Le retour en catimini de l’écotaxe
Il fallait oser, eh bien ils osent !
Vous savez depuis des lustres à quoi on reconnait un konnard ?
C’est celui qui ose la konnerie…
Eh bien, la commission d’athlètes de la konnerie, qu’on retrouve réunie en commission parlementaire, vient d’approuver l’article 32 !
Personnellement, je les trouve vraiment merveilleux…
Vous vous souvenez peut-être de « Bord-l’eau », sinistre
officiel de l’écolologie sous « Bling-bling » et son « Grenelle
de l’environnement ».
Ils nous en avaient fait des plats servis « tout chaud » tous les soirs à l’heure de l’apéro en 2009.
Et ce, jusqu’à l’écœurement !
Les meks prenaient la même recette que « Tonton Yoyo » inventée quelques années plus tôt pour te donner des envies de génocide : La piquouze du 20 heures à te faire des plans alambiqués sur des problèmes sempiternels qui n’ont jamais trouvé de solution, qu’on ne déterre rien que pour pouvoir exister.
« Tonton Yoyo » aura fini dans les poubelles de l’Histoire au Conseil Constitutionnel (pour y toucher une rente de situation – avec chauffeur – totalement inconstitutionnelle) et « Bling-bling » devant les tribunaux correctionnels du pays pour laisser la place à un « canasson boiteux » en la personne de « Tagada-à-la-fraise-des-bois », élu « Capitaine du pédalo » !
L’écotaxe sur les poids-lourds ne vise en fait que le trafic autoroutier
le long du Rhin. Il se trouve qu’en « Teutonnie », si les autoroutes
sont gratuites, les poids-lourds payent une redevance assez chère au kilométrage
parcouru.
Qu’il est donc plus astucieux de passer « rive-gôche », mais en évitant les autoroutes.
Les bahuts « Gauloisiens » payent également le même prix au péage sur les autoroutes à péage – mais il n’y en a pas partout –, en plus d’une taxe à l’essieu dont les « « Teutons » sont exonérés : C’est tout un calcul à faire pour choisir sa plaque d’immatriculation en fonction du trafic prévisionnel du bahut.
Bon, un poids-lourd, ça ne va pas vite, ça encombre et ça pollue plus qu’un diesel-des-villes.
D’où l’idée de taxer le trafic à partir d’un certain tonnage.
Parce qu’après tout, la taxe à l’essieu, ça finance un bout de l’entretien du réseau national et secondaire dont s’exonèrent les « Teutons ».
Et que justement, ces malins évitent en priorité les autoroutes à péage du côté « Gauloisien » que le trafic vers l’Helvétie ou la « Batavie » est nettement moins coûteux mais ne participe pas du tout à l’entretien de nos routes nationales livrées gratuitement aux dégradations et usures imputées aux « gros-kuls ».
Pas de problème : On enquille ça dans une loi sur l’environnement à vocation universelle – au moins sur le territoire « Gauloisien » – et fume mon gars : Tu payes le péage ou tu payes l’écotaxe : Tu as de la chance, on te laisse le choix !
Oui, parce que vous ne savez pas, mais en cas de gel, sur le réseau secondaire, tu es prié de respecter les barrières de dégel encadré par des motards à vitesse réduite…
Une affaire qui disparaîtrait en cas de réchauffement-climatique (qui n’a pas que des inconvénients, mais parfois quelques avantages).
Passons…
On est donc en 2007 quand nos « sachants d’élite » imaginent l’écotaxe qui trouve sa légitimité lors de ce fameux Grenelle de l’environnement.
Elle a été adoptée à la quasi-unanimité par le Parlement en 2009.
Comme on est incapable de trouver le premier centime d’euro, on soustraite forcément à un opérateur privé, comme nos autoroutes.
Il se trouve qu’il est « Rital » sur ce coup-là.
On change de PDG de la République et la mise en place à l’échelle nationale de cette « écotaxe sur le transport routier » est abandonnée en catastrophe en 2014 face à la révolte dite des « Bonnets rouges » !
Commencée en 2013 dans l’Ouest de la « Gaulosie-sectaire » (loin du Rhin) et plus particulièrement en Bretagne, elle avait mobilisé des dizaines de milliers de personnes !
Une sorte de prélude, cinq ans avant, du mouvement des « Gilets jaunes ».
Sauf que « Tagada-à-la-fraise-des-bois » en qualité de « Capitaine-de-pédalo » et sa ministre de « l’écolologie » d’alors, « Ségololo », son ex-maîtresse mais mère-maternelle de ses gamins (il a la reconnaissance du ventre chevillée aux kouilles), avaient très rapidement cédés et abandonnés l’écotaxe dont on avait pu admirer ensuite et pendant des années les portiques devenus inutiles sur les routes.
Parce que c’était une usine à gaz que de fliquer les « gros-kuls » pour justifier de la ponction « au kilomètre » parcouru.
La résiliation du contrat avec l’opérateur privé des portiques, Ecomouv’,
aura coûté à l’État, selon les calculs de la Cour des comptes, 958 millions
d’euros.
Et les portiques et autres éléments, qui valaient 652 millions d’euros, ont été finalement vendus pour 2,19 millions d’euros.
Pas tous : J’en croise encore…
Mais l’État, rassurez-vous, n’a pas perdu de recettes… nous a-t-on certifié !
Et effectivement, le gouvernement d’alors a intégralement compensé la perte en augmentant la TICPE (Taxe intérieure de consommation des produits énergétiques) sur le gazole de quelques centimes.
Sauf que, comme toujours et selon la Cour des comptes, les camions étrangers roulant en « Gauloisie-routière » auraient payé 31 % de l’écotaxe et ne contribuent finalement qu’à hauteur 2 % de la TICPE.
Autrement dit, quand vous faites le plein, c’est vous qui payez l’addition d’une accumulation de konneries « Bling-blingesques » et « soce-écolologistes »…
Moâ, j’adore ce genre de délire de nos élus.
D’autant qu’il y a mieux depuis ce mois de mars : On ne va pas
réduire la TICPE du pôve quidam qui aura fait « Gilet-jaune » entre-temps,
mais qu’on reprend l’idée de la « Convention citoyenne » sur le
climat voulue par « Jupiter », justement pour satisfaire à la révolte
des ronds-points qui consiste à faire adopter un article du projet de loi « Climat »
en Commission en réintroduisant un équivalent de l’écotaxe dont la mise en
place serait laissée à l’initiative des régions.
Comme quoi, la « très grande sagesse du législateur » a la mémoire courte, que j’en reste tout étonné…
L’écotaxe est quand même un des plus grands fiascos de la fiscalité « comportementaliste » écolologique : Il a coûté des centaines de millions d’euros en indemnités et finalement en taxes supplémentaires aux contribuables mis sur le dos du « kon-tribuable » béat !
Difficile à croire après tout cela, n’est-ce pas, mais l’écotaxe vient donc
de faire son retour, en catimini !
Mais sans ses tares originelles, pas si fous que ça les « Jupitériens ».
Car le gouvernement de « Casse-tête » ne l’assume pas vraiment : Il est prévu d’en laisser éventuellement la responsabilité de la mise en place de cette taxe aux régions !
Et hop, je te refile la patate chaude, ni vu ni connu…
Car s’il s’agit évidemment des suites de la fameuse Convention citoyenne sur le climat, opération de communication du gouvernement qui a tourné au fiasco total elle aussi et de la loi Climat qui en découle, car elle ne reprend qu’un certain nombre de propositions de ladite Convention.
Autrement dit, ce n’est pas moâ, c’est d’autres !
Remarquons qu’au-delà de son problème de légitimité démocratique, cette convention citoyenne aura tout de même réussi le tour de force de fournir des réponses définitives à la question de la transition après quelques semaines seulement de travail mais sans aborder aucunement les questions du nucléaire, de la taxe carbone et de la politique européenne, par exemple.
Très beau, l’enfumage !
Cela n’a pas empêché les députés de valider en commission l’article 32 du
projet de loi. Il doit être examiné dans l’hémicycle fin mars. Il permet aux
régions volontaires et « disposant d’un domaine public routier » de
mettre en place une « contribution spécifique assise sur le transport
routier de marchandises » qu’on retrouvera une fois de plus dans l’assiette
de nos gamins.
Quand y’a pas de gêne, y’a pas de plaisir…
Bien sûr, le projet de loi prévoit une « habilitation à légiférer par ordonnance » pour les seules régions volontaires. Elles pourront aussi choisir les routes soumises à ce dispositif et le niveau de taxation.
Inutile de vous dire que la région du « Grand-Est » va sauter sur l’occasion de remplir ses caisses et de désengorger ses routes, alors que les bretons ne voudront rien savoir pour accéder à la kapitale.
Sauf qu’ils ne sont pas tout seuls à en décider…
Et moâ je me pose la question de savoir qu’elle sera la position du CTC de mes cousins « Natio-Corsi » ?
Il n’y a pas d’autoroute sur l’Île-de-beauté, sauf la deux fois deux voies « Furiani-Furiani », un vrai désert pire que dans le Gers : Le terrain idéal pour l’écotaxe, non ?
Pour tout vous dire, d’ores et déjà, les Bretons se rappellent au bon
souvenir des élus et menacent.
Le collectif « Vivre, décider et travailler en Bretagne », à l’origine du mouvement des « Bonnets rouges », s’est déjà réuni.
Dans un entretien à la presse, Christian Troadec, l’ancien leader des « Bonnets rouges », prévient le gouvernement : « S’il le faut, les Bonnets rouges vont se mobiliser contre cette nouvelle écotaxe. Cette fois, la mobilisation sera dix fois plus grande ! ».
Pffft ! Même pas peur, puisque c’est « citoyen » et « Gilets-jaunes »…
Et il ajoute : « Nous ne sommes pas encore sortis de la crise sanitaire à laquelle le gouvernement s’attelle à rajouter des difficultés économiques et sociales !…
Le mouvement a fonctionné en 2013 parce qu’on avait
décloisonné la société.
Des gens qui se connaissaient, ne serait-ce qu’en jouant au football le dimanche, se sont fédérés, qu’importe leur milieu social, contre l’écotaxe.
Il y avait des paysans, des commerçants, des patrons, des ouvriers, etc.
J’observe aujourd’hui les mêmes inquiétudes. Des inquiétudes provoquées, une nouvelle fois, par une décision prise à Paris sous le couvert de la régionalisation… ».
Ah, vous comprenez, maintenant, pourquoi les stades sont fermés ?
Pas du tout parce que ça fait « cluster », puisqu’on est en plein air, masqués et cagoulés !
Mais parce que ce sont des réunions subversives anti-gouvernementales !
Finalement, comme toujours, j’en rigole : Ce pays est vraiment
extraordinaire de contradictions jusqu’à être proprement ingouvernable.
Enfin quoi, les « Bonnets-rouges » (et quelques autres : « Les pigeons », les « Mariage pour tous », les « Manif’ pour tous », par exemple…) ont montré le chemin aux « Gilets-jaunes » qui accouchent de la Convention Citoyenne qui se retourne contre les « Bonnets-rouges » !
J’avoue que c’est fabuleux !
Bon, avouons que ce n’est pas un hasard : Comment régler un problème en « Gauloisie-impérieuse » ?
Tu mets une commission quelconque, elle pond un rapport et quelques propositions soigneusement présélectionnées par des « sachants anonymes », et ça se termine non pas en chanson mais en taxes nouvelles !
C’est systématique.
Un jour, il faudra que le citoyen lambda ne pose surtout plus de question
et ne se mêle surtout pas d’évoquer des solutions : Ça lui retombe
toujours sur le coin de la gueule.
Et en plus, ils sont nombreux à vouloir aller à la place de « Jupiter » et de ses prédécesseurs pour pouvoir encore mieux bastonner la populace de taxes : Véritablement incroyable !
Ils sont décidément nés rien que pour ça…
Impayables !
Vous savez depuis des lustres à quoi on reconnait un konnard ?
C’est celui qui ose la konnerie…
Eh bien, la commission d’athlètes de la konnerie, qu’on retrouve réunie en commission parlementaire, vient d’approuver l’article 32 !
Personnellement, je les trouve vraiment merveilleux…
Ils nous en avaient fait des plats servis « tout chaud » tous les soirs à l’heure de l’apéro en 2009.
Et ce, jusqu’à l’écœurement !
Les meks prenaient la même recette que « Tonton Yoyo » inventée quelques années plus tôt pour te donner des envies de génocide : La piquouze du 20 heures à te faire des plans alambiqués sur des problèmes sempiternels qui n’ont jamais trouvé de solution, qu’on ne déterre rien que pour pouvoir exister.
« Tonton Yoyo » aura fini dans les poubelles de l’Histoire au Conseil Constitutionnel (pour y toucher une rente de situation – avec chauffeur – totalement inconstitutionnelle) et « Bling-bling » devant les tribunaux correctionnels du pays pour laisser la place à un « canasson boiteux » en la personne de « Tagada-à-la-fraise-des-bois », élu « Capitaine du pédalo » !
Qu’il est donc plus astucieux de passer « rive-gôche », mais en évitant les autoroutes.
Les bahuts « Gauloisiens » payent également le même prix au péage sur les autoroutes à péage – mais il n’y en a pas partout –, en plus d’une taxe à l’essieu dont les « « Teutons » sont exonérés : C’est tout un calcul à faire pour choisir sa plaque d’immatriculation en fonction du trafic prévisionnel du bahut.
Bon, un poids-lourd, ça ne va pas vite, ça encombre et ça pollue plus qu’un diesel-des-villes.
D’où l’idée de taxer le trafic à partir d’un certain tonnage.
Parce qu’après tout, la taxe à l’essieu, ça finance un bout de l’entretien du réseau national et secondaire dont s’exonèrent les « Teutons ».
Et que justement, ces malins évitent en priorité les autoroutes à péage du côté « Gauloisien » que le trafic vers l’Helvétie ou la « Batavie » est nettement moins coûteux mais ne participe pas du tout à l’entretien de nos routes nationales livrées gratuitement aux dégradations et usures imputées aux « gros-kuls ».
Pas de problème : On enquille ça dans une loi sur l’environnement à vocation universelle – au moins sur le territoire « Gauloisien » – et fume mon gars : Tu payes le péage ou tu payes l’écotaxe : Tu as de la chance, on te laisse le choix !
Oui, parce que vous ne savez pas, mais en cas de gel, sur le réseau secondaire, tu es prié de respecter les barrières de dégel encadré par des motards à vitesse réduite…
Une affaire qui disparaîtrait en cas de réchauffement-climatique (qui n’a pas que des inconvénients, mais parfois quelques avantages).
Passons…
On est donc en 2007 quand nos « sachants d’élite » imaginent l’écotaxe qui trouve sa légitimité lors de ce fameux Grenelle de l’environnement.
Elle a été adoptée à la quasi-unanimité par le Parlement en 2009.
Comme on est incapable de trouver le premier centime d’euro, on soustraite forcément à un opérateur privé, comme nos autoroutes.
Il se trouve qu’il est « Rital » sur ce coup-là.
On change de PDG de la République et la mise en place à l’échelle nationale de cette « écotaxe sur le transport routier » est abandonnée en catastrophe en 2014 face à la révolte dite des « Bonnets rouges » !
Commencée en 2013 dans l’Ouest de la « Gaulosie-sectaire » (loin du Rhin) et plus particulièrement en Bretagne, elle avait mobilisé des dizaines de milliers de personnes !
Une sorte de prélude, cinq ans avant, du mouvement des « Gilets jaunes ».
Sauf que « Tagada-à-la-fraise-des-bois » en qualité de « Capitaine-de-pédalo » et sa ministre de « l’écolologie » d’alors, « Ségololo », son ex-maîtresse mais mère-maternelle de ses gamins (il a la reconnaissance du ventre chevillée aux kouilles), avaient très rapidement cédés et abandonnés l’écotaxe dont on avait pu admirer ensuite et pendant des années les portiques devenus inutiles sur les routes.
Parce que c’était une usine à gaz que de fliquer les « gros-kuls » pour justifier de la ponction « au kilomètre » parcouru.
Et les portiques et autres éléments, qui valaient 652 millions d’euros, ont été finalement vendus pour 2,19 millions d’euros.
Pas tous : J’en croise encore…
Mais l’État, rassurez-vous, n’a pas perdu de recettes… nous a-t-on certifié !
Et effectivement, le gouvernement d’alors a intégralement compensé la perte en augmentant la TICPE (Taxe intérieure de consommation des produits énergétiques) sur le gazole de quelques centimes.
Sauf que, comme toujours et selon la Cour des comptes, les camions étrangers roulant en « Gauloisie-routière » auraient payé 31 % de l’écotaxe et ne contribuent finalement qu’à hauteur 2 % de la TICPE.
Autrement dit, quand vous faites le plein, c’est vous qui payez l’addition d’une accumulation de konneries « Bling-blingesques » et « soce-écolologistes »…
Moâ, j’adore ce genre de délire de nos élus.
Comme quoi, la « très grande sagesse du législateur » a la mémoire courte, que j’en reste tout étonné…
L’écotaxe est quand même un des plus grands fiascos de la fiscalité « comportementaliste » écolologique : Il a coûté des centaines de millions d’euros en indemnités et finalement en taxes supplémentaires aux contribuables mis sur le dos du « kon-tribuable » béat !
Mais sans ses tares originelles, pas si fous que ça les « Jupitériens ».
Car le gouvernement de « Casse-tête » ne l’assume pas vraiment : Il est prévu d’en laisser éventuellement la responsabilité de la mise en place de cette taxe aux régions !
Et hop, je te refile la patate chaude, ni vu ni connu…
Car s’il s’agit évidemment des suites de la fameuse Convention citoyenne sur le climat, opération de communication du gouvernement qui a tourné au fiasco total elle aussi et de la loi Climat qui en découle, car elle ne reprend qu’un certain nombre de propositions de ladite Convention.
Autrement dit, ce n’est pas moâ, c’est d’autres !
Remarquons qu’au-delà de son problème de légitimité démocratique, cette convention citoyenne aura tout de même réussi le tour de force de fournir des réponses définitives à la question de la transition après quelques semaines seulement de travail mais sans aborder aucunement les questions du nucléaire, de la taxe carbone et de la politique européenne, par exemple.
Très beau, l’enfumage !
Quand y’a pas de gêne, y’a pas de plaisir…
Bien sûr, le projet de loi prévoit une « habilitation à légiférer par ordonnance » pour les seules régions volontaires. Elles pourront aussi choisir les routes soumises à ce dispositif et le niveau de taxation.
Inutile de vous dire que la région du « Grand-Est » va sauter sur l’occasion de remplir ses caisses et de désengorger ses routes, alors que les bretons ne voudront rien savoir pour accéder à la kapitale.
Sauf qu’ils ne sont pas tout seuls à en décider…
Et moâ je me pose la question de savoir qu’elle sera la position du CTC de mes cousins « Natio-Corsi » ?
Il n’y a pas d’autoroute sur l’Île-de-beauté, sauf la deux fois deux voies « Furiani-Furiani », un vrai désert pire que dans le Gers : Le terrain idéal pour l’écotaxe, non ?
Le collectif « Vivre, décider et travailler en Bretagne », à l’origine du mouvement des « Bonnets rouges », s’est déjà réuni.
Dans un entretien à la presse, Christian Troadec, l’ancien leader des « Bonnets rouges », prévient le gouvernement : « S’il le faut, les Bonnets rouges vont se mobiliser contre cette nouvelle écotaxe. Cette fois, la mobilisation sera dix fois plus grande ! ».
Pffft ! Même pas peur, puisque c’est « citoyen » et « Gilets-jaunes »…
Et il ajoute : « Nous ne sommes pas encore sortis de la crise sanitaire à laquelle le gouvernement s’attelle à rajouter des difficultés économiques et sociales !…
Des gens qui se connaissaient, ne serait-ce qu’en jouant au football le dimanche, se sont fédérés, qu’importe leur milieu social, contre l’écotaxe.
Il y avait des paysans, des commerçants, des patrons, des ouvriers, etc.
J’observe aujourd’hui les mêmes inquiétudes. Des inquiétudes provoquées, une nouvelle fois, par une décision prise à Paris sous le couvert de la régionalisation… ».
Pas du tout parce que ça fait « cluster », puisqu’on est en plein air, masqués et cagoulés !
Mais parce que ce sont des réunions subversives anti-gouvernementales !
Enfin quoi, les « Bonnets-rouges » (et quelques autres : « Les pigeons », les « Mariage pour tous », les « Manif’ pour tous », par exemple…) ont montré le chemin aux « Gilets-jaunes » qui accouchent de la Convention Citoyenne qui se retourne contre les « Bonnets-rouges » !
J’avoue que c’est fabuleux !
Bon, avouons que ce n’est pas un hasard : Comment régler un problème en « Gauloisie-impérieuse » ?
Tu mets une commission quelconque, elle pond un rapport et quelques propositions soigneusement présélectionnées par des « sachants anonymes », et ça se termine non pas en chanson mais en taxes nouvelles !
C’est systématique.
Et en plus, ils sont nombreux à vouloir aller à la place de « Jupiter » et de ses prédécesseurs pour pouvoir encore mieux bastonner la populace de taxes : Véritablement incroyable !
Ils sont décidément nés rien que pour ça…
Impayables !
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