Et ils craquent !
On vit où au juste ?
21.000 personnes mouraient de faim dans le monde tous les jours en 2020.
21.000…
366 jours.
Mon pays comptait 667.400 décès en 2020, contre 613.243 en 2019 (et 609.648 en 2018, 606.274 en 2017, 593.865 en 2016), en légère progression constante d’une année sur l’autre : Logique, on est toujours plus nombreux à vivre sur le territoire national.
Et il faut bien faire de la place aux jeunes.
Bon, c’est vrai, la « grippette » aura accéléré le mouvement, mais à la marge (8,8 % de progression contre une accélération des décès de 5,9 % l’année précédente, avec une progression moyenne de l’ordre de 2 à 3 % encore précédemment).
Autrement dit la « grippette », c’est à peine 2,9 points de mieux (ou de pire), pas plus.
2,9 points c’est 19.354 décès rien que pour la « Gauloisie-grippée » !
Moins en un an que les ravages de la famine tous les jours…
Et quelles mesures prend-on au juste ?
Vous n’étiez pas nés, mais souvenez-vous tout de même du temps de
l’occupation nazie : Il fallait sortir avec ses papiers en règle et
rentrer chez soi avant 20 heures (heure de Berlin).
Or, désormais, partout en « Gauloisie-libérée », pour cause de « grippette » il faut être rentré chez soi à 19 heures (heure de Berlin) et devoir justifier de son identité quand vous sortez en-deçà de 10 km de votre domicile…
Dès au pied de votre porte de jardin !
Au-delà, dans plusieurs départements, il faut justifier d’un « ausweis », un « laisser-passer » auto-délivré à condition de pouvoir justifier d’un motif hautement autorisé.
Un « truc » qui n’existait plus en Europe depuis la chute du mur de… Berlin !
C’est passablement délirant et n’empêche même pas les décès à la chaîne.
Le pire de ce qui reste incompréhensible, c’est qu’il suffit d’avoir un
chien à promener pour dépasser ces horaires et aller même jusqu’au bord de mer,
fermé pour tout autre.
Les ceux-ce avec un chat, un chimpanzé, une tortue, un poisson rouge ou un boa constrictor, ils restent enfermés…
Sortir encore… Parce que tout est fermé, même les superettes à ces heures vespérales tardives !
Rien à faire dehors sauf… à user ses semelles.
Parce que pas question non plus de retrouver des copains, sauf à l’ékole, naturellement, juste pour s’en « serrer 5 » (c’est pas covid : on se touche le coude) et encore, masqué (sauf que dans les ékoles encore, car ce n’est pas évident durant toute une journée), comme dans tous les bons carnavals.
Que même les marseillais ont craqué : Il faisait beau, ils étaient 6.500 à faire les guignols le week-end dernier, au grand dam des « autorités-autorisées » devenues incapables de contrôler même la chaussée publique !
C’est dire combien le « Conard-virus » est révélateur des « fractures » qui lézardent nos sociétés « post-modernes » dans ses contradictions : On reste capable d’identifier une voiture qui roule un chouilla trop vite et passe devant un robot-flasheur, mais pas les « irresponsables » qui picolent sur les trottoirs au son des flonflons !
Fantastique, non ?
Et puis pour couronner la soirée du week-end, dans le prolongement du PSG
qui ratatine l’OL et le XV qui écrase des mêmes 2 points d’écart au score leurs
adversaires du moment (tous ces « petit-jeunes » en culottes courtes
qui courent après le même ballon qavec des airs supérieurs de star sur un
hectare de pelouse : C’est dire le niveau de la santé mentale du pays
vautré dans ses « canne-à-pets » à les regarder faire), on nous sort
« Titit-Le-Bretonneux », commissaire européen en charge des vaccins
dans le civil, pour nous assurer que l’Europe se trouvait désormais dans la
dernière ligne droite face au « Conard-virus » !
Un de plus qui voit le « bout du tunnel »…
Parce que bon, ça aura eu un peu merdé la semaine dernière alors que la vaccination s’effectue de façon parfaitement fluide en Israël ou aux États-Unis, ce qui reste parfaitement incompréhensibles à nos propres populations autochtones.
Mais on les fait rêver, alors ils font les « flonflons » dans les rues de Marseille !
Que la campagne de vaccination ait commencé avec quatre semaines de retard
par rapport à nos voisins britanniques ou trois semaines après les Américains,
le commissaire le justifie encore parfaitement sereinement : « Je vois
sur le terrain (…) que l’on monte en puissance, l’ensemble de notre
infrastructure pour faire quelque chose d’inédit (…) pour faire en
quelques mois des milliards de doses. Nous avons désormais 55 usines en Europe
qui fonctionnent jours et nuits, nous fabriquons 100 à 150 millions de doses
par mois. Et sur le deuxième trimestre nous allons livrer en Europe entre 300
et 400 millions de doses ».
Et de se montrer optimiste (depuis le terrain de ses locaux bruxellois), car il ajoute penser que dès le 14 juillet prochain, l’Europe sera en capacité d’atteindre l’immunité collective.
« Chouette ! » m’esclame-je, « On aura droit au bal (masqué) des pompiers ! »
Moâ, je veux bien être optimiste. C’est dans ma nature pour surmonter les
tempêtes.
Si en « Gauloisie-festive » on ne parle plus de « confinement » (le mot interdit, un de plus !) mais de « mesures de freinage massif », face à cette « troisième vague », les nouvelles restrictions ne sont qu’une forme de « confinement allégé » auquel plus personne ne comprend rien (pas même les fonctionnaires chargés de rédiger les motifs dérogatoires) parce qu’en fait on veut privilégier le confinement à… l’extérieur de chez soi !
Admettons, mais cela suffira-t-il ?
Les chiffres (probablement frelatés, mais seulement à la marge) se maintiennent à un niveau très élevé
Et chez nos voisins ?
Les autorités « Teutonnes » donnent un nouveau tour de vis pour
contrer ladite « troisième vague » alors qu’ils vaccinaient à bras
raccourci.
Les länder se retrouvent à cette occasion pour une nouvelle réunion sur la stratégie anti-pandémique, alors qu’elle devait être consacrée il y a quelques semaines encore à de nouveaux assouplissements du confinement partiel.
L’ordre du jour a complètement changé face à la propagation du « mutant » britannique.
Ah les britanniques, ils ont bon dos…
Dans un document préparatoire à la rencontre, il est demandé que toutes les restrictions et fermetures en vigueur dans le pays, en théorie jusqu’à fin mars, soient « prolongées » en avril.
Le document parle d’une « dynamique exponentielle » des infections.
Leur taux d’incidence national est en effet passé dimanche au-dessus du seuil symbolique de 100 (à 103,9), qui déclenche des « freins d'urgences », à savoir de nouvelles restrictions au niveau local ou annulations d’assouplissements récemment décrétées. Les contaminations sont en hausse depuis une dizaine de jours, mettant fin à une phase en « plateau ».
Les réouvertures envisagées le 4 avril dans la restauration en plein air ou de lieux culturels et sportifs notamment, paraissent désormais être renvoyées à des perspectives plus que très lointaines.
En « Ritalie », où on a dépassé les 100.000 morts, le pays est
aux trois-quarts confiné depuis lundi en huit.
Les « Ritaliens » concernés par les nouvelles mesures seront confinés jusqu’au 6 avril, ce qui inclut les fêtes de Pâques. Ékoles, restaurants, magasins et musées sont fermés dans la majeure partie du pays, classée en zone rouge contre le « Conard-virus ».
Depuis maintenant une dizaine de jours, les contaminations quotidiennes dépassent les 20.000. Elles étaient inférieures à 15.000 en février. Le pays table sur une amélioration « dans la seconde moitié du printemps », seulement.
La Sardaigne, qui faisait figure d’exception avec relativement peu de restrictions voit les mesures se durcir en raison d'une dégradation de sa situation sanitaire.
Depuis le 1er mars, l'île méditerranéenne était la seule région « ritalienne » classée en zone blanche, c’est-à-dire en risque faible. Les bars et les restaurants pouvaient ouvrir la nuit et la vie y était pratiquement revenue à la normale.
Les autorités-autorisées comptent seulement, là aussi, sur l’accélération de la vaccination pour soulager la pression.
La situation n’a plus rien à voir avec celle au début de l’hiver chez les
sujets de sa très gracieuse majesté des britanniques. Les contaminations sont
revenues à un niveau proche de celui à l’automne. Mais ça contamine tout de
même…
Depuis un mois, elles n’ont pas dépassé le seuil des 10.000, alors qu’elles étaient autour de 50.000 début janvier, ce qui avait imposé le confinement.
« BoJo », leur « Premier-sinistre » à eux avait dit fin février ambitionner un retour à la quasi-normale pour l’été.
Pour l’été seulement…
Cela a de quoi étonner mais le gouvernement a fondé sa stratégie de sortie de crise sur la campagne de vaccination, lancée début décembre et qui bat désormais son plein. Et les effets se font enfin sentir, avec une baisse des contaminations, des hospitalisations et des décès.
Près de 30 millions de personnes ont déjà reçu une première dose.
En « Hispanie », les restaurants restaient ouverts mais la
situation sanitaire n’est plus la même qu’il y a quelques mois. Les
contaminations quotidiennes sont aux alentours de 5.000, contre plus de 35.000
fin janvier.
Et si les bars et restaurants sont ouverts, les restrictions varient selon les régions.
Certains établissements n’ouvrent que les terrasses, d’autres également en intérieur.
Les horaires d’ouverture varient également. Le territoire est soumis à un couvre-feu, à partir de 22 heures et jusqu’à 6 heures ou 7 heures, selon les régions.
Ils vaccinent eux aussi mais n’en font pas les Unes de manchette.
Bref, c’est toujours le foutoir…
La situation est d’essence chaotique.
Pendant ce temps-là, les marseillais fêtaient bruyamment les nouvelles
mesures gauloisiennes.
Même que sur 6.500, on n’en chopé que 9 sans masque (le bel effort que voilà !) et que le préfet n’a pas hésité à faire régner l’ordre-républicain seulement quand… ils ont pris d’assaut un manège municipal !
J’avoue humblement que j’hésite entre rigolade et tristesse… On se fout de qui au juste ?
Il faut vous dire aussi que dans ma rue, il y a plusieurs trous dans le
trottoir.
Les uns ne vont pas très loin et accueillent les « armoires de connexions » téléphoniques.
Dans la journée s’y empilent les matelas et couvertures des SDF du quartier…
Parfois même quelques provisions : Ça permet d’user ses semelles plus « légers »…
C’est que le téléphone, il faut marcher vers une prise disponible pour le recharger.
Un peu plus loin, il y a une bouche d’égout qui descend « plus profond ».
Systématiquement de 18 à 22 heures (après je rentre me coucher), celle-ci est ouverte et voit s’y enfiler des grappes de « d’jeuns » qui vont passer la nuit sous la chaussée.
En général ils ressortent sur le coup de 6 heures, tout crottés et laissent des traces de boue blanchâtre bien visibles sur le trottoir…
Je reste un « grand tolérant » devant l’Éternel, mais franchement, je ne comprends pas l’intérêt d’aller s’enterrer dans les miasmes et détritus toute une nuit alors qu’on est confiné… dehors !
On a dit « confiné à l’extérieur », pas dans les caves et égouts, quoi !
Et ces deux populations se promènent « librement » sans masque, ou alors posé sagement sur le menton… mais ils ont la bonne idée de ne pas envahir le manège pour enfant…
Alors on les laisse faire !
L’ordre-républicain est absent…
Il y aurait de quoi en rire si on ne cherchait pas par ailleurs à me
brimer dans ma liberté de vaquer.
Ça fait plus d’un an, hors l’intermède estival, que je ne suis pas allé sur « les planches » trouvillaises m’offrir une assiette de fruits de mer arrosée d’un gros-plant bien sec du pays nantais, que je n’ai pas sué à allumer un barbecue pour y griller mes brochettes.
Mais on va m’obliger à me vacciner pour pouvoir retourner « relever les murs » des pierres tombées durant l’hiver des tombes de mes ancêtres en « Corsica-Bella-Tchi-Tchi ».
Franchement, moâ aussi j’en ai ras-le-bol de tous ces interdits et restrictions nouveaux, hors du sens commun, et de toutes ces violations concomitantes de la discipline commune.
Tout ça ne sert finalement à rien !
Et c’est désespérant.
Alors moâ aussi je vais craquer… dans mon optimisme natif !
Si ça continue, le fusible va fondre.
Tout cela pour imposer une « dictature sanitaire ».
Les meks se font peur et vous foutes la trouille parce qu’il est mort 180 fois moins de personne en « hexagonie » que de la faim dans le monde : N’ont-ils pas honte ?
Tout cela va se traduire par un rejet global, tôt ou tard.
Un rejet des incompétents qui nous gouvernent ménageant à la fois la chèvre et les choux.
Pour n’avoir finalement le bénéfice ni de l’un ni de l’autre.
À mon sens, il est temps de sortir de tous ces délires et non-sens, une bonne fois pour toute.
Mais comme je ne suis pas tout seul à en décider, on se recomptera dans un an en votant pour « Cheminable » ou « La salle »… puisqu’il n’y a que ça qui les intéresse, finalement : Vous verrez, ces deux-là feront un meilleur score qu’il y a 4 ans !
Et ça se mérite.
21.000 personnes mouraient de faim dans le monde tous les jours en 2020.
21.000…
366 jours.
Mon pays comptait 667.400 décès en 2020, contre 613.243 en 2019 (et 609.648 en 2018, 606.274 en 2017, 593.865 en 2016), en légère progression constante d’une année sur l’autre : Logique, on est toujours plus nombreux à vivre sur le territoire national.
Et il faut bien faire de la place aux jeunes.
Bon, c’est vrai, la « grippette » aura accéléré le mouvement, mais à la marge (8,8 % de progression contre une accélération des décès de 5,9 % l’année précédente, avec une progression moyenne de l’ordre de 2 à 3 % encore précédemment).
Autrement dit la « grippette », c’est à peine 2,9 points de mieux (ou de pire), pas plus.
2,9 points c’est 19.354 décès rien que pour la « Gauloisie-grippée » !
Moins en un an que les ravages de la famine tous les jours…
Et quelles mesures prend-on au juste ?
Or, désormais, partout en « Gauloisie-libérée », pour cause de « grippette » il faut être rentré chez soi à 19 heures (heure de Berlin) et devoir justifier de son identité quand vous sortez en-deçà de 10 km de votre domicile…
Dès au pied de votre porte de jardin !
Au-delà, dans plusieurs départements, il faut justifier d’un « ausweis », un « laisser-passer » auto-délivré à condition de pouvoir justifier d’un motif hautement autorisé.
Un « truc » qui n’existait plus en Europe depuis la chute du mur de… Berlin !
C’est passablement délirant et n’empêche même pas les décès à la chaîne.
Les ceux-ce avec un chat, un chimpanzé, une tortue, un poisson rouge ou un boa constrictor, ils restent enfermés…
Sortir encore… Parce que tout est fermé, même les superettes à ces heures vespérales tardives !
Rien à faire dehors sauf… à user ses semelles.
Parce que pas question non plus de retrouver des copains, sauf à l’ékole, naturellement, juste pour s’en « serrer 5 » (c’est pas covid : on se touche le coude) et encore, masqué (sauf que dans les ékoles encore, car ce n’est pas évident durant toute une journée), comme dans tous les bons carnavals.
Que même les marseillais ont craqué : Il faisait beau, ils étaient 6.500 à faire les guignols le week-end dernier, au grand dam des « autorités-autorisées » devenues incapables de contrôler même la chaussée publique !
C’est dire combien le « Conard-virus » est révélateur des « fractures » qui lézardent nos sociétés « post-modernes » dans ses contradictions : On reste capable d’identifier une voiture qui roule un chouilla trop vite et passe devant un robot-flasheur, mais pas les « irresponsables » qui picolent sur les trottoirs au son des flonflons !
Fantastique, non ?
Un de plus qui voit le « bout du tunnel »…
Parce que bon, ça aura eu un peu merdé la semaine dernière alors que la vaccination s’effectue de façon parfaitement fluide en Israël ou aux États-Unis, ce qui reste parfaitement incompréhensibles à nos propres populations autochtones.
Mais on les fait rêver, alors ils font les « flonflons » dans les rues de Marseille !
Et de se montrer optimiste (depuis le terrain de ses locaux bruxellois), car il ajoute penser que dès le 14 juillet prochain, l’Europe sera en capacité d’atteindre l’immunité collective.
« Chouette ! » m’esclame-je, « On aura droit au bal (masqué) des pompiers ! »
Si en « Gauloisie-festive » on ne parle plus de « confinement » (le mot interdit, un de plus !) mais de « mesures de freinage massif », face à cette « troisième vague », les nouvelles restrictions ne sont qu’une forme de « confinement allégé » auquel plus personne ne comprend rien (pas même les fonctionnaires chargés de rédiger les motifs dérogatoires) parce qu’en fait on veut privilégier le confinement à… l’extérieur de chez soi !
Admettons, mais cela suffira-t-il ?
Les chiffres (probablement frelatés, mais seulement à la marge) se maintiennent à un niveau très élevé
Et chez nos voisins ?
Les länder se retrouvent à cette occasion pour une nouvelle réunion sur la stratégie anti-pandémique, alors qu’elle devait être consacrée il y a quelques semaines encore à de nouveaux assouplissements du confinement partiel.
L’ordre du jour a complètement changé face à la propagation du « mutant » britannique.
Ah les britanniques, ils ont bon dos…
Dans un document préparatoire à la rencontre, il est demandé que toutes les restrictions et fermetures en vigueur dans le pays, en théorie jusqu’à fin mars, soient « prolongées » en avril.
Le document parle d’une « dynamique exponentielle » des infections.
Leur taux d’incidence national est en effet passé dimanche au-dessus du seuil symbolique de 100 (à 103,9), qui déclenche des « freins d'urgences », à savoir de nouvelles restrictions au niveau local ou annulations d’assouplissements récemment décrétées. Les contaminations sont en hausse depuis une dizaine de jours, mettant fin à une phase en « plateau ».
Les réouvertures envisagées le 4 avril dans la restauration en plein air ou de lieux culturels et sportifs notamment, paraissent désormais être renvoyées à des perspectives plus que très lointaines.
Les « Ritaliens » concernés par les nouvelles mesures seront confinés jusqu’au 6 avril, ce qui inclut les fêtes de Pâques. Ékoles, restaurants, magasins et musées sont fermés dans la majeure partie du pays, classée en zone rouge contre le « Conard-virus ».
Depuis maintenant une dizaine de jours, les contaminations quotidiennes dépassent les 20.000. Elles étaient inférieures à 15.000 en février. Le pays table sur une amélioration « dans la seconde moitié du printemps », seulement.
La Sardaigne, qui faisait figure d’exception avec relativement peu de restrictions voit les mesures se durcir en raison d'une dégradation de sa situation sanitaire.
Depuis le 1er mars, l'île méditerranéenne était la seule région « ritalienne » classée en zone blanche, c’est-à-dire en risque faible. Les bars et les restaurants pouvaient ouvrir la nuit et la vie y était pratiquement revenue à la normale.
Les autorités-autorisées comptent seulement, là aussi, sur l’accélération de la vaccination pour soulager la pression.
Depuis un mois, elles n’ont pas dépassé le seuil des 10.000, alors qu’elles étaient autour de 50.000 début janvier, ce qui avait imposé le confinement.
« BoJo », leur « Premier-sinistre » à eux avait dit fin février ambitionner un retour à la quasi-normale pour l’été.
Pour l’été seulement…
Cela a de quoi étonner mais le gouvernement a fondé sa stratégie de sortie de crise sur la campagne de vaccination, lancée début décembre et qui bat désormais son plein. Et les effets se font enfin sentir, avec une baisse des contaminations, des hospitalisations et des décès.
Près de 30 millions de personnes ont déjà reçu une première dose.
Et si les bars et restaurants sont ouverts, les restrictions varient selon les régions.
Certains établissements n’ouvrent que les terrasses, d’autres également en intérieur.
Les horaires d’ouverture varient également. Le territoire est soumis à un couvre-feu, à partir de 22 heures et jusqu’à 6 heures ou 7 heures, selon les régions.
Ils vaccinent eux aussi mais n’en font pas les Unes de manchette.
Bref, c’est toujours le foutoir…
La situation est d’essence chaotique.
Même que sur 6.500, on n’en chopé que 9 sans masque (le bel effort que voilà !) et que le préfet n’a pas hésité à faire régner l’ordre-républicain seulement quand… ils ont pris d’assaut un manège municipal !
J’avoue humblement que j’hésite entre rigolade et tristesse… On se fout de qui au juste ?
Les uns ne vont pas très loin et accueillent les « armoires de connexions » téléphoniques.
Dans la journée s’y empilent les matelas et couvertures des SDF du quartier…
Parfois même quelques provisions : Ça permet d’user ses semelles plus « légers »…
C’est que le téléphone, il faut marcher vers une prise disponible pour le recharger.
Un peu plus loin, il y a une bouche d’égout qui descend « plus profond ».
Systématiquement de 18 à 22 heures (après je rentre me coucher), celle-ci est ouverte et voit s’y enfiler des grappes de « d’jeuns » qui vont passer la nuit sous la chaussée.
En général ils ressortent sur le coup de 6 heures, tout crottés et laissent des traces de boue blanchâtre bien visibles sur le trottoir…
Je reste un « grand tolérant » devant l’Éternel, mais franchement, je ne comprends pas l’intérêt d’aller s’enterrer dans les miasmes et détritus toute une nuit alors qu’on est confiné… dehors !
On a dit « confiné à l’extérieur », pas dans les caves et égouts, quoi !
Et ces deux populations se promènent « librement » sans masque, ou alors posé sagement sur le menton… mais ils ont la bonne idée de ne pas envahir le manège pour enfant…
Alors on les laisse faire !
L’ordre-républicain est absent…
Ça fait plus d’un an, hors l’intermède estival, que je ne suis pas allé sur « les planches » trouvillaises m’offrir une assiette de fruits de mer arrosée d’un gros-plant bien sec du pays nantais, que je n’ai pas sué à allumer un barbecue pour y griller mes brochettes.
Mais on va m’obliger à me vacciner pour pouvoir retourner « relever les murs » des pierres tombées durant l’hiver des tombes de mes ancêtres en « Corsica-Bella-Tchi-Tchi ».
Franchement, moâ aussi j’en ai ras-le-bol de tous ces interdits et restrictions nouveaux, hors du sens commun, et de toutes ces violations concomitantes de la discipline commune.
Et c’est désespérant.
Alors moâ aussi je vais craquer… dans mon optimisme natif !
Si ça continue, le fusible va fondre.
Tout cela pour imposer une « dictature sanitaire ».
Les meks se font peur et vous foutes la trouille parce qu’il est mort 180 fois moins de personne en « hexagonie » que de la faim dans le monde : N’ont-ils pas honte ?
Un rejet des incompétents qui nous gouvernent ménageant à la fois la chèvre et les choux.
Pour n’avoir finalement le bénéfice ni de l’un ni de l’autre.
À mon sens, il est temps de sortir de tous ces délires et non-sens, une bonne fois pour toute.
Mais comme je ne suis pas tout seul à en décider, on se recomptera dans un an en votant pour « Cheminable » ou « La salle »… puisqu’il n’y a que ça qui les intéresse, finalement : Vous verrez, ces deux-là feront un meilleur score qu’il y a 4 ans !
Et ça se mérite.
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