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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

mercredi 10 mars 2021

Journée internationale des droits de la femme…

Je dois être un affreux macho insupportable
 
Les femmes, leurs droits, leurs attributs et même leurs humeurs, sont pour moâ au centre de tout mon univers personnel.
Que, elles n’existeraient pas, ou seraient réduit à moins que rien dans la vie courante, franchement, cet univers serait immanquablement un enfer !
Alors je m’insurge quand on en est à leur consacrer une seule journée dans l’année.
Et encore, depuis pas très longtemps…
Chez moâ, c’est tous les jours depuis que je suis né !
 
Il y a des choses, comme ça, que je n’admets pas. Non pas parce que je ne serai qu’un intolérant barbare – loin de moâ cette idée ! – mais parce que je ne comprends pas tellement ça me paraît d’un ridicule inassumé !
Et cette année, ça aura été très fort : Au-delà des déclarations plus vides de sens des uns et des autres qui ne seront jamais suivies d’effet, au-delà des revendications habituelles des « suffragettes » et autres ayatollahs féministes, parfaitement respectables, qui ne changeront rien ou pas grand-chose, on a commencé par un « papier » assez spectaculaire pour finir par « Libé » (ce torchon) qui aura publié la lettre d’un violeur !
Assez fabuleux, finalement : C’est tout le « charme discret des gauloiseries ».
 
Le premier papier dont je veux vous parler aujourd’hui est celui d’une « historienne », paraît-il réputée.
Tellement réputée que je ne savais même pas qu’elle existât.
Elle s’est tout simplement « auto-chargée » d’estimer le coût humain et financier de la violence masculine dans la société « Gauloisienne-post-moderne ».
En partant de chiffres avérés : La gent masculine représente 83 % des 2 millions d’auteurs d’infractions pénales traitées annuellement par les parquets et 90 % des personnes condamnées par la justice.
Conclusion imparable, si les hommes se comportaient comme les femmes, l’argent économisé par l’État permettrait de financer, quasi intégralement en un an, le plan de relance économique de 100 milliards d’euros annoncé par le gouvernement !
Magnifique…
 
Dans « Le coût de la virilité » (Éditions Anne Carrière), pour être plus précis, elle estime le prix de la violence masculine, qui pèse sur la société dans son ensemble, à 95,2 milliards par an.
Pas plus, pas moins.
Un chiffre faramineux auquel elle aboutit, à l’issue d’une analyse minutieuse des préjudices causés par une « masculinité toxique ».
Et d’en dire que : « Lorsque j’ai parlé de mon projet aux hommes de mon entourage, certains se sont sentis visés. Je vais le dire très clairement : je ne m’attaque pas aux hommes dans cet essai mais à cette éducation qui valorise et perpétue les valeurs viriles de force, de résistance à la douleur, au détriment des sentiments, de l’empathie… »
Bé, je vais vous dire, si « nos dames » n’appréciaient pas ces « qualités-là », on s’en passerait bien, parce que c’est vraiment chiant au fil du temps !
« On ne naît pas violent, il n’existe pas de prédisposition génétique à cela, on le devient. Ce sont des schémas culturels, plus ou moins conscients, qui poussent à une éducation différenciée entre filles et garçons et entraînent ces derniers vers des comportements dangereux, voire violents. Ces comportements ont des conséquences sur le bien commun. Il est temps d’en prendre conscience », alerte-t-elle.
C’est une évidence, ou comment enfoncer les portes ouvertes…
 
Elle va plus loin et confirme : Les comportements masculins mobilisent, chaque année, 7 milliards d’euros sur le budget de la Justice.
« Il n’existe pas d’étude synthétique sur ce phénomène des méfaits de la virilité. J’ai dû faire un gros travail de recherche car les chiffres sont disséminés un peu partout, notamment dans les ministères.
Par ailleurs, je n’ai pas eu accès aux données de nombreuses infractions qui ne sont pas ventilées par sexe, et puis tout le monde ne porte pas plainte. Le chiffre de cette estimation est donc probablement encore plus important ».
Admettons : On ne peut être plus « imprécis » que ça…
Une chose est sûre : Les hommes sont responsables de la majorité des comportements asociaux et le « gouffre statistique » qui existe entre les hommes et les femmes à ce sujet est totalement et volontairement ignoré.
Ça, c’est aussi une « porte ouvertes » !
Car si on reprend ses chiffres, sur les 2 millions d’infractions pénales traitées par les parquets, nos dames représentent 17 %, 10 % des personnes condamnées par la justice, 14 % des mis en cause pour meurtre, 1 % des auteurs de viols (ah, tout de même…), 16 % des auteurs d’accidents routiers mortels, 5 % des mis en cause pour vols violents avec arme et… 3,7 % de la population carcérale.
Il ne faut pas non plus oublier.
 
Milieu social, âge, environnement, ces critères sont utilisés par les services de sécurité pour cerner au mieux le profil des délinquants et criminels. « Or, si ces facteurs jouent indéniablement un rôle et peuvent parfois se cumuler, ils sont selon moi toujours secondaires au regard de l’éducation différentielle donnée aux enfants selon leur sexe », tranche-t-elle.
Admettons.
« Quels que soient le milieu social et l’époque considérés, les chiffres attestent que les femmes s’adonnent largement moins à la violence que les hommes. Et cela reste vrai pour celles qui grandissent dans la pauvreté, sous les coups, ou en étant victimes d’agressions sexuelles. La misère est donc un facteur beaucoup moins déterminant que le sexe. »
Elle n’a pas vu le nombre de taloches que je me suis pris, gamin, par ma mère : J’étais même devenu insupportable au fil des récriminations perpétuelles !
 
D’ailleurs, à travers le monde, le taux d’incarcération des femmes se situe entre 3 et 20 % (le taux le plus élevé est à Hongkong).
Les enjeux de la virilité se posent donc à l’échelle internationale.
Reste qu’il manque un élément dans son enquête : « Cherchez la femme ! » derrière ce déchaînement de violence.
On ne naît pas plus voyou que bandit : On le devient et trop souvent, on ne cherche même plus les raisons de la pression sociale qui vous font « basculer ».
La justice se contente de faits, pas d’opinion…
 
Mais elle n’est pas si bête : « On a tellement intégré que c’est, soi-disant, dans la nature des hommes que, paradoxalement, cela invisibilise leur surreprésentation. À tel point que lorsqu’une femme est violente, cela surprend tout le monde, ce n’est pas considéré comme normal et fait les gros titres ».
Et quand un homme ne correspond pas à la « norme » masculine, n’est pas à la hauteur des stéréotypes « virils » que l’on attend de lui, il se retrouve souvent lui aussi victime de cette injonction à « être un bonhomme ».
Ah oui, tiens donc ?
 
Justement, autre donnée : Alors que les « mâles » se suicident 3 à 4 fois plus que les femmes, les risques sont décuplés chez les jeunes homosexuels, transsexuels ou chez les hommes âgés.
Et c’est parce qu’ils se mettent plus en danger que les femmes, les hommes sont notamment plus nombreux à passer aux urgences.
Quel que soit l’âge, leur taux de mortalité prématurée (avant 65 ans) est 2,1 fois plus élevé que chez les femmes et leur taux de mortalité prématurée évitable (causée par un comportement à risque) est 3,3 fois plus important.
Et pourquoi se mettent-ils en danger sinon pour répondre « à la pression » ?
La « pression », c’est qui au juste sinon leur entourage direct composé d’au moins pour 50 % de… femmes ?
 
Le « coût de la virilité » est estimé dans les services de santé à 2,3 milliards par an. On rajoute les 7 milliards du budget des la justice pénale jusqu’à la pénitentiaire, et on parvient bien 9 milliards.
Auquel il faut rajouter tout le reste : « Les traumatismes physiques et psychologiques causant douleur et détresse relèvent de l’humain et sont d’un ordre infiniment supérieur à la dimension financière que j’évoque dans cet essai, reconnaît l’autrice. Ils ont cependant eux aussi des répercussions économiques qui peuvent et doivent être chiffrées », perte de compétitivité, de rendement, d’arrêts-maladie, de dépression et j’en passe.
On apprend ainsi qu’une personne tuée « coûte » 3,241 millions d’euros à la société ou encore 405.180 euros pour un blessé hospitalisé plus de 24 heures.
« Alors oui, si les hommes se comportaient comme les femmes, nous vivrions dans une société plus riche et plus libre ».
On peut aussi en espérer qu’elles seraient devenues moins chiantes…
 
« On va considérer, d’une part, que cela fait partie de leur nature, que les garçons et les hommes sont comme ça et qu’on ne pourra rien y faire ».
« Aussi, dans la langue française, le mot ‘‘homme’’ désigne à la fois le sexe masculin et l’espèce humaine. Les comportements masculins sont donc perçus comme la norme. »
Et cette « asymétrie » entre les hommes et les femmes arrive tôt, comme en témoignent les différences de comportement entre les sexes à l’école. Au collège, les garçons représentent entre 75,7 % et 84,2 % des enfants ayant reçu une punition ou une sanction disciplinaire.
Comme quoi, les filles sont plus malines que les meks pour passer entre les mailles du filet…
Ils sont aussi 97,6 % des élèves sanctionnés pour « violence sur autrui ».
Y’en a qui cherchent à se faire bastonner, faut-il rajouter…
 
Cette réalité est, selon elle, le fruit d’une éducation aux codes « virilistes » qui commence dès l’enfance.
La virilité vient du terme latin « vira », qui signifie « le héros ».
Je la rassure : Nous ne sommes pas tous des « héros », loin de là !
Mais d’après elle la notion recouvre les attributs de force, de puissance, de courage « qui permettent la domination du masculin sur toutes les autres formes de masculinité et le féminin ».
Si on veut…
Même si ce n’est pas totalement faux, il faudrait se plonger un peu plus dans les détails : On ne commande pas non plus de recevoir ce type de stéréotype quand on naît garçon !
Il ne faudrait pas mélanger les causes et les effets.
Parmi les effets, qu’elle prend pour des causes, elle constate que les jeux, les productions audiovisuelles, qui s’adaptent à leurs clients des deux sexes. Et l’éducation des parents qui reproduit les schémas reçus, y contribuent : « En 2021, il semble encore difficile d’offrir un tee-shirt rose à un petit garçon. Ce n’est qu’un tee-shirt, mais c’est révélateur des résistances autour de la question de la virilité, parallèle à la dévalorisation des éléments dits ‘‘féminins’’ auprès des petits garçons. »
Et c’est qui, au juste, qui offrent des tee-shirts à leurs gamins ?
Le père putatif ou la mère naturelle ?
Personnellement, à chaque fois que j’ai acheté des fringues à « ma Nichée », elle ne les portait pas, parce que de toute façon, j’avais des « goûts de chiotte » : Autant balancer tout de suite le billet à la poubelle !
Ça m’aurait évité de me creuser les méninges pour « faire plaisir »…
 
Si ce bouquin est sorti la semaine dernière, lundi – je tiens à y revenir – « Libé-le-torchon » aura provoqué la colère et l’indignation de certaines (et pour l’heure pas beaucoup de « certains », ce que je regrette infiniment) en publiant la lettre d’un violeur en Une.
Double page pour une lettre intitulée « J’ai violé. Vous violez. Nous violons », précédée d’un article titré « Pourquoi “Libé” publie la lettre d’un violeur ».
C’est proprement écœurant : Dans cette lettre, Samuel, un étudiant de 20 ans, reconnaît avoir violé son ex-copine, Alma, l’étudiante à l’origine d’une vague de libération de la parole à Sciences-Po Bordeaux.
Un choix éditorial qui, on peut s’en douter, a été vivement critiqué sur les réseaux sociaux par les féministes.
Même si le « torchon » présente cette lettre comme « un texte fort et dérangeant » qui met en avant une « réflexion qui vise à nous interpeller » et « à nous sortir de notre zone de confort », et salue « la force intellectuelle, la fougue de ce texte ».
Proprement délirant !
 
« L’auteur décrit avec précision les déterminants personnels, culturels et sociaux qui ont participé à la commission de son acte. Il ne se justifie pas, ne s’autoflagelle pas, ne se défausse pas, il explique. Et expliquer n’est pas excuser ».
Réactions garanties : « Donner la parole à un violeur pour expliquer le viol dans toute sa ‘‘complexité’’, c’est LA HONTE ! », s’indigne sur « Twister » l’association féministe et militante Osez le féminisme.
« Si les violeurs se sentent le besoin de témoigner, ils peuvent le faire au commissariat »
« C’est à hurler ! », commente l’autrice de « Une culture du viol à la française », qualifiant le choix du violeur d’adresser sa lettre à un journal de « pure saloperie manipulatrice ».
« Ça va fonctionner sur plein d’hommes qui n’attendaient que ce genre de torchon », poursuit-elle. L’auteur ne « décrit pas avec précision les déterminismes », il nous manipule.
« Il se déculpabilise en disant qu’au fond tout le monde est un peu violeur, un peu coupable. Il dilue. »
Bé voyons…
Excusez, je ne me sens pas du tout violeur pour autant.
De toute façon, je fais signer une « Convention de Libre Coïtage » (https://flibustier20260.blogspot.com/2016/05/reprise-du-post-du-23-mai-2011.html) avant toute opérations de séduction à toutes les impétrantes…
 
« Lorsqu’il dit à Libération que c’est sa relation avec sa copine qui a créé les conditions du viol, il dit – oh proprement, malignement – qu’elle en est aussi responsable. Et vous avez validé ça, publié ça. Pour le 8 mars », déplore-t-elle.
« Il utilise le fait d’avoir été violé lui-même, d’être socialisé homme, d’avoir eu une relation passionnelle pour se déculpabiliser », analyse-t-elle encore.
« Pourquoi choisit-il de publier une lettre dans votre journal plutôt que d’aller se livrer à la police ? Ce choix ne vous questionne pas ? », interroge-t-elle.
Et d’interpeller Libération : « Réfléchissez à votre responsabilité à publier un texte d’une telle misogynie. »
« Ce journal a un sérieux problème », abonde Caroline de Hass. Et d’ajouter : « Tout est mépris, indécence et violence dans ces papiers Libération ».
Un choix éditorial « incompréhensible et dégueulasse » en dit une autre.
« Vous choisissez le 8 mars pour donner la parole à un violeur ? En plus avec une iconographie extrêmement douteuse ? Vraiment ? »
« Cette idée que mon agresseur ait le droit de raconter notre histoire et mes violences me dégoûte. Je me sens sale à cause de toi Libé », déplore la cofondatrice de La Clameur.
Perso, je n’avais pas attendu cette ignominie qui touche à l’absolu pour qualifier le « torchon » de… torchon !
Et je sais distinguer un torchon d’une serviette : Ça ne se mélange même pas !
 
Et on nous précise, à l’occasion, que la victime a été mise au courant de la publication de ce texte, alors qu’elle est « aujourd’hui hospitalisée pour dépression », et indique qu’elle « portera plainte lorsqu’elle sera prête ».
Je serai procureur général de la Justice, je n’attendrai pas pour ouvrir une information judiciaire : Un mek avoue un viol noir sur blanc, il est hors de question de le laisser vivre en paix et en liberté, son « quart-d’heure de gloire » enfin arrivé !
D’abord, il n’a pas à respirer le même air que moâ : C’est un fait acquis.
De plus, moâ je suis, comme vous, en résidence surveillée depuis presqu’un an, sans autre condamnation que de menacer de saturation, par ma seule existence, les services de réanimation et sans aucune forme de procès contradictoire en plus !
Et puis je suis masqué avant que d’être bâillonné, alors que lui il crache sa merde à la face du public !
La honte, la honte, quoi !
Que je serai même procureur général de la République, je convoquerai le « rédac’-chef du torchon » pour lui signifier son inculpation pour incitation et apologie à la violence.
Sur le sexe dit faible, en plus…
Une façon de prévenir le futur éditeur des « aventures de Sam » !
Tout ça pour faire « buzz » et plein de fric.
Mais où vit-on ?
 
Dans un monde de voyous, qui se croient tout permis, il n’y a pas de doute !
Eh bien, je peux vous dire que ça fait toujours aussi mal à l’âme.
Et j’attends avec impatience les condamnations encore plus virulentes de la gent masculine : Au moins, sa « virilité » doit pouvoir servir à protéger encore mieux celles qui font notre bonheur de vivre.
Parole de macho !

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