Nouveau-deal…
Avertissement : Vous l’aviez compris, ceci n’est qu’un roman, une fiction, une « pure construction intellectuelle », du pur jus de neurone garanti 100 % bio, sortie tout droit de l’imaginaire de son auteur.
Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies), y compris sur la planète Terre, y est donc purement, totalement et parfaitement fortuite !
« Là, vous êtes forte, vous ! Paul de Bréveuil invente un truc qui n’existe pas, et je devrai trouver une solution ! »
C’est vous qui avez inventé Paul de Bréveuil !
« Ce n’est pas une raison… Moi, j’ai inventé, et encore, je n’ai rien inventé du tout… j’ai inventé « Charlotte » ! Nuance… »
Oui mais « Opération Juliette-Siéra », c’est une création d’I-Cube !
Donc le reste aussi…
« Minute papillon, « Opération Juliette-Siéra », je n’ai rien inventé non plus… Il suffisait de faire ce que tout bon journaliste, au moins aussi bon que vous, devrait savoir faire : aller à la pêche aux renseignements à partir des bribes d’information qui circulaient à l’époque sur le sujet !
C’est passé sous leur nez et ils n’ont rien vu !
Alors ne venez pas me le reprocher…
Moi, je voulais simplement écrire des traités d’optimisation fiscale et sociale et pour en rire, des romans policiers, pas des histoires démentes de politiques qui ne savent pas faire face aux aléas des fonctions qu’ils tenaient absolument à vouloir occuper ! »
« Parce que vous ne vous êtes pas contenté d’un seul volume ! Vous en avez fait plein, les deux « Au nom du père », le « Parcours olympiques », et tous les autres !
C’est donc qu’il y a plus qu’une part de vérité ! »
C’est plutôt l’inverse : l’auteur qui se tenait devant elle lui avait fourni le scénario et un script détaillé par l’intermédiaire de « son gardien » à lui. Elle n’avait plus qu’à s’adapter en écrivant la narration en qualité de… narratrice de ce qu’elle avait réellement vécu.
« Admettons ! Vous voulez en venir où ? »
« C’est quoi la suite ? Mon patron aimerait bien savoir ce qui va lui arriver, pour anticiper un peu, je suppose… »
Têtus…
« Il n’a qu’à réfléchir un peu durant ses longues insomnies… »
Comment ça ?
« Ce n’est pas bien compliqué. Vous prendrez bien un dessert ? »
Il fait assez chaud pour prendre quelques glaces dégoulinantes de crème fouettée bien fraîche.
« Comment faites-vous, vous ! »
« Je vais vous expliquer… D’abord, c’est moi l’auteur. D’après notre deal passé avec mon gardien, je vous fournis désormais les grandes lignes du scénario, parfois des scripts plus détaillés, et vous vous adaptez pour vous occuper de narrer ce qui se passe réellement… »
Et elle restitue après validation par « Charlotte », son patron pour mettre sous presse, pendant que I-Cube aura rerédigé pour mettre en ligne l’été suivant sur son blog…
Oui mais comment I-Cube fait-il pour prévoir ce qui va se passer ?
« Oh alors là, ce n’est pas bien compliqué…
« Ne vous foutez pas de moi ! » s’emporte-t-il gentiment…
Que nenni !
« Vous savez, plus jeune, j’avais mis au point un tableur sous « Multiplan junior », l’ancêtre d’Excel, qui me prédisait les chiffres tirés au loto ! »
Et puis quoi encore ?
L’Euromillion, qui est venu plus tard, c’est typique du jeu aléatoire dont les tirages restent totalement imprévisibles.
« Je vous parle du loto… Mais vous avez raison, l’EuroMillion, c’est pareil. 50 numéros, 12 étoiles. Pour 2,50 €, vous pouvez jouer 5 numéros et 2 étoiles…
Si vous faites toutes les grilles, il vous en coûtera 347 millions et demi, plus que les gains à espérer. Et encore, vous êtes susceptible de devoir partager avec d’autres.
En revanche, vous gagnez sur toutes les combinaisons gagnantes de second rang et même de rang inférieur. En d’autres termes, le hasard joue un rôle prépondérant et devrait être l’unique facteur déterminant pour devenir le prochain grand vainqueur, sauf qu’il est important de garder deux choses en tête. »
« D’abord qu’il s’agit d’un aléa « fermé » : il n’y a pas une infinité de combinaisons, mais seulement 139 millions.
Parce que la loi sur les statistiques est formelle sur ce point-là : s’il y a tirage, sur un nombre de tirages infini, tous les numéros sortent de façon égale. Mais, comme je viens de vous le dire, la loi ne s’applique pas pour ne pas jouer sur l’infini…
Et puis, c’est un postulat que personne n’a d’ailleurs jamais vérifié. »
« Il n’empêche, dans le lot, il y a des numéros et des étoiles qui reviennent fréquemment, et d’autres qui ne sont tirés que plus rarement.
Jusqu’à 88 fois pour l’un d’entre eux, je crois.
Bref, on a affaire à des séries…
Et la loi des séries obéit à d’autres mécanismes statistiques.
Résultat, si on y prend soin, il reste fréquent d’avoir un, deux ou trois numéros dans ses grilles alors que la statistique vous en empêcherait : on a mathématiquement une chance sur 204 pour être payé avec 3 numéros. Une chance sur 9.417 soit 0,011 % pour 4 numéros et une sur 2.118.760 soit 0,000047 % pour 5 chiffres… Autant dire jamais.
Mais quand vous faites une fois sur 2, voire sur 3, seulement trois chiffres, c’est que votre logiciel n’est pas si mauvais que ça… »
« Oui, plusieurs fois… et même 4 chiffres à deux reprises sur un an. Mais je dois vous dire toute de suite que les gains ne sont pas suffisants pour compléter utilement ma retraite et que c’est encore plus chronophage que le reste de mes activités.
« Mais pourquoi me dire tout ça ? »
Ce n’est pas elle qui demandait comment il faisait pour prévoir les choses ?
« Si, mais quel rapport ? »
« Je vais vous dire, j’ai commencé avec mon père, dans les casinos de la côte Normande. Lui jouait les anti-séries sur chance simple… Noir/rouge, Pair/impair, Passe/manque. Si trois noirs sortaient d’affilée, il jouait rouge et si noir ressortait, il doublait sur rouge.
Enfin un peu moins avec la présence du zéro. Et quand il était lessivé par la banque, qu’il avait claqué ses 100 balles de départ et avait passé une bonne soirée : il partait.
Quand il gagnait au bout d’une heure, il nous offrait à dîner le lendemain. Et quand il récupérait après avoir doublé ses 100 balles d’origine, il était content : ça ne lui avait rien couté.
Mais ça pouvait aller vite avec les trois chances simples… ou ça pouvait durer plus longtemps : le principe étant de ne pas jouer tout le temps, mais d’attendre le moment opportun. »
« Presque… Mais les casinos aiment à « casser le jeu » en changeant de croupier… »
Ah, donc il y a un truc !
Quel rapport avec une prévision pour construire un scénario imprévisible ?
« Voyons Alexis, si le hasard est prédictible et que personne ne change le croupier, ça devient plus facile, non ? »
Non, elle ne sait pas. Il y a une quantité invraisemblable de facteurs contradictoires en jeu…
« Pas tant que ça…
Puis l’avion pour rentrer à Paris. À moins que vous préfériez le train ou le stop. Mais ce n’est pas votre genre, me semble-t-il.
Je sais avec certitude que je vais payer l’addition et reprendre mon boulot pour fournir un rapport détaillé à mon client et rentrer probablement le week-end prochain : la seule inconnue, outre le temps qu’il va faire, mais les nuages me semblent calmes, c’est de savoir si je vais faire ou non un faux mouvement qui va perturber mon nerf sciatique abîmé… Mais ça reste très probable tout de même. »
Où le scénario prévu doit-il emmener « Charlotte » ?
« Le deal, c’est qu’il aille jusqu’à la prochaine offensive russe en Ukraine. »
Quand ?
« Ils ne sont pas prêts actuellement : ils remettent de l’ordre dans leurs rangs après la dissolution du groupe Wagner qui les avait bien fait avancer sur la prise de Bakhmout.
En plus, les Ukrainiens, avec leurs faibles moyens et leur vue basse sont capables d’infliger des dégâts inattendus qui obligent les Russes à prendre des précautions qu’ils n’avaient pas non plus prévus de prendre…
C’est ce qui va prendre le plus de temps… »
« Bien sûr, mais pas aussi vite que possible : Washington a tout intérêt à prolonger le plus possible le plaisir de faire peur aux européens et de mettre en difficulté l’économie russe et son industrie sous financée. Enfin, je l’ai dit, un effort industriel, financier et humain pas prévu pour durer autant, forcément, tout le reste patine…
Voir probablement pour plus tard.
Ce qui ne veut pas dire qu’il n’y aura pas des tentatives de déstabilisation entre-temps. »
« Moi, je vois bien des attentats, ou des tentatives, histoire de terroriser un peu plus les populations.
Forcément, il va y en avoir des tripotées. Mais si c’est trop, alors le peuple peut reconduire des équipes resserrées autour des impératifs de sécurité qui n’étaient pas jusque-là des priorités, ou au contraire, provoquer des heurts dans les rues…
Il ne faudrait pas grand-chose pour allumer le feu au Moyen-Orient entre le Hezbollah et le Hamas, les Libanais et la Syrie, à Taïwan, en Corée, en Iran, le golfe persique ou la corne de l’Afrique ou encore dans des ailleurs plus lointains comme en Australie ou en Nouvelle-Zélande, dans le pacifique-Sud, et jusqu’à Papeete, même.
À moins que soit visés des territoires autour des caraïbes, ou en Amérique centrale, comme par exemple au Mexique, en Colombie ou au Venezuela. Après tout, même en Argentine, la situation peut devenir incendiaire pour qui y verserait un peu d’essence !
Des stratégies de déstabilisation qui ont bien fonctionné en Afrique francophone et qui ont pour but de fragiliser les puissances occidentales qui s’obligent encore à faire la police dans des régions que d’autres aimeraient bien mettre en coupe-réglée !!! »
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)
Avertissement : Vous l’aviez compris, ceci n’est qu’un roman, une fiction, une « pure construction intellectuelle », du pur jus de neurone garanti 100 % bio, sortie tout droit de l’imaginaire de son auteur.
Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies), y compris sur la planète Terre, y est donc purement, totalement et parfaitement fortuite !
« Là, vous êtes forte, vous ! Paul de Bréveuil invente un truc qui n’existe pas, et je devrai trouver une solution ! »
C’est vous qui avez inventé Paul de Bréveuil !
« Ce n’est pas une raison… Moi, j’ai inventé, et encore, je n’ai rien inventé du tout… j’ai inventé « Charlotte » ! Nuance… »
Oui mais « Opération Juliette-Siéra », c’est une création d’I-Cube !
Donc le reste aussi…
« Minute papillon, « Opération Juliette-Siéra », je n’ai rien inventé non plus… Il suffisait de faire ce que tout bon journaliste, au moins aussi bon que vous, devrait savoir faire : aller à la pêche aux renseignements à partir des bribes d’information qui circulaient à l’époque sur le sujet !
C’est passé sous leur nez et ils n’ont rien vu !
Alors ne venez pas me le reprocher…
Moi, je voulais simplement écrire des traités d’optimisation fiscale et sociale et pour en rire, des romans policiers, pas des histoires démentes de politiques qui ne savent pas faire face aux aléas des fonctions qu’ils tenaient absolument à vouloir occuper ! »
« Parce que vous ne vous êtes pas contenté d’un seul volume ! Vous en avez fait plein, les deux « Au nom du père », le « Parcours olympiques », et tous les autres !
C’est donc qu’il y a plus qu’une part de vérité ! »
C’est plutôt l’inverse : l’auteur qui se tenait devant elle lui avait fourni le scénario et un script détaillé par l’intermédiaire de « son gardien » à lui. Elle n’avait plus qu’à s’adapter en écrivant la narration en qualité de… narratrice de ce qu’elle avait réellement vécu.
« Admettons ! Vous voulez en venir où ? »
« C’est quoi la suite ? Mon patron aimerait bien savoir ce qui va lui arriver, pour anticiper un peu, je suppose… »
Têtus…
« Il n’a qu’à réfléchir un peu durant ses longues insomnies… »
Comment ça ?
« Ce n’est pas bien compliqué. Vous prendrez bien un dessert ? »
Il fait assez chaud pour prendre quelques glaces dégoulinantes de crème fouettée bien fraîche.
« Comment faites-vous, vous ! »
« Je vais vous expliquer… D’abord, c’est moi l’auteur. D’après notre deal passé avec mon gardien, je vous fournis désormais les grandes lignes du scénario, parfois des scripts plus détaillés, et vous vous adaptez pour vous occuper de narrer ce qui se passe réellement… »
Et elle restitue après validation par « Charlotte », son patron pour mettre sous presse, pendant que I-Cube aura rerédigé pour mettre en ligne l’été suivant sur son blog…
Oui mais comment I-Cube fait-il pour prévoir ce qui va se passer ?
« Oh alors là, ce n’est pas bien compliqué…
« Ne vous foutez pas de moi ! » s’emporte-t-il gentiment…
Que nenni !
« Vous savez, plus jeune, j’avais mis au point un tableur sous « Multiplan junior », l’ancêtre d’Excel, qui me prédisait les chiffres tirés au loto ! »
Et puis quoi encore ?
L’Euromillion, qui est venu plus tard, c’est typique du jeu aléatoire dont les tirages restent totalement imprévisibles.
« Je vous parle du loto… Mais vous avez raison, l’EuroMillion, c’est pareil. 50 numéros, 12 étoiles. Pour 2,50 €, vous pouvez jouer 5 numéros et 2 étoiles…
Si vous faites toutes les grilles, il vous en coûtera 347 millions et demi, plus que les gains à espérer. Et encore, vous êtes susceptible de devoir partager avec d’autres.
En revanche, vous gagnez sur toutes les combinaisons gagnantes de second rang et même de rang inférieur. En d’autres termes, le hasard joue un rôle prépondérant et devrait être l’unique facteur déterminant pour devenir le prochain grand vainqueur, sauf qu’il est important de garder deux choses en tête. »
« D’abord qu’il s’agit d’un aléa « fermé » : il n’y a pas une infinité de combinaisons, mais seulement 139 millions.
Parce que la loi sur les statistiques est formelle sur ce point-là : s’il y a tirage, sur un nombre de tirages infini, tous les numéros sortent de façon égale. Mais, comme je viens de vous le dire, la loi ne s’applique pas pour ne pas jouer sur l’infini…
Et puis, c’est un postulat que personne n’a d’ailleurs jamais vérifié. »
« Il n’empêche, dans le lot, il y a des numéros et des étoiles qui reviennent fréquemment, et d’autres qui ne sont tirés que plus rarement.
Jusqu’à 88 fois pour l’un d’entre eux, je crois.
Bref, on a affaire à des séries…
Et la loi des séries obéit à d’autres mécanismes statistiques.
Résultat, si on y prend soin, il reste fréquent d’avoir un, deux ou trois numéros dans ses grilles alors que la statistique vous en empêcherait : on a mathématiquement une chance sur 204 pour être payé avec 3 numéros. Une chance sur 9.417 soit 0,011 % pour 4 numéros et une sur 2.118.760 soit 0,000047 % pour 5 chiffres… Autant dire jamais.
Mais quand vous faites une fois sur 2, voire sur 3, seulement trois chiffres, c’est que votre logiciel n’est pas si mauvais que ça… »
« Oui, plusieurs fois… et même 4 chiffres à deux reprises sur un an. Mais je dois vous dire toute de suite que les gains ne sont pas suffisants pour compléter utilement ma retraite et que c’est encore plus chronophage que le reste de mes activités.
« Mais pourquoi me dire tout ça ? »
Ce n’est pas elle qui demandait comment il faisait pour prévoir les choses ?
« Si, mais quel rapport ? »
« Je vais vous dire, j’ai commencé avec mon père, dans les casinos de la côte Normande. Lui jouait les anti-séries sur chance simple… Noir/rouge, Pair/impair, Passe/manque. Si trois noirs sortaient d’affilée, il jouait rouge et si noir ressortait, il doublait sur rouge.
Enfin un peu moins avec la présence du zéro. Et quand il était lessivé par la banque, qu’il avait claqué ses 100 balles de départ et avait passé une bonne soirée : il partait.
Quand il gagnait au bout d’une heure, il nous offrait à dîner le lendemain. Et quand il récupérait après avoir doublé ses 100 balles d’origine, il était content : ça ne lui avait rien couté.
Mais ça pouvait aller vite avec les trois chances simples… ou ça pouvait durer plus longtemps : le principe étant de ne pas jouer tout le temps, mais d’attendre le moment opportun. »
« Presque… Mais les casinos aiment à « casser le jeu » en changeant de croupier… »
Ah, donc il y a un truc !
Quel rapport avec une prévision pour construire un scénario imprévisible ?
« Voyons Alexis, si le hasard est prédictible et que personne ne change le croupier, ça devient plus facile, non ? »
Non, elle ne sait pas. Il y a une quantité invraisemblable de facteurs contradictoires en jeu…
« Pas tant que ça…
Puis l’avion pour rentrer à Paris. À moins que vous préfériez le train ou le stop. Mais ce n’est pas votre genre, me semble-t-il.
Je sais avec certitude que je vais payer l’addition et reprendre mon boulot pour fournir un rapport détaillé à mon client et rentrer probablement le week-end prochain : la seule inconnue, outre le temps qu’il va faire, mais les nuages me semblent calmes, c’est de savoir si je vais faire ou non un faux mouvement qui va perturber mon nerf sciatique abîmé… Mais ça reste très probable tout de même. »
Où le scénario prévu doit-il emmener « Charlotte » ?
« Le deal, c’est qu’il aille jusqu’à la prochaine offensive russe en Ukraine. »
Quand ?
« Ils ne sont pas prêts actuellement : ils remettent de l’ordre dans leurs rangs après la dissolution du groupe Wagner qui les avait bien fait avancer sur la prise de Bakhmout.
En plus, les Ukrainiens, avec leurs faibles moyens et leur vue basse sont capables d’infliger des dégâts inattendus qui obligent les Russes à prendre des précautions qu’ils n’avaient pas non plus prévus de prendre…
C’est ce qui va prendre le plus de temps… »
« Bien sûr, mais pas aussi vite que possible : Washington a tout intérêt à prolonger le plus possible le plaisir de faire peur aux européens et de mettre en difficulté l’économie russe et son industrie sous financée. Enfin, je l’ai dit, un effort industriel, financier et humain pas prévu pour durer autant, forcément, tout le reste patine…
Voir probablement pour plus tard.
Ce qui ne veut pas dire qu’il n’y aura pas des tentatives de déstabilisation entre-temps. »
« Moi, je vois bien des attentats, ou des tentatives, histoire de terroriser un peu plus les populations.
Forcément, il va y en avoir des tripotées. Mais si c’est trop, alors le peuple peut reconduire des équipes resserrées autour des impératifs de sécurité qui n’étaient pas jusque-là des priorités, ou au contraire, provoquer des heurts dans les rues…
Il ne faudrait pas grand-chose pour allumer le feu au Moyen-Orient entre le Hezbollah et le Hamas, les Libanais et la Syrie, à Taïwan, en Corée, en Iran, le golfe persique ou la corne de l’Afrique ou encore dans des ailleurs plus lointains comme en Australie ou en Nouvelle-Zélande, dans le pacifique-Sud, et jusqu’à Papeete, même.
À moins que soit visés des territoires autour des caraïbes, ou en Amérique centrale, comme par exemple au Mexique, en Colombie ou au Venezuela. Après tout, même en Argentine, la situation peut devenir incendiaire pour qui y verserait un peu d’essence !
Des stratégies de déstabilisation qui ont bien fonctionné en Afrique francophone et qui ont pour but de fragiliser les puissances occidentales qui s’obligent encore à faire la police dans des régions que d’autres aimeraient bien mettre en coupe-réglée !!! »
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)
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