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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 12 mars 2021

Quelques revenues ?

Les retours de la semaine
 
Une nouvelle enseignante commence son cours en utilisant un peu de psychologie.
Elle demande donc :
« Si quelqu’un parmi vous croit qu’il est stupide, qu’il se lève. »
Après un instant, un petit garçon se lève.
« – Tu crois que tu es stupide, Jean-Marc ?
– Non, mais je trouve ça bien triste de voir que vous êtes la seule debout. »
 
Jean-Marc et Jean-Paul, en plein couvre-feu sur leurs balcons respectifs :
« – À ton avis, qu’elle est la différence entre un orteil et un pénis ?
– Comment veux-tu que je sache ?
– Tu n’as pas de pénis ?
– Quel con tu fais.
– Bé tu vois que tu connais la réponse !
– Et c’est quoi ?
– Il n’y en a pas, ils sont tous les deux au bout d’un pied. »
 
Un type est invité à dîner chez des amis :
« – Chez-moi, je grignote, mais chez les autres, je ne sais pas pourquoi, je mange comme un ogre !
– Ben, je t’en prie, ne te gêne pas, fais comme chez toi ! »
 
Au moment où le train démarre, un homme se penche à la fenêtre et salue un copain resté sur le quai en criant :
« – Salut, Georges ! Et merci pour ce superbe week-end. Ta femme est vraiment une sacrée baiseuse !
– Excusez-moi », lui demande Jean-Marc. « J’ai du mal à y croire. Vous avez réellement dit à cet homme que sa femme était une sacrée baiseuse ?
– Oui, j’ai dit ça, mais en fait, ce n’est pas vrai du tout.
C’était juste pour ne pas lui faire de peine. »
 
Une femme monte dans un autobus bondé.
Elle s’approche d’un monsieur assis et lui dit :
« – Pourriez-vous me laisser votre place, s’il vous plaît, je suis enceinte ?
– Oui, bien sûr. »
Jean-Marc se lève et lui laisse sa place, puis il demande :
« – Mais ça ne se voit pas du tout. Ça fait combien de temps ?
– Oh… Dix minutes. Mais ça m’a coupé les jambes ! »
 
Jean-Paul et Jean-Marc, devisant devant une bière durant le couvre-feu :
« – Quel est la différence entre l’anxiété et le désespoir ?
– Oh, ça je sais : L’anxiété, c’est quand un homme s’aperçoit pour la première fois qu’il ne peut plus deux fois.
Et le désespoir, c’est quand un homme s’aperçoit pour la deuxième fois qu’il ne peut plus une fois. »
 
Plus tard :
« Tu sais, il ne faut pas juger un homme par ses fréquentations.
Regarde : Judas avait des amis irréprochables. »
 
Le jumbo jet décolle de l’aéroport JFK.
Après avoir atteint son altitude de croisière, le commandant « Haddock » s’adresse aux passagers via l’interphone.
« Mesdames et messieurs, c’est le commandant Jean-Charles Duboc qui vous parle. La météo est excellente, Nous volons à une altitude de 10.000 mètre à la vitesse de 850 km/h et nous prévoyons un vol sans incident.
Nous devrions atterrir à l’aéroport Charles de Gaulle à 8 h 35.
Après le film, je vous conseille de vous détendre et de relaxation et… Oh non ! Mon dieu ! »
On entend un bruit sec puis… rien.
Personne ne bouge.
L’avion maintient le cap et l’altitude, mais hôtesses sourient nerveusement.
Après quelques minutes, le commandant revient au micro.
« – Je tiens à m’excuser pour l’incident de tout à l’heure, mais on m’a renversé du café brûlant sur mon pantalon.
Vous devriez voir le devant de mon pantalon !
– Ce n’est rien », hurle un passager, « Vous devriez venir voir l’arrière du mien ! »
 
Le gars a tout perdu au Casino.
Il est 3 heures du matin.
Il monte dans un taxi…
« – On va où ?
– À l’hôtel Hilton.
– C’est 20 € et il faut payer immédiatement.
– Écoutez, je n’ai plus d’argent mais je vous paierai en arrivant à la maison.
– Pas question. Débarquez ! »
Humilié, désemparé, le gars se rend chez lui à pied, en traversant toute la ville.
Trois semaines plus tard, il sort du casino avec plusieurs milliers d’euros de gains dans ses poches.
Dans la file, il reconnaît le chauffeur.
Il est au troisième rang.
Il approche de la première voiture …
« – C’est combien pour le Hilton ?
– 20 €, mais il faut payer immédiatement.
– Ok et si je te donne 100 € de plus, est-ce que je peux avoir une fellation ?
– Pas question ! Allez fous le camp ! »
Notre homme s’approche de la deuxième voiture.
« – C’est combien pour le Hilton ?
– 20 € mais il faut payer immédiatement.
– Ok et si je te donne 100 € de plus, est-ce que je peux avoir une fellation ?
– Non mais t’es malade, salopard ! Vieux vicieux !
– Bon. Bon. OK. OK. Faut pas se fâcher. Y’a rien de mal, là… »
Notre homme s’approche de la troisième voiture…
« – C’est combien pour le Hilton ?
– 20 € mais il faut payer immédiatement.
– Parfait. Je te donne 50 € en prime si, en passant devant les deux premiers, tu leur fais un beau « bye bye » en souriant… »
 
Au petit-déjeuner, Germaine dit à son mari :
« J’te parie que tu ne sais même pas quel jour on est aujourd’hui ! »
Jean-Marc, qui ne le savait visiblement pas, fit semblant d’être indigné :
« Bien sûr que j’le sais ! »
Et il prend son manteau et file travailler.
Vers 10 heures, on sonne à la porte, Germaine ouvre et un livreur lui présente un énorme bouquet de fleurs.
Puis, vers 13 heures, on sonne encore. Cette fois, le livreur lui remet une magnifique boîte de chocolat.
Enfin, à 15 heures, un troisième livreur se présente avec cette fois, une superbe robe.
Germaine en a les larmes aux yeux.
« C’est le plus beau jour des poubelles de ma vie ! (sniff) »
 
L’instituteur demande à ses élèves quelle est la profession de leurs parents. Marie-Sophie répond que son papa est docteur et sa maman est à la maison.
Jean-Jérôme annonce que papa est ouvrier et maman employée dans une banque.
Vient le tour de Jean-Marc (jeune) qui se lève et lance fièrement :
« J’ai pas de papa et maman fait la prostituée à la maison. »
L’instituteur ne s’attendait pas à ça, et la surprise passée, il envoie le gamin chez le directeur.
15 minutes plus tard, Jean-Marc est de retour dans la classe.
Le maître lui demande :
« – Alors, tu as répété à Monsieur le Directeur ce que tu m’avais dit tout à l’heure ?
– Oui !
– Et alors, qu’est-ce que Monsieur le Directeur a dit ?
– Il disait Hum, Hum, Hum et il prenait beaucoup de notes.
Il m’a demandé mon nom, mon adresse et le numéro de téléphone de la maison. »
 
Deux jeunes sont à l’hôpital. Le premier dit : Tu es ici pourquoi?
« – Pour me faire enlever les amygdales !
– Y’a rien à craindre, là. Ils me les ont enlevés l’an passé !
Quand tu te réveilles, ils te donnent du gel et de la crème glacée autant que tu en veux ! Et toi, pourquoi tu es ici ?
– Pour me faire circoncire !
– Y’a pas de problème. Ils m’ont circoncis quand j’étais bébé !
– Et puis ?
– J’ai pas pu marcher avant un an… »
 
Germaine et Marie-Chantal se donnent quelques conseils, chacune assise sur leur terrasse, en plein couvre-feu.
« Ne dis jamais : “Et tu sais, tu es le premier.”
Car il feindrait tous de le croire, mais ce serait pure courtoisie.
Mais dis plutôt : “Avant de te connaître, je ne savais pas ce que c’était.”
Car cela, tous les hommes le croient toujours. »
 
Marié depuis plusieurs années, un couple n’arrive pas à avoir d’enfants. Alors, en désespoir de cause, le mari se décide à aller demander conseil au voisin du dessus qui, lui en a sept.
« – Pas de problème », dit le voisin. « Si vous faites exactement ce que je vous dis, tout va s’arranger.
Vous allez d’abord acheter une savonnette de bonne qualité, un flacon de parfum et un balai.
Ce soir, vous faites prendre un bain à votre femme, vous la savonnez bien partout, vous la rincez et après l’avoir séchée, vous la parfumez.
– Et le balai, ça sert à quoi ?
– Quand vous aurez fait tout ça, vous tapez au plafond, et je descends tout de suite… »
 
Les mêmes :
« – À ton avis, quel est le comble de l’égocentrisme ?
 – Crier son propre nom lors d’un orgasme ? »
 
« – Marie-Chantal, ça va ?
– Oui, mais j’ai un problème.
– Est-ce que je peux t’aider ?
– À chaque fois que j’éternue j’ai un orgasme.
– Ah oui ! Est-ce que tu prends quelque chose pour ça ?
– Oui, du poivre… »
 
Une jolie dame fort distinguée, dans un restaurant très chic, attend son amie.
Voulant que tout soit parfait, surtout son apparence, elle se penche vers le banc, pour prendre un miroir dans son sac à main, et, en se penchant, elle lâche un pet sonore au moment même où le garçon de table s’approche.
La dame, maintenant assise bien droite et le visage empourpré, sachant que tout le monde dans le restaurant avait entendu son “gros pétard”, se tourne vers le garçon et lance, d’une voix hautaine…
« – Garçon, voulez-vous arrêtez-ça !
– Oui Madame. Dans quelle direction se dirige-t-il ? »
 
Deux fermiers discutent ensemble.
« – Savais-tu que mon cochon sait compter ?
– Ben voyons, c’est impossible… »
Le premier demande alors au cochon d’additionner 4 + 5 et le cochon de répondre : neuf, neuf, neuf.
Alors, l’autre fermier lui demande combien font 4 + 4.
Le cochon semble hésiter et alors le premier fermier lui donne un bon coup de pied au derrière et le cochon de s’exclamer : huit… huit…huit
 
Solutions des contrepèteries de la semaine dernière :
 
« La journaliste a une cabine pour se faire des pompiers… »
Jean-Marc, jamais avare de compliment :
« Vos lèvres me font penser à la vache qui rit. »
« Les verges sont à bout ! »
 
Celles proposées cette semaine à votre sagacité :
 
« Votre compère a l’air d’un saint ! »
« Le tennis en pension… »
« Le maire me semble avoir mis ses élus dans le meilleur camp ! »
 
Bon week-end à toutes et à tous !
 
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PS : N’oubliez pas la bibliothèque de « mon gardien » : Sa bibliothèque !
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