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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

jeudi 4 mars 2021

Le curieux cas Israélien

On n’en parle assez peu, mais…
 
Le pays est à un mois de futures élections générales : Ils aiment ça et n’ont pas encore repris les techniques électorales Corses ancestrales (tu prends des urnes pleines, tu les bourres un peu plus et tu les jettes à la mer : Celui qui gagne, c’est celui qui est le plus nombreux. Simple, quoi !), alors ils y reviennent.
Pour l’heure, ils vaccinent à tour de bras : Question de crédibilité de « Bibi » (leur « premier sinistre » à eux) qui en a décidé ainsi pour gagner la bataille contre le « Conard-virus », justement avant les élections.
Parce que s’il les perd, il se retrouve fissa en état d’arrestation à répondre de divers chefs d’accusation mis entre parenthèses.
Donc il met le paquet pour les gagner.
 
Or, on constatait que fin février 75,4 % des nouveaux cas « Conard-virus » en Israël ont moins de 39 ans.
Seuls 5,5 % ont plus de 60 ans.
Seuls 59,9 % des patients en état critique ont plus de 60 ans.
40 % ont moins de 60 ans.
Le pays a également détecté une forte augmentation des cas de « Conard-virus » chez les femmes enceintes. Beaucoup d’entre elles sont hospitalisées, dont 8 sont actuellement dans un état critique.
Quant aux cas de « Conard-virus » chez les nouveau-nés, ils ont connu un pic significatif de 1.300 % (de 400 cas chez les enfants de moins de deux ans le 20 novembre à 5.800 en février 2021) !
 
Les cas de covidés par habitant en Israël ont connu une forte hausse et étaient parmi les plus élevés au monde (sinon le plus élevé) au cours du premier mois de la campagne de vaccination de masse « réussie » !
En deux mois d’inoculation intensive avec le vaccin Pfizer, Israël a réussi à doubler le nombre de décès qu’il avait accumulés au cours des dix mois précédents de la pandémie.
Au moins autant que de soldat morts durant la guerre du Yom Kippour pourtant censé être l’événement le plus traumatisant de l’histoire israélienne moderne : 2.700 décès…
Il y a comme un « vrai » problème.
Peut-être bien une mutation sioniste qui ne veut pas dire son nom…
 
En fait, nous sommes tous concernés : Personne ne sait comment le « Conard-virus » va évoluer dans un avenir proche. Personne ne sait si les Israéliens sont sur le point de faire face à une augmentation massive d’infections graves ou au contraire à une éradication de la maladie associée.
En revanche, ce que nous savons avec certitude, c’est que les spécialistes médicaux israéliens qui expriment ces préoccupations légitimes sont soumis à un harcèlement et à des abus et insensés : Ils peuvent facilement perdre leur licence médicale à vie !
Le Dr Avshalom Karmel, qui a eu le courage d’avertir ses concitoyens des conséquences possibles du vaccin, a rapporté la semaine dernière que « le Ministère de la Santé me menace, le directeur de mon hôpital m’a grondé… »
Est-ce ainsi qu’ils sont censés traiter les professionnels de la santé dans une société « libre », au juste ?
Vous me direz qu’autour de « Paris-sur-la-Seine », ils sont presque pas mieux et tout le monde ne s’appelle pas « Rat-Out »…
 
La question qui revient le plus souvent est : « Pendant combien de temps allez-vous cacher le fait que nous avons affaire à un « mutant israélien » ? »
Si la réaction est un classique (« conspiration », « complotisme »…) la réponse est que « nous détectons de nombreux mutants », sans qu’aucun démenti officiel n’affirme le contraire de façon catégorique.
La vérité est qu’une discussion sur un « mutant israélien » circule depuis un certain temps.
Fin janvier, les services de renseignement de l’armée israélienne ont averti qu’un mutant du « Conard-virus » israélien était une possibilité.
Le 24 janvier, le Times of Israel a rapporté qu’une « force opérationnelle dirigée par l’armée a averti de l’émergence potentielle d’une variante israélienne mutée du coronavirus résistant aux vaccins » était constituée et que « le déploiement massif de vaccins dans le cadre de l’épidémie en cours pourrait exercer une « pression évolutive » sur le coronavirus… ».
Rappelons qu’Israël reste un pays en guerre, au moins larvée, avec la plupart de ses voisins eux même « très agités » voire ravagés par les conflits de « bandes » aux mains de pays « radicaux » : Leurs alliés et soutiens sont loin, même si la 6ème flotte croise au large de ses côtes en compagnie des flottes russes… et turques.
 
Il faut dire qu’à en juger par les symptômes uniques et nouveaux qui sont associés à leur « Conard-virus », il est possible d’avoir affaire à une maladie aux caractéristiques inédites : Elle s’attaque aux jeunes et aux femmes enceintes, elle a abandonné les personnes âgées et vulnérables.
Et plus Israël abaisse l’âge des personnes vaccinées, plus les cas sont jeunes, et ces cas augmentent de manière exponentielle.
Toutefois, il est difficile d’ignorer la possibilité que le succès de la campagne de vaccination de masse soit la carte électorale du « premier sinistre » Benjamin Netanyahou.
Si la campagne s’avère être un succès à la veille du jour des élections, Bibi devrait gagner.
Si la vaccination de masse se dévoile comme une aventure désastreuse, imprudente et politiquement motivée qui a mis en danger l’ensemble de la population israélienne, non seulement son avenir politique serait détruit, mais il verrait probablement les poursuites pénales à son encontre s’étendre considérablement, et pas seulement en Israël.
 
Constatons seulement qu’Israël exerce une pression incroyable sur chaque Israélien pour qu’il se fasse vacciner.
Au moyen d’un « passeport vert » (on en parlait encore hier), il prévoit de limiter considérablement les libertés des personnes non vaccinées et leur capacité à gagner leur vie.
Netanyahou a juré le 24 février que, d’ici le 10 avril, tous les Israéliens seraient vaccinés.
C’est peut-être une véritable préoccupation de Bibi pour la santé de son peuple. Toutefois, les plus cyniques comprennent maintenant que, s’il y a un « mutant » israélien déclenché par la campagne de vaccination de masse, la seule façon de le combattre est de vacciner chaque Israélien vivant en espérant que le vaccin puisse ensuite réduire la maladie et la mortalité, comme le suggèrent diverses études.
 
Notons également que les aéroports internationaux, les ports maritimes et les postes frontières d’Israël restent verrouillés indéfiniment.
Certains Israéliens peuvent y entrer par avion, mais personne ne peut quitter le pays.
Et on peut aussi se demander pourquoi les Israéliens (ou même seulement les personnes vaccinées) ne sont pas autorisés à quitter le pays.
L’explication possible est qu’Israël fait tout pour empêcher la fuite d’une mutation du « Conard-virus », « potentiellement unique », qu’il s’échappe hors du pays.
Pourquoi, autrement, Israël ne permet-il pas à sa vaste communauté de vaccinés de voyager ?
Le pays a même signé des accords en ce sens avec Chypre et la Grèce (pressée de sauver sa saison touristique…)
Une possibilité est qu’Israël reconnaisse que les personnes vaccinées pourraient propager ce « mutant ». Et que Bibi fera tout ce qu’il faut pour maintenir l’image d’un succès révolutionnaire dans la lutte contre la pandémie.
Par conséquent, les Israéliens qui ont été les cobayes de cette expérience sont priés de rester dans le rang pendant au moins un mois de plus.
 
Enfin, presque par hasard, nous savons que certaines questions concernant la politique israélienne en matière de « Conard-virus », y compris les discussions au sein du cabinet gouvernemental, sont maintenant soumises à des lois de confidentialité de 30 ans.
En Israël, seules les questions liées à la sécurité nationale (telles que les opérations secrètes du Mossad) bénéficient de ce statut de « confidentialité ».
Qu’est-ce que le gouvernement israélien et son premier ministre tiennent tellement à cacher à leur peuple et au monde ?
Et pourquoi ?
 
Résultat, il faut se contenter de quelques études en provenance d’Israël qui indiquent que le vaccin a réussi à prévenir la maladie et à la réduire à plus de 90 %.
La dernière en date confirme que le vaccin de Pfizer « a donné d’aussi bons résultats dans le monde réel que lors de l’essai clinique qui a conduit à son utilisation ».
Toutefois, il faut faire la corrélation effrayante qui saute aux yeux entre la vaccination de masse et l’augmentation exponentielle des cas de de contamination et des décès.
Une observation qui vaut, vaille que vaille, dans tous les pays qui se sont engagés dans la vaccination de masse.
Et que la vaccination de masse rapide en Israël est en corrélation avec un changement radical des symptômes de la maladie, exactement comme au Royaume-Uni avec le « mutant » britannique ou en Californie voire, dans une moindre mesure au Brésil et en Afrique du Sud, en plus du désormais « mutant New-yorkais » qui fait trembler la côte Est des USA.
Des « coïncidences » qui troublent décidément la conscience…
 
Reste que les élections à venir ne sont pas encore gagnées. Notamment par que les Israéliens s’étonnent d’être traités comme des animaux de laboratoire, et se demandent pourquoi leur liberté de voyager, de se « socialiser » ou même de gagner tout simplement leur vie s’est évaporée…
« Bébert-Bourre-la », le PDG de Pfizer, leur a donné une véritable réponse. Dans une interview sur NBC, il a déclaré : « Je crois qu’Israël est devenu le laboratoire du monde en ce moment parce qu’ils n’utilisent que notre vaccin dans cet État et qu’ils ont vacciné une très grande partie de leur population, de sorte que nous pouvons étudier à la fois les indices économiques et sanitaires ».
Au moyen des « passeports verts », le gouvernement menace pratiquement de pénaliser toute personne réticente à participer à une expérience de « laboratoire » pour une société pharmaceutique géante dont le bilan est pour l’heure problématique.
Les résultats de cette expérience Pfizer-Israël ne sont finalement pas nécessairement encourageants.
Bien qu’il soit possible, comme le suggèrent certaines études, que la plupart des personnes vaccinées bénéficient au moins d’une protection à court terme contre le « Conard-virus », ce qui reste indéniable, personne ne peut nier le fait étonnant qu’en seulement 8 semaines de vaccination de masse, le nombre total de décès dus au « Conard-virus » dans l’État juif a presque doublé par rapport au nombre accumulé au cours des dix mois précédents…
 
Soyons réalistes : Depuis qu’Israël s’est transformé en une nation de cobayes, un virus qui s’attaquait autrefois aux personnes âgées et à celles souffrant de graves problèmes de santé a maintenant complètement changé de nature.
Et lorsqu’on demande à « Bourre-la » si l’on pouvait infecter d’autres personnes après avoir reçu deux doses du vaccin, il a admis que : « C’est quelque chose qui doit être confirmé, et les données du monde réel que nous recevons d’Israël et d’autres études nous aideront à mieux comprendre cela ».
Si Pfizer n’est pas sûr que son « vaccin » empêche la propagation de la maladie, pourquoi le vend-il dans le monde entier ?
Pourquoi un gouvernement devrait-il autoriser l’utilisation de cette substance tant que toutes les précautions nécessaires n’ont pas été prises ?
En outre, à la lumière de la crainte croissante que les personnes vaccinées puissent propager la maladie (ce que personne ne nie), que signifie le « passeport vert » ?
On peut supposer qu’un tel document pourrait facilement être remplacé par un « certificat de crédulité » délivré à ceux qui ont été assez stupides pour capituler face aux « pressions » gouvernementales.
 
Précisons aussi que chaque pays qui est tombé dans le piège de la vaccination de masse a connu un pic similaire sans précédent de cas et de décès.
Les pics des cas sont souvent détectés seulement 2 à 3 jours après le lancement de la campagne de vaccination de masse.
C’est d’ailleurs le cas, avec retard parce que la « Gauloisie-première » est toujours en retard d’une guerre (ou d’un train) sur tout, jusque chez nous.
Au point qu’ils sont désormais tous d’accord, sauf les autistes, pour dire que les mesures de durcissement du confinement qu’on va nous détailler dans la journée, auraient dû être prises il y a huit jours.
On n’échappera probablement pas à un nouveau pic d’ici dix à quinze jours…
Mais rassurez-vous, tout ira mieux pour l’été et dès le mois de mai, comme l’année dernière !
Et déjà, ce sont les plus jeunes, ceux qui respectent le moins les « gestes barrières » qui commencent à en être victime.
De toute façon, des « vieux », on en a beaucoup moins et ceux qui restent sont censés être vaccinés à plus de 75 % : Ils devront attendre quelques mois que leur immunité s’affaisse de nouveau…
 
Ce qui n’est pas rassurant, c’est qu’au moment où Israël s’est fait vacciner, le pays assistait à une forte augmentation exponentielle de la morbidité et de la mortalité. Or, la Palestine, qui est pourtant littéralement le même pays (c’était le nom de ce territoire sous protectorat anglais), a vu son nombre de cas et de décès chuter.
Vous en concluez ce que vous voulez…
Mais il faudra fournir un gros effort intellectuel pour expliquer comment il est possible qu’à Gaza, une prison à ciel ouvert et l’un des territoires les plus densément peuplés de la planète, le nombre de cas de « Conard-virus » soit minime et sans « vaccin ».
La Palestine n’est pas la seule, car la situation en Jordanie est similaire.
Alors qu’Israël a vu ses chiffres de décès de « Conard-virus » crever les plafonds, les décès de covidés en Jordanie à partir de la mi-novembre ressemblent à une pente glissante.
Il faut dire que le Jourdain aura peut-être joué le rôle du Rhin pour le nuage de Tchernobyl, allez savoir !
 
La Grande-Bretagne a vécu une expérience tragique similaire, sinon identique.
Elle a lancé une campagne de vaccination de masse le 7 décembre, juste pour voir son nombre de cas et de décès de « Conard-virus » augmenter comme jamais auparavant avec l’apparition d’un « mutant » anxiogène.
À l’époque, la Grande-Bretagne a vu son NHS s’effondrer, tandis que les voisins du royaume, qui tardaient à prendre une décision en matière de vaccination, voyaient leur nombre de cas de « Conard-virus » chuter lentement.
Et depuis qu’on vaccine à tour de bras en Europe continentale, admettez que la situation sanitaire ne s’améliore curieusement pas, au contraire.
 
Un groupe de chercheurs dissidents, qui ont examiné les chiffres impliqués dans l’expérience israélienne actuelle de Pfizer, a publié une étude détaillée il y a deux semaines. « Nous concluons », ont-ils écrit non sans une pointe d’ironie, « que les vaccins Pfizer, pour les personnes âgées, ont tué pendant la période de vaccination de 5 semaines environ 40 fois plus de personnes que la maladie elle-même n’aurait tuées, et environ 260 fois plus de personnes que la maladie parmi la classe d’âge plus jeune ».
Finalement, si vous vous faites infecter par un « Conard-virus », vous pouvez mourir. Ce n’est pas sûr, mais il y aurait des séquelles répandues.
Mais si vous suivez la voie de Pfizer, non seulement vous avez 95 % de chances de survivre en plus des 99,98 % déjà attachés par « Conard-virus » lui-même, mais vous pouvez aussi tuer d’autres personnes en cours de route.
Autant vacciner tout le monde le plus vite possible, puisqu’il est trop tard pour ne rien faire.
Mais peut-être pas avec le Pfizer…
Si vous avez le choix, naturellement.

1 commentaire:

  1. Même phénomène aux EAU...
    https://covidemence.com/2021/03/04/emirats-arabes-unis-2-mois-de-vaccination/

    I-Cube

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