Bienvenue !

Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

jeudi 5 août 2021

4 – Les explications de Paul de Bréveuil

De ce que j’en ai compris
 
Le 30 octobre 2020, des scientifiques suisses et espagnols publient l’étude d’une nouvelle souche du SARS-CoV-2 qui semble avoir émergé parmi des travailleurs agricoles en Aragon, dans le Nord-Est de l’Espagne,
Après son développement en Espagne, cette mutation s’est étendue à de nombreux pays européens. Avant le 15 juillet, de très faibles valeurs ont été trouvées en dehors de la Péninsule Ibérique.
Mais après cela, la mutation s’est propagée en Europe et elle s’est également étendue à la Norvège, à la Lettonie, aux Pays-Bas et à la France.
Une variante qui s’est même répandue sur d’autres continents, par exemple, la Nouvelle-Zélande ou Hong-Kong.
Cette souche s’est mélangée à la population locale et a ensuite migré vers d’autres régions du pays, représentant alors plus de 70 % de toutes les séquences analysées par les chercheurs.
À partir de la mi-juillet, cette mutation a rapidement balayé le reste du continent européen à commencer par le Royaume-Uni (80 % de toutes les séquences analysées), la Suisse et les Pays-Bas. En France, elle représenterait seulement 40 % des cas analysés. C’est une autre souche qui reste dominante jusqu’à l’arrivée du mutant britannique.
Cette nouvelle souche, SARS-CoV-2 20A EU.1, s’avère plus contagieuse, ce qui pourrait expliquer le développement rapide de la deuxième vague, puis de la suivante.
 
Dans le monde, à ce moment-là, on recense aussi la souche « D614G » qui a été qualifiée de « plus infectieuse » que les autres dans un article publié en juillet dans la revue Cell. À travers le monde, on observe de multiples souches et mutations du virus mais, dans la plupart des cas, elles sont très difficiles à détecter.
Et puis en septembre est apparu un variant à Londres et dans le Kent (Sud-Est).
Il sera à l’origine de 62 % des contaminations enregistrées à Londres en décembre et de 43 % mi-novembre, entraînant la décision d’un confinement « lourd » dans tout le Royaume-Uni.
Ce variant contient 23 changements, un nombre qualifié d’« inhabituellement grand » par les spécialistes, beaucoup étant « associés aux changements dans la protéine que le virus fabrique » et « à la manière dont le virus se lie aux cellules ou les pénètre ».
C’est le début de la troisième vague, au moment même où les premiers vaccins commencent à être inoculés pour une course de vitesse qui n’aura pas empêché un confinement rigoureux dans plusieurs pays dont l’Allemagne.
Les « scientifiques » auront toutefois assuré que, malgré tout, les vaccins continuaient d’offrir une réponse « adéquate ».
Il faut dire qu’à ce moment-là, on n’a rien d’autre à offrir aux populations à protéger.
 
D’autant que depuis le début, l’OMS indique qu’il n’y a pas de traitement spécifique contre la maladie, qu’on ne peut traiter que ses symptômes, en recommandant, paradoxalement, de ne prendre aucun médicament.
En France, le ministre de la santé recommandera, en cas de fièvre, de ne surtout pas prendre de médicaments anti-inflammatoires non stéroïdiens comme l’ibuprofène (Advil, Nurofen, etc.) ou d’aspirine qui pourraient être un facteur d’aggravation de l’infection.
Alors que je m’en suis gavée pour calmer ma « douleur exquise » autour de mon chicot durant tout le début d’année…
 
Le traitement de la fièvre ou de douleurs chez les patients atteints de la Covid-19 ou de toute autre virose respiratoire repose avant tout sur le paracétamol, sans dépasser la dose de 60 mg/kg/jour et de 3 g/jour.
Or, je pèse plus que 50 kilos…
En revanche, les patients soignés par anti-inflammatoires, comme les corticoïdes ou autres immunosuppresseurs, pour une pathologie chronique ne doivent pas interrompre leur traitement sans prescription médicale.
 
En février 2020, le gouvernement de Shanghai en Chine a recommandé l’injection de doses massives de vitamine C (on avait constaté une augmentation spectaculaire du nombre des publications scientifiques relatives à l’utilisation de la vitamine C chez les patients gravement malades à partir de 2018). En France, une deuxième vague d’essais cliniques avec la chloroquine démarre le 22 mars 2020. Elle fait suite à la conférence du Pr Didier Raoult du 16 mars, sur les résultats d’une première étude menée sur 24 patients, elle-même en écho d’études plus complètes menées en Chine. Le jeudi 26 mars en France, par dérogation à l’article L. 5121-8 du code de la santé publique, l’hydroxy-chloroquine et l'association lopinavir/ritonavir peuvent être prescrits, dispensés et administrés mais seulement dans les établissements de santé.
Puis ce sera interdit pas la suite !
 
En effet, le 22 mai, The Lancet publie une étude internationale dirigée par Mandeep Mehra, qui fait la rétrospective sur 96.000 dossiers de patients hospitalisés, non aléatoire, tendant à mettre en évidence les risques cardiaques de l’hydroxy-chloroquine. Le groupe sous hydroxy-chloroquine, le groupe sous hydroxy-chloroquine avec un macrolide, le groupe sous chloroquine et le groupe sous chloroquine avec un macrolide étaient chacun indépendamment associés à un risque accru de mortalité à l’hôpital par rapport au groupe témoin n’ayant pas reçu ces molécules. De plus, ces groupes étaient indépendamment associés à un risque accru d’arythmie ventriculaire pendant l’hospitalisation.
Cette étude sera pourtant contestée par la communauté scientifique qui aura proscrit ce type de traitement. Elle sera retirée en définitive par The Lancet.
Un cafouillage de plus qui suscite l’indignation, l’incompréhension, du coup la suspicion et un florilège de théories complotistes orchestrées par « Big-Pharma » qui ne veut pas d’un traitement à trois francs six sous…
À ce moment-là, à défaut de traitement autorisé, on en revient à l’espérance d’une immunité collective et à l’espoir d’un vaccin.
 
Résultat, plus d’un an après le début de l’épidémie de Covid-19, on ne dispose toujours d’aucun médicament réellement efficace pour combattre l’infection, malgré les 2.358 essais cliniques. Les antiviraux testés lors de l’essai Solidarity piloté par l’OMS (remdesivir, lopinavir, interféron bêta et hydroxy-chloroquine) se seront hélas révélés inefficaces.
Plus aucune nouvelle non plus du fameux médicament miracle de l’Institut Pasteur.
Pourtant le Regeneron, un cocktail d’anticorps, dont certains dit « de synthèse », qui a été administré au président américain du moment, a montré une certaine efficacité pour les patients hospitalisés sous oxygène.
La piste de la vitamine D a également été avancée.
 
« Le virus circule en France à une vitesse que même les prévisions les plus pessimistes n’avaient pas anticipée », expliquera le président Makarond le 28 octobre pour justifier le deuxième confinement. Sauf que quelques jours après, avant même que l’on puisse voir l’effet de ce dernier, la courbe fléchissait de manière tout aussi inexplicable.
De nombreux modèles épidémiologiques ont été développés pour tenter de prédire l’évolution de l’épidémie, mais le nombre de paramètres est tellement élevé (respect des mesures barrières, taux de reproduction efficace, formation de clusters, part des asymptomatiques...) que tous se sont révélés assez inopérants.
En mars, l’équipe de l’épidémiologiste Neil Ferguson, de l’Imperial College à Londres, prévoyait jusqu’à 500.000 morts en France en l’absence de mesures d’endiguement.
Il n’y en aura qu’un peu plus de 60.000 en fin d’année…
« Le virus est avec nous pour toujours », prévenait la responsable des situations d’urgence à l’OMS-Europe, en novembre. Les deux hypothèses dominantes sont une éradication du virus par la vaccination ou l’immunité collective, ou bien encore une banalisation du virus qui deviendrait endémique comme ceux du rhume.
Paul m’en aura informé dès avant le premier confinement : « Il va falloir apprendre à vivre avec, parce que ce virus va continuer un long moment à enquiquiner la planète.
Il y avait un « avant ». Il y aura un « après ».
C’est comme ça. Comme pour le SIDA, Ébola, Zika et quelques autres pandémies ainsi que les grippes saisonnières. »
Optimiste, mon bonhomme…
Car il y a bien aussi un risque de contracter une deuxième fois le virus.
 
Mais qu’il m’explique cette histoire de « chimère » tout de même !
« C’est simple. Selon le Dr Xintian Xu, de l’Institut Pasteur de Shanghai et selon ses collègues, vous vérifierez, le SARS-CoV-2 a un ancêtre commun avec des coronavirus et analogues du SARS-CoV, évoquant le coronavirus de la chauve-souris HKU9-1. »
Et ?
« Le génome du SARS-CoV-2 est identique à 96 % à celui d’un coronavirus de la chauve-souris ».
Comment est-il capable de retenir tous ces détails et de me les ressortir à première demande ?
Il doit avoir des fiches…
Effectivement, un éminent épidémiologiste pense qu’une chauve-souris est le réservoir sauvage, et que le virus serait passé chez l’humain au moins vers mi-novembre 2019, via un hôte intermédiaire animal du marché, alors inconnu.
« Oui, mais ce n’est pas ça. C’est un virus qui est sorti d’un laboratoire. »
Et la piste du pangolin, alors ?
« C’est l’espèce animale la plus braconnée, étant très recherchée pour la gastronomie et la médecine traditionnelle chinoise. »
Elle était vendue sur le marché de Hunan jusqu’à son interdiction par les autorités chinoises dès le 26 janvier 2020.
« C’est d’ailleurs à ce moment-là, au jour près, que la Corée du Nord a fermé sa frontière avec son voisin. »
Quel rapport ?
Ils se protégeaient simplement de l’épidémie, non ?
« Parce que vous croyez que le virus aura fait comme le nuage de Tchernobyl : sans papier en règle, il n’a pas osé traverser la frontière ?
Non, ce n’est pas ça. Le virus aura traversé toutes les frontières du continent, de Shanghai au Népal en quelques semaines et même au-delà vers la Corée du Sud alors que la « no man zone » entre les deux Corées est archi-bouclée et que la mer entoure la péninsule. »
Il aura pris d’autres voies…
« Naturellement puisqu’il aura fait le tour de la planète en quelques mois seulement ! »
 
« Ce qu’on découvrira plus tard, c’est que c’est un mutant, une « chimère » comme je vous l’ai dit, traficotée à Wuhan dans le labo « P4 » par le professeur Phîu que j’ai croisé aux Chagos il y a un bout de temps de ça[1].
Lui, pour la fondation Milton, il cherchait un virus et son vaccin qui rendait stériles les femmes de notre humanité.
En cohérence avec le grand plan supposé de l’agenda 2030. »
C’est quoi encore ce truc bizarre caché derrière des codes abscons ?
« Une façon pour quelques « globalistes » de sauver la planète. Je vous en reparlerai.
Le gars, je l’ai chassé : vous lirez l’épisode « Ultime récit » de mon biographe non autorisé.
Et Phîu aura été repêché par Kim Jung-Un et envoyé à Wuhan pour poursuivre ses chères recherches, décoder et transformer un virus de son choix pour en faire une arme biologique dans le dos de Pékin.
Le problème, c’est que le virus aura fuité et aura rendu malade par inadvertance le dictateur coréen.
Et puis, je ne sais pas comment, il a été utilisé pour créer la « chimère » du coronavirus qui à son tour aura contaminé la campagne environnante. »
Mais c’est criminel !
« C’est surtout la faute d’un laborantin qui aura mal rincé quelques éprouvettes, me semble-t-il !
Un accident, en somme, qui n’aurait jamais dû arriver et qui va coûter la vie à des millions de personnes.
Que ça va mettre tout le monde dans une cagade noire ! 
Criminel, oui… », c’est bien ça !
[1] Cf. « Les enquêtes de Charlotte », épisode « Ultime récit », aux éditions I3



Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire