Bienvenue !

Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

mercredi 31 mars 2021

Les dérives de l’UNEF

Et le délire des réunions non mixtes
 
C’était mon syndicat-étudiant. Oh, je n’étais pas un « militant », puisqu’il valait mieux raser les murs à la fac d’Assas quand on se promenait dans le couloir des « syndicats » et qu’on ouvrait la porte du local de l’UNEF : On devait être deux à user du téléphone (gratuit), repeint en rouge (la ligne directe avec Moscou), risquant toujours la rixe avec les types du GUD, du GAJ et autres formations royalistes ou « nationalistes »…
Plus tard, j’ai découvert l’envers du décor : L’UNEF c’était la MNEF – la mutuelle étudiante aux mains des « Soces » qui faisait aussi « caisse primaire d’assurance-maladie » pour les étudiants.
Un marché captif issu des ordonnances sur la Sécurité-sociale sorties du CNR.
Tu cotises, un forfait, tu mutualises en plus, mais tu ne coûtes rien.
C’est simple, quand j’ai bossé à la MNEF (pas longtemps parce que j’avais du mal à supporter tous ces fats qui venaient se la péter pour être tous des crypto-trotskistes me prenant pour un crypto-stalinien…), il n’y avait que quelques généralistes pour la « bobologie », des gynécologues pour les dames, des dermatologues pour les MST, des dentistes pour refaire les ratiches et l’hôpital pour les accidents.
Le reste, inconnu, seulement quelques feuilles de soins à traiter pour les cas de grippe ou d’angine.
Inutile de dire le cash que ça générait… somptuaire !
Et qui servait à « former » les futurs « cadres » du « P.Soce », toutes tendances, du « Rad-soce » aux lambertistes en passant par toutes les nuances de « l’union-de-la-gôche » alors en devenir, depuis des décennies et des décennies.
Bon, il n’y avait pas « d’écololos-bobos » ni vraiment de « minorités visibles »…
Ces dernières, il fallait aller les chercher à la CGT ou au RPR !
 
Et puis les générations passent avec la régularité d’un fleuve qui va à la mer.
Le syndicat s’est retrouvé récemment sous le feu des critiques dans l’affaire des professeurs de l’IEP de Grenoble affichés pour « islamophobie ». Il est désormais vilipendé à cause des réunions « non mixtes » qu’il organise afin, selon ses dirigeants, de « lutter contre les discriminations ».
Le week-end dépassé, la présidente « soce » de la région Occitanie, les a critiqués après l’intrusion de son conseil régional par l’Action française pendant qu’« Audrey-la-sublime-Pull-var », candidate à la région Île-de-Gauloisie-sectaire, soutenue par le même « P.Soce », a défendu sur BFMTV le droit de « demander à des personnes blanches de se taire », lorsqu’elles participent à ces ateliers.
Moâ, je ne sais pas bien qui sont les « racistes » : Les « racisés » qui ne supportent plus ton teint de « cachet d’aspirine » jusqu’à t’interdire d’entrer dans « leur secte » ou alors à dénier ta liberté d’expression, ou les « cachets d’aspirine » qui s’offusquent des propos injurieux à l’égard des « minorités-visibles ».
« Armstrong, je ne suis pas noir,
Je suis blanc de peau.
Quand on veut chanter l’espoir,
Quel manque de pot… » nous chantait Nougaro…
 
« On a déjà expliqué les choses » en dit le vice-président dudit syndicat.
« Ce sont des groupes de parole, pas des cadres décisionnels, l’idée c’est simplement de libérer la parole. On continue à propager de fausses informations sur l’UNEF, que ce soit de la part des dirigeants d’extrême droite, de membres du gouvernement ou de responsables du parti socialiste. »
Autrement dit, d’après lui, il y a une volonté de ne pas comprendre.
« Beaucoup de féministes engagées au MLF dans les années 1970 ont expliqué qu’elles faisaient la même chose avec les femmes à l’époque et il n’y a pas eu autant de réactions. »
Notez qu’on n’a pas vu non plus de féministe décapiter un prof’ d’Histoire…
 
« Pour une certaine partie de la classe politique, il y aurait les racistes et les antiracistes qui feraient du racisme. Nous sommes en désaccord. La République est une construction collective, à laquelle on participe. La République n’est pas figée dans le temps. »
Eh bien il s’agirait pour les anti-racistes et les victimes du racisme par commencer à ne pas faire de ségrégation par l’épiderme, non ?
On « nous compare à un groupe d’extrême droite qui est contre la République et qui souhaite le rétablissement de la monarchie. C’est dangereux. Nous, on considère que l’universalisme est un objectif politique et qu’il faut reconnaître qu’il existe des discriminations. Il faut nommer ces discriminations pour pouvoir les combattre.
L’universalisme, ce n’est pas seulement dire « tout le monde est égaux », il faut aussi regarder les faits. Ce n’est pas parce que la loi dit qu’on est égaux qu’on l’est : C’est vrai pour l’égalité salariale entre les hommes et les femmes et pour le racisme. Les deux sont interdits par la loi, mais ce n’est pour ça que ça que ça n’existe pas. »
Bé oui, il existera toujours des kons, moches, petits et niais au rachis atrophié et des grands, beaux et intelligents…
Et puis des épidermes plus typés que d’autres, et autant de femmes et que de kouillus, c’est comme ça.
 
Que justement « Audrey-la-sublime-Pull-var » a déclaré qu’« on peut demander à une personne blanche de se taire » au cours d’ateliers de lutte contre les discriminations.
Et dire que la « gôche-soce » de « Tagada-à-la-fraise-des-bois », du temps où il faisait « capitaine de pédalo » dans le civil avait si bien su mobiliser un « G 80 » improvisé sur les boulevards parigots pour soutenir la « liberté d’expression » et les « #JeSuisCharlie » massacrés pour d’affreux graffitis…
« Cela ne nous choque pas » qu’il en dit, le sieur.
« Ce qu’on met en place à l’UNEF ce sont des groupes de parole pour que les personnes discriminées puissent parler entre elles. Pour les femmes, par exemple, elles ne veulent pas que des hommes viennent relativiser ce qu’elles vivent et souhaitent éviter que leur parole soit remise en question.
C’est la même chose sur le racisme, même si c’est moins bien accepté dans la société. On soutient Audrey Pulvar qui est harcelée sur les réseaux sociaux, comme Mélanie Luce avant elle. Elles n’ont pas à se faire harceler sur ces questions. »
Je suis parfaitement d’accord avec le contenu de la dernière phrase.
Et puis c’est aussi un prêté pour un rendu quand on sort de la même cocotte-minute.
En revanche, je suis plutôt très embêté quand on parle de discriminations : Elles sont, semble-t-il, autant le fait des discriminateurs qui n’acceptent pas les lois de la République (et préfèrent les leurs, parfois issues d’un « code » qui aura mal vieilli des siècles passés) que des discriminé(e)s qui deviennent censeu(se)r de la parole libre qu’il(elle)s revendiquent que pour eux(elles) mêmes.
C’est un gros contresens…
Mais « les combats de la jeunesse ont changé. Les étudiants sont conscients des problèmes de discrimination. » conclut-il.
Ce n’est probablement pas faux, mais ils ne sont pas les seuls.
L’ignorer et, pire, prendre des chemins de traverse sont des insultes à la citoyenneté « Gauloisienne ».
 
D’ailleurs, ça fait le lit, draps bien bordés, de « Marinella-tchi-tchi » qui rebondit en demandant des poursuites judiciaires
Les mots de la conseillère de « Sœur-Âne » de « Paris-sur-la-plage » ont provoqué un tollé, comme le numéro 2 du « Air-Haine » qui dénonce une gôche qui « patauge dans l’islamo-gauchisme et la haine des blancs », en ajoutant le mot-clé « séparatisme », du nom de la loi portée par les « Marcheurs-même-pas-en-rêve » à l’Assemblée nationale pour lutter contre l’islamisme.
« Marinella-tchi-tchi » est allée plus loin en réclamant que « le parquet » engage « des poursuites pour provocation à la discrimination raciale ».
« Il faut mettre fin à cette escalade raciste de la part d’une partie de la gauche qui s’affranchit de toutes les règles morales, légales et républicaines ».
La pitié qui se fout de la charité…
 
Le chef de file des « Jupitériens » dans la région s’est également inscrit en faux par rapport à ces propos : « ‘‘On peut demander à une femme blanche ou à un homme blanc de se taire’’. Non ! Jamais !
Cette forme d’essentialisme est à la base de la construction de la pensée raciste », soutient-il.
Il n’a pas vraiment tort…
Des députées « Marcheuses-même-pas-en-rêve », je vous le donne en mille, « Lætitia Avia et sa loi liberticide » et « Aurore-Berre-geais » s’en sont pris à l’ancienne journaliste.
La première, députée de Paris, évoque le « naufrage d’Audrey Pulvar » et la seconde affirme que « la région sera républicaine ou ne sera pas ».
À gôche on ne s’est pas pressé pour réagir. Parmi les responsables de partis, ce dimanche matin dernier, seul « Mes-Luches » avait apporté son soutien à « Audrey-la-sublime-Pull-var » : « Audrey Pulvar n’est pas raciste ! »
Le scoop que voilà !
« Elle a juste compris ce qu’est un groupe de parole. Ceux qui se jettent sur elle, par contre, n’arrivent pas à cacher leur pente sexiste et discriminante. Le débat public s’effondre. Le PS va-t-il défendre sa candidate en Île-de-France ? », intime-t-il ironiquement.
Bé oui, on est en campagne électorale pour les régionales : Il s’agit de piquer de l’électeur à ses adversaires, tien donc !
« Cléclé-Haut-Teint », députée LFI a également pris la défense de sa concurrente : « Ceux qui alimentent chaque jour le racisme, instrumentalisent la cause des femmes et organisent la ségrégation sociale mènent ce soir une campagne misérable contre Audrey Pulvar.
Au fond, droite et extrême droite dénient aux opprimés le droit de se parler et de ne pas se soumettre », a-t-elle lancé.
Un député européen « écololo-bobo » aura également apporté « tout son soutien » à « Audrey-la-sublime ».
Son secrétaire national d’EELV, a estimé dimanche que « la formulation est maladroite, mais les attaques qu’Audrey Pulvar subit sont indignes ».
C’est le moins qu’on puisse en dire.
Maladroite, je veux dire : Le reste, c’est de la campagne électorale et tous ses travers.
« Il ne s’agit pas de la négation d’un principe universaliste, mais d’un moyen utile à la réalisation de cet idéal », conclut-il.
Il n’empêche, les « soces » affirment, par l’intermédiaire de leur secrétaire général, que « légitimer le concept de race est une aberration ».
Et « Sœur-Âne » de « Paris-sur-la-Seine » disait encore la semaine dernière que les réunions non mixtes étaient « très dangereuses ».
C’est le moins qu’on puisse dire aussi…
Bref, ça branle du manche.
 
Il faut dire que depuis l’épisode de « Touche pas à mon pote », qui n’avait pas d’autre objectif que de barrer la route élyséenne du « Chi » en 1988, alors qu’existaient déjà nombres d’association anti-racistes et anti-antisémites qu’on n’entend plus guère, on peut dire que la « gôche-soce » se sera emmêler les pieds dans le tapis.
Entre « Mes-Luches » qui projette de « créoliser » « Paris-bobo » et la « Nation des campagnes & des bourgs » depuis qu’il vit avec Sophia, sa collaboratrice antécédente, c’est désormais le « cachet d’aspirine » qui est jeté hors des réunions « racisées » victime de « racisme ».
On ne sait plus comment brouiller encore un peu plus les idées et les images, en mélangeant sciemment le bon grain et l’ivraie.
 
Une façon comme une autre de saper les fondements des rapports humains « normaux » : On avait commencé avec le féminisme dans une société réputée patriarcale et donc « capitaliste-honnie » et on finit avec « Coco » à poils sur la scène des Césars et des « budgets-genrés » (Cf. Post précédent, en bas à droâte de celui-ci).
Là, pareille : On commence par vouloir protéger nos « minorités visibles » et on finira par être gouvernés par des « suprémacistes » pur-jus.
Déjà qu’on vit masqué et en « garde-à-vue » chez soi, tout devient désormais possible ! 

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire