Mise en sécurité des sites
Avertissement : Vous l’aviez compris, ceci
n’est qu’un roman, une fiction, une « pure construction intellectuelle », du
pur jus de neurone garanti 100 % bio, sortie tout droit de l’imaginaire de son
auteur.
Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies), y compris sur la planète Terre, y est donc purement, totalement et parfaitement fortuite !
D’autres personnes, qui ont été empêchées de participer aux Jeux
olympiques après vérification de leurs antécédents, ont été signalées pour
suspicion de radicalisation islamique, d’extrémisme politique de gauche ou de
droite, de casiers judiciaires importants et d’autres problèmes de sécurité, a
noté le ministre de l’Intérieur. « Ces gens-là, nous n’avons pas pensé que
c’était une bonne idée qu’ils soient placiers, bénévoles ou qu’ils accompagnent
des équipes [sportives]. Sur 1 million de personnes, 5.000, ce n’est pas
beaucoup, et ça montre le travail approfondi du ministère de l’Intérieur »,
a-t-il assuré.
Le logiciel BBR aura finalement mis en sécurité les JO : on est loin des attentats-surprises du Bataclan ou de Nice !
Désormais, on a les moyens de gérer très en amont les menaces afin de les écarter.
Paris et les sites olympiques se sont ainsi vidés de tout « indésirable », ce que pointe les experts envoyés par l’ONU. Ainsi, par exemple parmi beaucoup d’autres, il faut ainsi indiquer qu’un Russe aura été incarcéré, soupçonné de préparer une déstabilisation pendant les Jeux olympiques. Soupçonné « d’organiser des événements susceptibles d’entraîner une déstabilisation pendant les Jeux olympiques », il a été mis en examen et placé en détention provisoire aura indiqué le parquet de Paris, confirmant une information du Parisien qui aura fuité.
Et puis une information judiciaire pour « intelligence avec une puissance étrangère en vue de susciter les hostilités en France », un crime faisant encourir 30 ans de réclusion criminelle, a été ouverte.
Des investigations ont été lancées à la suite d’une visite domiciliaire « effectuée à la demande du ministère de l’Intérieur chez un homme né en mai 1984 en Russie », a relaté le parquet. « Les éléments découverts au cours de celle-ci, laissant craindre son intention d’organiser des événements susceptibles d’entraîner une déstabilisation pendant les Jeux olympiques, ont entraîné l’ouverture d’une procédure pénale ». Aucun détail n’a été pourtant été communiqué sur la nature de son projet qui n’était apparemment pas terroriste puisque la procédure n’ayant pas été confiée au Parquet national antiterroriste.
Toutefois, les mesures de sécurité prises par les autorités françaises posent de nombreux problèmes tant aux habitants qu’aux touristes.
Dans le centre de Paris, 44.000 barrières ont été installées, délimitant
des zones dont l’accès est réservé aux détenteurs de QR codes. Sauf que
l’identification n’est pas sans anicroche : les écrans des smartphones
miroitent au soleil, empêchant la bonne lecture des codes.
Tous les piétons ne parviennent donc pas à destination.
Ces innovations découragent également les touristes.
Résultat : quais, cafés et boutiques sont déserts. Leur chiffre d’affaires a chuté de 30 à 70 %.
Les restrictions de circulation pénalisent aussi les livraisons et les transports, notamment les taxis.
Les habitants de Paris se plaignent de la difficulté d’atteindre les hôpitaux.
De surcroît, plusieurs syndicats ont l’intention d’organiser des grèves durant la période des Jeux. Ainsi, Force ouvrière prévoit une grève le jour de la cérémonie d’ouverture. L’organisation syndicale réclame que le montant de la « prime JO », de 300 euros, soit portée à 1.000 euros.
Les quelques 150 danseurs ont refusé, de leur côté, de répéter la chorégraphie lors du filage de la cérémonie d’ouverture. Ils ont levé le poing en l’air pour protester contre des inégalités de traitement…
Une grève des sapeurs-pompiers et des transports est prévue à Lyon, alors que leur ville doit accueillir les matchs du tournoi olympique de football.
Le Président Makarond aura visité le village olympique situé à Saint-Denis, près de Paris, sous haute protection, à savoir son peloton de sécurité personnel, mais également le déploiement de drones de surveillance des alentours en plus de l’escadron de gendarmes mobiles affecté au maintien de l’ordre dans le quartier et a déclaré que tout était prêt pour l’événement.
Dans le cadre des Jeux olympiques (26 juillet – 11 août) et paralympiques
(28 août – 8 septembre), plus d’un million d’enquêtes administratives ont ainsi
été menées et 4.360 personnes susceptibles de présenter une menace pour
l’évènement ont été écartées. Au total, 880 personnes ont été éloignées de la
participation à l’événement sportif pour suspicion d’ingérence étrangère, avait
annoncé l’entourage du ministre de l’Intérieur.
Plusieurs affaires, dont certaines ont connu un fort retentissement médiatique en France ces derniers mois, ont nourri les soupçons d’ingérence étrangère en lien avec la guerre menée par la Russie en Ukraine et la guerre entre le Hamas et Israël.
Le 1er juin, trois cercueils portant l’inscription « soldats français de l’Ukraine » avaient été déposés au pied de la tour Eiffel. Trois hommes, de nationalité bulgare pour l’un, nés en Allemagne et en Ukraine pour les deux autres, avaient été interpellés avant d’être laissés libres.
Dans la nuit du 13 au 14 mai, des mains rouges avaient été taguées sur le mémorial de la Shoah à Paris et les policiers soupçonnent trois personnes ayant fui à l’étranger.
En octobre, après le début de la guerre Israël-Hamas, des étoiles de David avaient été taguées sur plusieurs façades d’immeubles en région parisienne et provoqué un émoi tel que la classe politique unanime, y compris le RN en queue de défilé – ce qui avait créé une polémique stérile –, avait organisé une marche silencieuse des Invalides au Panthéon, Présidents des deux assemblées en tête.
Les faits, pour lesquels un couple de Moldaves a été interpellé, ont été imputés par les autorités françaises aux services de sécurité russes (FSB).
De son côté, Marius Vizer, président de la Fédération internationale de
judo (FIJ), n’est pas ravi à l’approche du début des épreuves de judo des Jeux
olympiques, samedi à 10 heures. « Je viens à Paris avec beaucoup
d’enthousiasme, nous sommes prêts du point de vue sportif, mais malheureusement
le site n’est pas prêt et nous en souffrons ».
Le site en question, en face de la Tour Eiffel, c’est l’Arena Champ-de-Mars, baptisé Palais éphémère lors de sa création en 2021. « Beaucoup de choses manquent dans l’installation », selon le dirigeant, qui n’a pas voulu « entrer dans les détails » pour ne « pas trop froisser les organisateurs locaux ».
Vizer regrette surtout que le judo ne soit pas organisé à Bercy, où a lieu chaque année, avec succès, le Grand Chelem de la discipline.
Mais l’enceinte est déjà prise par la gymnastique, le trampoline et les phases finales du basket : « C’est le temple du judo. Nous connaissons les moindres recoins de Bercy, je ne comprends pas pourquoi le judo n’a pas pu y rester. »
« La France est un pays de judo, une des nations les mieux organisées en judo, avec plus d’un million de membres et de pratiquants, de supporteurs, et l’un des moments forts des Jeux sera la compétition de judo, alors j’espère que tout sera résolu à temps ».
Par ailleurs, de nombreux professionnels du tourisme constatent une baisse
de leur chiffre d’affaires selon plusieurs fédérations représentant
commerçants, exploitants de restaurants, bars et clubs à Paris. « Malgré les
prévisions optimistes, l’activité est en berne depuis le mois de juin »,
constatent ces fédérations de commerçants. Elles déplorent « une baisse
d’activité et de fréquentation inédite ».
Ces acteurs du monde touristique pointent, notamment, « les lourds dispositifs de sécurité » liés aux Jeux olympiques. « Malgré les prévisions optimistes, l’activité est en berne depuis le mois de juin, de nombreux professionnels constatent une baisse de 30 % de leur chiffre d’affaires par rapport aux années précédentes », écrivent dans ce communiqué le GHR et l’Umih, organisations représentant restaurateurs et hôteliers, la Confédération des commerçants de France, le Sneg & Co et Culture Nuit (lieux festifs).
« À l’évitement de Paris par les vacanciers à cette période, au bilan touristique marqué par l’inflation et la météo défavorable de ce début de saison se sont ajoutés un contexte politique anxiogène et les lourds dispositifs de sécurité (périmètre Silt, pass Jeux, barrières…). Les conséquences désastreuses sur l’économie de nos établissements », regrettent les organisations.
« Si garantir la sécurité des visiteurs des Jeux olympiques reste une priorité absolue, nous déplorons le manque de clarification et d’information de la part des autorités publiques concernant ces restrictions, afin que nos activités, qui nécessitent anticipation et organisation, puissent se préparer sereinement », ont-elles pointé.
« Les restaurants et brasseries parisiennes installées sur la place du Trocadéro souffrent par exemple de restrictions d’accès telles que leur fréquentation a chuté de 70 % ».
Pour d’autres, « ce sont les barrières installées dans les rues emblématiques de la capitale qui ont un effet repoussoir chez les consommateurs ».
Estimant que « de nombreuses petites entreprises risquent de mettre la clé sous la porte », les organisations demandent que « les conditions et modalités d’indemnisation des entreprises affectées soient établies rapidement ».
« Nous insistons sur la nécessité d’un dédommagement juste et rapide pour compenser les désagréments et les pertes subies en raison de l’organisation des Jeux olympiques », écrivent les organisations qui ont déjà alerté les pouvoirs publics sur le sujet.
On pourra également signaler que trois hackers, membres du collectif
anti-occident NoName057, ont été arrêtés par la police espagnole. Ce groupe de
pirates ultranationaliste russe cible régulièrement les pays européens dans des
opérations certes médiatiques, mais avec peu de dégâts réels.
Les hackers résidaient à Majorque et Séville, deux lieux de vacances et de tourisme en Espagne.
Les autorités espagnoles ont publié une vidéo du raid sur le réseau social X (ex-Twitter), montrant la maison de l’un des suspects avec un drapeau de l’URSS accroché au mur. Dans un communiqué, la police espagnole accuse les pirates d’avoir mené des cyberattaques « contre des institutions publiques et des secteurs stratégiques en Espagne et dans d’autres pays de l’OTAN ».
NoName057 est surtout connu pour mener des attaques DDoS. Cette stratégie consiste à lancer des vagues de connexion dirigées simultanément vers un site précis. Si le nombre de requêtes est suffisamment élevé, le serveur n’est plus en mesure de les traiter, et la plateforme visée s’éteint, pendant quelques heures le plus souvent. Ces opérations sont d’abord médiatiques et font peu de dégâts réels.
Ce collectif ultra-nationaliste russe cible régulièrement les pays européens, plus particulièrement ceux qui apportent un soutien diplomatique ou militaire à l’Ukraine. La France a déjà été touché à plusieurs reprises, notamment le site des impôts.
NoName057 a d’ailleurs annoncé une vague d’attaque DDoS contre les institutions espagnoles. Quelques sites sont tombés en panne durant quelques heures. Les hackers, eux, risquent quelques mois à quelques années de prison.
Par ailleurs, durant la même période, près de 1.000 comptes de propagande russe ont été supprimés sur X (ex-Twitter) par les États-Unis
« La bataille continue » : après les législatives 2024, la gueule de bois sur les réseaux de propagande pro-russes. La Russie perturbe les satellites européens et doit « cesser immédiatement », exige de son côté l’ONU.
Finalement, grâce à toutes ces précautions, mais également grâce aux
réseaux de surveillance tous azimuts, et l’alerte permanente des forces de
polices et de sécurité, déployées là où il faut avec primes à l’appui, et le
concours de milliers de bénévoles, il n’y aura eu qu’une dizaine de tentatives
d’attentat majeur alors qu’aucun n’aura jamais abouti.
Gustave, un jour de juin demande ainsi à Paul si le BBR 3.0, même s’il ne fonctionne pas bien, prévoit des attaques qui vont se réaliser.
En Codir de la Cisa et en vidéo conférence, Paul lui répond : « Si les logiciels et les forces de l’ordre font bien leur office, il n’y aura aucun attentat qui marqueront, comme toujours depuis bien des années, l’histoire des jeux olympiques.
« En admettant qu’il prévoit que dans la délégation russe il y aura des agents perturbateurs, qu’il en est certain à 100 %, il n’y aura aucune perturbation si la délégation russe n’est pas admise dans l’enceinte des JO : donc, on dira de lui qu’il avait tort !
« Je vous le répète : si tout le monde fait correctement son travail, il n’y aura pas d’incidents qui feront la Une des journaux…
Mais alors, comment a-t-il fait pour prévoir un séisme et que les gazoducs de la Baltique allaient être rendus inutilisables[1] ?
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)
[1] Cf. épisode « Menaces de chaos », des « Enquêtes de Charlotte » aux éditions I3.
Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies), y compris sur la planète Terre, y est donc purement, totalement et parfaitement fortuite !
Le logiciel BBR aura finalement mis en sécurité les JO : on est loin des attentats-surprises du Bataclan ou de Nice !
Désormais, on a les moyens de gérer très en amont les menaces afin de les écarter.
Paris et les sites olympiques se sont ainsi vidés de tout « indésirable », ce que pointe les experts envoyés par l’ONU. Ainsi, par exemple parmi beaucoup d’autres, il faut ainsi indiquer qu’un Russe aura été incarcéré, soupçonné de préparer une déstabilisation pendant les Jeux olympiques. Soupçonné « d’organiser des événements susceptibles d’entraîner une déstabilisation pendant les Jeux olympiques », il a été mis en examen et placé en détention provisoire aura indiqué le parquet de Paris, confirmant une information du Parisien qui aura fuité.
Et puis une information judiciaire pour « intelligence avec une puissance étrangère en vue de susciter les hostilités en France », un crime faisant encourir 30 ans de réclusion criminelle, a été ouverte.
Des investigations ont été lancées à la suite d’une visite domiciliaire « effectuée à la demande du ministère de l’Intérieur chez un homme né en mai 1984 en Russie », a relaté le parquet. « Les éléments découverts au cours de celle-ci, laissant craindre son intention d’organiser des événements susceptibles d’entraîner une déstabilisation pendant les Jeux olympiques, ont entraîné l’ouverture d’une procédure pénale ». Aucun détail n’a été pourtant été communiqué sur la nature de son projet qui n’était apparemment pas terroriste puisque la procédure n’ayant pas été confiée au Parquet national antiterroriste.
Toutefois, les mesures de sécurité prises par les autorités françaises posent de nombreux problèmes tant aux habitants qu’aux touristes.
Tous les piétons ne parviennent donc pas à destination.
Ces innovations découragent également les touristes.
Résultat : quais, cafés et boutiques sont déserts. Leur chiffre d’affaires a chuté de 30 à 70 %.
Les restrictions de circulation pénalisent aussi les livraisons et les transports, notamment les taxis.
Les habitants de Paris se plaignent de la difficulté d’atteindre les hôpitaux.
De surcroît, plusieurs syndicats ont l’intention d’organiser des grèves durant la période des Jeux. Ainsi, Force ouvrière prévoit une grève le jour de la cérémonie d’ouverture. L’organisation syndicale réclame que le montant de la « prime JO », de 300 euros, soit portée à 1.000 euros.
Les quelques 150 danseurs ont refusé, de leur côté, de répéter la chorégraphie lors du filage de la cérémonie d’ouverture. Ils ont levé le poing en l’air pour protester contre des inégalités de traitement…
Une grève des sapeurs-pompiers et des transports est prévue à Lyon, alors que leur ville doit accueillir les matchs du tournoi olympique de football.
Le Président Makarond aura visité le village olympique situé à Saint-Denis, près de Paris, sous haute protection, à savoir son peloton de sécurité personnel, mais également le déploiement de drones de surveillance des alentours en plus de l’escadron de gendarmes mobiles affecté au maintien de l’ordre dans le quartier et a déclaré que tout était prêt pour l’événement.
Plusieurs affaires, dont certaines ont connu un fort retentissement médiatique en France ces derniers mois, ont nourri les soupçons d’ingérence étrangère en lien avec la guerre menée par la Russie en Ukraine et la guerre entre le Hamas et Israël.
Le 1er juin, trois cercueils portant l’inscription « soldats français de l’Ukraine » avaient été déposés au pied de la tour Eiffel. Trois hommes, de nationalité bulgare pour l’un, nés en Allemagne et en Ukraine pour les deux autres, avaient été interpellés avant d’être laissés libres.
Dans la nuit du 13 au 14 mai, des mains rouges avaient été taguées sur le mémorial de la Shoah à Paris et les policiers soupçonnent trois personnes ayant fui à l’étranger.
En octobre, après le début de la guerre Israël-Hamas, des étoiles de David avaient été taguées sur plusieurs façades d’immeubles en région parisienne et provoqué un émoi tel que la classe politique unanime, y compris le RN en queue de défilé – ce qui avait créé une polémique stérile –, avait organisé une marche silencieuse des Invalides au Panthéon, Présidents des deux assemblées en tête.
Les faits, pour lesquels un couple de Moldaves a été interpellé, ont été imputés par les autorités françaises aux services de sécurité russes (FSB).
Le site en question, en face de la Tour Eiffel, c’est l’Arena Champ-de-Mars, baptisé Palais éphémère lors de sa création en 2021. « Beaucoup de choses manquent dans l’installation », selon le dirigeant, qui n’a pas voulu « entrer dans les détails » pour ne « pas trop froisser les organisateurs locaux ».
Vizer regrette surtout que le judo ne soit pas organisé à Bercy, où a lieu chaque année, avec succès, le Grand Chelem de la discipline.
Mais l’enceinte est déjà prise par la gymnastique, le trampoline et les phases finales du basket : « C’est le temple du judo. Nous connaissons les moindres recoins de Bercy, je ne comprends pas pourquoi le judo n’a pas pu y rester. »
« La France est un pays de judo, une des nations les mieux organisées en judo, avec plus d’un million de membres et de pratiquants, de supporteurs, et l’un des moments forts des Jeux sera la compétition de judo, alors j’espère que tout sera résolu à temps ».
Ces acteurs du monde touristique pointent, notamment, « les lourds dispositifs de sécurité » liés aux Jeux olympiques. « Malgré les prévisions optimistes, l’activité est en berne depuis le mois de juin, de nombreux professionnels constatent une baisse de 30 % de leur chiffre d’affaires par rapport aux années précédentes », écrivent dans ce communiqué le GHR et l’Umih, organisations représentant restaurateurs et hôteliers, la Confédération des commerçants de France, le Sneg & Co et Culture Nuit (lieux festifs).
« À l’évitement de Paris par les vacanciers à cette période, au bilan touristique marqué par l’inflation et la météo défavorable de ce début de saison se sont ajoutés un contexte politique anxiogène et les lourds dispositifs de sécurité (périmètre Silt, pass Jeux, barrières…). Les conséquences désastreuses sur l’économie de nos établissements », regrettent les organisations.
« Si garantir la sécurité des visiteurs des Jeux olympiques reste une priorité absolue, nous déplorons le manque de clarification et d’information de la part des autorités publiques concernant ces restrictions, afin que nos activités, qui nécessitent anticipation et organisation, puissent se préparer sereinement », ont-elles pointé.
« Les restaurants et brasseries parisiennes installées sur la place du Trocadéro souffrent par exemple de restrictions d’accès telles que leur fréquentation a chuté de 70 % ».
Pour d’autres, « ce sont les barrières installées dans les rues emblématiques de la capitale qui ont un effet repoussoir chez les consommateurs ».
Estimant que « de nombreuses petites entreprises risquent de mettre la clé sous la porte », les organisations demandent que « les conditions et modalités d’indemnisation des entreprises affectées soient établies rapidement ».
« Nous insistons sur la nécessité d’un dédommagement juste et rapide pour compenser les désagréments et les pertes subies en raison de l’organisation des Jeux olympiques », écrivent les organisations qui ont déjà alerté les pouvoirs publics sur le sujet.
Les hackers résidaient à Majorque et Séville, deux lieux de vacances et de tourisme en Espagne.
Les autorités espagnoles ont publié une vidéo du raid sur le réseau social X (ex-Twitter), montrant la maison de l’un des suspects avec un drapeau de l’URSS accroché au mur. Dans un communiqué, la police espagnole accuse les pirates d’avoir mené des cyberattaques « contre des institutions publiques et des secteurs stratégiques en Espagne et dans d’autres pays de l’OTAN ».
NoName057 est surtout connu pour mener des attaques DDoS. Cette stratégie consiste à lancer des vagues de connexion dirigées simultanément vers un site précis. Si le nombre de requêtes est suffisamment élevé, le serveur n’est plus en mesure de les traiter, et la plateforme visée s’éteint, pendant quelques heures le plus souvent. Ces opérations sont d’abord médiatiques et font peu de dégâts réels.
Ce collectif ultra-nationaliste russe cible régulièrement les pays européens, plus particulièrement ceux qui apportent un soutien diplomatique ou militaire à l’Ukraine. La France a déjà été touché à plusieurs reprises, notamment le site des impôts.
NoName057 a d’ailleurs annoncé une vague d’attaque DDoS contre les institutions espagnoles. Quelques sites sont tombés en panne durant quelques heures. Les hackers, eux, risquent quelques mois à quelques années de prison.
Par ailleurs, durant la même période, près de 1.000 comptes de propagande russe ont été supprimés sur X (ex-Twitter) par les États-Unis
« La bataille continue » : après les législatives 2024, la gueule de bois sur les réseaux de propagande pro-russes. La Russie perturbe les satellites européens et doit « cesser immédiatement », exige de son côté l’ONU.
Gustave, un jour de juin demande ainsi à Paul si le BBR 3.0, même s’il ne fonctionne pas bien, prévoit des attaques qui vont se réaliser.
En Codir de la Cisa et en vidéo conférence, Paul lui répond : « Si les logiciels et les forces de l’ordre font bien leur office, il n’y aura aucun attentat qui marqueront, comme toujours depuis bien des années, l’histoire des jeux olympiques.
« En admettant qu’il prévoit que dans la délégation russe il y aura des agents perturbateurs, qu’il en est certain à 100 %, il n’y aura aucune perturbation si la délégation russe n’est pas admise dans l’enceinte des JO : donc, on dira de lui qu’il avait tort !
« Je vous le répète : si tout le monde fait correctement son travail, il n’y aura pas d’incidents qui feront la Une des journaux…
Mais alors, comment a-t-il fait pour prévoir un séisme et que les gazoducs de la Baltique allaient être rendus inutilisables[1] ?
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)
[1] Cf. épisode « Menaces de chaos », des « Enquêtes de Charlotte » aux éditions I3.
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