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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 8 août 2025

La séquence des JO de Paris (7/11)

Conséquences diverses (1/3)
 
Avertissement : Vous l’aviez compris, ceci n’est qu’un roman, une fiction, une « pure construction intellectuelle », du pur jus de neurone garanti 100 % bio, sortie tout droit de l’imaginaire de son auteur.
Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies), y compris sur la planète Terre, y est donc purement, totalement et parfaitement fortuite !
 
Pour autant, il est à noter que par ailleurs, entre satisfaction et polémiques sur la cérémonie d’ouverture ou silence de moine, les élus politiques appréhendent chacun à leur façon ces JO « made in France ».
La trêve politique imposée par Manuel Makarond bat son plein.
Alors que les Français sont plongés dans l’euphorie des Jeux olympiques et leur record de médailles françaises, les acteurs politiques en profitent pour récupérer des forces.
Après une historique séquence depuis le 9 juin dernier, où le champ politique inondait le débat public, le calme est devenu la norme. Après plus d’une semaine de JO à Paris, le bon déroulement technique, routier et sécuritaire rassure.
Les inquiétudes concernant la sécurité ou les transports publics semblent désormais caduques.
 
Mais si la concorde nationale bat son plein grâce aux nombreuses victoires des athlètes français, politiquement rien n’est moins évident. Du Nouveau Front populaire (NFP) au Rassemblement national (RN), la séquence sportive n’est pas appréhendée de la même façon par tous.
Du côté de l’ex-majorité, une chose est certaine, ces deux semaines sont savourées avec malice. En tête, on retrouve évidemment Manuel Makarond et son premier ministre démissionnaire, Gabriel Attal qui, se relayant sur les différents sites olympiques, félicitent au quotidien les nombreux médaillés français.
Tweetant à tout va, les deux s’affichent avec sourire, embrassant ou enlaçant les athlètes, seulement quelques minutes après leur victoire. « Ces jeux sont décidément historiques. Ceux du panache français », publiait encore le chef de l’État, samedi sur son compte X (anciennement Twitter).
 
Sous pression depuis des mois quant à la bonne réalisation de cet événement scruté par des centaines de millions de spectateurs, l’exécutif affiche désormais, unanimement, une satisfaction face à cette réussite olympique. Ainsi, tandis que Gérald Darmanin, ministre démissionnaire de l’Intérieur, salue la « sécurité » et le « maintien de l’ordre » dans la capitale, son homologue de l’Économie et des Finances, tout autant démissionnaire, se réjouit, lui, des victoires et des « émotions » fournies par les médailles d’or du nageur Léon Marchand ou de l’équipe mixte de judo.
De concert, tous les ministres et députés de l’ex-majorité saluent comme le premier ministre chargé des affaires courantes, une « semaine d’émotions et de fierté ».
Pendant ce temps-là, il n’y a plus personne pour expliquer qu’il y a dérive impressionnantes des équilibres budgétaires et qu’il serait temps de serrer les boulons et d’envisager, a minima, une loi de finances rectificative, sans ça, le Trésor ne fera pas les échéances de fin d’année…
La malédiction des JO… qui n’auront coûté que 100 millions d’euros à la finance publique, plus 20 millions au titre de la sécurité assure-t-on en première lecture. Une facture qui sera révisée à la hausse un an plus tard : on y reviendra…
Mais pour l’heure, une goutte d’eau dans les milliards manquants qui ne seront identifiés qu’au milieu de l’automne suivant…
 
Même la baignade dans la Seine, pourtant encore source de préoccupations, est acclamée. « Promesse tenue : la Seine est baignable pour nos triathlètes », se réjouissait ainsi la ministre démissionnaire des Sports, le jour de l'épreuve.
Mais pour d’autres, si la réussite sportive n’est nullement remise en cause, les JO, eux, ne sont pour autant pas propices à complimenter l’exécutif. Après des mois de critiques et de mises en garde face au risque sécuritaire d’un tel événement, la droite et le parti de Marine Le Pen restent ainsi étonnamment silencieuses depuis ce moment sur le sujet. Alors même que celui-ci apparaît pour le moment comme un réel succès.
De même quant à la liesse populaire que ces jeux suscitent : quatre jours avant leur ouverture, Laurent Jacobelli, député et porte-parole du RN, déplorait pourtant en direct sur TF1, « avoir des JO hors sol […] sans public ».
Aujourd’hui, si quelques messages de félicitations d’athlètes apparaissent sur les comptes personnels de plusieurs caciques tels qu’Éric Ciotti, Marine Le Pen, Jordan Bébert-Della ou encore Xavier Bertrand, aucun ne semble souligner pour autant la réussite sécuritaire et sociale de l’événement.
 
Du côté de l’extrême droite, les critiques semblent en revanche avoir été gardées et affinées pour la cérémonie d’ouverture du 26 juillet. « Cet événement qui devait être un atout diplomatique se transforme en honte internationale… », écrivait, le soir même sur son compte X, Marion Maréchal, députée européenne.
Outrées par la représentation de la Cène (cf. chapitres précédents) – en réalité représentant un festin des dieux de l’Olympe –, plusieurs figures de la mouvance nationaliste n’ont en effet pas tardé à réagir pour critiquer avec véhémence ce choix artistique du directeur artistique Thomas Jolly.
Ainsi, quand Patrick Ziguinchor, le patron de « Reconquête », déplorait « un spectacle de mauvais goût », Julien Odoul, député RN, fustigeait une « propagande wokiste infecte », qualifiant la prestation de la chanteuse Aya Nakamura de « saccage pour la République française ».
Mais si, quelques mois plus tôt, Marine Le Pen concevait, elle aussi, la possible présence de la chanteuse comme une « humiliation » pour les Français, la cheffe du parti à la flamme s’est néanmoins, fidèle à sa stratégie de normalisation, retenue – comme Jordan Bébert-Della le président de son mouvement – de tout commentaire au soir de cette cérémonie.
Sur cette première semaine de JO, aucun des deux n’a d’ailleurs été pour le moment repéré sur l’un des sites olympiques.
 
À gauche, cette posture du silence semble aussi en séduire plus d’un lors de ces Jeux. Au sein des rangs de La France insoumise, si aucune critique n’est formellement à retenir depuis le début de ces JO, l’absence de communication interroge.
Depuis le 26 juillet, les cadres du parti comme Jean-Luc Mélenchon, Manuel Bompard ou Clémence Guetté, un temps pressentie comme potentielle candidate à Matignon, n’ont pas commenté ces Jeux.
Se contentant d’une note de blog concernant la cérémonie d’ouverture pour le premier et d’un tweet félicitant la réussite de celle-ci pour le second, les JO sont absents de leurs discours.
Si, certes, certains Insoumis tels que Sébastien Delogu ou Mathilde Panot, ont, depuis le 27 juillet, félicité les nombreux médaillés français, il est étonnant de constater le silence des autres.
« De toute façon quand on est de gauche en 2024, tout vous est reproché. On tweete sur les JO ? Récupération ! On ne tweete pas sur les JO ? Indifférence ! » se défendait sur X Antoine Léaument, député Insoumis de l’Essonne.
Comme absorbée par le travail de préparation à une possible entrée d’un gouvernement Lucie Cassetêtes – également muette sur ces Jeux – à Matignon, le reste de la gauche semble aussi délaisser l’actuel engouement populaire en France.
Là encore, certains, à l’instar d’Olivier Faure, Fabien Roussel ou encore Marine Tondelier, ont félicité plusieurs fois sur les réseaux sociaux des médailles tricolores. « Le monde entier va vouloir la recette de la potion magique ! Bravo Félix Lebrun ! » tweetait par exemple le premier secrétaire du Parti socialiste, Olivier Faure, après la victoire au bronze du pongiste français.
 
La secrétaire nationale des Écologistes, Marine Tondelier, s’est même affichée avec son fils à l’épreuve de triathlon féminin.
Longtemps opposée à ces JO qu’elle qualifiait en 2023 sur X de « catastrophe sociale et écologique », l’élue d’Hénin-Beaumont semble avoir changé d’opinion. « On n’a pas été à la hauteur de l’ambition de départ, celle d’avoir des Jeux écolos. Mais on ne va pas arrêter d’encourager les athlètes français parce qu’on est en désaccord avec l’organisation. Ça serait la double peine pour les sportifs. Ils n’y sont pour rien et nous non plus… », expliquait ainsi Marine Tondelier dans les colonnes du journal Ouest-France.
Avec 800.000 places toujours disponibles, il est encore temps de venir encourager les athlètes français…
 
Ce qui n’a pas empêché, à l’occasion de la « trêve olympique » décrétée par le locataire de l’Élysée, la députée Ersilia Soudais de partager une fausse une du journal Libération sur ces Jeux olympiques de Paris. L’image avait été fabriquée par des réseaux de propagande russes. Ces campagnes de désinformation ont été analysées par une entreprise de cybersécurité. La députée LFI Ersilia Soudais a oublié une règle d’or sur les réseaux sociaux : ne jamais se précipiter !
Ainsi, le 5 août 2024, l’élue de gauche a partagé sur le réseau social X (ex-Twitter) une prétendue une du journal Libération, qui aurait révélé des urgences médicales chez des athlètes s’étant baigné dans la Seine. La publication, supprimée depuis, provient en réalité des réseaux de propagandes russes.
Initialement publiées sur VKontakte, l’équivalent russe de Facebook, et Telegram, ces fausses couvertures de journaux ont fait leur chemin jusqu’aux relais de propagande russe sur X, jusqu’à atteindre la parlementaire française.
Le journal Le Parisien ainsi que Marianne ont également été détournés.
Les réseaux de propagande ont simplement repris une photo du triathlète canadien Tyler Mislawchuk, qui a vomi sur la ligne d’arrivée après sa course.
Comme il est dit précédemment (cf. chapitres antérieurs) le sportif a lui-même déclaré à la presse : « J’ai avalé beaucoup d’eau pendant l’épreuve mais ça n’a rien à voir avec la qualité. C’est simplement que mon estomac était rempli. Ajoutez à ça 1 h 40 pendant lesquels vous donnez tout, des choses vont forcément se passer. ».
Cette campagne de désinformation se rapproche des méthodes de l’opération Doppelgänger. Ce plan a été lancé par le Kremlin après l’invasion de l’Ukraine, afin de distiller de fausses infos dans l’espace médiatique. S’il est connu des services de renseignements français, des médias et même d’une partie du grand public, rien ne semble pouvoir l’arrêter.
 
C’est notamment ce qu’il est aussi possible de lire à propos de la nageuse belge Claire Michel qui serait hospitalisée « depuis quatre jours ». En réalité, cette dernière est bien « malade », et a fait un passage par la polyclinique du village olympique dimanche 4 août, mais n’a pas été hospitalisée et a par la suite regagner le village olympique.
C’est ce que soulignent RTL rapportant le démenti du Comité olympique et interfédéral belge.
L’adjoint aux JO à la Mairie de Paris Pierre Rabadan a pour sa part assuré : « il n’y a pas pour l’instant de lien direct entre la Seine et une quelconque maladie. »
Quant aux cas des deux triathlètes suisses, tous deux malades, ils ont aussi alimenté la polémique.
Mais c’est le président de la Fédération suisse de triathlon, Pascal Salamin, qui a écarté tout lien avec l’eau de la Seine, devant les caméras de France Télévision : « Ce n’est pas une histoire de préparation avec la Seine, il a eu des problèmes stomacaux (sic), probablement une infection, il est en train de s’en remettre et à l’heure actuelle il est bien », a-t-il déclaré au sujet d’Adrien Briffod.
Concernant le remplaçant de ce dernier, Simon Westermann, lui aussi malade, tout soupçon de lien avec la Seine est écarté puisqu’il n’y a tout simplement pas nagé !
« Il est sérieusement malade », a déclaré Pascal Salamin, mais a certainement « attrapé un virus ».
 
L’entreprise française de cybersécurité HarfangLab a publié un rapport dès le 25 juillet pour comprendre ces opérations dans le détail. Le dossier mis en ligne recense de manière complète des milliers d’articles de propagande, des faux sites de médias ainsi que des comptes de réseaux sociaux programmés pour diffuser les éléments de langage du Kremlin.
Toutefois, il est difficile de mesurer l’impact réel de ces sites clones. L’audience des médias web développés uniquement pour relayer la propagande russe est extrêmement faible, néanmoins les idées exprimées parviennent à infiltrer les réseaux sociaux.
Pierre Delcher, directeur de l’équipe de recherche en cybersécurité chez HarfangLab, estime « qu’il suffit qu’un tweet soit relayé par un média ou un politique pour qu’il prenne une amplification massive ».
L’expert en cyber est impressionné par la rapidité avec laquelle les acteurs de la désinformation se saisissent des polémiques en France et dans d’autres pays.
Les Jeux olympiques de Paris sont régulièrement ciblés par les comptes russes. « On a constaté que la machine s’adapte beaucoup plus rapidement aux sujets qui divisent. Les faux médias sont parfaitement capables de mélanger de véritables informations avec de parfaits mensonges », constate-t-il.
« Le volume de publications reste élevé, l’objectif étant de produire en masse. Ils laissent ensuite les informations suivre leur chemin », ajoute-t-il.
L’illusion est renforcée depuis que la machine de propagande s’est mise à utiliser des outils basés sur l’intelligence artificielle.
Désormais, il faudra prendre d’autant plus de temps pour vérifier ses informations.
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)

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