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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 26 mars 2021

La tournée de la semaine…

Jean-Marc et Jean-Paul refont le monde…
 
Chacun sur son balcon, après l’heure du couvre-feu qui coïncide avec celle de l’apéritif vespéral.
Et pour passer le temps, puisqu’il n’y a plus personne dans leur rue, ils se racontent quelques balivernes pour mieux apprécier les « joies de la vie » !
 
« – Tu connais l’histoire de ces trois filles qui travaillent dans le même bureau ?
Non !
À tous les jours depuis quelques semaines, leur patronne part à 15 heures, et ne revient pas.
La plus délurée des trois dit :
‘‘Pourquoi on ne partirait pas quinze minutes plus tard ? La patronne ne revient jamais. Elle ne le saura pas !’’
‘‘Bonne idée disent les deux autres’’.
La première file chez elle, s’ouvre une bière, et relaxe.
Elle adore ça !
La seconde file au centre commercial faire quelques achats et la troisième rentre chez elle.
En entrant dans l’appartement, elle entend du bruit. Elle avance doucement, et pousse délicatement la porte de sa chambre, et vlan !
Elle découvre son mari qui fait zizi-anpan avec sa patronne !
Elle ferme la porte, et se sauve.
Le lendemain, à 15 heures 15, les deux autres filles décident de remettre ça.
‘‘Pas moi !’’ dis la troisième ‘‘oh non ! Hier j’ai failli me faire prendre !’’.
– Quelle conne : Elle aurait dû venir te voir pour se faire réconforter ! »
 
« – Tu connais le comble pour un dentiste ?
– Non, je ne vois pas…
– Faire une prothèse pour une bouche de métro ! »
 
« – C’est l’histoire du fermier qui rapporte toujours le plus de lait à la fromagerie.
Pourtant tout le monde sait dans le village que ce fermier ne possède que quelques vaches.
Alors comment fait-il ?
– Je ne sais pas !
– Intrigués, les autres fermiers qui ne savent pas non plus, décident d’aller lui poser la question :
« – ‘‘Mais comment fais-tu pour obtenir tant de lait avec si peu de vaches ?
C’est quoi ton truc ?
– Oh ! C’est tout simple…
– Je le savais !’’ réagit l’un d’entre eux : ‘‘Tu utilises des produits spéciaux.
– Mais non… où vas-tu chercher des idées pareilles.
Des produits spéciaux pour les vaches, mais non !
– Alors comment ?
– Bien c’est simple, le matin quand je vais traire mes vaches, pour les motiver je leur pose toujours la même question : « Alors mes petites ! Ce matin qu’est-ce que vous me donnez ? Du lait ou du steak ?’’ »
C’était probablement une revenue.
La suivante, j’en suis sûr !
 
Un gars appelle un de ses amis, responsable de la diffusion des publicités pour une station de télévision bien cotée.
« – Eh, Jack, veux-tu passer mon annonce pour la nouvelle sorte de clou qu’on vient d’inventer ?
– OK Passe-moi la cassette avant, je vais l’écouter. »
Dans le spot télévisé, on voit Jésus sur la croix.
Une voix dit : Les clous Percemur, le “Christ” de bon clous !
Jack rappelle son ami.
« – Tu ne crois pas que ton annonce est un peu osée ?
Je ne peux pas diffuser ça !
– Attends, il y en a une autre sur la cassette. Écoute-la. »
Il remet la cassette dans l’appareil.
On y voit Jésus s’enfuir de la croix.
Un des soldats romains témoin de la scène dit : Ça n’aurait jamais pu arriver avec des clous Percemur !
Dans l’originale on voyait le Christ choir de sa croix…
 
Ah les femmes…
Un centre d’intérêt éternel pour Jean-Marc.
Qui aime à en rappeler les quelques définitions diverses à son pote Jean-Paul dès le deuxième verre :
 
« Définition philosophique : La femme est un sujet sur lequel l’homme aime s’étendre.
 
Définition zoologique : La femme est un animal sans poil dont la peau est très recherchée.
 
Définition mathématique : La femme est un ensemble de courbes qui fait lever une ligne droite.
 
Définition géographique : La femme est comme le globe terrestre.
Entre 15 et 25 ans elle est comme l’Afrique : Chaude, brûlante, à moitié vierge et à moitié inexplorée.
 
Entre 25 et 35 ans elle est comme l’Asie : Exotique et mystérieuse.
 
Entre 35 et 45 ans elle est comme l’Amérique : Déjà bien connue, mais encore belle et pleine de ressources.
 
Entre 45 et 55 ans elle est comme l’Europe : Traversée de long en large, et fatiguée, mais vous pouvez encore trouver des endroits intéressants.
 
Entre 55 et 65 ans elle est comme l’Australie. Tout le monde sait où elle se trouve, mais personne ne pense réellement à y aller. »
 
Un petit garçon arrive à l’école un bon lundi matin tout souriant.
Le professeur lui demande :
« Jean-Marc, tu es bien de bonne humeur ce matin, qu’est-ce qui t’arrive ?
– C’est que ma chatte, vendredi soir, elle a eu cinq petits chattons.
– Cinq ?
– Tous des petits socialistes ! »
Le professeur étant lui-même un partisan de la seconde internationale prolétaire & socialiste lui dit :
« Écoute Jean-Marc, la semaine prochaine M. l’inspecteur va passer et tu lui raconteras çà. »
Comme prévu la semaine suivante l’inspecteur adresse quelques mots aux enfants et demande ensuite si quelqu’un avait des questions.
Le professeur lui dit :
« Je crois que Jean-Marc a quelques choses à vous raconter.
Jean-Marc, tu veux raconter à M. l’inspecteur ce que tu nous a dit la semaine dernière. »
Jean-Marc se lève…
« – Eh bien M. l’inspecteur, il y a une dizaine de jours ma chatte a eu cinq petits chattons, tous des petits frontistes ».
– Mais ce n’est pas çà que tu nous a dit la semaine dernière », lance le prof !
« – Tu as dit que c’était tous des petits socialistes.
– Oui, mais maintenant, ils ont ouvert les yeux et ils voient clairs. »
 
Toujours à l’ékole, il y a longtemps, On demande au petit Jean-Marc d’écrire une phrase sur la pluie.
Alors il écrit : “Quand il pleut il tombe deux fois plus de pluie dans mon jardin que dans celui du voisin”.
La maîtresse surprise l’interpelle :
« – Mais c’est impossible Jean-Marc qu’il tombe 2 fois de pluie dans ton jardin que dans celui de ton voisin.
– Mais si maîtresse ! Notre jardin est 2 fois plus grand ! »
 
Jean-Marc et Jean-Paul, devant leur troisième apéritif vespéral :
« – Sais-tu que le gouvernement de Casse-tête songe à faire incinérer les Corses qui décèdent pour, ensuite, récupérer leurs cendres, et les mélanger au nouvel asphalte.
– Ah bon ? Et pourquoi ça ?
– Pour empêcher l’asphalte de travailler… »
 
Célibataire avant de rencontrer Germaine, Jean-Marc, très amoureux, sortait depuis 3 ans avec une très belle fille appelée Alexandra, et jusque-là, il n’avait jamais essayé d’avoir une relation sexuelle avec elle.
Un jour, il commence à la caresser passionnément, il lui enlève tous ses vêtements, mais quand il essaya de lui faire l’amour, elle s’excusa en disant qu’elle le ferait seulement après le mariage, mais que, une fois mariés, elle irait jusqu’à faire “la brouette ivoirienne”.
Très confus, Jean-Marc appela Johanna (une femme avec qui il faisait certaines escapades).
Il alla à son appartement et lui demanda de faire “la brouette ivoirienne”.
Effrayée, Johanna commença à crier en disant qu’elle était une femme respectable et que jamais il ne lui passerait par la tête de faire une chose pareille et lui ordonna de sortir immédiatement de chez elle, en lui disant de l’oublier pour toujours.
Encore plus confus, Jean-Marc décida d’aller dans un bordel.
Il choisit une belle femme, alla dans une chambre avec elle et lui demanda si elle faisait de tout.
Elle répondit qu’elle faisait n’importe quoi pour de l’argent.
Il lui demanda de faire “la brouette ivoirienne”.
Elle, pute de profession, répondit que malgré le fait qu’elle soit pute et vulgaire, elle était une femme très respectable et elle commença à le frapper.
Entendant un tel chahut, le gérant ouvrit la porte d’un coup de pied et demanda : “Que se passe-t-il donc ici ?”
Jean-Marc, plus confus que jamais, lui dit qu’il avait seulement demandé à la femme un peu de “la brouette ivoirienne” avec lui.
En entendant ceci, le gérant s’emporta et le sortit à coup de pieds du bordel en criant qu’il n’ose plus jamais réapparaître dans le coin.
Toujours plus confus, Jean-Marc alla chercher Jean-Claude (un gay) pour éclaircir ses doutes.
Quand il le rencontra dans son salon de coiffure, ils se saluèrent très chaleureusement, et Jean-Claude lui dit qu’il était prêt à passer la nuit avec lui. Jean-Marc l’emmena et lui proposa aussi de faire “la brouette ivoirienne”.
Jean-Claude ne supporta pas d’entendre cela et commença à le taper à coup de séchoir à cheveux et lui dit que c’était un pervers qu’il ne voulait plus le revoir de son vivant et il le vira.
Jean-Marc était maintenant très nerveux qu’il en devenait fou.
Il alla chercher Alexandra (sa fiancée) et lui demanda de se marier tout de suite et surtout faire “la brouette ivoirienne”.
Alexandra accepta et, très euphorique, elle promit qu’elle le rendrait très heureux et qu’ils feraient “la brouette ivoirienne” autant qu’il le souhaiterait.
Ils se marièrent… et partirent en lune de miel.
Jean-Marc, très inquiet, voulait interrompre le voyage pour faire cette fameuse “brouette ivoirienne”.
Dans cette angoisse, il détourna son attention de la route, et il prit un arbre de plein fouet.
Alexandra décéda.
Jean-Marc est encore en ce moment en train d’essayer de trouver ce qu’est “la brouette ivoirienne”… et Jean-Paul aussi en écoutant ce récit.
Comme j’ai perdu mon temps à lire cette konnerie où au final on ne te dit pas ce qu’est cette sacrée ‘‘brouette ivoirienne” et comme je refuse de rester seul dans ce doute, surtout le seul à me faire avoir, je partage pour mieux en rire !
 
L’homme d’affaires arrive chez lui très fatigué, de peine et misère il se traîne à sa chaise préférée et s’y laisse tomber.
Sa gentille épouse lui demande :
« Est-ce que tu veux un breuvage, mon chéri ? »
Et tout en essayant de le réconforter, elle lui demande :
« – Une dure journée aujourd’hui ?
– Oui, ne m’en parle pas ! L’ordinateur a planté et nous avons dû penser par nous-mêmes… toute la journée ! »
 
Solutions des contrepèteries de la semaine dernière :
 
« Les abbés se tâtent… »
« La romancière ne veut pas lécher le facteur !»
« Les grosses bises du chameau… »
(Il semble qu’il y ait eu une erreur de relecture : Désolé !)
 
Celles proposées cette semaine à votre sagacité :
 
« Graver la notice… »
« Tricotez vous-même votre poncho, Madame… »
« Ah, les fûts des coquilles ! »
 
Bon week-end à toutes et à tous !
 
I3
 
PS : N’oubliez pas la bibliothèque de « mon gardien » (à copier/coller. Je ne parviens plus à faire des liens hypertextes avec cette version de Word-là !) :
Ma bibliothèque (livresinterdits.blogspot.com)
https://livresinterdits.blogspot.com/2019/09/ma-bibliotheque-1.html

 

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