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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 2 août 2024

18/63 – Éléments d’histoire du moment

Voyage de Kim Jong Un et retour de Paul
 
Avertissement : Vous l’aviez compris, ceci n’est qu’un roman, une fiction, une « pure construction intellectuelle », du pur jus de neurone garanti 100 % bio, sortie tout droit de l’imaginaire de son auteur.
Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies), y compris sur la planète Terre, y est donc purement, totalement et parfaitement fortuite !
 
D’autant que tout, ou presque, a été fait pour mettre en exergue des divergences entre membres de l’Otan après l’échec de l’opération sur San Francisco[1] restée pour l’heure – et dès lors probablement définitivement – totalement secrète et dissimulée aux yeux du monde : les USA ne veulent manifestement pas d’une guerre totale, mondiale, civilisationnelle, existentielle même, et ce n’est pas si grave que ça.
Au contraire : c’est plutôt significatif que ses dirigeants sont impuissants à prendre l’initiative d’une escalade qu’ils ne savent pas « vendre » à leur opinion publique.
Ce qui ouvre quelques perspectives de pressions possibles de la part des autorités moscovites ! 
Le sabotage du Nord-Stream, les divergences de la Turquie, de la Hongrie, les pressions diverses sur les élections européennes et demain états-uniennes : c’est vraiment seulement une question de temps !
Même si c’est sans grands résultats pour l’heure, de toute façon plus le temps passe, plus il tourne en faveur de la politique russe qui maîtrise de son côté pleinement son agenda et ses propres élections de 2024…
En bref, la victoire finale est inéluctable.
 
Pour certains, ça ne va pas assez vite : il est même question d’employer des munitions nucléaires tactiques à un moment donné, mais l’idée aura été rejetée après l’échec de l’opération sur la baie de San Francisco : les armes russes ne sont finalement pas si invincibles que ça.
Peut-être qu’elles ne sont tout simplement pas prêtes.
Il vaut mieux mettre la pression sur les États baltes, sur la Pologne, sur la République de Moldavie : on évite ainsi de déclencher une escalade qui pourrait se montrer trop destructrice et parier sur le renoncement des autorités occidentales soumises à leurs opinions publiques qui ont une peur bleue d’un conflit généralisé.
On obtiendrait ainsi exactement le même résultat, mais sans les destructions massives d’une confrontation armée !
 
La mer Noire reste également un champ de bataille indécis pour les armes russes : la marine n’a pas la domination incontestée qu’elle mérite depuis Sébastopol, tout comme l’espace aérien jusqu’au-dessus du territoire russe dont les pilotes redoutent les missiles anti-aériens, plus efficaces que prévus, fournis aux Ukrainiens par l’Occident.
La partie est inégale et il vaut mieux épuiser les stocks de munitions de Kiev avec des drones autonomes si peu coûteux !
Or, pour épuiser les forces ukrainiennes, il faut pouvoir frapper de plus loin, d’où l’approvisionnement en drones venus de Téhéran et des fabrications pro domo sous licence.
 
D’ailleurs, après sa visite au Moyen-Orient, Vladimir Poutine recevra le 7 décembre en Russie le président iranien Ebrahim Raïssi pour des pourparlers.
Poutine s’était rendu en Iran en juillet 2022 alors qu’il préparait l’offensive qui le ferait rentrer par la grande porte dans l’histoire glorieuse de la Russie conquérante et réunifiée, tandis que le chef de la diplomatie russe, Sergueï Lavrov, sera reçu à Téhéran en octobre pour des discussions avec les dirigeants de la région.
Selon l’agence de presse officielle iranienne Irna, Ebrahim Raïssi vient à Moscou à la tête d’une « délégation politico-économique de haut rang ».
« Les questions bilatérales, y compris les interactions économiques, ainsi que les discussions sur les questions régionales et internationales, en particulier la situation à Gaza – qui aura (opportunément) explosé le 7 octobre –, figureront en bonne place à l’ordre du jour de ce voyage d’une journée », ajoutera l’agence iranienne.
En fait, il s’agit surtout d’armes et de munitions : les Occidentaux accuseront l’Iran de participer à l’effort de guerre russe en lui fournissant de grandes quantités de drones explosifs Shahed et d’autres armements, dont la Russie manque cruellement alors que ses troupes s’en servent pour mener sa campagne de bombardements massifs des villes ukrainiennes et de casser le moral des ukrainiens à l’avant-veille du « général hiver ».
 
De même, des délégations et commissions de travail sont à pied d’œuvre pour importer des matériels depuis la Chine, des composants sous embargo fabriqués à Formose, en Corée et au Japon. Le président espère, contre son pétrole et son gaz à bas coût dont ne veulent plus les européens, pouvoir s’approvisionner également en obus et en bombes depuis la Corée du Nord.
L’Inde est preneuse de gaz, mais elle paye en roupies ou en roubles, échangés contre de l’or-papier.
Un vaste troc triangulaire est organisé dans la précipitation, sur le modèle du « barter » anglo-saxon, puisque ces échanges sont libellés en contrepartie or à défaut de monnaie alternative au dollar américain.
Poutine veut d’ailleurs rencontrer le leader Nord-coréen pour le remercier.
Celui-là veut l’accès à des technologies nucléaires et spatiales : pas de problème, il sera reçu sur une aire de lancement spatial située au Nord de Vladivostok, à quelques dizaines d’heure de train.
Et ce sera justement l’occasion de confirmer que ce que cherche Poutine existe bien, à savoir un cyborg à son effigie, puisque le dictateur Nord-coréen vient jusqu’au cosmodrome Vostochny, le 13 septembre avec le sien dont il vante les mérites !
Le lendemain, Paul de Bréveuil, un peu déboussolé de ce qui lui arrive, sera accueilli à la frontière polonaise par un envoyé de l’ambassade, un médecin parisien venu pour un premier check-up, Gustave, Alexis et Henry du groupe HLM…
 
En échange, le dirigeant nord-coréen a posé de nombreuses questions détaillées au patron du Kremlin lors de sa visite à l’intérieur de l’établissement après lui avoir montré son cyborg caché au fond de son train : un sosie bluffant de perfection apparente !
Kim Jong Un a aussi reçu en cadeau cinq drones explosifs, un drone de reconnaissance et un gilet pare-balles des mains du gouverneur de la région de Primorye, dans l’Extrême-Orient russe.
Lors d’un échange sur le cosmodrome de Vostotchny, Vladimir Poutine et Kim Jong s’étaient mutuellement offert un fusil.
Des présents à caractère militaire hautement symboliques dans le contexte de la guerre en Ukraine…
C’est que l’aspect militaire aura été omniprésent durant le séjour de Kim Jong Un en Russie. À Vladivostok, ville située près des frontières chinoise et Nord-coréenne, il a par exemple assisté à une démonstration de la flotte russe du Pacifique. Il est monté à bord du navire de guerre russe Maréchal Chapochnikov, où il a été accueilli par le commandant de la frégate.
 
Le numéro un Nord-coréen, accompagné du vice-Premier ministre russe chargé de l’Industrie Denis Mantourov, a pu aussi inspecter des installations de production d’avions de combat ainsi que de transport civil du constructeur Soukhoï, avant d’assister à une démonstration en vol d’un chasseur Su-35.
Également présent à bord, le commandant en chef de la flotte russe, Nikolaï Levmenov, a exposé au dirigeant Nord-coréen les caractéristiques du navire et des armes anti-sous-marins, des quadruples tubes lance-torpilles et des lance-roquettes RBU-6000.
Autre exemple, la veille, Kim Jong Un a rencontré le ministre russe de la Défense Sergueï Choïgou à Vladivostok, où il a examiné des armes de pointe russes, dont un système de missiles hypersoniques.
Le dirigeant Nord-coréen a également passé en revue des bombardiers Тu-160, Tu-95MS et Тu-22М3.
Les deux parties ont été comblées par ces rencontres…
 
Lors de sa rencontre avec Kim Jong Un, Vladimir Poutine aura évoqué des perspectives de coopération militaire malgré les sanctions internationales visant Pyongyang à cause de ses programmes nucléaires et de mise au point de missiles.
Mais par la suite, le Kremlin assurera qu’aucun accord n’a été signé lors de cette rencontre.
Une façon de souffler le chaud et le froid, qui ne rassure pas les pays occidentaux.
 
Ces derniers redoutaient alors un possible accord pour des livraisons d’armes et de munitions Nord-coréennes, dont Moscou a besoin pour son offensive en Ukraine.
Après s’être tournée vers l’Iran pour qu’il lui livre des centaines de drones explosifs, la Russie pourrait trouver des ressources utiles auprès de Pyongyang, qui dispose d’importants stocks de matériel soviétique et produit en masse des armes conventionnelles.
Les Nord-coréens disposent ainsi de nombreux éléments d’artillerie. Or, c’est l’épine dorsale de la stratégie contre la Corée du Sud et contre l’armée américaine, explique par ailleurs Maciej Szopa, un analyste militaire pour le média polonais Defence.
Ils auront du mal à s’en séparer…
D’autant que le dirigeant Nord-coréen met la pression sur son voisin du Sud, furieux de voir la flotte US du Pacifique faire étalage de son matériel à l’occasion de manœuvres conjointes au large de ses côtes : pour lui, c’est une répétition générale de l’invasion de son pays et de la liquidation de son régime !
 
Pyongyang dispose en effet de pièces d’artillerie tractée manuelle D-20 de 152 mm, fabriquées elles aussi en Union soviétique dans les années 1950, ou encore d’obusiers D-30 de 122 mm datant des années 1960. L’ensemble aux standards de l’ex-pacte de Varsovie.
Les roquettes de calibre 122 mm destinées aux lance-roquettes multiples (MLRS) BM-21 Grad de l’époque de l’URSS, qui équipent les forces russes en Ukraine et figurent dans l’arsenal Nord-coréen, sont aussi susceptibles d’intéresser la Russie.
 
Rappelons par ailleurs que le cosmodrome de Vostochny est situé dans la région de l’Amour, à l’extrême Est de la Russie, et est entré en service en 2016. « Il s’agit actuellement de l’installation de lancement de véhicules spatiaux la plus importante de Russie », aura déclaré Mark Hilborne, expert en sécurité spatiale à l’Imperial College de Londres, au Royaume-Uni. « C’est relativement nouveau et extrêmement moderne. »
Proposé pour être construit par le président Poutine en 2007, ce port spatial vise à réduire la dépendance de la Russie à l’égard des autres pays alliés dans ses efforts de conquête spatiale.
Depuis le milieu du XXème siècle, l’agence spatiale russe loue principalement le cosmodrome de Baïkonour au Kazakhstan comme principal site de lancement.
Au moment de son ouverture, le cosmodrome de Vostochny a été salué comme un symbole des ambitions russes d’exploration spatiale indépendante.
« Cela signifie que nous pouvons lancer indépendamment n’importe quel vaisseau spatial sur n’importe quelle orbite spatiale », a déclaré la législatrice russe Irina Yarovaya en 2016.
Ce qui techniquement n’est pas totalement vrai : si les orbites polaires sont plus faciles à atteindre qu’à partir de Kourou, l’aire de lancement de la France et de l’UE, les orbites équatoriales sont plus coûteuses en carburant, compte tenu de la latitude plus septentrionale de la base de lancement.
Or, les orbites géostationnaires doivent de préférence se situer à proximité de l’équateur : elles font des « huit » plus resserrés !
Mais c’est un détail…
« Le cosmodrome de Vostochny est la base de lancement spatial du XXIème siècle et représente la nouvelle philosophie de la Russie moderne. »
« De plus en plus de pays voient l’espace comme un moyen d’attirer d’autres pays et de tirer parti de leur soutien », avait déclaré Hilborne.
 
Ce dernier a estimé que la tenue du sommet à Vostochny pourrait être une manière pour le président Poutine de montrer son soutien au programme spatial russe malgré les récents incidents.
Et de rappeler que le 11 août, la sonde spatiale Luna-8 a décollé de Vostochny pour mener à bien la mission de conquête du pôle Sud de la Lune.
Cependant, la mission a échoué lorsque le vaisseau s’est écrasé sur la surface lunaire.
Le mois précédent, la Corée du Nord avait annoncé qu’elle poursuivrait ses efforts pour mettre un satellite en orbite après deux tentatives infructueuses.
Les États-Unis, la Corée du Sud et le Japon ont condamné le dernier lancement, affirmant qu’il violait les résolutions du Conseil de sécurité des Nations-Unies…
 
Après les entretiens entre M. Poutine et M. Kim, le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, a déclaré de son côté que Moscou voyait des perspectives de coopération avec Pyongyang dans le domaine spatial, y compris la possibilité d’envoyer un astronaute Nord-coréen dans l’espace.
Traduction de cet ensemble : une réunion qui s’est passée au mieux pour les deux dirigeants !
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)

[1] Cf. Menaces de chaos

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