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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

dimanche 25 août 2024

41/63 – Rencontre surréaliste

Visite de San Lorenzo de El Escorial…
 
Avertissement : Vous l’aviez compris, ceci n’est qu’un roman, une fiction, une « pure construction intellectuelle », du pur jus de neurone garanti 100 % bio, sortie tout droit de l’imaginaire de son auteur.
Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies), y compris sur la planète Terre, y est donc purement, totalement et parfaitement fortuite !
 
Madrid a également été l’une des villes les plus touchées par la guerre civile espagnole (1936-1939). C’était un bastion de la faction républicaine à partir de juillet 1936 et elle est devenu un symbole international de la lutte antifasciste pendant le conflit.
Cette ville a subi des bombardements aériens et, en novembre 1936, sa banlieue Ouest a été le théâtre d’une bataille totale. La ville est tombée aux mains des franquistes en mars 1939.
 
Un élément de base du Madrid d’après-guerre était l’utilisation généralisée de coupons de rationnement. La consommation de viande et de poisson était rare, ce qui entraînait une mortalité élevée due à la malnutrition.
En raison de l’histoire de Madrid en tant que bastion de gauche, les vainqueurs de droite ont envisagé de déplacer la capitale ailleurs, notamment à Séville. Mais de tels plans n’ont jamais été mis en œuvre. Le régime franquiste a plutôt mis l’accent sur l’histoire de la ville en tant que capitale de l’Espagne impériale.
L’intense croissance démographique connue par la ville via l’immigration massive des zones rurales du pays a conduit à la construction de logements abondants dans les zones périphériques de la cité pour absorber la nouvelle population, renforçant ainsi les processus de polarisation sociale de l’agglomération urbaine, qui comprend initialement des logements insalubres, avec jusqu’à 50.000 cabanes dispersées dans la ville en 1956 !
Une planification transitoire destinée à remplacer temporairement les bidonvilles a été les « poblados de absorción », introduits depuis le milieu des années 1950 dans des endroits tels que Canillas, San Fermín, Caño Roto, Villaverde, Pan Bendito, Zofío et Fuencarral, visant à fonctionner comme une sorte de cabane « haut de gamme » : les destinataires participaient à la construction de leurs propres logements, mais sous l’égide d’un urbanisme coordonné plus large.
 
Madrid s’est ainsi développée grâce à l’annexion des municipalités voisines, atteignant l’étendue actuelle de 607 km2. Et le Sud de Madrid s’est fortement industrialisé accueillant alors une immigration importante des zones rurales d’Espagne.
Les quartiers Nord-ouest nouvellement construits de Madrid sont devenus le foyer d’une classe moyenne nouvellement enrichie qui est apparue à la suite du boom économique espagnol des années 1960, tandis que la périphérie Sud-est est devenue une grande zone ouvrière, qui a constitué la base de mouvements culturels et politiques actifs.
Après la chute du régime franquiste, la nouvelle constitution de 1978 aura donc confirmé Madrid comme capitale de l’Espagne.
Et les élections municipales de 1979 ont porté au pouvoir le premier maire démocratiquement élu de Madrid depuis la Deuxième République.
 
Madrid a ensuite été le théâtre de certains des événements les plus importants de l’époque, tels que les manifestations de masse de soutien à la démocratie après le coup d’État manqué du 23 février 1981.
Les premiers maires démocratiques appartenaient au PSOE de centre-gauche (Enrique Tierno Galván, Juan Barranco Gallardo).
Depuis la fin des années 1970 et tout au long des années 1980, Madrid est devenue le centre du mouvement culturel connu sous le nom de la Movida. Inversement, tout comme dans le reste du pays, une crise de l’héroïne a fait des ravages dans les quartiers pauvres de Madrid dans les années 1980.
 
Alexis note que bénéficiant d’une prospérité croissante dans les années 1980 et 1990, la capitale espagnole a consolidé sa position de centre économique, culturel, industriel, éducatif et technologique important sur le continent européen. Pendant le mandat de maire de José María Álvarez del Manzano, la construction de tunnels de circulation sous la ville a proliféré.
Les administrations suivantes, également conservatrices, dirigées par Alberto Ruiz-Gallardón et Ana Botella, ont lancé trois candidatures infructueuses pour les Jeux olympiques d’été de 2012, 2016 et 2020.
De plus, en 2005, Madrid était la première destination européenne pour les migrants des pays en développement, ainsi que le plus grand employeur de main-d’œuvre non européenne en Espagne.
La capitale a aussi été le centre des manifestations anti-austérité qui ont éclaté en Espagne en 2011. Et à la suite des retombées de la crise financière et hypothécaire de 2008, Madrid a été touchée par le nombre croissant de maisons d’occasion détenues par les banques qui expulsaient également les occupants des maisons.
De même, le mandat de la maire de gauche Manuela Carmena (2015-2019) a permis la re-naturalisation du cours du Manzanares à travers la ville.
Depuis la fin des années 2010, les défis auxquels la municipalité est confrontée sont les prix des loyers de plus en plus inabordables, souvent en parallèle de la gentrification et du pic d’appartements touristiques dans le centre-ville, et la profusion de magasins de paris dans les quartiers populaires, entraînant une « épidémie » de jeux d’argent chez les plus jeunes.
Mais de tout ça, rien n’apparaît en centre-ville, noyé par une populace jeune et active, festive et encore assez raisonnée.
 
Alors que justement, une mention particulière doit être faite, quant à la modernité de la principale artère de la capitale, la Gran Via, cette rue qui traverse le centre de la capitale espagnole et qui a été percée il y a plus de cent ans : la remonter, c’est le seul endroit où on peut parcourir toute l’histoire, récente, de la ville.
Elle a eu tous les noms : elle s’est appelée avenue de la CNT, le syndicat anarchiste, et avenue de Jose Antonio, le fondateur des phalanges franquistes. On l’a même surnommée le Broadway madrilène. Depuis 1980, c’est tout simplement la Gran Via : terre à terre, certes, mais révélateur de la place qu’elle tient dans le cœur des Madrilènes.
Au départ de la calle de Alcala, s’y trouve une maquette de cette artère. En 2010, pour célébrer le centième anniversaire de son percement, la mairie de Madrid avait choisi d’installer ici cette réduction de la rue où l’on voit, alignés le long de son tracé, les immeubles, les gratte-ciels et les cinémas qui l’ont rendue célèbre. Rares sont les rues qui sont honorées d’une maquette de bronze, traitées comme celle-là au même titre qu’un monument.
C’est peut-être parce que la Gran Via n’est pas seulement une des principales voies de communication dans la ville, le passage inévitable pour aller d’Est en Ouest en évitant le fouillis des ruelles de la vieille ville. C’est surtout un symbole : celui de l’arrivée de la modernité dans la capitale Espagnole.
 
En 1862, lorsque furent décidés ses travaux de percement, le baron Haussmann œuvrait déjà depuis plusieurs années à Paris, mais Madrid n’avait pas encore entamé sa mue. Il faudra encore attendre le 4 avril 1910 pour que le roi Alfonso XIII donne, d’un coup de marteau d’argent sur la cure de l’église San Jose, le départ des travaux qui changeront la capitale.
Depuis la maquette de bronze, l’église San Jose se trouve à droite : elle, il faut la regarder attentivement car les motifs de sa façade se répéteront au fil de la rue. De là, la Gran Via allonge ses 1.300 mètres, jusqu’à la plaza de Espana. Mais à gauche on découvre l’édificio Métropolis qui ne peut dissimuler son influence haussmannienne !
Le premier tronçon, qui fut construit entre 1910 et 1915, et il court jusqu’au très bel Oratorio del Caballero de Gracia, une église datant de la fin du XVIIIème dont la présence contraignit les urbanistes à faire légèrement obliquer la rue.
Dès l’origine, les créateurs de luxe s’installèrent là et on y trouve toujours la boutique historique du maroquinier espagnol Loewe, au numéro 8. Quant à l’architecture, elle se détourna très vite des influences haussmanniennes pour glorifier un passé espagnol, plus austère, comme la néanmoins très belle façade de l’hôtel de las lettras au n° 11.
 
Entre 1917 et 1922, on en perça la deuxième partie. Cette fois, les architectes regardaient par-delà l’océan Atlantique : les grandes villes américaines donnaient le tempo de la modernité, et il battait de plus en plus vite.
L’Edificio Telefonica au n° 28 fut un temps le plus haut building d’Europe, et est très clairement influencé par les buildings de New-York ou de Chicago.
Il est toujours remarquable par l’allant qu’il dégage.
Le fronton qui orne sa porte est un clin d’œil à celui de l’église San Jose : une façade baroque qui est à la naissance de la rue.
Dans cette partie de la Gran Via s’installèrent dès l’origine les grands magasins comme le Madrid-Paris au n° 32, avec son architecture d’avant-garde pour l’époque, toute en grandes baies vitrées.
Ce tronçon prend fin plaza de Callao, qui est toujours dominée par le bâtiment du Corte Ingles, la célèbre chaîne de grands magasins espagnols. Derrière y est installé un magasin à l’enseigne de la Fnac.
 
C’est là que démarre le troisième tronçon. Il est marqué par un de ses édifices les plus emblématiques : le Carrion au numéro 41, un magnifique vaisseau de pierre qui semble foncer vers la ville. En descente douce jusqu’à la plaza de Espana, on trouve des bâtiments construits à l’époque franquiste, célébrant le prestige de l’histoire espagnole.
Mais c’est aussi là que se trouve ce qu’on a appelé le « Broadway madrilène ». Tous les cinémas, les théâtres et les salles de spectacle de la ville se trouvaient là.
Nombre d’entre eux ont fermé leurs portes mais c’est toujours là que se pressent les habitants de la capitale pour admirer les pièces de théâtre et les comédies musicales du moment…
La rue prend fin plaza de Espana, au pied de l’Edificio Espana, impressionnant monument construit sous Franco. Mais son histoire ne s’arrête pas là : au numéro 48, un peu plus bas donc, l’architecte Rafael de la Hoz a déjà dessiné le « Gran Via 48 », une structure très contemporaine.
Mais c’est le seul endroit où se retrouve un peu de l’histoire de la ville, hors naturellement, ces diverses églises, de diverses époques, qui n’ont rien de très remarquables, pas plus qu’ailleurs.
Alexis note toutefois, que la Gran Via se prolonge, après la Torre de Madrid par la Calle de la Princesa qui remonte en pente douce et mène à la gare routière où se situe également le musée de l’air et de l’espace…
L’Espagne, une grande puissance spatiale, cela va de soi…
 
Toujours pour faire l’économie du denier de son employeur, mais aussi pour « goûter » les paysages du pays, Alexis met du temps à trouver le bus qui doit l’emmener à l’Escurial de San lorenzo.
Il y a deux lignes qui partent de la gare routière souterraine de Moncloa, une qui prend les petites routes secondaires à travers la campagne, qu’elle prendra au retour, et l’autre qui passe par l’autoroute A 6 rejointe après l’arc de triomphe de l’Avenida de la Mémoria et qui passe à proximité du Faro de Moncloa.
Celui-ci, situé au Nord de Madrid, dans la zone touristique de Princesa au numéro 2 de ladite Avenida de la Mémoria, se dresse au centre de la cité universitaire. C’est un étonnant belvédère en forme de vaisseau spatial, une soucoupe, un Ovni, qui offre un point de vue panoramique sur la capitale espagnole.
Construit en 1992 selon les plans de l’architecte Salvador Pérez Royo, c’est en réalité la tour d’Éclairage et de Communications de la mairie de Madrid.
Depuis plusieurs années maintenant, cette dernière est accessible au public venu découvrir la vue qu’elle offre depuis les ascenseurs panoramiques jusqu’à la plateforme d’observation située à 92 mètres de haut. Une fois au sommet on aperçoit ainsi tout le tissu urbain de la capitale espagnole et la chaîne de montagnes Guadarrama en arrière-plan. On y aperçoit le Palais Royal de Madrid, le Palais de Cibeles, la Cathédrale de la Almudena, le célèbre bâtiment Telefónica de la Gran Vía, ou encore les quatre gratte-ciels de la zone des Cuatro Torres qui sont en réalité 5.
 
Il faut une petite heure de car pour faire les 47 km depuis Madrid et parvenir sur le territoire communal de San Lorenzo qui s’étend Nord-ouest de la communauté de Madrid, en limite avec la communauté de Castille-et-León, sur le versant Sud-est de la sierra de Guadarrama, au pied des monts Abantos et Las Machotas.
L’origine de cette localité est liée à la construction du monastère de l’Escurial.
En 1558, le roi Philippe II désigne une commission composée notamment d’architectes et de médecins chargée de choisir un site approprié à l’érection de l’édifice.
Le village d’El Escorial remplit alors toutes les conditions matérielles nécessaires pour mener à bien une telle entreprise par son abondance de forêts, de carrières et de terrains de chasse, la qualité de ses eaux et son emplacement au centre géographique de la péninsule ibérique.
Le roi acquiert un certain nombre de terrains afin de constituer un domaine royal au milieu duquel les travaux du monastère commencent en 1563 et se poursuivront pendant vingt ans. En 1565, la bourgade obtient le statut municipal de villa, dotée d’un maire qui exerce son autorité sur le noyau urbain, alors que les terrains de chasse sont gérés par la Couronne et les terres agricoles par le prieur du monastère.
Sur le plan religieux et majestueux, le lieu est détaché du puissant archevêché de Tolède pour être placé sous la juridiction exclusive du prieur par deux bulles papales datées de 1585 et 1586.
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)

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