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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 9 août 2024

25/63 – Paul à la recherche « Charlotte »

Il se documente et essaye de comprendre.
 
Avertissement : Vous l’aviez compris, ceci n’est qu’un roman, une fiction, une « pure construction intellectuelle », du pur jus de neurone garanti 100 % bio, sortie tout droit de l’imaginaire de son auteur.
Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies), y compris sur la planète Terre, y est donc purement, totalement et parfaitement fortuite !
 
Les somnifères les plus fréquemment utilisés sont ainsi les benzodiazépines. Certaines benzodiazépines (comme le flurazépam) ont une action plus prolongée que d’autres (comme le témazépam et le triazolam). Les médecins essayent d’éviter de prescrire des benzodiazépines à action prolongée chez les personnes âgées. Les personnes âgées ne peuvent pas métaboliser et excréter les médicaments aussi bien que les jeunes. Et Paul est entre deux âges… Par conséquent, l’administration de ces médicaments peut provoquer une somnolence diurne, des troubles de l’élocution, des chutes et parfois une confusion.
Mais Paul n’est âgé que de 49 ans[1]
 
D’autres somnifères utiles ne sont pas des benzodiazépines, mais touchent les mêmes aires cérébrales que les benzodiazépines. Ces médicaments (eszopiclone, zaleplon et zolpidem) ont un mécanisme d’action plus court que les benzodiazépines et sont susceptibles de conduire à une somnolence diurne. Le zolpidem existe sous une forme à durée d’action prolongée et sous une forme à durée d’action très courte.
Le rameltéon, un somnifère récent, a ainsi les mêmes avantages que les médicaments à durée d’action plus courte. En outre, il peut être utilisé plus longtemps que les benzodiazépines sans perdre de son efficacité et sans provoquer de symptôme de sevrage.
Il ne crée en principe pas d’accoutumance et ne semble pas avoir de potentiel de surdosage. Cependant, il n’est efficace que chez peu de personnes. Le rameltéon touche la même aire du cerveau que la mélatonine (une hormone qui favorise le sommeil) et est donc appelé un agoniste des récepteurs de la mélatonine.
Mais aucune de ces molécules n’a le moindre effet sur Paul !
 
Trois médicaments relativement récents (les daridorexant, lemborexant et suvorexant) ont également été essayé sans plus de succès sur Paul. Ils aident en principe les personnes à s’endormir et à rester endormies. Ces médicaments bloquent les récepteurs de l’orexine dans le cerveau qui sont impliqués dans le contrôle du sommeil. Ils sont donc appelés inhibiteurs (antagonistes) des récepteurs de l’orexine. Ils sont pris par voie orale une fois par jour peu avant d’aller se coucher. Cependant, on sait que ces médicaments ne sont pas très efficaces pour traiter l’insomnie. Leur effet indésirable le plus fréquent est la somnolence, mais même pas sur Paul !
Certains somnifères disponibles sans ordonnance (en vente libre) contiennent des antihistaminiques (tels que la doxylamine et la diphénhydramine). Toutefois, les médicaments qui contiennent des antihistaminiques ne doivent pas être pris pour traiter l’insomnie. Les antihistaminiques peuvent avoir des effets secondaires significatifs, comme une somnolence diurne ou parfois de la nervosité, de l’agitation, des difficultés à uriner, des chutes et de la confusion particulièrement chez les personnes âgées.
Or, Paul est encore un « jeune »… en cours de vieillissement « avancé » !
 
La mélatonine est en revanche une hormone qui favorise le sommeil et régule les cycles sommeil-veille. Elle peut être utilisée pour traiter des insomnies. Elle peut être efficace lorsque les problèmes de sommeil sont provoqués par une heure de coucher et une heure de lever tardives (par exemple, se coucher à 3 h du matin et se lever à 10 h ou plus tard). On parle alors de trouble de la phase de sommeil retardée. Pour être efficace, la mélatonine doit être prise lorsque l’organisme en produit normalement (le soir tôt pour la plupart des personnes).
La prise de mélatonine pour l’insomnie est controversée, mais, en raison de ses effets secondaires peu nombreux, elle peut être utilisée sans danger.
Toutefois, l’hormone a des effets indésirables : maux de tête, étourdissements, nausées et somnolence. La mélatonine peut être efficace à court terme (jusqu’à quelques semaines), mais ses effets liés à une absorption prolongée sont inconnus.
De plus, les produits à base de mélatonine ne sont pas réglementés. Leur pureté et leur composition ne peuvent pas être confirmées. Un médecin doit superviser l’utilisation de la mélatonine aura retenu Florence.
Toutefois, sur Paul, ça semble ne pas avoir d’effet : il apparaît comme insensible à l’hormone, ce qui étonne les toubibs, carabins et autres chercheurs du Val de Grâce.
 
D’un autre côté, il y a aussi la marijuana (cannabis) qui pourrait être tentée et qui contient de nombreuses substances chimiques, telles que le CBD (cannabidiol), qui provoque une somnolence mais pas d’euphorie ; du THC (tétrahydrocannabinol), qui provoque une euphorie, réduit la douleur et les nausées, et affecte les stades du sommeil ; du CBN (cannabinol), qui provoque une somnolence, réduit la douleur et augmente l’appétit.
Mais Paul n’en veut pas et Gustave s’y oppose tout comme Florence.
Pour Gustave, l’important ce n’est pas que Paul dorme, mais qu’il retrouve au plus vite la mémoire pour s’atteler à l’espoir de finaliser son « logiciel prédictif[2] » qui avait été si précieux en novembre 2022 et un peu après.
Ce qui reste également la priorité de l’Élysée, de Matignon et de l’amirauté.
Alors que Florence espère qu’il se mettra à dormir pour échapper à la mort qu’elle redoute pour l’avoir lue…
 
Elle insiste ainsi auprès des médecins militaires pour essayer d’autres formules, comme le dronabinol qui est une forme synthétique utilisée pour traiter les nausées et les vomissements associés à la chimiothérapie et pour augmenter l’appétit chez les personnes atteintes du SIDA. Mais finalement il n’en aura pas été administré à Paul, qui cumule avec son insomnie permanente, les effets d’une amnésie à dissipation lente qu’il s’agit d’accélérer : impératif d’État, fait-on savoir.
La plupart des autres plantes médicinales et compléments alimentaires, comme la scutellaire et la valériane, sont disponibles dans des magasins de produits de santé, mais leurs effets sur le sommeil et leurs effets secondaires ne sont pas bien compris.
 
Enfin, elle a lu que certains antidépresseurs (comme la paroxétine, la trazodone et la trimipramine) peuvent soulager l’insomnie et empêcher les réveils matinaux précoces lorsqu’ils sont administrés à plus faible dose que lorsqu’ils sont utilisés pour traiter la dépression.
Ces médicaments peuvent être utilisés dans de rares cas lorsque les personnes qui ne sont pas dépressives ne tolèrent pas d’autres somnifères. Cependant, les effets secondaires, comme la somnolence diurne, peuvent être un problème, particulièrement pour les personnes âgées.
La doxépine est utilisée comme antidépresseurs lorsqu’elle est administrée à forte dose, et peut constituer un somnifère efficace lorsqu’elle est administrée à très faible dose.
Étant donné que le sommeil se détériore avec l’âge, les personnes âgées sont plus prédisposées à se plaindre d’insomnie que les jeunes personnes. En vieillissant, elles ont tendance à moins dormir et à se réveiller plus souvent pendant la nuit et à se sentir plus somnolentes et à en faire une sieste pendant la journée.
Sur les sujets normaux, les périodes de sommeil profond qui sont les plus réparatrices se raccourcissent jusqu’à disparaître. En général, ces changements seuls n’indiquent pas un trouble du sommeil chez ces personnes âgées.
Mais ce n’est pas encore le cas, pas déjà, pour Paul…
Qui reste un vrai mystère : malgré toutes ces tentatives « chimiques », Paul n’a aucune somnolence ni diurne ni nocturne puisqu’il travaille sans effort à parcourir ses dossiers le jour et les nuits.
 
Le sommeil représente normalement plus d’un tiers d’une vie. Il est déterminant pour la croissance, la maturation cérébrale, le développement ou encore la préservation des capacités cognitives. Il possède également un rôle dans la survenue ou la prévention des maladies ou leur aggravation.
On dort avant tout pour récupérer. « Le sommeil possède plusieurs fonctions particulières, indissociables de l’état de veille et mettant en jeu de nombreux mécanismes physiologiques : sécrétions hormonales, régénération cellulaire (peau, muscle…), mémorisation etc. », explique-t-on habituellement.
 
« Lorsque l’organisme est en phase de « repos », les connexions neuronales se réorganisent, ce qui lui permet de s’adapter à son environnement. Dormir permet ainsi une récupération physique, psychologique et intellectuelle… le sommeil prépare à l’état de veille qui suit ».
On explique qu’un sommeil réparateur est une « super batterie ». Plus le sommeil est réparateur, mieux l’on se sent pendant la journée. Parmi les processus de récupération qui se produisent pendant le sommeil, il y a : le stockage d’informations en mémoire ; le redémarrage du système immunitaire ; l’élimination des déchets métaboliques et la désintoxication ; le traitement des émotions ; l’ajustement de nombreuses sécrétions hormonales ; la production d’hormones de croissance ; la production de mélatonine ; l’apaisement du système digestif ; le maintien de notre température interne ; la désactivation des systèmes de stress…
Le cœur ralentit également sa fréquence et abaisse la pression sanguine et artérielle.
La fréquence respiratoire diminue également.
L’immunité, la régulation de la glycémie et la stabilisation de l’humeur sont aussi fortement dépendantes du sommeil.
C’est ce qu’on apprend dans toutes les facultés de médecines du monde. Florence sait : elle se renseigne.
 
« Ainsi, le lendemain, on a de l’énergie, de la résistance, on est capable de se défendre contre les infections ; la mémoire, la concentration et la capacité de prendre des décisions fonctionnent, on est de bonne humeur et à même de gérer le stress », poursuivent les spécialistes.
Si les effets de son manque se font ressentir dans tout l’organisme, le sommeil semble donc être étroitement lié au cerveau.
Alors, durant la période « d’exil forcé » de Paul à Minsk, elle se sera documentée sur le cerveau et plus particulièrement sur sa formation et sa maturation, qui concerne également ses enfants, même si ça ne concerne pas vraiment Paul qui aura fini sa croissance.
D’après certains travaux, le sommeil serait le fruit des connexions entre neurones, dont l’activité varie régulièrement. D’autres théories concernent les besoins du cerveau de « se reposer » pour faire le plein d’énergie, car lorsqu’il est endormi, il ne consomme que la moitié du glucose dont il a besoin lorsqu’il est en éveil.
 
« Beaucoup de personnes pensent que l’état de veille est l’état naturel de fonctionnement de notre cerveau. En réalité, ce dernier ne peut fonctionner que si on s’alloue des épisodes réguliers et prolongés de sommeil. La fonction première du sommeil est de permettre au cerveau d’opérer sur un autre mode qui favorise entre autres la mémorisation et les apprentissages » rapportera Florence à Paul, un peu hésitante, un soir en Normandie.
« Lorsque, au cours de la journée, on se livre à des tâches nouvelles, il faut pouvoir les reproduire dans son sommeil pour les apprendre et éliminer ce que l’on ne veut pas garder. Le sommeil jouerait alors ce rôle de tri pour la mémoire, grâce à l’activation synchronisée de réseaux de neurones » précisera-t-elle.
D’accord en pense Paul en l’écoutant : « mais puisque je ne peux pas dormir pour apprendre, j’apprends probablement mieux en répétant inlassablement ce que je veux retenir… »
C’est une méthode parfaitement convenable…
 
Pour autant, les scientifiques ne savent toujours pas exactement pourquoi on passe tous peu ou prou près d’un tiers d’une journée de 24 heures à dormir, ni pourquoi il faut absolument dormir au moins une fois par jour, et 6 à 8 heures par nuit.
« Une hypothèse récente a retenu l’attention de nombreux chercheurs de la communauté des neurosciences. Ces recherches ont en effet montré une nouvelle fonction du sommeil qui jouerait le rôle de nettoyeur de cerveau[3]. » Elle précise sa pensée : « Durant la journée, l’usine cellulaire produit tout un tas de protéines qui servent à coder des messages et fabriquer des neurotransmetteurs libérés ensuite hors de la cellule. Pour éviter trop d’accumulation, il existe une circulation de liquide entre l’intérieur des cellules et l’espace extracellulaire qui permet de purger la cellule de tous ses débris produits dans la journée. » Ce n’est pas tout-à-fait ça qui est important. Elle voulait dire que « Lorsque l’on mesure ces échanges sur 24 heures, on constate que le sommeil, et en particulier le sommeil lent profond, est une période particulièrement intense de ce nettoyage » en dit Florence qui n’est pourtant pas une spécialiste, mais qui s’était documentée à l’occasion de « l’élevage » de ses enfants.
 
Comment vais-je faire, se demande Paul ?…
De la méditation ?
Ou dois-je me contenter de rares « micro-somnolences » ? demandera Paul à ses médecins à qui il explique que parfois, de façon hasardeuse, une « autre réalité » se superpose sur ce qu’il voit à travers ses yeux.
Images qui persistent même les yeux fermés, alors qu’il peut continuer à tourner une cuillère dans une tasse de café sans la renverser…
 
Normalement, quand on s’arrête de dormir, « le besoin de sommeil s’accumule à mesure que la journée puis le soir avancent. Après une nuit de sommeil réparateur, le sablier imaginaire est à nouveau rempli et l’on entre dans la journée plein d’énergie. Alors qu’au contraire, lorsque le besoin en sommeil n’a pas été satisfait, on devient somnolent. On appelle ce processus qui régule les besoins en sommeil, la régulation homéostatique », lui affirme-t-on : mais pas chez lui. La fonction est « en panne » de façon inexplicable.
Pourtant, différentes recherches ont prouvé que le manque de sommeil affecte la mémoire, l’attention et la régulation des émotions.
Mais pas pour lui non plus qui passera plusieurs tests durant les semaines qui suivront.
En principe, et en cause, les connexions entre les neurones qui semblent se renforcer pendant les heures d’endormissement. On sait aujourd’hui aussi que la réduction du temps de sommeil ou l’altération de sa qualité favorisent probablement la prise de poids et l’obésité.
Mais pas non plus chez Paul, de ce qu’on peut en mesurer.
Car les effets du sommeil restent très compliqués à isoler et à étudier.
Lorsqu’on se focalise sur les conséquences du manque de sommeil, il n’est pas possible de savoir si certains symptômes sont attribués à ce manque ou au stress qu’il provoque dans l’organisme.
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)

[1] D’après son état-civil… Il conviendrait de rajouter 5 ans de vieillissement « biologique » : Cf. Ultime récit !
[2] Cf. Menaces de chaos
[3] Étude Fultz, Bonmassar… 2019…

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