 14 août 2021

13 – Étape aux Chagos (4)

L’agenda 2030.
 
Avertissement : Vous l’aviez compris, ceci n’est qu’un roman, une fiction, une « pure construction intellectuelle », sortie tout droit de l’imaginaire de son auteur. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies), y compris sur la planète Terre, y est donc purement, totalement et parfaitement fortuite !
 
Ce n’est un secret pour personne que Bill Gates soutient l’Agenda 2030 des Nations unies pour le développement durable.
Certains en concluent que c’est un programme d’eugénisme humain, de « l’éclaircissement du troupeau humain », comme l’a dit un jour le duc d’Édimbourg et misanthrope Philip de Grande-Bretagne.
D’autres, comme Joachim Schnellnhuber, conseiller du pape en matière de climat, se réjouissent ouvertement de voir une population humaine inférieure à un milliard d’individus considérée comme « durable ».
Des recherches sérieuses montrent que l’un des moyens les plus efficaces de réduire la population humaine est propagé par la soi-disant « agriculture scientifique moderne » grâce à l’utilisation sélective de produits agrochimiques toxiques et de pesticides réputés sûrs.
Or, l’infertilité humaine gagne du terrain avec les pesticides et autres perturbateurs endocriniens.
Et Paul de rappeler, à ce moment-là, celui du service des coupes de salade de fruits exotiques, le propos d’Henry Kissinger, auteur du document eugéniste « NSSM-200 » durant l’ère Nixon-Ford, qui reste instructive : « La dépopulation devrait être la priorité absolue de la politique étrangère envers le tiers monde, car l’économie américaine aura besoin de quantités importantes et croissantes de minéraux provenant de l’étranger, en particulier des pays moins développés ».
Et puis celle du même Bill Gates, un peu plus tard.
« Je vous cite : « Le monde compte aujourd’hui 6,8 milliards d’habitants… qui se dirigent vers 9 milliards, environ. Si nous faisons un excellent travail en matière de vaccins, de soins de santé et de services de santé génésique, nous pourrions réduire ce chiffre de 10 à 15 % ». On est désormais un peu plus nombreux… »
Oui, il se souvient.
« Vous savez, j’en reste persuadé, même si ça peut vous paraître paradoxal !
Plus on vaccine, plus on évite de soigner ce qui fait faire des économies, plus les gens vivent en bonne santé plus long temps. Le temps de consommer et de produire.
Or, en rallongeant l’espérance de vie des nouveau-nés et des adultes, parce qu’ils restent une charge pour leurs familles, on contribue de manière douce à limiter les naissances.
C’est tout de même plus… humain que la méthode chinoise qui consiste à limiter d’autorité les naissances par femme !
Ce qui amène à terme à une catastrophe démographique où il n’y a plus assez de jeunes générations fournies pour faire vivre le pays de la génération précédente. »
C’était ça ou la famine généralisée…
Or, il meurt chaque jour plus de 20.000 personnes de malnutrition.
« Mais je m’occupe aussi de ce scandale pour y être très sensible.
Et l’Inde aura réussi la même « transformation » en électrifiant les villages et en distribuant des téléviseurs ! »
Comme quoi, si nous sommes en train de faire disparaître rapidement l’espèce humaine pour continuer d’ignorer les dangers des toxines pour les humains et les autres formes de vie par exemple, on coupe l’électricité et elle redémarre !
« Ils ont aussi fortement encouragé la vasectomie et la ligature des trompes… » lui rétorque Paul.
 
Après quelques recherches, je me permets de rappeler ce que sont les objectifs de « l’agenda 2030 » arrêtés par l’ONU. 17 au total : éliminer la pauvreté sous toutes ses formes et partout dans le monde. Éliminer la faim, assurer la sécurité alimentaire, améliorer la nutrition et promouvoir l’agriculture durable. Permettre à tous de vivre en bonne santé et promouvoir le bien-être de tous à tout âge. Assurer à tous une éducation équitable, inclusive et de qualité et des possibilités d’apprentissage tout au long de la vie. Parvenir à l’égalité des sexes et autonomiser toutes les femmes et les filles. Garantir l’accès de tous à des services d’alimentation en eau et d’assainissement gérés de façon durable. Garantir l’accès de tous à des services énergétiques fiables, durables et modernes, à un coût abordable. Promouvoir une croissance économique soutenue, partagée et durable, le plein emploi productif et un travail décent pour tous. Bâtir une infrastructure résiliente, promouvoir une industrialisation durable qui profite à tous et encourager l’innovation. Réduire les inégalités dans les pays et d’un pays à l’autre. Faire en sorte que les villes et les établissements humains soient ouverts à tous, sûrs, résilients et durables. Établir des modes de consommation et de production durables. Prendre d’urgence des mesures pour lutter contre les changements climatiques et leurs répercussions. Conserver et exploiter de manière durable les océans, les mers et les ressources marines aux fins du développement durable. Préserver et restaurer les écosystèmes terrestres, en veillant à les exploiter de façon durable, gérer durablement les forêts, lutter contre la désertification, enrayer et inverser le processus de dégradation des terres et mettre fin à l’appauvrissement de la biodiversité. Promouvoir l’avènement de sociétés pacifiques et inclusives aux fins du développement durable, assurer l’accès de tous à la justice et mettre en place, à tous les niveaux, des institutions efficaces, responsables et ouvertes à tous. Et enfin renforcer les moyens de mettre en œuvre le Partenariat mondial pour le développement durable et le revitaliser.
Personnellement, je pense qu’on ne peut qu’adhérer.
Et il n’y a rien de politique, ni de cultuel, ni de géopolitique : une philosophie saine qui accueille toutes les croyances…
 
« Il n’empêche, pour une part de l’opinion publique, votre fondation paraît suspecte. »
Pour ses détracteurs, seulement…
« Par exemple, je sais qu’il circule des rumeurs autour de « l’event 201 ». Eh bien je dis que c’est un hasard, mais un hasard presqu’heureux. »
Pour la petite histoire, la fondation Bill Gates, le Forum économique mondial de Davos et des représentants de l’industrie pharmaceutique avaient échafaudé l’hypothèse d’une épidémie en octobre 2019.
« Le 18 octobre 2019, quelques mois à peine avant l’apparition de la Covid-19, ma fondation a en effet hébergé l’« Event 201 ». Une simulation « sur table », d’une durée de trois heures et demie, d’une pandémie mondiale.
C’est vrai que la chose plutôt troublante, c’est que cette simulation concernait comme par hasard un nouveau coronavirus voué à tuer des millions de personnes.
Et qu’environ huit semaines plus tard, un nouveau coronavirus bien réel a éclos en Chine.
Mais il ne tuera pas des millions de personnes. »
Hélas, si !
Ça aura été le démarrage d’une « déferlante conspirationniste » sur le web.
 
Elle sous-entendait que le milliardaire, très investi dans la lutte contre l’épidémie et dont la fondation est le premier bailleur privé de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), connaissait l’existence du virus avant son apparition officielle en Chine en décembre 2019.
« D’autant qu’en réalité, il circulait probablement dès le mois d’octobre, mais à bas bruit… »
Le SARS-CoV-2 appartient bien à la famille des coronavirus et cause depuis des millions d’infections respiratoires allant du simple rhume aux pneumopathies sévères, voire mortelles.
Il s’agit d’une théorie récurrente visant Bill Gates, qui aura fait l’objet de nombreuses rumeurs depuis le début de l’épidémie.
« C’est extrêmement fascinant car cet exercice de simulation de pandémie de coronavirus a eu lieu environ 6 semaines avant que la première maladie due au coronavirus ne soit effectivement signalée à Wuhan, en Chine.
C’est une sacrée coïncidence si vous croyez à ce genre de choses !
Un autre lien qui fascine les gens est le fait que ma Fondation Bill et Melinda Gates a également financé et continue de le faire des groupes qui travaillent déjà sur des vaccins.
Il n’en fallait pas plus ! »
 
Selon le site d’Event 201, il s’agissait d’une simulation de réponse à de « graves pandémies », avec comme objectif de « minimiser leurs conséquences économiques et sociales à grande échelle ». 
« Mais là, il faut dire qu’on s’est tout de même planté : on n’imaginait pas du tout un confinement généralisé, pays par pays, aux conséquences économiques et financières bien plus graves qu’on aurait pu le craindre… »
Mis en cause par ces publications virales sur les réseaux sociaux, le Centre de sécurité sanitaire a diffusé un communiqué le 24 janvier : « Pour clarifier les choses, le Centre de sécurité sanitaire et ses partenaires n’ont pas fait de prédiction pendant cet exercice de simulation.
Pour ce scénario, nous avons modélisé une pandémie de coronavirus fictive, mais nous avons explicitement précisé qu’il ne s’agissait pas d’une prédiction ».
Le Centre de sécurité sanitaire précise alors qu’il n’y a aucun lien avec l’épidémie de la Covid-19 : « Bien que notre exercice de simulation ait inclus un nouveau coronavirus, les données que nous avons utilisées pour modéliser l’impact potentiel de ce virus fictif ne sont pas similaires à celles du nCOV-2019 », que l’on connaît aujourd’hui sous le nom de SARS-CoV-2.
 
« Oui mais nous, en France, on a eu les attentats de novembre 2015.
Et chacun se souvient que quelques jours avant, une simulation avec mobilisation des soignants et services de secours de première urgence aura été réalisée avec comme hypothèse une série d’attentats simultanés dans plusieurs lieux de la capitale ! »
« Ah les français ! » s’exclame Gates dans un large éclat de rire !
« Le pays de Descartes ! C’est sensationnel…
Au moins vos troupes étaient prêtes, « réglées » au millimètre près ! »
Effectivement : parfaitement préparées, si on peut dire…
« Votre fameux logiciel prédictif ne vous avait pas alerté ? »
C’est après ça, et en réponse à ça, qu’il a été conçu.
« Et il a parfaitement fonctionné pour les attentats suivants, notamment à Nice en juillet 2016. C’est d’ailleurs dans cet « essai-là », grandeur nature, qu’il a définitivement été validé. Depuis, on l’améliore et vous aurez pu constater que le rythmes des attentats a pu diminuer, sans pour autant que le nombre d’arrestation n’ait faibli, au contraire ! »
Gates croyait que ce logiciel avait été vendu à son propre pays.
« C’est exact. Moi, je faisais le con ici afin de détruire la fondation Milton et c’est ce qui m’a rendu milliardaire.
Mais rien ne nous empêche de poursuivre son développement et de créer de nouvelles versions encore plus performantes.
On est désormais capable d’identifier et de suivre à peu près tout le monde sur la planète. Et on est en passe de pouvoir cartographier toutes les puces électroniques en activité en temps réel… »
Sifflement discret mais admiratif.
« Il faut que je coupe mon portable ? »
Et arrêter sa montre…
« Mais ça fait des centaines de milliards d’objets en circulation ! »
Pas autant : « Mais j’avoue que plus l’industrie en produit, plus il nous faut faire des raccourcis… »
Et ça sert à quoi ?
« Pour l’heure, seulement à matcher des comportements « inhabituels » potentiellement dangereux sur un territoire donné.
Le reste, c’est pour les archives qu’il faut vider régulièrement ! »
 
« Ceci dit, si je ne m’abuse, la prochaine « simulation » va programmer une cyberattaque massive, n’est-ce pas ? »
Et ?
« Et ça va arriver, pardi ! Mais pas comme vous l’imaginez. »
Et comment ça, alors ?
« Une porte dérobée dans une data-base qui met à jour l’environnement Windows… »
« Merci de me prévenir ! Mais c’est impossible ! »
Impossible n’est pas français…
« Vous savez ça comment, vous ? »
Paul élude la question : « Autre point faible : le cloud. Pensez à démultiplier les supports physiques ! »
C’est noté… « Vous devriez en faire autant avec votre programme anti-terroriste ! »
Mais c’est fait : « Il n’y a rien sur le cloud. Pas envie de me faire piquer le travail de plusieurs années de mes robots-butineurs.
Il existe déjà trois datacenters qui stockent toutes les données. Et elles ne sont ouvertes qu’à des postes sécurisés intermédiaires qui collectent le travail des postes-entrées, requêtes ou la pêche du butinage permanent de données, qui sont eux-mêmes cryptés et accessibles qu’avec des clés elles-mêmes cryptées le tout avec des machines dont les Bios sont fabriqués sur mesure par ma copine écossaise.
Or, nous sommes sûrs de nos systèmes, puisque c’est nous qui les avons codés. »
Il peut toujours y avoir des « trahisons » de salariés indélicats.
« J’y pense. Je passe un peu de temps pour vérifier leurs travaux. Avec un logiciel spécial de mon invention qui collecte tout ce qui « bouge » dans les lignes de codes du système central sans qu’ils ne le sachent.
En cas de suspicion, on efface et on duplique le système précédant. Pas de difficulté.
Et puis pour me faciliter le travail, je vais installer un quatrième datacenter ici même dès que les lieux seront sécurisés. »
 
Parce qu’ils ne le sont pas ?
« Pas encore : demain on fera une petite sortie en mer pour accueillir un chalutier russe espion.
Je vous expliquerai ça demain.
Et comme ils vont revenir, j’aurai besoin qu’on m’appuie un peu pour avoir une couverture aérienne et maritime un peu plus étoffée que ce qu’elle est aujourd’hui.
Aujourd’hui, on est territoire britannique d’Océanie avec à moins d’une heure d’avion la base de Diego-Garcia occupée par la flotte américaine.
Mais quand tout le monde sera cloué au sol, il faudra bien que je puisse me débrouiller pour repousser des agresseurs débarqués d’un sous-marin quelconque. »
Je vois, fais l’ex-général.
« Ce sera fait… Surtout si vous tenez votre promesse de m’attribuer un strapontin d’administrateur dans votre fondation. »
Ah ça… « C’est quand vous m’aurez vendu quelques-uns de vos réacteurs nucléaires ! »
Sourires entendus des deux complices du moment.
 
Bill Gates finit par revenir sur un sujet qui le préoccupe : « Si je crois avoir bien compris à quoi toutes ces installations vont servir, il y a toutefois une question qui me taraude l’esprit : même dans cinquante ans, croyez-vous que la métallurgie aura fait assez de progrès pour fabriquer un câble de 36.000 km de haut ? »
Et l’ex-général de rajouter une question qui le taraude lui aussi : « Les sous-sols de l’atoll seront-ils assez solides pour poser une telle cathédrale d’acier ? »
Paul de répondre : « Dans l’ordre : la métallurgie, sans doute pas. Les nanomatériaux vont y aider mais ce que ni les uns ni les autres ne savent faire, l’électromagnétisme y aidera surtout si j’ai assez de minicentrales nucléaires disposées tout du long du conduit de l’ascenseur spatial, bien sûr
Quant aux fondations, mon général, c’est plutôt à l’inverse auquel il faut penser. Mettons comme… d’une lampe accrochée au plafond, à 36.000 km d’altitude dont le fil pend jusqu’à terre.
Et songez qu’il y en a autant, en contre poids, jusqu’à plus de 70.000 km dans l’espace. »
Explications qui les plongent dans l’expectative.
Gates finit son verre : « Astucieux ! »
« Bon, il est temps d’aller se coucher. Demain on se lève tôt et il faut que je vous ramène pour déjeuner avant de prendre votre envol ! »
 
Nous nous séparons non sans avoir remis nos masques, puisqu’à table, nous étions tous les cinq séparés chacun de deux bons mètres, hors devant le buffet.
« Vous en pensez quoi, Alexis ? »
Parce qu’il faut que je pense, en plus et désormais ?
« Ils sont réceptifs… »



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