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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

mercredi 3 mars 2021

Craché-juré : Il n’y aura pas de passeport vaccinal !

Pas plus qu’on ne taxera pas l’épargne…
 
Où la parole publique est totalement dévoyée.
Voire tout simplement violée sans vergogne.
Et en plus, on vote pour eux que c’est merveilleux !
 
Soyons clairs : Taxer l’épargne, elle l’est déjà dès qu’elle « bouge ». Je veux dire que l’épargne, ce sont des fonds immobilisés provisoirement. Ils sont taxés au moment de leur immobilisation et quelle qu’en soit l’origine (hors le « black ») et ils sont taxés une nouvelle fois dès qu’il sont mobilisés, quelle que soit la destination (hors le « black », naturellement).
Sauf que le « black », il faut pouvoir le « blanchir » dès que ça représente plus que le prix du paquet de cigarette… naturellement.
Et ce n’est pas donné à tout le monde, naturellement.
Et puis l’épargne, quand ça reste « immobile », pour être de l’immobilier, c’est-à-dire qui ne peut pas s’en aller, c’est déjà taxé de tous les côtés.
Bref, un racket-légal très bien organisé !
 
Pour le passeport-sanitaire, il n’y en aura pas, on a bien noté : Ça portera seulement un autre nom, comme de bien entendu.
Mais c’est déjà en marche, comme de bien entendu.
Pas d’obligation de se vacciner ? Mon corps est à moâ et les expérimentations, voire seulement des soins, doivent être acceptés préalablement par le quidam qui prend alors le nom de « patient ».
Je n’ai jamais su pourquoi on appelle « ça » patient : Peut-être parce qu’il patiente en attendant l’issue forcément fatale…
 
Bref, la Commission européenne a annoncé le 1er mars qu’elle présenterait un projet de « passeport vert » numérique afin que les Européens puissent voyager plus librement en attestant de leur vaccination contre le « Conard-virus » ou de tests négatifs.
Ça sera ce 17 mars…
« Nous présenterons ce mois-ci une proposition législative pour un Digital Green Pass, avec l’objectif de permettre graduellement aux Européens de se déplacer en sécurité au sein de l’UE ou en-dehors, pour le travail ou du tourisme », a annoncé la présidente de la Commission, « Ursule-là-de-la-Lyre ».
Pourquoi vert ?
La reprise d’une idée de mes « cousins-natio » ou pour faire plaisir aux « écololos » qui ne servent à rien dans cette histoire-là ?
 
Ce passeport pourrait également indiquer si une personne « peut être considérée comme immunisée en raison de sa situation sanitaire et de la présence d’anticorps ».
Anticorps de quoi ?
Contre la konnerie ou seulement contre sa cotisation à « Anticor » ?
Ça arrivera bien un jour ou l’autre : Il faut bien un certificat médical pour adhérer à un club de sport…
Et la proposition sera soumise le 25 mars au prochain sommet des Vingt-Sept, car c’est une réunion des ministres européens de la Santé qui en a décidé ainsi en janvier dernier dans le grand silence des « maladies honteuses », au moins quant au principe de « normes partagées » pour ce certificat.
Un système dont la mise en place demandera au moins trois mois.
Ceci dit, personne ne sait encore si une vaccination fait cesser les transmissions du virus.
Au mieux, d’après ce qu’en a dit mon toubib référent, ça évite juste la « case réanimation » pour les cas les plus graves…
Mais il faudra y repasser tous les ans… au moins !
 
« Pas question de lier la vaccination à la liberté de se déplacer en Europe », a réagi la ministre belge des Affaires étrangères, estimant que la notion de « pass » vert « porte à confusion ».
Mais d’autres pays veulent une adoption rapide, dont l’Autriche ou la Grèce.
Cette dernière est en effet soucieuse de sauver sa saison estivale.
Et franchement, moâ j’ai hâte d’aller voir la mer et de m’y baigner : Comme l’année dernière, je redoute le pire pour pouvoir accéder à mes plages de Balagne…
Et face aux « mutants », finalement on repart de zéro, comme l’année dernière à la même époque !
Et toujours sans traitement efficace…
Sauf qu’on aura appris entre-temps à utiliser des masques (tant pis pour « Si-Bête-la-Diarrhée »), qu’on a désormais à profusion…
 
Et puis il se trouve le « passeport vaccinal » fait actuellement l’objet d’une consultation citoyenne en ligne, lancée par le Conseil économique, social et environnemental (CESE).
De quoi se mêlent-ils, ceux-là ?
Ailleurs, comme en Suède ou au Danemark, l’idée se concrétise également.
En « Gauloisie-aérienne », c’est la compagnie « Air-transe » qui a lancé les hostilités en ouvrant une expérimentation dès le 11 mars, exigeant des passagers à destination des Antilles les résultats d’un test PCR de moins de soixante-douze heures, pour une validité d’un mois.
Au moment où certains commencent à envisager l’idée d’apprendre à vivre avec le « Conard-virus », le scénario peut séduire, même s’il en inquiète d’autre.
 
Il faut dire que le passeport est un outil bien connu depuis l’Ancien Régime et encadré juridiquement : Il est le titre d’identité (comme la carte nationale d’identité) délivré par l’administration d’un État pour certifier à la fois l’identité de la personne, sa nationalité et sa capacité à franchir librement les frontières, suivant les règles en vigueur pour chaque pays.
Le passeport a ainsi par principe une vocation internationale, même s’il peut être utilisé sur le territoire national pour attester de son identité.
Et là, en matière sanitaire, les choses deviennent moins claires : Aucune norme nationale ou européenne ne connaît le terme de « passeport vaccinal » ou « passeport sanitaire ».
Historiquement, la notion est aussi inconnue, même si le XVIIIème siècle, marqué par des épidémies, où on voit naître des « billets de santé » permettant d’établir le « bon état sanitaire des voyageurs ».
 
Par ailleurs, même si les vaccins juvéniles sont obligatoires au niveau national ou pour franchir certaines frontières, ils ne sont pas intégrés au passeport.
Celui qui le souhaite peut faire établir auprès de son médecin un certificat de vaccination (ou de contre-indication à la vaccination) qu’il présente lors du passage de la frontière. Sauf que ce document peut être rendu obligatoire, mais n’a rien à voir, du point de vue juridique avec un passeport.
 
Si on assimile un tel document au concept de « passeport vaccinal », l’idée est alors plus précise : Pour se rendre dans certains lieux sur le territoire national (salle de concert, musée, ékole, etc.) ou pour voyager à l’international, la présentation d’un document attestant de la vaccination deviendrait obligatoire.
Rappelons que cette formulation, finalement assez proche de cette idée, s’était retrouvée dans le premier article d’un projet de loi « instituant un régime pérenne de gestion des urgences sanitaires » déposé par le « Premier sinistre » à la fin de l’année 2020, avant que d’être retirée face aux contestations.
Il s’agissait de « subordonner les déplacements des personnes, leur accès aux moyens de transport ou à certains lieux (…) à la présentation des résultats d’un test de dépistage établissant que la personne n’est pas affectée ou contaminée, au suivi d’un traitement préventif, y compris à l’administration d’un vaccin, ou d’un traitement curatif ».
Ça avait choqué les « bonnes âmes » (y compris la mienne m’imaginant monter dans un bus…) pour entraîner une sorte d’apartheid qui ne dit pas son nom avec des citoyens « tous égaux », mais certains plus que d’autres !
Qu’on finira même par créer des ghettos étanches entre « vaccinés » et « covidés » !
Une absurdité dans la mesure où le vacciné n’a plus rien à craindre du contaminé…
Passons.
 
En fait, ce qui a tué le projet, c’est que le texte n’avait pas vocation à s’appliquer à la crise sanitaire actuelle, mais à instaurer un régime juridique durable pour d’éventuelles crises sanitaires à venir pour lequel le Conseil d’État avait émis un avis réservé. Mais il visait tout de même, et dans un même élan, le test négatif et le vaccin contre le « Conard-virus ».
En effet, ne retenir que l’exigence du vaccin conduit, mécaniquement, à rendre la vaccination obligatoire (même si l’exigence est limitée à certains lieux ou activités, il y aura une forme d’obligation implicite).
Or, si une telle obligation est juridiquement admissible et est déjà pratiquée pour les nouveau-nés, elle est soumise à la condition de l’accessibilité du vaccin : Tout le monde doit pouvoir y avoir accès, dans des conditions satisfaisantes, ce qui n’était pas le cas.
Dans la situation actuelle, où l’accès au vaccin est conditionné et complexe, il résulterait d’une telle disposition la création intolérable d’une discrimination !
 
Or, si les difficultés d’accès aux vaccins pouvaient être résolues dans quelques mois au niveau national, il n’est pas certain qu’il en soit de même sur le plan international. Il pourrait alors en résulter une inégalité entre pays « riches », où les habitants seraient libres de circuler, car détenteurs d’un tel passeport, et pays « pôvres », où le vaccin n’est pas disponible et où la population serait donc isolée.
L’OMS et l’Union européenne mettaient d’ailleurs en avant ce risque.
Mais d’autres difficultés se présentent à un tel projet.
D’abord, une obligation de se faire vacciner ne pourrait résulter que de la loi (et non uniquement du pouvoir exécutif).
Un débat s’engagerait alors devant l’Assemblée nationale et le Sénat. De plus la mesure devrait faire face au contrôle a priori du Conseil constitutionnel.
La chose serait absolument inédite, puisqu’il ne s’agirait ni d’une exigence strictement internationale, ni d’une vaccination infantile, que le Conseil constitutionnel avait validée à ce titre.
Pas de problème : Le passeport vaccinal constituerait une mesure attentatoire à plusieurs droits et libertés fondamentaux, comme la liberté d’aller et venir, l’intégrité corporelle, et même la vie privée, comme l’a déjà reconnu la Cour européenne des droits de l’homme il y a quelques années de ça (justement à propos de la vaccination obligatoire).
Pour être constitutionnel, il faudrait alors que l’exigence d’un tel document soit absolument « nécessaire et proportionnée », selon la formule habituellement retenue, car son contenu est d’appréciation « souple » puisqu’il n’en existe aucune définition précise.
 
Et sur le territoire national au moins, les lieux ou déplacements où le passeport serait requis devraient cependant être très limitativement définis.
Des lieux strictement vitaux (essentiels, comme les librairies récemment…) pour les individus dont la liste devrait immanquablement faire débat : Lieux de santé, fournitures « vitales », etc., alors que d’autres devraient également en être exclus.
Il faudrait enfin prévoir d’assimiler la vaccination à la contre-indication au vaccin, sans que la différence apparaisse sur le document remis pour ne pas atteindre au secret médical…
Kafkaïen !
Et puis penser que mettre en place un tel document nécessiterait impérativement la construction d’une base de données des personnes vaccinées pour contrôle des fraudeurs.
Or, s’il existe déjà un fichier dédié, les finalités définies par le texte réglementaire qu’il l’encadre ne prévoient absolument pas son utilisation pour limiter le déplacement des individus !
Une modification du texte serait sur ce point indispensable, ce qui induirait un contrôle de la CNIL qui, bien que dépourvue d’un pouvoir contraignant, saurait sans doute soulever des méfiances importantes pour un tel projet.
Et il est pour le moment impossible de savoir si la CNIL a déjà été saisie d’un préprojet en ce sens, mais la division prospective de l’autorité avait déjà livré de premières réflexions sur le sujet en mai 2020.
 
Certes, il serait bien sûr théoriquement possible de se passer de l’existence d'un tel fichier centralisé, en utilisant le vieux carnet de santé individuel. Mais on s’expose alors à une absence de sécurisation et à l’apparition de faux, comme c’est d’ores et déjà le cas pour les tests PCR rendus obligatoires dans certaines circonstances.
Plus largement, sur la question des données personnelles, comment éviter le traçage et le contrôle des individus qui suivraient nécessairement la mise en place d’un tel outil, notamment si ce fichier est consulté lors des déplacements de l’individu ?
Le traçage des populations, déjà dénoncé en matière sécuritaire, trouverait ici un développement sanitaire important, bien plus loin encore de ce qui est déjà mis en place.
Comment ne pas percevoir également dans une telle démarche un nouvel exemple de « biopouvoir » constitué par la saisine, par le pouvoir politique, du biologique ?
L'État se saisirait avec un tel outil du plus intime de chaque individu.
Mais c’est pour « votre bien » (et le grand bonheur de vivre en « démocrature-resplendissante »). Donc le choix même du vocabulaire est sur ce point révélateur : Le passeport est un outil régalien, il appartient à l’État et en est l’un des symboles les plus importants.
Il deviendrait ici un symbole de la prise en compte du corps biologique des individus, devenant propriété exclusive de l’État…
Le régime des soviets qui revient par la bande !
Puisqu’il est aussi question de ne pas taxer vos avoirs vous dit-on, alors même que vous avez compris très logiquement l’inverse.
 
Le « Digital Green Pass » n’aurait peut-être pas la même nature : Il s’agit d’un « sésame » pour franchir une frontière, entrer dans une zone « sous contrôle ».
Mais comme la création d’un « passeport vaccinal » n’est pas chose impossible juridiquement même en « Gauloisie-des-libertés », bien que soumise à des contraintes importantes et de nombreuses zones d’incertitudes tant le procédé serait inédit, il y a tout lieu de penser que tôt ou tard, l’idée va s’imposer.
 
Nos « sachants » adorent tout contrôler… ce qui ne leur évite pas les surprises.
Même si, même bien défini, encadré et délimité, un tel dispositif constituera un pas de plus vers le « traçage » sanitaire des individus, il aura bien un avenir « juridique » contraignant : Ils ne connaissent que ça.
Déjà votre dossier médical, qui reste juridiquement votre propriété exclusive, est partagé par les acteurs du système de santé.
Même les compagnies d’assurance-complémentaire savent « éplucher » leur dossiers de remboursement et d’autres sont capables de savoir si vous êtes un honnête conducteur ou un mek à « malusser »…
 
C’est finalement assez drôle : Non seulement, une fois de plus, ils renient leur « parole donnée », mais on savait déjà qu’ils vendraient père & mère pour n’importe quelle lubie.
Ce n’est pas une surprise.
Mais songez-y, l’idée de se promener avec une carte de plus attestant que vous êtes immunisé pour entrer dans un musée ou seulement une boutique de bouffe & boisson, pour accéder à la terrasse d’un café ou aller se promener dans une forêt domaniale, pour suivre des cours à la fac ou à l’ékole, va s’imposer au moment même où, à force de vaccinations tous azimuts, le « Conard-virus » va s’éteindre.
Et on aura sauvé nos « soignants-de-première-ligne » et leur cher (c’est le cas de le dire) hôpital (public ou privé) !
 
Bref, le « green pass » de mes cousins « Natio de Corsica-Bella-Tchi-Tchi » (une idée déjà en vogue au printemps dernier et violemment combattue par les préfets de l’époque) deviendra parfaitement inutile !
Du coup, on aura pu abandonner une large part de nos libertés, et de façon définitive parce que ce sera réactivé à la première occasion, juste pour ne pas mettre à terre un système de soins largement sous-dimensionné puisqu’incapable de faire face en avril dernier…
 
Pas mal pour un « Conard-virus » dont tous les virions au monde tiendraient dans une canette de bière…
De bière… « Corona », naturellement.
Ou le résultat de la folie des homos sapiens-sapiens quand on les fait pétocher en leur mettant sous les yeux des chiffres déments de contaminations.
Finalement, il y aura eu quantité de décès, c’est vrai, dont beaucoup dits « prématurés », mais pas tous loin de là, c’est dire qu’il en faut assez peu pour vous faire ramper !
Nos ancêtres avaient plus de kouille face à la « grippe espagnole » qui avait tout de même fait beaucoup plus de dégâts.
Je ne serai plus là pour voir les effets du « prochain coup », mais ça va être jouasse pour les « babys-crash » quand ils seront adultes…

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