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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

lundi 1 septembre 2025

Fin d’année (2/3)

Rétrocession des Chagos (2/2)
 
Avertissement : Vous l’aviez compris, ceci n’est qu’un roman, une fiction, une « pure construction intellectuelle », du pur jus de neurone garanti 100 % bio, sortie tout droit de l’imaginaire de son auteur.
Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies), y compris sur la planète Terre, y est donc purement, totalement et parfaitement fortuite !
 
Les Chagos sont sur à peu près la même longitude que les Maldives et l’atoll de Paul est nettement plus proche des Maldives, à quelques dizaines de kilomètres au Nord de l’équateur seulement, que de Maurice.
Mais l’Histoire n’est pas la même : selon la légende maldivienne, un prince indien appelé Koimala s’est échoué avec sa jeune épouse dans un lagon des Maldives et s’y est installé, devenant ainsi le premier sultan. On raconte aussi que des femmes venues du Sri Lanka s’y sont établies, d’où le nom de Mahiladipa signifiant îles des femmes, qui a donné le nom « Maldives ».
 
Et effectivement, au cours des siècles, les îles Maldives ont été visitées et leur développement a été influencé par les marins des pays de la mer d’Arabie et du littoral de l’océan Indien. Historiquement, l’archipel est ensuite abordé pour la première fois par l’explorateur portugais Lourenço de Almeida en 1506. Les Portugais gouvernent même l’archipel durant 15 années (1558-1573) avant d’être expulsés par le guerrier patriote et futur sultan, Muhammad Thakurufaanu Al Auzam.
Sultanat islamique indépendant durant la majeure partie de son histoire, de 1153 à 1968, les Maldives sont cependant un protectorat britannique de 1887 jusqu’au 26 juillet 1965. Entre 1953 et 1954, une première république est instaurée, avant que le sultanat ne soit rétabli.
Après l’indépendance en 1965, le sultanat perdure pendant encore trois années puis, et le 11 novembre 1968, il est renversé et remplacé par une deuxième république. En 1988, une tentative de coup d’État est fomentée par un groupe de Maldiviens qui obtiennent l’appui des tamouls sri-lankais de l’Organisation populaire de libération de l’Eelam Tamoul. L’intervention de 1.500 soldats indiens rétablit le gouvernement Gayoom.
La constitution de 1997 a alors fait des Maldives une république, où l’islam sunnite est religion d’État. Sa législation est d’ailleurs basée sur la charia.
 
Le 13 octobre 2016, les Maldives annonçaient leur retrait du Commonwealth en raison des considérations de l’organisme sur la position du territoire vis-à-vis des droits de l’homme.
En effet, plusieurs ONG et les Nations unies demandent aux Maldives de retirer la peine de fouet pour les femmes ayant des relations sexuelles hors mariage.
En septembre 2012, une jeune femme de 16 ans a été condamnée au fouet justement pour des relations hors mariage, et son compagnon a écopé de dix ans de prison.
En février 2013, la justice a condamné une autre jeune fille de 15 ans à 100 coups de fouet et 8 mois d’arrêts domiciliaires pour avoir eu des relations hors mariage : la condamnation était basée sur les aveux de la jeune fille peu après avoir été violée par son beau-père !
En août 2013, la décision a été annulée par la Haute Cour des Maldives, alors que la peine n’avait pas été purgée, les coups de fouet devaient être administrés aux 18 ans de la jeune fille.
Par ailleurs, les Maldives sont régulièrement critiquées pour leur faible liberté religieuse.
Le 27 avril 2014, le gouvernement des Maldives annonce que le pays met fin à soixante ans de moratoire sur la peine capitale. Les mineurs coupables de meurtre pourront être condamnés à mort en contradiction avec la Convention des Nations unies relative aux droits de l’enfant. L’âge de la responsabilité criminelle aux Maldives est fixé à 10 ans de manière générale et à 7 ans pour certains crimes comme le viol, la fornication, la consommation d’alcool et l’apostasie.
 
Les Maldives sont aussi critiquées pour leur gestion des immigrants bangladais venus y travailler. Leurs passeports sont confisqués dès leur arrivée à l’aéroport par les entreprises qui les emploient, bien qu’ils soient en situation régulière. Endettés auprès d’agences de l’emploi, leur train de vie est parfois comparé à de l’esclavage. Le département d’État des États-Unis place ainsi les Maldives sur sa liste noire en matière de traite humaine, aux côtés notamment de l’Afghanistan.
Et en octobre 2019, l’ONG Réseau des Maldives pour la démocratie est fermée.
En bref, le voisin de l’hémisphère Nord des chagossiens n’est finalement pas très attractif, ni pour la population locale restée sur place, ni pour les « exilés » résidants à Maurice plutôt qu’à Mahé…
 
Alors que Diego Garcia, bien plus au Sud de l’archipel est d’un accès très contrôlé, on y note la présence d’influences américaines et britanniques étrangement mêlées : malgré la présence de drapeaux britanniques sur l’aéroport ainsi que de noms de rues britanniques, on y roule à droite et on paye en dollars !
En plus des installations militaires, on trouve sur Diego Garcia un cinéma, un bowling, un restaurant de fast-food, et le « Brit Club », une boîte de nuit avec un bouledogue pour logo.
Si la base est partagée par Washington et Londres, en réalité, le personnel y est en revanche, en écrasante majorité, américain.
Ces derniers pourront désormais rester sur l’île pour une durée de 99 ans, selon le nouveau contrat de location de la base, qui pourrait être prolongé dans les décennies à venir.
 
Mais le nouveau gouvernement mauricien aura remis en cause l’accord conclu avec Londres le 6 octobre avec l’ancien chef du gouvernement de l’île. En vertu de ce texte, les Britanniques s’engageaient à transférer la souveraineté de ces territoires à Maurice. Et devraient garder le contrôle de la base militaire américano-britannique, située sur la plus grande des îles, Diego Garcia, durant au moins 99 ans, ce qui est inadmissible pour Navin Ramgoolam, le nouveau Premier ministre mauricien.
Il a d’ailleurs accusé son prédécesseur de « haute trahison », pour avoir signé un accord qu’il qualifie de « capitulation » face à Londres. Et il demande du temps pour sa réécriture.
 
De plus, les Chagossiens eux-mêmes critiquent le fait qu’ils n’aient pas eu leur mot à dire dans l’accord de cession des îles par le Royaume-Uni.
Certains Chagossiens avec qui la BBC s’est entretenue ont globalement salué l’accord, mais beaucoup ont déclaré que les populations autochtones s’étaient vu refuser à plusieurs reprises la possibilité de prendre part aux négociations.
Or, le ministère des Affaires étrangères avait déclaré que les intérêts de la communauté chagossienne avaient été « une partie importante des négociations ».
Et l’île Maurice pourra lancer un programme de réinstallation sur les îles Chagos, mais pas sur Diego Garcia.
Un « coup de poignard dans le dos » de la part du gouvernement britannique.
« Aujourd’hui, encore une fois, nous avons été exclus », a déclaré à la BBC un étudiant Chagossien de troisième cycle de 34 ans à Londres.
« Nous devons respecter les droits des peuples autochtones. (…) Notre droit à l’autodétermination – que nous souhaitions être citoyens britanniques ou citoyens mauriciens – nous a été aujourd’hui retiré ».
Un Chagossien de deuxième génération vivant au Royaume-Uni, a déclaré à la BBC qu’il s’était senti « trahi » et « en colère » parce que « les Chagossiens n’ont jamais été impliqués » dans les négociations. « Nous restons impuissants et sans voix pour déterminer notre propre avenir », a-t-il déclaré, appelant à la pleine inclusion des Chagossiens dans la rédaction du traité.
« Aucun d’entre nous n’a été informé de ce qui se passait. C’est injuste envers nous ! (…) C’est notre héritage – nous aurions dû avoir une ou deux personnes dans la salle. »
 
L’ancien ministre des Affaires étrangères James Cleverly a par ailleurs qualifié cette décision de « faible, faible, faible », tandis que l’ancien ministre de la Sécurité Tom Tugendhat a suggéré qu’elle risquait de permettre à la Chine de prendre pied militairement dans l’océan Indien.
Pourtant, l’envoyé spécial du Premier ministre pour les négociations entre le Royaume-Uni et l’île Maurice, a rejeté ces critiques à l’encontre de l’accord et a déclaré que M. Cleverly avait auparavant dirigé les pourparlers.
Clive Baldwin, conseiller juridique principal de l’organisation Human Rights Watch, a déclaré de son côté que l’accord ne « garantissait pas que les Chagossiens puissent retourner dans leur patrie » et il « semble les interdire explicitement de se rendre sur la plus grande île, Diego Garcia, pour un siècle encore ».
Il a donc appelé à des réparations pour les personnes déplacées.
 
Naturellement, Paul de Bréveuil passe une grande partie de son temps sur son atoll des Chagos, situé au Nord de l’ensemble de l’archipel des îles Chagos.
Il est ainsi disponible pour rencontrer à plusieurs reprises les nouveaux dirigeants de Maurice afin d’aplanir les éventuelles difficultés liées à la rétrocession des îles à Port Louis.
Et il doit par ailleurs organiser, réorganiser plutôt, les « supplains chains » qui se déplacent, comme convenu, de La Réunion en base arrière, à Port Louis.
Mais il trouve le temps de revenir en France, pour s’entretenir avec l’administration du nouveau gouvernement sur le rôle de Julie Déplante et sur les supports que peut apporter la Cisa et son logiciel BBR 3.0, celui qui n’existe pas.
La composition du quarante-cinquième gouvernement de la Vème République, le sixième sous la présidence Manuel Makarond, aura été annoncée le 21 septembre, seize jours après la nomination du Premier ministre Michel Barnier, le 5 septembre, presque trois mois après l’annonce de la démission de son prédécesseur qui aura bénéficié de toute la logistique gouvernementale pour assister aux JO de Paris 2024.
C’est la période la plus longue entre la démission d’un gouvernement et la nomination du suivant depuis la Seconde Guerre mondiale qui démontre, selon le mot d’humour de Gustave, qu’on n’a décidément pas besoin d’un gouvernement pour diriger le pays : « Les fonctionnaires savent y faire… » et ne pas dépasser leur sphère de compétence, même s’ils sont les seuls à préparer le budget de l’année suivante… qui sera présenté, seulement présenté et défendu, par les ministres compétents qui n’auront pas eu le temps d’assimiler les « arbitrages » décidés sans eux, puisqu’ils n’étaient pas encore nommés ni pressentis…
 
Le 3 décembre, deux motions de censure seront déposées par le Nouveau Front populaire et le Rassemblement national à la suite du recours à l’article 49, alinéa 3 de la Constitution pour faire adopter le budget de la Sécurité sociale.
À l’issue de l’adoption de la première censure par les députés en séance publique le 4 décembre, Barnier est contraint à la démission et le gouvernement est chargé des affaires courantes entre le 5 et le 13 décembre, sans être gouvernement de plein droit, du fait de la censure.
Il s’agit là de la seconde fois qu’un gouvernement de la Vème République est censuré, après le premier gouvernement Pompidou en 1962, et, avec 99 jours, du deuxième plus éphémère hors période de transition électorale, derrière le troisième gouvernement Messmer de 89 jours. Et il devient le Premier ministre le plus éphémère de la Vème République !
Heureusement qu’il ne s’agit pas d’une fin de carrière pour lui, carrière qu’il aura eu brillante, notamment hors les frontières.
À l’issue des Jeux olympiques, le Président convie les chefs de partis et présidents de groupes parlementaires des deux chambres à l’Élysée pour annoncer que Lucie Castets, la candidate de la NUPES, ne sera pas nommée à Matignon.
Il faut dire qu’elle avait tout de la novice clownesque, sans le « background » minimal pour représenter le France et parler de sujets qu’elle ne connaissait pas, notamment au plan des enjeux internationaux en cours…
 
Un nouvelle fois, par l’intermédiaire de Gustave plusieurs fois contacté par les services de Matignon, Paul refuse d’entrer au gouvernement en cours de formation…
C’est à cette occasion que le « staff » apprend, en visio l’existence de l’aparté présidentielle au soir de la cérémonie d’ouverture des JO[1].
Mais pas seulement…
 
Et c’est à cette réunion virtuelle là, en visio, qu’on en apprend aussi un peu plus sur les vols de préparation de celui que fera Florence, la mère des enfants de Paul. Christine, la nièce et future CEO de la future fondation spatiale de Paul, ainsi que Louison, sa « binôme », auront fait plusieurs vols atmosphériques sur le démonstrateur de Paul de Bréveuil, et un séjour en orbite de 45 heures : une première pour cet appareil.
Un vol d’une telle durée nécessite une logistique « renforcée » pour pouvoir accueillir les trois personnes concernées. Certes, des réserves d’oxygène plus importantes, également des vivres et de l’eau, mais tout autant du matériel pour épurer l’atmosphère, pour récupérer les déchets, notamment les urines et excréments produits durant le vol et de quoi avoir un minimum d’hygiène assurant une certaine propreté.
Christine et Louison ont de plus embarqué une série d’appareils de mesures et les packages de leurs expériences sur les fluides en apesanteur, le sujet de thèse de recherche de Christine, puisque c’est l’objet officiel de ce vol qui fera d’ailleurs l’objet d’une communication officielle dans la presse scientifique.
En revanche on aura eu assez peu de renseignements sur leur vie à bord dans le réduit de la cabine, même si on a des images de leurs présence dans le cockpit à l’occasion des différentes phases du vol.
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)
[1] Cf. chapitres précédents…

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