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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

jeudi 11 mars 2021

La tenue vestimentaire des femmes et jeunes-filles…

… Ça les met tous (et toutes) en transe !
 
On commence par nos amis helvètes appelés aux urnes sur trois questions dimanche dernier.
 
Faut-il ratifier l’accord de libre-échange avec l’Indonésie ?
Réponse à la sortie des urnes : Oui à 51,6 % !
Même si les résultats diffèrent entre les cantons romands, dont la majorité a clairement refusé le traité, et le reste de la Suisse.
Une barrière de rösti qui s’observe régulièrement lors des votations fédérales et qui montre une sensibilité différente sur certains thèmes entre la partie francophone et la partie germanophone du pays…
Mais peu importe.
 
Faut-il autoriser la privatisation de l’identité électronique (eID) ?
Réponse : Non à 84,4 %
La privatisation de la gestion de l’eID et les questions relatives à la sécurité des données ont fait pencher la balance en faveur du non.
Le texte visait à permettre l’émergence d’une identité numérique unique, afin de faciliter les transactions et d’assurer un accès sécurisé à des services administratifs ou commerciaux en ligne.
De nombreux autres pays européens disposent déjà d’un tel système.
Le projet d’introduction d’une identité électronique est sur la table depuis 15 ans chez eux.
En rejetant l’eID, l’Helvétie rate une chance de donner une impulsion à la numérisation du pays. Peu importe : Ils se rattraperons aux branches ultérieurement. Quoique… le culte du « secret », tout ça, tout ça…
L’identité électronique est considérée comme la clé d’accès au monde numérique.
Mais le modèle proposé par la loi suisse est loin de la perfection.
Malgré la mise sur pied d’un groupe de surveillance indépendant afin de prévenir d’éventuels abus, beaucoup se sont inquiétés pendant la campagne de la sécurité des données et de l’usage commercial qui pourrait en être fait.
Le peuple Helvète aura pris une « décision de principe » en affirmant son souhait de garder un contrôle démocratique sur ces données.
Et pourtant, la plupart des opposants ne rejettent pas l’identification numérique en elle-même, mais seulement les modalités d’application qui étaient prévues par la loi : Le rôle du gouvernement aurait été limité à rendre les données accessibles, mais la responsabilité de délivrer les eIDs aurait été délivrée principalement des entreprises privées. Or les « référendaires » plaident pour une eID gérée au niveau étatique.
D’ailleurs, selon le coordinateur romand du référendum sur l’eID, Benoît Gaillard, le résultat du vote n’est pas une opposition à la numérisation, mais une revendication pour une solution publique : « On attend du Conseil fédéral de ne pas considérer ce résultat comme une défaite, mais plutôt comme un mandat pour développer une approche globale pour un service public numérique », a-t-il déclaré.
En « Gauloisie-libertaire », on n’a même pas eu le choix : On nous l’impose et on entoure le dispositif de protection des données informatiques par toujours plus de « coups de canif » pour des motifs sécuritaires divers et même sanitaires…
 
Troisième question : Après les minarets, faut-il bannir aussi la burqa ?
Réponse : Oui à 51,2 % !
Et de signaler l’ironie de la situation, sur fond de pandémie, alors que tout le monde se promène masqué…
À l’image de la « Gauloisie-laïcarde », de la Belgique ou de l’Autriche, les Helvètes interdisent le port de la burqa et du niqab dans l’espace public.
Chez soi, notez que ça ne représente aucun intérêt…
Lancé par le Comité d’Egerkingen, le texte exige l’interdiction de toute forme de dissimulation.
Il concerne autant la burqa ou le niqab que les cagoules de casseurs ou de hooligans : Tous dans le même sac au pays des Huguenots !
 
Le groupement à l’origine du projet, composé de nombreux élus issus de la droâte conservatrice, avait déjà réussi à faire passer l’interdiction de la construction de minarets en 2009.
Comme celle sur la burqa, l’initiative anti-minarets visait avant tout un symbole de la communauté musulmane. Le débat avait été très émotionnel, alors que la Suisse ne compte que… quatre minarets…
Dimanche, ils ont décidé d’interdire le voile intégral, alors qu’une trentaine de femmes seulement le portent, selon une étude lucernoise.
 
Après le vote de 2009, les initiatives populaires ou interventions parlementaires ciblant la burqa et le niqab avaient fait florès. Elles n’avaient abouti à une interdiction que dans les cantons du Tessin et de Saint-Gall. Quinze cantons connaissaient aussi des règles pour les manifestations publiques et sportives.
À leurs yeux, le voile intégral représente « un défi pour les valeurs de notre civilisation, mais aussi pour les musulmans », qui avaient été mis au défi de se désolidariser d’une forme extrémiste à laquelle donne lieu leur religion.
 
À l’exception de l’UDC, tous les autres partis s’opposaient à une interdiction de la burqa, à l’image des ONG et des églises (huguenotes). Quelques musulmans libéraux avaient cependant apporté leur soutien au texte. C’est le cas de Mohamed Hamdaoui, député du Centre au Grand Conseil bernois qui aura fait part de son « immense soulagement » à l’issue du scrutin.
Pour lui, c’était aussi « l’occasion de dire stop à l’islamisme » et pas « aux musulmans, qui ont évidemment toute leur place dans ce pays », a-t-il souligné.
Le scrutin a créé des divisions au sein de la gôche, mais aussi parmi les militantes féministes. Alors que certaines figures ont soutenu le texte, d’autres l’ont combattu avec force. 
Le fait de dire aux femmes comment elles doivent s’habiller ne plaît pas à la députée et coprésidente des « Femmes socialistes » suisses.
L’interdiction de la burqa ne résout pas les vrais problèmes tels que le sexisme, le racisme ou la violence, affirment encore les « Femmes socialistes » dans un communiqué.
Elle a bien raison : Nous l’avons vu hier !
Si tous les hommes étaient des femmes, le monde serait quand même moins coûteux et plus compassionnel (comme si la compassion était une exclusivité féminine et… féministe !)
https://flibustier20260.blogspot.com/2021/03/journee-internationale-des-droits-de-la.html
En fait elle craint aussi que l’initiative anti-burqa ne stigmatise davantage les musulmans de Suisse : « C’est aussi un mauvais signal envoyé à la communauté musulmane. Et ce n’est pas le dernier, car il y a déjà des interventions déposées au Conseil national contre le voile ».
 
Quant à Myriam Mastour, membre du collectif « Les Foulards Violets » et de la grève féministe, elle craint qu’un « oui » à l’initiative antiburqa ne « banalise l'ambiance xénophobe et raciste » à l’encontre des musulmanes.
Particulièrement remontés, les « jeunes verts » comptent désormais porter le dossier devant les tribunaux.
Par voie de communiqué, le parti s’est déclaré « prêt à se battre » et affirme qu’il « pourrait aller jusqu’à la Cour européenne des droits de l’homme à Strasbourg ». L’initiative enfreindrait deux articles de la Constitution fédérale, selon la « jeunesse verte » : Son coprésident estime qu’il s’agit d’« une incursion dans la liberté individuelle, la liberté confessionnelle et de conscience ».
Quant à la Fédération suisse du tourisme (FST), elle regrette l’acceptation de l’initiative antiburqa.
La FST va maintenant essayer, par des actions de sensibilisation, d’accueillir le plus possible de touristes socialement plus progressistes en provenance de ces États.
Selon Barbara Gisi, l’exemple du Tessin montre que l’interdiction de la burqa a un impact sur le tourisme : Depuis le vote de 2016, le canton a perdu 30 % de visiteurs des pays du Golfe…
 
Le scrutin sur la dissimulation du visage était très observé à l’internationale. L’Helvétie rejoint le petit groupe de pays européens ayant banni le voile intégral.
La « Gauloisie-des-Lumières » connaît la loi sur la dissimulation du visage depuis 2010. La Cour européenne des droits de l’Homme l’a validée en juillet 2014, jugeant que l’interdiction du port du voile intégral n’est pas explicitement fondée sur la connotation religieuse des vêtements, mais sur le seul fait qu’ils dissimulent le visage.
Un avis que n’a pas partagé le comité des droits de l’Homme de l'ONU en 2018.
La « Belgie-flamande » a été le deuxième pays en Europe à interdire le port du voile intégral en 2011.
D’autres pays comme le Danemark, les Pays-Bas ou la Bulgarie ont également introduit des interdictions.
Ailleurs, comme en « Teutonnie », des interdictions partielles sont en vigueur.
Mais notons que le Burkini n’est toujours pas bien vu du côté de Siscu (Cap de « Corsica-Bella-Tchi-Tchi »).
https://flibustier20260.blogspot.com/2016/09/siscu.html 
 
Toutefois, la palme, question « tenue vestimentaire des femmes & jeunes-filles », ça reste, le même jour d’ailleurs, l’apanage de nos « amis-Belges »
Ceux-là font de l’humour à un niveau stratosphérique décidément indépassable !
À la veille de la journée internationale du droit des femmes, la direction l’Institut Saint-Anne de Gosselies, a annoncé vouloir faire la chasse à certaines tenues féminines.
Prétexte avancé : Ces habits « attirent le regard des jeunes élèves masculins en plein maelstrom hormonal ».
Ah oui, il n’y a pas de doute à avoir : Je me souviens encore de mes 15 ans et de cette prof’ d’anglais remplaçante qui arrivait en salle de classe avec des tenues de dingue : Un sourire ensorcelant, un échancré jusqu’au nombril et une jupette « ras-de-la-touffe-t’as-qu’à-mater ».
Je vous assure qu’on était tous assidus !
Les filles, un peu moins, la trouvant trop « pute » à leur goût parce qu’aucune ne pouvait tenir la distance !
C’est du vécu.
Et quand le titulaire est revenu, on était tout de même nettement plus indisciplinés pendant les cours !
 
Pour en revenir au « burkini-belge », au moment même où la divine Arielle Dombasle « Twiste » sa tenue de piscine, on aurait pu penser qu’« en temps normal, ce mail aurait déjà fait polémique. Alors l’envoyer la veille de la Journée internationale des droits des femmes… ».
Mais finalement, ce courriel reçu par les enseignants de cette école catholique du secondaire du nord de Charleroi a été pour le moins mal perçu par beaucoup d’entre eux.
Dans ce message, la direction de l'établissement annonce en effet sa volonté de faire la chasse aux « décolletés et aux blouses très courtes, et de porter particulièrement attention aux tenues des élèves féminines ».
Pourquoi particulièrement les tenues des femmes ?
La réponse est simple : « Elles attirent le regard des jeunes élèves masculins en plein maelstrom hormonal »… qui, ne pouvant pas se contrôler pourrait dès lors agresser ces jeunes filles.  « Et il sera alors trop tard », ajoute la directrice.
Trop tard pour quoi ?
On n’est pas tous « que » des sauvages, non plus !
Même à 15 ans…   
 
Dans la pratique, l’Institut a déjà prévu une feuille de route en deux étapes : La première consiste à « prévenir » les jeunes filles que leur toilette pose un problème.
La seconde prévoit de les « conduire » dans le bureau de la direction, « d’y convoquer les parents et de veiller à ce que l’élève ne porte plus ce genre de tenue, sans quoi celle-ci risque de ne plus être acceptée à l’école. »
Le message est on ne peut plus clair : Pas de décolleté, sinon c’est l’exclusion, la troisième étape.
Et la tactique est assumée : La menace plutôt que l’éducation !
Mais de l’autre côté de la barrière, la colère gronde.
« Certains enseignants, élèves et parents, envisagent aujourd’hui de faire grève commune pour protester » confie un professeur. 
Sans que cela ne semble inquiéter les instances dirigeantes de l’établissement…
En Belgique, alors que les écoles catholiques sont entièrement publiques, le secrétariat général de l’Enseignement catholique (Segec) a tenu à réagir : « La question des tenues dans les établissements scolaires peut être un sujet que ce soit pour les filles ou les garçons. Un établissement peut faire le choix de mettre des règles en place. Mais cela doit toujours être combiné à des messages d’éducation, qui doivent viser tant les filles que les garçons. »
De leur côté, les autorités belges ont pris le taureau par les cornes : Dans les colonnes du site la « Dernière Heure », la ministre de l’Enseignement, s’est expliquée : « Ce courrier m’interpelle au plus haut point. En effet, il caricature les jeunes filles comme de simples tentatrices face à des garçons en proie à leurs hormones. Au-delà d’un stéréotype de genre, le propos est inquiétant car poussé à l’extrême, ce type de raisonnement peut conduire à justifier des agressions sexuelles en transformant les victimes en coupables. »
C’est vrai ça : Les hormones « poussent » aussi chez les filles du même âge, quoi !
Un peu comme mes « copines de classe d’anglais » : Si c’est une pute, il suffit de payer pour se la taper !
Chienne entre elles…
 
Pour ma part je note qu’une fois de plus, les fripes des dames qu’elles se mettent sur la caouane, ça les met décidément tous en transe : Ils ne peuvent pas s’empêcher de vouloir les leur dicter !
Demain, tu verras, une fois que les masques seront tombés, ce sera aussi les maquillages et après-demain les coiffes et coiffures.
Et pire que ça, si c’est probablement le fait des hommes, c’est aussi, ne l’oublions pas, celui des femmes, tout confondus…
C’est tout de même incroyable, non 

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