La fabrique d’un cerveau (6/6)
Avertissement : Vous l’aviez
compris, ceci n’est qu’un roman, une fiction, une « pure construction intellectuelle
», du pur jus de neurone garanti 100 % bio, sortie tout droit de l’imaginaire
de son auteur.
Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies), y compris sur la planète Terre, y est donc purement, totalement et parfaitement fortuite !
« Par ailleurs, tu ne le sais peut-être pas, mais de nombreuses
structures participent au système de récompense, circuit activé lors de la mise
en place d’activités suscitant une satisfaction. »
Ah…
Enfin, ce n’est pas spécialement ce qu’elle voulait dire : « Le terme de « récompense » est plutôt utilisé dans une perspective behavioriste », dans laquelle le terme plaisir n’est jamais cité, mais c’est bien ce que ça veut dire.
Or, pour les philosophes antiques, le plaisir, c’est seulement la satisfaction d’un désir…
Les principales structures impliquées sont l’aire tegmentale ventrale et le noyau accumbens du cerveau.
Toutefois, participent à ce système, l’amygdale, le pallidum ventral, le noyau caudé et le CPFm.
Mais ça, elle le tient de ces lectures sur Internet, quand elle comblait les absences de Paul à se morfondre sans nouvelles de lui, ou au contraire à s’angoisser…
C’est sur Eurydice, la goélette de Paul, au mouillage au port Hercules, à
Monaco, à l’occasion des vacances scolaires de novembre, alors que les
« petits » dorment et que l’équipage « relâche », que
Florence poursuit l’exposé de ses recherches à comprendre le fonctionnement
d’un cerveau.
Elle en dit que plusieurs études ont ainsi porté sur l’action du striatum, ensemble formé par le noyau caudé et le putamen, qui reçoit de nombreuses afférences, les influx nerveux corticaux.
Le striatum est notamment impliqué dans les comportements addictifs qu’elle avait évoqués précédemment.
Dans les études expérimentales, il est parfois distingué l’anticipation de la consommation. Par exemple, anticiper la possibilité de gagner de l’argent active les régions du striatum ventral, une région archaïque du cerveau, dont la maturation débute avant l’adolescence, tandis que la prise de conscience de réponses réussies qui entraîneront un gain recrute une partie du CPF ventro-médian.
Le striatum ventral répondrait plus automatiquement à des stimuli appétitifs, tandis que le CPF ventro-médian semblerait orienter son action vers un objectif approprié.
Mais il est parfois postulé par certains que le striatum est relativement
hypo-réactif aux récompenses à l’adolescence. Un comportement de recherche de
récompense exagéré serait alors nécessaire pour atteindre un niveau
d’activation comparable à celui de l’adulte.
L’hypothèse alternative, somme toute plus probable, suggère que pendant l’adolescence, le système de récompense du striatum est hyper-réactif, résultant en une plus grande recherche de récompense, due à une plus grande motivation.
Toutefois, une augmentation disproportionnée de l’activation du circuit de motivation impliquant le striatum ventral pourrait aussi résulter de l’influence de circuits inhibiteurs défectueux ou immatures.
Bref, ils ne sont pas encore d’accord entre « spécialistes ».
La maturation du noyau caudé pourrait être ralentie chez les enfants marquant alors une intolérance à la frustration.
L’activité dopaminergique contribuerait considérablement à l’évolution des
voies préfronto-striato-limbiques, constituant le système de récompense. Il
existerait même une discordance de maturation entre les systèmes impliquant la
recherche de gratifications, avec une activité dopaminergique, et les zones
cérébrales impliquées dans le contrôle de l’impulsivité.
La recherche de gratifications immédiates, évaluée par une batterie de questionnaires, serait maximale jusque vers les quinze-seize ans puis décroîtrait ensuite, tandis que le contrôle de l’impulsivité croîtrait continûment jusque l’âge adulte.
Le pic observé vers quinze ans s’accompagnerait d’une augmentation de la prospection et donc des comportements à risque.
La traduction fonctionnelle en serait que le système de récompense ne
pourrait être inhibé par les régions frontales encore immatures. Toutefois les
études comparant les adolescents à de jeunes adultes sont trop rares pour que
puisse être identifié avec précision quand précisément s’infléchissent ces
comportements à risque.
De plus, un discours sur le comportement, mesuré en laboratoire donc dans des situations très contrôlées et peu écologiques, peut ne pas refléter les comportements dans la vie réelle.
Enfin d’autres facteurs, génétiques ou environnementaux, peuvent intervenir pour réguler l’activité dopaminergique : ainsi des études électrophysiologiques ont montré que l’activité dopaminergique pouvait être modulée par l’expérience : elle diminue, notamment et presque logiquement, en cas d’inadéquation entre la récompense attendue et la récompense effective.
« Quant aux études de neuro-imagerie, elles ont fait apparaître
des liens nouveaux entre puberté et adolescence. Ce n’est pas tout-à-fait ce
que je veux dire, mais plus que la puberté, souvent conçue uniquement comme un
phénomène biologique de croissance et de sexuation du corps, a souvent été
opposée à l’adolescence, phénomène psycho-social.
Or, ce que je veux dire, c’est que durant l’adolescence, l’architecture
cérébrale se modifie nettement. »
Entre quinze et vingt-cinq ans, la connexion anatomique et fonctionnelle
progresse entre diverses aires cérébrales tandis que se simplifie massivement
l’architecture neuronale notamment dans les aires préfrontales.
Ces faits conforteraient l’idée selon laquelle l’adolescence ne peut se réduire à une création sociologique : elle est en fait une étape spécifique du développement notamment du cerveau, dont on trouve d’ailleurs des similitudes chez l’animal.
Incidemment ces éléments sont cruciaux dans le débat portant sur l’âge de la responsabilité pénale, et une série d’articles sur le sujet ayant été publiée aux États-Unis. Les études développementales ne peuvent toutefois pas encore identifier les spécificités et les différences propres à l’adolescence, environ quinze/dix-huit ans, et à la post-adolescence, environ dix-huit/vingt-cinq ans, la maturation procédant par vagues successives et restant différenciée selon les individus.
« La maturation est donc un phénomène complexe qui associe
réduction du nombre de synapses, soit de potentialités d’interactions
neuronales, et le renforcement d’un certain nombre de connexions, que l’on peut
supposer comme étant les plus opérantes. Mais ce que je veux dire, c’est que certaines
performances de l’être humain sont maximales durant l’adolescence puis
décroissent. »
La qualité de réponse aux tâches expérimentales varie d’ailleurs au cours de l’adolescence, en relation avec les remaniements spécifiques des régions directement impliquées dans les tâches et les remaniements des régions auxquelles elles sont connectées.
Souvent les performances de l’adulte sont sensiblement égales et parfois supérieures à celles de l’adolescent, mais l’adulte tend à recruter simultanément des régions cérébrales, parfois éloignées, mais essentielles à la tâche, faisant moins appel à des « expertises » uniquement régionales.
Il peut donc être supposé, que l’adulte a sélectionné et « automatisé » des réseaux de réseaux en réponse aux tâches concernées, sur la base d’une moindre complexité locale et d’une meilleure synergie globale.
« L’enfant prépubère possède ainsi et finalement des potentialités
plus diversifiées que l’adulte, corrélées d’ailleurs à sa plasticité
fonctionnelle et à une croissance axonale et synaptique continue.
D’ailleurs, ce que je veux dire, c’est qu’il évolue vers
l’âge adulte en sélectionnant certaines potentialités : la tâche de
l’adolescent serait de procéder à cette sélection effectuant un compromis entre
continuité, adaptation et performances. »
La formation du soi et la régulation de la relation aux pairs semblent être
des objets majeurs de ce processus évolutif.
Dans cette conception, il est permis de supposer que se mettre à l’épreuve soi-même et mettre à l’épreuve son environnement permet l’optimisation fonctionnelle et structurale des régions cérébrales impliquées dans les tâches de « haut niveau » en les adaptant à l’environnement.
« C’est une hypothèse qui, formulée légèrement différemment, est soutenue par certains chercheurs en neurosciences. Ce que je veux dire, c’est qu’il faut préciser qu’ainsi la tendance à l’action de l’adolescent « ordinaire » paraît réhabilitée car elle représente, malgré son cortège de risques et de désagréments, une condition générale de l’évolution. »
Toutefois, dans le domaine des neurosciences, tout comme dans celui de la
psychanalyse, il existe une autre tendance qui met principalement en avant la
déficience dans cette tendance à l’agir : pour certains neuropsychologues,
un cerveau émotionnel, le limbique, trop développé par rapport au CPF et pour
certains psychanalystes, un défaut de mentalisation plaçant l’adolescent sous
la domination des processus primaires, feraient de l’adolescent la proie de ses
émotions et le pousseraient à agir impulsivement ou à rechercher des sensations
de manière inconsidérée.
« Alors qu’il semble que bien au contraire, pour certains, il reste concevable que le cerveau limbique et plus généralement les émotions participent le plus souvent à réguler les comportements d’un adolescent non malade confronté à des enjeux nouveaux. »
Ce qu’elle voulait dire, c’est qu’il apparaît aussi que l’adolescent est capable d’une forme de créativité et d’adaptabilité que ne possède plus l’adulte.
Les agissements exploratoires, et par conséquent à risques, contribueraient à organiser la sélection des comportements et intérêts et donc peut-être des réseaux et connexions qui seront conservés. L’appétence sensitive et la recherche de la nouveauté ne sont donc pas forcément néfastes à l’individu, ni même à l’espèce.
Et elle continuera un autre jour : « C’est d’ailleurs assez drôle,
puisque les résultats des études de neuro-imagerie sont compatibles avec
l’affirmation des thérapeutes d’enfants selon lesquels l’adolescence est une
période de transition et de transformation intégrant l’expérience infantile
pour un développement vers l’âge adulte.
Ce que je veux dire, c’est qu’une moindre grande plasticité
caractériserait la formation stable du caractère.
Les études comportementales ont même montré, par ailleurs, que l’ignorance du niveau réel de risque n’est pas, en général, un facteur décisif dans les comportements adolescents : la connaissance des périls est à peu près semblable entre ceux-ci et leurs aînés ».
D’autres facteurs interviennent donc, ce qui est recoupé par d’autres
observations et résultats déjà évoqués précédemment.
Un déséquilibre développemental spécifique de l’adolescence, entre CPFm et
système limbique par exemple, conduisant à la recherche excessive de sensations
ou à un défaut d’inhibition, est parfois mis au premier plan.
Toutefois le fait que de plus grands risques sont pris en présence de pairs n’aura toujours pas trouvé d’explications très satisfaisantes…
Surtout, une conception téléologique, autrement dit de ce qui a un rapport à la finalité de l’action, a été avancée par plusieurs chercheurs dans le domaine cognitif, qui considèrent la prise de risque nécessaire à l’optimisation fonctionnelle des structures corticales, notamment celles impliquées dans la cognition sociale.
« La théorisation en neurosciences ne fait généralement pas
référence à des éléments dynamiques comme la notion de conflit et de pulsion.
Ce que je veux dire, c’est que seule la notion de motivation est employée en
référence à des principes du behaviourisme.
De plus l’expérience personnelle, même si elle semble jouer
un rôle, ne peut guère s’objectiver dans les structures cérébrales et ce n’est
pas moi qui le dis, mais un grand ponte » dont elle ne se souvient plus du nom sur le moment.
« Au total, les connaissances portant sur le développement
cérébral apportent des arguments objectifs à certaines considérations
psychanalytiques. Elles soulèvent aussi des questions théoriques nouvelles,
particulièrement l’hypothèse d’une post-adolescence s’étendant jusqu’à environ
vingt-trois/vingt-cinq ans.
Il me faut te préciser qu’il convient de savoir que de
nombreux autres domaines sont en cours d’exploration, notamment
l’identification des structures impliquées dans la « cognition sociale » et de
celles relatives au fonctionnement du self, du « moi », dont la
définition demeure d’ailleurs très floue.
Par ailleurs, ce que je veux dire, c’est que les liens entre modifications pubertaires hormonales et cérébrales restent encore mal explorés. »
Probablement, en effet, en pense Paul…
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT
BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR
UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT «
NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)
Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies), y compris sur la planète Terre, y est donc purement, totalement et parfaitement fortuite !
Ah…
Enfin, ce n’est pas spécialement ce qu’elle voulait dire : « Le terme de « récompense » est plutôt utilisé dans une perspective behavioriste », dans laquelle le terme plaisir n’est jamais cité, mais c’est bien ce que ça veut dire.
Or, pour les philosophes antiques, le plaisir, c’est seulement la satisfaction d’un désir…
Les principales structures impliquées sont l’aire tegmentale ventrale et le noyau accumbens du cerveau.
Toutefois, participent à ce système, l’amygdale, le pallidum ventral, le noyau caudé et le CPFm.
Mais ça, elle le tient de ces lectures sur Internet, quand elle comblait les absences de Paul à se morfondre sans nouvelles de lui, ou au contraire à s’angoisser…
Elle en dit que plusieurs études ont ainsi porté sur l’action du striatum, ensemble formé par le noyau caudé et le putamen, qui reçoit de nombreuses afférences, les influx nerveux corticaux.
Le striatum est notamment impliqué dans les comportements addictifs qu’elle avait évoqués précédemment.
Dans les études expérimentales, il est parfois distingué l’anticipation de la consommation. Par exemple, anticiper la possibilité de gagner de l’argent active les régions du striatum ventral, une région archaïque du cerveau, dont la maturation débute avant l’adolescence, tandis que la prise de conscience de réponses réussies qui entraîneront un gain recrute une partie du CPF ventro-médian.
Le striatum ventral répondrait plus automatiquement à des stimuli appétitifs, tandis que le CPF ventro-médian semblerait orienter son action vers un objectif approprié.
L’hypothèse alternative, somme toute plus probable, suggère que pendant l’adolescence, le système de récompense du striatum est hyper-réactif, résultant en une plus grande recherche de récompense, due à une plus grande motivation.
Toutefois, une augmentation disproportionnée de l’activation du circuit de motivation impliquant le striatum ventral pourrait aussi résulter de l’influence de circuits inhibiteurs défectueux ou immatures.
Bref, ils ne sont pas encore d’accord entre « spécialistes ».
La maturation du noyau caudé pourrait être ralentie chez les enfants marquant alors une intolérance à la frustration.
La recherche de gratifications immédiates, évaluée par une batterie de questionnaires, serait maximale jusque vers les quinze-seize ans puis décroîtrait ensuite, tandis que le contrôle de l’impulsivité croîtrait continûment jusque l’âge adulte.
Le pic observé vers quinze ans s’accompagnerait d’une augmentation de la prospection et donc des comportements à risque.
De plus, un discours sur le comportement, mesuré en laboratoire donc dans des situations très contrôlées et peu écologiques, peut ne pas refléter les comportements dans la vie réelle.
Enfin d’autres facteurs, génétiques ou environnementaux, peuvent intervenir pour réguler l’activité dopaminergique : ainsi des études électrophysiologiques ont montré que l’activité dopaminergique pouvait être modulée par l’expérience : elle diminue, notamment et presque logiquement, en cas d’inadéquation entre la récompense attendue et la récompense effective.
Ces faits conforteraient l’idée selon laquelle l’adolescence ne peut se réduire à une création sociologique : elle est en fait une étape spécifique du développement notamment du cerveau, dont on trouve d’ailleurs des similitudes chez l’animal.
Incidemment ces éléments sont cruciaux dans le débat portant sur l’âge de la responsabilité pénale, et une série d’articles sur le sujet ayant été publiée aux États-Unis. Les études développementales ne peuvent toutefois pas encore identifier les spécificités et les différences propres à l’adolescence, environ quinze/dix-huit ans, et à la post-adolescence, environ dix-huit/vingt-cinq ans, la maturation procédant par vagues successives et restant différenciée selon les individus.
La qualité de réponse aux tâches expérimentales varie d’ailleurs au cours de l’adolescence, en relation avec les remaniements spécifiques des régions directement impliquées dans les tâches et les remaniements des régions auxquelles elles sont connectées.
Souvent les performances de l’adulte sont sensiblement égales et parfois supérieures à celles de l’adolescent, mais l’adulte tend à recruter simultanément des régions cérébrales, parfois éloignées, mais essentielles à la tâche, faisant moins appel à des « expertises » uniquement régionales.
Il peut donc être supposé, que l’adulte a sélectionné et « automatisé » des réseaux de réseaux en réponse aux tâches concernées, sur la base d’une moindre complexité locale et d’une meilleure synergie globale.
Dans cette conception, il est permis de supposer que se mettre à l’épreuve soi-même et mettre à l’épreuve son environnement permet l’optimisation fonctionnelle et structurale des régions cérébrales impliquées dans les tâches de « haut niveau » en les adaptant à l’environnement.
« C’est une hypothèse qui, formulée légèrement différemment, est soutenue par certains chercheurs en neurosciences. Ce que je veux dire, c’est qu’il faut préciser qu’ainsi la tendance à l’action de l’adolescent « ordinaire » paraît réhabilitée car elle représente, malgré son cortège de risques et de désagréments, une condition générale de l’évolution. »
« Alors qu’il semble que bien au contraire, pour certains, il reste concevable que le cerveau limbique et plus généralement les émotions participent le plus souvent à réguler les comportements d’un adolescent non malade confronté à des enjeux nouveaux. »
Ce qu’elle voulait dire, c’est qu’il apparaît aussi que l’adolescent est capable d’une forme de créativité et d’adaptabilité que ne possède plus l’adulte.
Les agissements exploratoires, et par conséquent à risques, contribueraient à organiser la sélection des comportements et intérêts et donc peut-être des réseaux et connexions qui seront conservés. L’appétence sensitive et la recherche de la nouveauté ne sont donc pas forcément néfastes à l’individu, ni même à l’espèce.
Les études comportementales ont même montré, par ailleurs, que l’ignorance du niveau réel de risque n’est pas, en général, un facteur décisif dans les comportements adolescents : la connaissance des périls est à peu près semblable entre ceux-ci et leurs aînés ».
Toutefois le fait que de plus grands risques sont pris en présence de pairs n’aura toujours pas trouvé d’explications très satisfaisantes…
Surtout, une conception téléologique, autrement dit de ce qui a un rapport à la finalité de l’action, a été avancée par plusieurs chercheurs dans le domaine cognitif, qui considèrent la prise de risque nécessaire à l’optimisation fonctionnelle des structures corticales, notamment celles impliquées dans la cognition sociale.
Par ailleurs, ce que je veux dire, c’est que les liens entre modifications pubertaires hormonales et cérébrales restent encore mal explorés. »
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
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