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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

samedi 3 août 2024

19/63 – Éléments d’histoire du moment

Les suites du voyage de Kim Jong Un
 
Avertissement : Vous l’aviez compris, ceci n’est qu’un roman, une fiction, une « pure construction intellectuelle », du pur jus de neurone garanti 100 % bio, sortie tout droit de l’imaginaire de son auteur.
Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies), y compris sur la planète Terre, y est donc purement, totalement et parfaitement fortuite !
 
Jack Watling, chercheur principal au British Royal Institute for Defence and Security Studies (RUSI), est pourtant sceptique quant à la possibilité que la Russie partage la technologie spatiale avec la Corée du Nord. « La Russie reste responsable du respect des sanctions internationales contre Pyongyang. Ils ont donc des raisons de ne pas fournir certaines technologies, notamment dans le secteur des satellites. »
Cependant, Lee Choon Geun, de l’Institut coréen de politique scientifique et technologique, déclarera que la Russie pourrait demander conseil : la Corée du Nord y construit des satellites au lieu de les construire à Pyongyang.
 
Mais il est peu probable que la Russie lance un satellite pour la Corée du Nord, car cette action violerait les sanctions des Nations-Unies. « Toute forme de transfert ou de coordination de technologie satellitaire entre la Russie et la Corée du Nord pourrait violer les sanctions internationales », a-t-il déclaré. « Il n’y a pas de solution » en conclura-t-il.
Sera-ce suffisant pour les retenir ?
D’autant que Poutine obtient ce qu’il était venu chercher : ses services de renseignements ne lui ont pas menti, pas plus que ceux de Beijing quand ils assuraient que le français avait développé une technologie bluffante de « cyborgs à effigie », de véritables clones électroniques : il l’avait vu dans le train du dictateur coréen et en est resté scotché !!!
 
Pour poursuivre à brouiller les pistes et compléter ses « achats », le mois suivant, Poutine sera arrivé le 17 octobre à l’aube à Pékin (Beijing). Un mardi.
Il y rencontrera son homologue chinois Xi Jinping, pour, entre autres, le remercier.
La Chine accueille alors et jusqu’au mercredi les représentants de quelque 130 pays pour le forum des « Nouvelles routes de la soie ».
Même si tous ne sont pas concernés pour n’être pas sur le chemin de l’Europe, le premier client du reste du monde…
Et c’est le premier déplacement du président russe dans une grande puissance mondiale depuis l’invasion de l’Ukraine en février 2022.
 
À ce moment-là, les forces russes ont repris leur offensive dans le secteur de Lyman-Koupiansk après une courte pause, ce qui aura été annoncé par le chef du service de presse du groupement militaire oriental de l’armée ukrainienne.
« Toutes les attaques de l’ennemi se heurtent à une puissante riposte des forces de défense. Frappé à la gorge, l’ennemi bat en retraite, panse ses plaies, mais une fois rétablis, les occupants reprennent leurs attaques », a poursuivi Illia Yevlash, ajoutant que l’armée russe sacrifiait beaucoup d’hommes.
Des navires de transport militaire russes ont également effectué de multiples allers-retours en Corée du Nord ces deux derniers mois, rapportera la veille le Washington Post, qui dit avoir pu consulter de nouvelles images satellites « fournissant la preuve la plus claire à ce jour que Pyongyang pourrait contribuer à l’effort de guerre de Moscou ». Plus tard, on parlera de 70 containeurs d’obus….
 
Le chef de la diplomatie russe, Sergueï Lavrov, également en visite en Chine, se rendra au passage en Corée du Nord « les 18 et 19 octobre, pour une visite officielle » à l’invitation de son homologue Nord-coréen, a-t-on fait savoir afin de parler de « choses sérieuses » en rapport avec l’actualité guerrière du moment.
Et à la marge de l’offensive israélienne sur la bande de Gaza, à la recherche de ses otages retenus entre les griffes du Hamas…
La secrétaire au Trésor américaine, Janet Yellen, a alors exhorté les ministres des finances européens à aller de l’avant avec leurs projets d’aide nouvelle de 50 milliards d’euros (52,4 milliards de dollars) à l’Ukraine, tout en promettant que la Maison Blanche et une majorité au Congrès « se battront » pour fournir une nouvelle aide américaine.
Volodymyr Zelensky a même reçu ce lundi-là Penny Pritzker, représentante spéciale des États-Unis pour la reprise économique de l’Ukraine, avec laquelle il a évoqué la protection des installations de production d’énergie, le soutien financier des États-Unis et l’utilisation équitable des avoirs russes gelés, ce que rapportera la présidence ukrainienne.
 
Quant à Israël, les autorités ont rejeté une demande du bureau du président ukrainien d’autoriser une visite officielle, à la suite de l’attaque du Hamas.
Selon le média The Times of Israel, Israël aurait répondu que « le moment n’était pas venu » pour la visite de M. Zelensky.
Et Vladimir Poutine participera ensuite au sommet virtuel du G20 organisé par l’Inde.
Le président russe avait renoncé à participer à la rencontre physique du Groupe des Vingt, en septembre, moment où il n’était pas au mieux de sa forme à l’occasion de son déplacement en Russie orientale.
Officiellement visé par un mandat d’arrêt de la Cour pénale internationale qui l’accuse de crimes de guerre pour la déportation d’enfants ukrainiens, ce que Moscou nie farouchement (sur place on y parle de recueil et de prise en charge d’orphelins ukrainiens), le chef de l’État russe avait déjà laissé son ministre des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov, le représenter au sommet des BRICS en Afrique du Sud en août « pour ne pas gêner » les organisateurs…
 
Il faut dire qu’à ce moment-là, mais personne ne le sait en Occident et encore moins en Russie, à part quelques individus du premier cercle triées sur le volet, le cancer du Président russe aura été « desséché » par les chimiothérapies occidentales successives des mois précédents.
Les traitements ont épuisé le patron du Kremlin et il avait dû adapter son agenda.
Or, Poutine dispose de plusieurs sosies qui sont là pour donner le change à organiser quelques déplacements sur les lignes de front pour soutenir le moral des troupes quand les opérations en Ukraine tournent à la défaveur de la Russie.
Ce qui aura été le cas tout au long de la première contre-offensive hivernale ukrainienne.
La seconde, celle de l’été 2023 aura heureusement été moins catastrophique, puisque sauf dans le Sud, elle a été bloquée par les denses champs de mines sur la rive orientale du Dniepr, et les Ukrainiens n’ont pas pu percer ni vers Louhansk, ni vers Donetsk.
Quant à Marioupol ou Melitopol, ils n’ont même pas essayé.
 
Et l’un de ses sosies est tombé gravement malade, par suite d’une infection nosocomiale consécutive à ses diverses opérations de chirurgie esthétique : indisponible.
Sergueï Choïgou, un des rares à être dans la confidence, aura préféré préserver le second, celui dont les lobes d’oreille sont plus courts, en bas, là où les femmes posent leurs boucles d’oreille, que ceux de son modèle original. De tout façon, celui-là doit encore soigner son élocution, sa gestuelle, sa démarche et perdre son accent caucasien pour être un sosie tout-à-fait convenable et présentable.
Alors évidemment, la rumeur venue de Pyongyang via les services de l’ambassade russe à Beijing aura permis de faire des rapprochements utiles.
Comme depuis quelques jours, à ce moment-là, le père du procédé des « cyborgs à effigie » est entre les mains des services du KGB bélarusse, un allié considéré comme sûr, il aura fallu faire patienter les Français jusque-là, en réalité jusqu’à ce que les hypothèses deviennent des réalités vérifiées par le maître du Kremlin, qui se laisse alors convaincre.
Et en profiter pour « travailler au corps », à l’esprit plutôt, celui qui permettrait la substitution envisagée dans le cadre de l’opération « Volga noire » pour le plus grand bien de la Russie, seulement si nécessaire.
 
Car l’état de santé du Président Poutine s’est ensuite considérablement amélioré : il a pu se déplacer sur plusieurs fuseaux horaires sans trop se fatiguer et même préparer son interview annuelle et télévisée avec le peuple russe du mois de décembre.
Un long travail de mise en scène où il se sera fait plaisir…
D’autant mieux que le sort des armes semblait à ce moment-là de nouveau lui être favorable : les Wagner auront été liquidés, Navalny était affaibli par sa grève de la faim et le manque de soin (il sera liquidé plus tard), la troupe aura repris Bakhmout ouvrant la route de Kramatorsk et plus tard celle d’Avdiïvka – le « fortin » à portée de fusil de Donetsk –, desserrera l’étau sur la ville de l’oblast éponyme et consolidera la route vers Dnipro et Zaporijia.
Le tout avant une élection de la mi-mars 2024 qui doit être triomphale, plébiscitaire même !
Poutine pourra donc apparaître partout à la fois, entre son corps requinqué, son sosie prêt à l’épauler et ses cyborgs télécommandés, il ne redoutera plus les défis qui s’offrent à lui !
 
Un rythme qui change du tout au tout à coup d’EPO et autres « fortifiants » : on se souvient que depuis la pandémie de Covid-19, et a fortiori depuis le début du conflit en Ukraine, Vladimir Poutine ne se déplace plus que très rarement à l’étranger et même hors de Moscou. Début octobre, le président russe avait encore assuré ne pas se rendre physiquement aux sommets internationaux justement au motif de ne pas « causer de problèmes » aux organisateurs.
En réalité, il n’en pouvait plus et devait se ménager…
Ainsi l’Inde, qui organisait le sommet virtuel du G20, et tenait la présidence du Groupe des Vingt jusqu’à la fin novembre, alors que New-Delhi détient des liens historiques étroits avec Moscou, la Russie restant le plus important fournisseur d’armes de l’Inde, Poutine aura participé de façon virtuelle à ce sommet, via une interface internet.
L’occasion de tester son cyborg sans prendre de grands risques : un essai impeccablement réussi !
 
Il en aura ensuite pris un exemplaire avec lui lors de ses déplacements, ce qui reste osé, parce qu’on n’est jamais à l’abri de regards indiscrets ou d’un bug et que ça agrandit le cercle des « initiés » dans la confidence et donc les risques de « fuite ». Il est parti ainsi accompagné de son sosie lors de son déplacement en Arabie saoudite pour discuter avec Mohammed ben Salmane du conflit israélo-palestinien, mais pas aux Émirats arabes unis où son sosie sera « mis à l’abri » pour encore devoir perfectionner ses apparitions.
Idem quelques jours auparavant, où il s’était rendu au Kirghizistan, allié de Moscou, pour son premier voyage à l’étranger depuis le mandat d’arrêt émis par la CPI.
Mais là le risque était bien moins élevé, faut-il reconnaître…
 
Entre temps, Paul est récupéré à la frontière polonaise : même Florence aura finalement fait le déplacement.
Les trajets depuis Minsk vers une capitale européenne en avion sont compliqués : par exemple il n’y a pas de vol direct vers Varsovie. Il faut soit passer par la Turquie, soit Dubaï ou l’Azerbaïdjan. Quant au trajet par la route, il est long et passe par Brest-Liskov qui reste la ville frontière vers l’Ouest.
Depuis le démarrage, Alexis et même Gustave, circulent donc par le train depuis ou jusqu’à Varsovie, et en avion depuis et jusqu’à Paris.
Mais pour le retour de Paul, il lui aura fallu lui apporter son passeport récupéré depuis son domicile du quai Montebello, juste en face du chantier de Notre-Dame-de-Paris, plus un sauf-conduit.
Car en quittant le pays il faut montrer en plus de son passeport la preuve de l’enregistrement au service d’immigration qui n’aura pas pu être fait puisque Paul est arrivé « illégalement » sur le territoire Bélarusse pour avoir été un « clandestin ». L’ambassade du boulevard Suchet aura été sollicitée pour lui délivrer ce sauf-conduit lui permettant de sortir sans difficulté… en principe, espère-t-on, et qui aura été également apporté par Alexis.
Mais ça aura été long.
 
En fait, c’est la Pologne qui barricade ainsi sa frontière orientale. Le ministre de la Défense, Mariusz Błaszczak, aura annoncé une « extension de mesures de sécurité » le long de la République de Bélarus et de l’enclave russe de Kaliningrad, au Nord-Est, à grand renfort de hérissons antichars et de blocs de béton, sans en préciser le nombre. Menace réelle, ou surenchère ?
« Nous ne pouvons pas nous sentir en sécurité sans ce genre d’infrastructure, face à un régime imprévisible », justifiera Lukasz Jasina, porte-parole du ministère des Affaires étrangères polonais.
C’est sans oublier le mur anti-migrants inauguré aux portes de la République de Bélarus durant l’été 2022, et l’autre en voie d’être érigé en bordure de Kaliningrad.
Les relations entre Varsovie et Minsk, sont à couteaux tirés et n’ont jamais vraiment été au beau fixe depuis 1989. Mais le torchon brûle plus que jamais depuis la guerre en Ukraine. Terre d’exil et fervent soutien de la dissidence biélorusse, la Pologne prend volontiers le contre-pied de son voisin en pleine dérive totalitaire.
D’où la suspension des postes-frontières, « une option que Varsovie envisageait depuis un moment », selon un ancien diplomate.
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)

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