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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

dimanche 31 août 2025

Fin d’année (1/3)

Rétrocession des Chagos (1/2)
 
Avertissement : Vous l’aviez compris, ceci n’est qu’un roman, une fiction, une « pure construction intellectuelle », du pur jus de neurone garanti 100 % bio, sortie tout droit de l’imaginaire de son auteur.
Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies), y compris sur la planète Terre, y est donc purement, totalement et parfaitement fortuite !
 
Pendant ce temps-là, dans les Services, on s’interroge et on prend en compte l’avancée technologique que représente le démonstrateur « Nivelle 3.1 », à savoir un avion-fusée réutilisable à volonté qui démarre depuis n’importe quel plan d’eau ou n’importe quel aérodrome capable de lui délivrer du kérosène, comme un avion de ligne, ainsi que de l’oxygène liquide.
Quelques ingénieurs auront dû réviser leur opinion autour de ce carburant qu’ils n’estimaient pas assez puissant pour être utilisé dans la conquête spatiale.
Pas assez puissant, certes, et c’est d’ailleurs confirmé avec la « station-service orbitale » mis en œuvre grâce à SpaceX qui utilise du méthane comme carburant… mais finalement opérationnel, le méthane nécessitant, comme l’hydrogène liquide, le roi des carburants, une usine de cryogénisation à proximité du lieu de fabrication qui doit être proche du lieu d’utilisation.
L’avantage du méthane, c’est qu’il est plus dense que l’hydrogène, donc se contente de réservoirs plus petits et donc moins lourds, mais il est moins puissant. En revanche l’hydrogène, même liquide et cryogénisé, ne se conserve pas indéfiniment : un isotope le réchauffe infinitésimalement, tel qu’on ne l’utilise jamais sur des moteurs de satellite de stabilisation d’orbite. Les réservoirs se videraient tout seuls en quelques semaines…
De son côté, le kérosène aura toujours été considéré comme un carburant, certes abondant, mais bas-de-gamme. Un peu comme le diesel par rapport aux carburants des moteurs de F1. D’ailleurs, aucun avion sauf un prototype, ne vole avec un moteur diesel, ni aucune F1 non plus…
Bref, le concept surprend et suscite l’admiration : c’est l’époque !
La plupart des innovations dans le domaine spatial est désormais l’apanage d’entreprises privées qui tentent d’éprouver des solutions techniques jadis écartées par les ingénieurs des agences spatiales aux budgets quasiment illimités !
 
Les informations techniques circulent facilement entre les laboratoires occidentaux, en revanche, on est furieux à Moscou comme à Pékin de devoir se contenter des dossiers de presses divulgué par Gustave qui n’en dit pas assez pour répondre à toutes les questions techniques qui peuvent se poser.
L’essentiel c’est de savoir que « ça marche » et que le porteur de projet reste Paul de Bréveuil. Nom de code universellement connu depuis ses exploits en Afghanistan[1] : « Charlotte ». Une spécificité dans le monde du renseignement, plutôt contraint de se dissimuler et de rester anonyme et invisible…
C’est aussi lui qui aura fourni des cyborgs à l’effigie de Poutine et du frère et de la sœur des Kim, dirigeant la Corée du Nord.
À Moscou, on se rappelle aussi qu’il y a actuellement une opération de « recrutement », en cours, assez complexe, « Volga noire », qui semble ne pas donner les résultats escomptés puisque « l’amnésique » aura oublié au passage ce qu’on lui aura appris à Minsk, quand il y était hospitalisé.
Le ministre aura été obligé de convoquer le colonel Ivan Sergueïovitch qui dirige l’opération sous le contrôle « scientifique » du neuropsychiatre biélorusse, le professeur Dimitri Vesemtorvich qui œuvre également dans un des hôpitaux militaires de Moscou et travaille accessoirement pour le service allié du GRU.
Il s’agit, après avoir été menacés de mutation sur le front au Donbass à faire face au « hachoir ukrainien », de mettre les bouchées doubles et de rattraper le temps perdu.
Pour cela, le capitaine Isaac Navivoski a une idée qui sera validée par sa hiérarchie : d’après les renseignements recueillis par une des femmes de ménage du Kremlin-Bicêtre, il y a du nouveau dans les effectifs de l’entourage de « Charlotte ».
Or, on doit pouvoir jouer « double jeu » avec ces nouveaux venus…
Qui ne tente rien n’obtient rien…
 
Mais ce qui pose problème, notamment à Londres, c’est d’essayer de comprendre pourquoi le prototype qui aura réussi sa mise en orbite d’un seul tenant est positionné aux Chagos alors même que les négociations avec les Mauriciens pour la rétrocession des îlots sont en passe d’aboutir avec le nouveau gouvernement issu des élections à l’Île Maurice.
Celui-ci accepte de reconnaître, et même de renouveler, le bail concédé aux USA par la couronne britannique, sur l’atoll de Diego Garcia, mais à aucun moment il n’était apparu comme « stratégique » de protéger les installations et intérêts d’un électeur de la « Chambre haute » des Lords, qui plus est médaillé de la GCVO pour d’éminents services rendus par la défunte reine Elisabeth II[2].
Comprendre l’intérêt de cette position géographique, à quelques nautiques de l’équateur, c’est d’une évidence limpide : c’est là que la planète donne un « coup de pouce » notoire aux mises en orbite avec sa rotation vers l’Est à raison de 40.000 km par jour, soit environ 463 m/seconde dans la bonne direction qui se rajoute à la vitesse fournie par les moteurs de l’engin de lancement.
C’est tout de même plus de 6,4 % de la vitesse finale de mise en orbite fournis par la seule rotation du globe et c’est gratuit…
À des latitudes plus septentrionales, cet avantage diminue en fonction du cosinus de l’angle du lieu de lancement fait avec l’équateur de la planète, pour devenir nul aux pôles.
 
En plus, c’est un lieu totalement isolé, au Nord de l’archipel qui ne peut pas être approché discrètement sauf à utiliser un sous-marin : autrement dit, l’espionnage doit s’y faire soit par interprétation d’images satellite, soit par interception de communications radio-hertziennes, soit avec du personnel arrivé sur place, forcément trié sur le volet…
Et Lady Joan aura fait circuler quelques notes d’information pas trop mal documentées rappelant les objectifs de « Sir Paul » sur ce bout de « poussière d’empire » dans les années à venir qui doit accueillir le premier ascenseur spatial.
Disons dans plusieurs décennies.
Rappel de données que Paul aura partagé avec tous ses visiteurs, étatsuniens, australiens, britanniques et même le Président Makarond quand celui-ci aura fait un tour à Mayotte et la Réunion[3]
En bref, quand il a s’agit de revenir sur les détails de la rétrocession, si la bagarre sur Diego Garcia avait été rude, sur l’atoll de Paul, il n’y aura eu aucune discussion, à la grande surprise postérieure du gouvernement britannique : Paul avait déjà négocié sont rattachement et sa tranquillité, moyennant quelques fonds et concessions qui n’auront rien coûté au Trésor de sa très gracieuse Majesté régnante de la maison des Windsor en la personne de Charles III…
Ce sont les effets concrets du travail de Lady Joan qui aura su tirer le meilleur parti des instructions de Paul lors de son passage pour les fêtes de fin d’année à bord d’Eurydice, la goélette de Paul, mouillant à Maurice à cette occasion[4].
Et finalement, heureusement qu’elle a suivi ses indications de ne verser aucun pot-de-vin à quiconque, car personne ne se doutait alors qu’il y aurait eu une « alternance » politique à la tête du pays à ce moment-là.
 
Idem côté britannique : le gouvernement travailliste, arrivé au pouvoir en juillet 2024, a finalement reconnu le 3 octobre la souveraineté de la république de Maurice sur l’archipel des Chagos, qui revendiquait le territoire depuis son indépendance. « 56 ans après notre indépendance, notre décolonisation est complétée. Aujourd’hui notre hymne national peut résonner encore plus fort sur tout notre territoire », a salué à cette occasion le nouveau Premier ministre mauricien Pravind Jugnauth.
Cette cession du territoire survient après une augmentation des pressions internationales sur Londres. Pour rappel, un avis consultatif de la Cour Internationale de Justice en février 2019 jugeait alors que le détachement de l’archipel des Chagos de la république de Maurice était « illicite » et que le processus de décolonisation du territoire « n’a pas été validement mené à bien ».
À la suite de la publication de cet avis, le 22 mai 2019, l’Assemblée Générale des Nations Unies avait adopté une résolution demandant le retrait de l’administration britannique dans les six mois, ainsi que le retour de la population d’origine de l’archipel.
 
La question de la souveraineté des îles Chagos restait jusque-là un sujet très controversé en raison du sort de cette population d’origine. On rappelle qu’entre 1966 et 1973, le Royaume-Uni avait organisé l’expulsion de jusqu’à 2.000 autochtones, soit l’intégralité de la population de l’archipel, afin de permettre la construction de la base de Diego Garcia, utilisée par les forces armées américaines et britanniques.
« Il s’agit d’une lutte de longue haleine qui a duré pendant plus de 40 ans et beaucoup de nos concitoyens sont décédés », a indiqué le dirigeant du Groupe des Réfugiés de Chagos, cité par le Guardian. « Mais aujourd’hui, c’est un signe de reconnaissance de l’injustice faite aux Chagossiens qui ont été forcés de quitter leurs maisons ».
Le nombre de Chagossiens qui décideront de retourner sur l'île est pourtant et pour l’instant inconnu, ces derniers s’étant installés à l’étranger depuis des décennies. D’autant que les personnes originaires de Diego Garcia ne pourront pas y retourner en raison de la présence de la base militaire anglo-américaine qui est maintenue, car la république de Maurice a accepté de la laisser en place comme condition de la cession de l’archipel.
 
Pour mémoire, cette base ne s’étend que sur 30 kilomètres carrés, soit près de 4 fois moins de surface d’une ville comme Paris, mais constitue une installation clé pour Washington dans l’Océan Indien : située à quelques milliers de kilomètres de distance du continent africain comme du sous-continent indien, elle permet aux forces situées sur place d’intervenir dans un vaste périmètre, et abrite navires comme bombardiers à longue portée.
Après le 11 septembre, des appareils américains ont ainsi été envoyés en Irak et en Afghanistan directement à partir de Diego Garcia, là où la France faisait patrouiller le Charles de Gaulle et son groupe de combat.
La base se distingue par une autre particularité : le manque d’information l’entourant. « Il y a un niveau de secret qui semble aller au-delà de ce que l’on voit dans d’autres endroits ». Aucun vol commercial ne peut y atterrir, et les journalistes y sont interdits : le seul moyen de s’y rendre est d’être en possession d’un permis réservé aux personnes en lien avec la base et/ou les autorités britanniques.
 
Quant à l’atoll de Paul, jamais aucun chagossien ne s’y est installé : il n’y a pas d’eau potable et seuls quelques abris de pêcheur ont pu exister au fil des siècles… Mais aucune habitation permanente n’aura été signalée avant l’arrivée de la fondation Milton, celle qui finançait un laboratoire de recherche biologique P4 par 40 mètres de profondeur, aura installé la première piste d’aviation pour avion de tourisme aux côtés de l’embarcadère montée sur pilotis et la seule maison de maître de l’île que Florence aura transformé en petit hôtel de réception[5]
Par conséquent aucune revendication possible d’un « droit au retour » pour des îliens locaux n’est envisageable…
En revanche Paul leur offrira des « postes réservés » sur les chantiers qui modifient en profondeur l’urbanisme de l’île…
 
Cette rétrocession aura été également l’occasion pour quelques éléments de la République islamique des Maldives de faire entendre des revendications de rattachement.
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)
[1] Cf. l’épisode « Opération Juliette-Siéra » des « Enquêtes de Charlotte » aux éditions I3
[2] Cf. l’épisode « Parcours olympiques » des « Enquêtes de Charlotte » aux éditions I3
[3] Cf. l’épisode « Dans le sillage de Charlotte » des « Enquêtes de Charlotte » aux éditions I3
[4] Cf. chapitres précédents.
[5] Cf. l’épisode « Ultime récit » des « Enquêtes de Charlotte », en attente de publication aux éditions I3

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