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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 5 mars 2021

Jean-Jacques

Rentre chez lui deux jours plus tôt que prévu.
 
Il tombe sur sa femme, dans les bras de son amant.
Furieux, il se précipite dans un tiroir et sort une arme à feu.
Il la pointe sur la tempe du type complètement tétanisé.
Sa femme se met à rire à n’en plus pouvoir.
« Cesse de rire, idiote : Tu es la suivante ! »
 
Exemple d’humour britannique rapporté par Jean-Marc :
« – Très cher, avons-nous des relations sexuelles ?
– Oui. Pourquoi ?
– Pourquoi on ne les invite pas à dîner ? »
 
Jean-Marc et Jean-Paul, en plein couvre-feu, parqué sur leur balcon respectif, chacun devant une bière en attendant l’heure du souper :
« – Sais-tu pourquoi les centres d’accueil donnent du Viagra aux petits vieux avant de les coucher ?
– Je ne sais pas. Aucune idée…
– Pour ne pas qu’ils roulent en bas de leur lit durant la nuit. »
 
Un homme d’âge avancé se rend à la pharmacie et demande au pharmacien de lui donner du Viagra.
Le pharmacien lui dit :
« – Aucun problème, combien en voulez-vous ?
– Seulement quelques-uns, peut-être 4. Mais coupez-les en quatre parties égale, s’il vous plaît.
– Ça ne vous fera pas tellement effet.
– C’est très bien comme ça. Je ne les utilise pas pour le sexe, après tout, j’ai 90 ans mais je veux que mon engin soit assez étiré pour ne pas uriner sur mes souliers… »
 
Un travailleur social s’occupe des prostituées.
Chaque vendredi, à la brasserie, il ramasse un peu d’argent.
Oncle Jean-Pierre est connu pour ses frivolités dans la famille, mais refuse toujours de donner de l’argent, même s’il est à l’aise.
Un jour, il rencontre le travailleur social en sortant de la brasserie et celui-ci lui demande pourquoi il refuse d’aider ses œuvres.
« Ben voyez-vous, je préfère donner de main à main. »
 
Jean-Marc et Jean-Paul :
« – Ça allait mal, en ces temps-là.
– Comment ça ?
– Ma femme faisait la tournée des bars tous les soirs…
– Voyons ? Germaine ? Elle devenue alcoolique ?
– Non. Elle me cherchait.
– Tranquille avec le couvre-feu : Ils sont tous fermés.
– Justement, elle me fait faire une cure de désintoxication : Jamais je ne vais tenir !
Tiens, ressers m’en une ! Pour oublier cet enfer… »
 
« – Vous arrive-t-il de boire de l’alcool au travail ?
– Qui ? Moi, non. Jamais.
– Vous êtes bien certain.
– Ben… Jamais sauf les jours où j’arrive saoul ! ».
 
Une vieille paysanne s’adresse à son mari :
« – Jean-Germain, je te rappelle que demain, c’est notre anniversaire de mariage. Pour l’occasion, je te propose de tuer le porc ?
– Pourquoi ? Ce n’est pas de sa faute ! »
 
C’est une vieille histoire de G20 « élargi » :
Boris Eltsine, Bill Clinton et Ernesto Zedillo prennent un verre ensemble dans un café à Paris.
Le garçon leur demande :
« Un apéritif ? »
De leur meilleur français, ils répondent :
« Oui ! »
Le garçon regarde Zedillo :
« – Lé tequila ?
– Si ! »
Le garçon se tourne vers Eltsine :
« – Lé vodka ?
– Da ! »
Le garçon dit alors à Clinton :
« – Lé whisky ?
– Ne mentionne jamais plus ce nom devant moi ! Un bourbon… »
 
C’est une fille très bien roulée qui tire le diable par la queue.
Elle se confie à une copine qui lui répond :
« Oui. Je comprends. Mais pourquoi « juste » le diable ? »
Depuis ce jour, elle roule en carrosse…
 
Le fils de Jean-Marc passe son examen de sociologie à l’Université.
Il est terrifié car il a fêté toute l’année avec les sous de papa.
En plus, il paraît que le prof examinateur est un spécialiste des colles.
« – Alors, jeune homme, est-ce que la criminalité augmente ou diminue depuis la nouvelle politique sociale du gouvernement ?
– Heu… (Chaleurs) Elle diminue. Oui, oui, c’est ça !
Elle diminue car du temps d’Abel et de Caïn, il y avait 50 % d’assassins. »
 
Le patron d’une grande entreprise téléphone à un concurrent.
« – Robert, j’embauche ton ancien chauffeur. Est-il fiable ?
– Oui, oui, il m’a conduit des centaines de fois, sans accident.
– Non ! Ce que je veux savoir, c’est peut-on lui confier quelque chose qui a vraiment de la valeur ? »
 
Deux golfeurs qui ne se connaissent pas sont partenaires pour un parcours de 18 trous.
Après les présentations, le premier dit à l’autre :
« Moi, je ne parle pas beaucoup au golf. »
Son partenaire, sur le vert du 18ème trou, répond à l’autre :
« Moi non plus. »
 
C’est l’histoire d’un médecin gynécologue qui a une vie mondaine assez bien remplie.
On l’invite dans de nombreux 5 à 7 où il rencontre beaucoup de femmes qui profitent de l’occasion pour le consulter sur divers problèmes de leur vie sexuelle et les causes s’y rattachant.
À la longue toutes ces questions le dérangent et il se demande comment mettre fin à ce dérangement.
Un jour, justement dans un 5 à 7, il rencontre un avocat à qui il raconte son problème.
« – Faites comme moi. La meilleure façon d’arrêter ces consultations gratuites, c’est d’envoyer une note d’honoraire aux femmes qui profitent de ces moments pour consulter.
– Tiens. Vous avez raison. Je vais faire cela. »
La semaine suivante le médecin reçoit une note d’honoraires de 75 € pour service rendu lors du cocktail…
 
La journaliste interview une vedette montante du théâtre…
« – Vos parents ont beaucoup voyagé quand vous étiez enfant ?
– Oui ! Heureusement, je les ai toujours retrouvés. »
 
« – Il paraît que vous êtes fort en affaires ?
– Oui, mais le problème c’est que mes concurrents sont encore plus forts que moi. »
 
Jean-Marc et Jean-Paul, devant une autre bière :
« – Sais-tu la différence entre une théière et une femme ?
– Tout le monde sais qu’il n’en a pas : Les deux sont remplies de bonté » (bon thé)
 
Les mêmes (un peu plus tard) :
« – Connais-tu l’histoire des trois blondes perdues sur une île déserte qui découvrent une lampe magique et en font sortir un génie ?
– Non ! Vas-y, raconte.
« – Eh bien le génie leur offre trois vœux pour les remercier de l’avoir libéré de sa lampe magique. Mais comme elle sont trois, ça ne fera qu’un vœu pour chacune d’entre-elles.
Alors la première s’avance et dit…
‘‘Ô maître, faites-en sorte que je sois assez intelligente pour quitter cette île’’.
Alors le génie la change en rousse, et elle nage jusqu’à la terre.
La deuxième blonde demanda au génie :
‘‘Ô maître, faites-en sorte que je sois plus intelligente que celle qui vient de quitter cette île afin que, moi aussi, je puisse quitter l’île’’.
Le génie la change en brune. Elle fabrique un radeau et rame jusqu’à la terre.
La troisième blonde demande au génie :
‘‘Ô maitre, faites que je sois plus intelligente que les 2 femmes qui viennent de quitter l’île afin que je puisse quitter l’île’’.
Et le génie la change en homme.
Pour quitter l’île, elle emprunte tout simplement le pont à pied. »
 
Une petite fille regarde sa maman qui donne le sein à sa nouvelle petite sœur !
« Dis maman, tu en as un pour le lait froid et l’autre pour le lait chaud ? »
 
C’est Jean-Marc qui se balade en voiture dans un chemin de campagne pour passer le temps avant le couvre-feu.
La chaussée étant très glissante et il ne peut éviter une grosse truie et la tue.
Le fermier, furieux lui dit alors :
« – Tu vas me payer pour une autre truie.
– Mais je ne peux pas vous payer, je ne suis pas assuré pour AUTRUI ! »
 
Une vieille « revenue » et enrichie :
Un homme voyageant à bord d’un 747 a soudain un besoin urgent de visiter les toilettes.
Après 2 tentatives, le cabinet d’aisance est encore occupé et l’hôtesse étant au courant de son problème, lui suggère d’essayer la salle de toilette des dames.
Elle le met en garde cependant de ne pas toucher aux boutons sur le mur identifiés EC, AC, HP et ETA.
Pendant qu’il est assis à satisfaire ses besoins, sa curiosité prend le dessus et d’une main hésitante, il presse sur le premier bouton identifié EC.
Immédiatement un jet d’eau chaude lui caresse doucement le siège.
« Mon Dieu ! », pense-t-il, « les femmes sont vraiment gâtées. »
Il presse donc ensuite le bouton suivant identifié AC et un souffle d’air chaud lui assèche complètement les fesses : « MAGNIFIQUE ! »
Enhardi par ce succès, il presse ensuite le bouton suivant identifié HP et très lentement une large aigrette de talc qui lui tapote le siège avec cette poudre délicatement parfumée.
« WOW ! », dit-il. « Ça c’est la vraie façon de voyager ! »
Il décide donc d’essayer le dernier bouton identifié ETA.
Lorsqu’il se réveille quelque temps après il apprend qu’il est à l’hôpital, confus et ébranlé il sonne l’infirmière.
« – Qu’est-ce qui est arrivé ? Est-ce que l’avion s’est écrasé ? La dernière chose dont je me rappelle c’est d’avoir utilisé la salle de toilette des dames.
– Vous étiez bien là » répond-elle. « Mais vous n’avez pas respecté la consigne de ne pas toucher aux boutons sur le mur.
Vous avez pressé le bouton identifié ETA qui signifie ‘‘ENLÈVE TAMPAX AUTOMATIQUE’’, et vous voilà.
À propos votre pénis est sous votre oreiller. »
 
Une petite dernière (revenue) pour la route ?
Deux voleurs décident de cambrioler une banque.
Ils ont tellement bien préparé leur coup, que la nuit venue, ils déjouent tous les systèmes d’alarmes et arrivent facilement dans la salle des coffres.
Le premier des gangsters parvient à ouvrir un des coffres, mais quelle déception quand il s’aperçoit que le coffre ne contient pas d’argent mais seulement des pots de yaourt.
Le second gars ouvre lui aussi un coffre et trouve la même situation.
Ils finissent par ouvrir tous les coffres mais ne trouvent que des pots de yaourt.
Des yaourts et rien que des yaourts !
Le premier dit :
« Je suis certain que c’est un sale coup des flics ! Tiens, pour les emmerder on va bouffer tous les yaourts, tu verras la tête qu’ils feront au journal ! »
Et aussitôt, les deux gars de mettent à manger tous les yaourts, un par un, et ils finissent à l’aube avec le ventre bien plein.
Le lendemain matin, à la une du journal local on pouvait lire :
« CAMBRIOLAGE INCROYABLE À LA BANQUE DE SPERME ! »
 
Solutions des contrepèteries de la semaine dernière :
 
« Masse ta quéquette ! »
« Ah, coucher avec ce triple idiot… »
« Poux-tine refuse désormais de baiser les seins des mauviettes »
 
Celles proposées cette semaine à votre sagacité :
 
« La journaliste a une combine pour se faire des papiers… »
Jean-Marc, jamais avare de compliment :
« Vos chèvres me font penser à la Walkyrie »
« Les berges sont à vous ! »
 
Bon week-end à toutes et à tous !
 
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PS : N’oubliez pas la bibliothèque de « mon gardien » :
https://livresinterdits.blogspot.com/2019/09/ma-bibliotheque-1.html

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