À quoi « Jupiter » joue-t-il au juste ?
La semaine passée aura donné le sentiment qu’on entre
en « campagne électorale » dans un désordre inhabituel.
Voire…
Entre la polémique inutile voire déplacée sur les menus sans viande, « l’islamo-gôchisme » supposé gangréner l’académie des sciences et autres « universitaires », la sortie de « Dard-à-la-main » prétendant que « Marinella-tchi-tchi » reste « folle-à-la-messe » médiatique, comme s’il avait pu la lui tâter (ce qui aurait pu lui valoir des poursuites pour agression sexuelle : C’est un habitué, semble-t-il), juste au moment d’annoncer qu’il allait dissoudre « génération identitaire » (ce qu’il n’a pas encore fait) et de fermer des mosquées salafistes, « Miss Marre-laine-Chie-à-pas » qui se serait fait piquer en avance sur le calendrier des vaccinations, photo à l’appui toute frisée, alors que chacun sait que c’est une adepte du « lissage-gate » brésilien, et l’amendement gouvernemental surprise, déposé au dernier moment pour installer le vote électronique par anticipation à la prochaine présidentielle… franchement, on ne regrette pas d’être né, finalement !
Le gouvernement et sa majorité se sont offert un vrai festival
de polémiques qui aurait eu le don d’agacer au sommet de l’État, nous fait-on
savoir.
C’est ce qu’en prétendre certains dans les couloirs du pouvoir tapissés de dorures.
« La semaine qui vient de s’écouler a prouvé que malgré le Covid-19, on pouvait faire exister d’autres sujets dans l’actualité.
Mais on gagnerait à reproduire la démonstration de
manière concertée et organisée. »
L’avertissement est signé de « Jupiter » en
conseil des « sinistres » après l’incroyable série de polémiques
lancées par sa majorité de « marcheurs-même-pas-en-rêve ».
Et encore, les « députacrouilles » n’y ont pas été convoqués.
Traduction d’un participant : « Je l’ai senti sur le mode il faut arrêter de déconner. Une fois, mais pas deux. »
Il n’empêche, ça va faire un an qu’on ne parle que du « Conard-virus ».
Et de tous les impacts sur nos vies, celle des institutions et de son calendrier à venir (et passé), passer à autre chose, c’est une bonne médecine, non ?
À savoir le calendrier des élections qui se précisent.
En juin prochain, deux élections en une seule pour les « territoriales » et un mandat de 6 ans : Les Départementales et les Régionales.
Puis plus rien pendant presqu’un an jusqu’aux présidentielles prévues encore pour avril-mai 2022 suivies des législatives en juin suivant.
Or, les deux dernières consultations – Européennes de mai 2019 et les Municipales de l’année dernière (mars/juin 2020) – n’ont pas été brillantes, loin de là, pour les « jupitériens ».
Il faut dire que la première partie du quinquennat est partie en trombe pour finalement se retrouver « en couille », embourbé comme jamais par « Benne-Allah » et les dérives sécuritaires qui l’ont accompagné, par les « Gilets-jaunes » dû à un cafouillage de précipitations et par la crise sanitaire qui auront stoppé les réformes attendues…
À croire que le cafouillage c’est la marque de fabrique de « Jupiter »… à vouloir toujours tout faire « en même temps ».
« Au moment où on essayait de sortir du sanitaire
pour remettre d’autres sujets en avant, on replonge dans la machine à couacs.
On a quand même une sacrée faculté à se prendre nous-même les pieds dans le
tapis », résume un influent conseiller de « Jupiter ».
Et il ne croit pas si bien dire avec le dernier épisode en date : Les menus sans viande dans les cantines de Lyon qui a vu s’écharper rien de moins que la « sinistre de la Transition écolologique », « Barbarella-Pompe-à-Huile », d’un côté, puis celui de « l’agricul-turture », « Juju-de-la-Normandie » et enfin celui de « l’intérieur & des cultes », « Gégé-Dard-à-la-Main ».
À trois, font-ils une valse au moins ?
Parce qu’une belotte, il faut un mort…
Que justement, sur ce coup-là « Casse-tête »,
le patron de la bande, il n’est plus là : Il brille curieusement par son auguste
absence.
La place du mort ? C’est donc une belotte !
Ou un poker-menteur…
Résultat, « pendant qu’on parle de ça, eh bien on ne parle pas d’autre chose. Notamment des sujets de fond.
C’est catastrophique sur le plan de la communication », s’emporte
un membre du gouvernement.
La preuve, tandis que le projet de loi Climat est déjà
critiqué pour son manque d’ambition, l’article proposant l’expérimentation d’un
choix végétarien quotidien dans les cantines est totalement passé sous les
radars…
Quant à la tentative de la « sinistre de l’enseignement supérieur », après sa « gangrène », quand il a s’agit de remettre la lumière sur son action pour lutter contre le mal-être et la précarité des étudiants… c’est passé à la trappe !
C’était quand même sympas de penser à offrir aux étudiants des serviettes périodiques et des « psy » gratuitement ou des repas chauds à un euro…
Un flop communicatif flamboyant !
D’autant que, question communication, « Bibi-Jupiter » a failli être emportée par une attaque quand elle aura entendu, et vu, Canteloup dékonner avec l’accent (et le visage : un deep-fake) de son cher et tendre à elle à la fin du journal de 20 heures de la soirée.
« Trois ans de communication qui partent à la poubelle, ce n’est pas possible ! » s’est-elle inquiétée.
Heureusement, ce n’était qu’un gag, évidemment…
Mais au moins, on sait désormais que la chaîne à une auguste auditrice… et qui n’est pas sourde !
Pour le reste… elle marque tout de même son âge, à ce que j’en dis, le neurone un peu avachi pour prendre des vessies pour des lanternes.
« On est dans une France, dont on est le reflet,
qui s’attache beaucoup aux mots, et qui est prête à s’enflammer sur n’importe
quel débat sémantique plutôt que de regarder les véritables enjeux.
On dit toujours que les mots ont un sens, mais parfois
ils empêchent de se pencher sur le fond », regrette une figure de la « Jupitérie ».
Certes, à Matignon, mais par la voix de son directeur
de cabinet, on a tenté de siffler la fin de la récréation enjoignant chacun à
jouer plus collectif.
« Moins nous alimentons les polémiques auto-portées, mieux nous nous portons », est-il ainsi écrit dans le mail de recadrage envoyé sur le tard, en relevant « des polémiques sur des sujets périphériques, doublées d’une forme de cacophonie ministérielle ».
C’est le moins qu’on puisse dire.
D’autres pointent aussi un sujet d’autorité : « En
théorie, quand un ministre sort des clous, ça appelle à un recadrage direct du
Premier ministre. Là, il n’y a rien. Castex est absent.
Et du coup tout le monde se croit autorisé à parler
sur tout »,
tempête un secrétaire d’État.
« C’est le tribut d’avoir choisi un Premier
ministre qui ne fait pas de politique.
Il y a un effacement du Premier ministre, qui est
ramené au rang de directeur d’administration », embraye un ancien « sinistre » du
quinquennat de « Tagada-à-la-fraise-des-bois » (dit aussi « Gras-Nul-Laid »).
Lui au moins, on ne l’entend plus alors que « Bling-bling »
aura fait parler de lui pour s’être fait vacciner en priorité, probablement en
raison de « comorbidités » assumées…
Mais restées cachées.
On se souvient seulement qu’il a le palpitant qui parfois l’oblige à faire des « malaises vagales » impromptus.
D’autres, peut-être moins kons, tendent cependant à
prendre de la distance et préfèrent mettre le contexte politique au crédit de
cette période cacophonique.
« On est à un an de la présidentielle et, mine de rien, c’est là que les lignes se définissent.
Ce n’est donc pas surprenant de voir certains
ministres essayer de pousser leur avantage pour influer sur une ligne plutôt qu’une
autre »,
estime un communicant de l’exécutif.
« Et puis, on peut se demander aussi à qui profite
le crime ? » s’interroge un autre, « sinistre de la majorité »
dans le civil, surpris de voir « Jupiter », son patron, autant en
retrait dans cette séquence… jusqu’à le soupçonner d’y trouver peut-être un
intérêt politique.
Ou peut-être pas : Il n’a peut-être plus rien à nous dire après avoir tant mobilisé la « petite-lucarne » avec ses deux alliances et ses oreilles décollées.
Après tout, on s’interroge depuis l’antiquité sur la sagesse du sage qui ne dit plus rien…
Peut-être qu’il – le sage – a compris que ça ne servait à rien que de la ramener.
Mais « Jupiter » ne me semble pas être « un sage » : C’est un compétiteur !
« La question que l’on peut se poser, c’est quelle
est la part de couac, quelle est la part de stratégie », rebondit un spécialiste
de communication politique : « Emmanuel Macron sait bien que le débat
sémantique sur l’islamo-gauchisme divise la gauche. C’est comme la viande dans
les cantines, ça fragilise les écolos.
Et quand Darmanin dit que Le Pen est molle, c’est d’abord
un problème pour la droite et le RN.
Bref, on est en pleine triangulation politique », décrypte-t-il.
Même si d’autres assurent que ces sorties ont bel et
bien fait grincer des dents en interne.
Justement, le dire, c’est jeter un écran de fumée pour mieux dissimuler les objectifs et la tactique employée.
Car on est bien rentré de plain-pied dans la précampagne électorale de 2022 avec cette séquence, pas de doute !
« Mais il envoie des petites bombinettes, c’est du
trumpisme à fragmentation, pour diviser les oppositions.
Et lui, pendant ce temps-là, reste au-dessus de la
mêlée en faisant de la communication feel good sur le Covid avec McFly et
Carlito », enchaîne
l’expert.
D’ailleurs un « conseiller ministériel »
abonde dans le même sens : « Quand il y a des divisions, une solution est
aussi de ne rien dire et de regarder comment les choses évoluent. »
Au risque de brouiller sa ligne et ses messages.
Et je vous avoue que le clip de « Carlito & McFly » est une excellente idée : « Je t’invite à l’Élysée si tu fais 10 méga-vues ! » Et les meks le font en deux jours pour une sorte de navet comme on en a tant vus depuis des dizaines d’années : Le quart d’heure de gloire, quoi…
En fait, tout est question de calendrier : Juin,
les territoriales, qui vont être catastrophiques pour les « Marcheurs-même-pas-en-rêve »,
même s’ils vont savoir y trouver des satisfactions ; par la suite,
seulement 10 mois pour préparer les présidentielles et 12 pour les législatives.
Vient s’interposer le calendrier de la crise sanitaire et la pandémie du « Conard-virus ».
Les types qui se trompent et qui partent trop tôt comme « Mes-Luches » ou « Marinella-tchi-tchi » pour l’échéance présidentielle, ils hypothèquent les territoriales et du coup leur candidature personnelle ultérieure.
Ceux qui partiront trop tard mordront la poussière au soir du premier tour.
Qu’est-ce qu’il vaut mieux en tenant compte du calendrier imposé par le « Conard-virus » ?
Normalement, les « partis du monde d’avant », vont tabler sur les « territoriales ».
Premièrement, ils n’ont pas de leader – même chez les « Républicains-démocrates » tant que « Berre-niée »
ne mouille pas sa chemise –, deuxièmement, ils savent que c’est là que ce gagne
le reste pour disposer des moyens fournis par la République (salles, bureaux,
chaises, téléphones, photocopieurs, imprimantes, ordinateurs, etc. et surtout
en mairie, les noms, adresses, âges des électeurs avec les listes électorales…)
Parce que c’est un des autres points-clé : Si la
pandémie régresse avant l’été – ce à quoi devrait servir la vaccination à
marche forcée, même si on n’est sûr de rien en ce domaine, on ne peut qu’espérer
– et ne redémarre pas avec ses « mutants » à la rentrée, il sera
toujours temps de foncer et carburer un maximum.
Mais ça veut dire qu’on laisse le champ libre aux oppositions de faire leurs lits aux territoriales.
Ce sont aux « seconds couteaux » de faire le boulot.
Et c’est justement ce que l’on voit : Ils tirent dans tous les sens, sans coordination apparente, sur tout ce qui bouge et peut faire buzz.
Occuper le terrain médiatique, c’est manifestement leur stratégie, jusqu’à en faire peut-être trop.
Parce que l’autre point-clé, ça reste les réformes
laissées en plan.
BlackRock et quelques autres s’impatientent de faire main-basse sur les régimes de retraite et plus tard sur les régimes de santé et surtout de prévoyance, une mine d’or.
Et là, ça n’avance pas : Les régimes du chômage, un test grandeur nature sur la capacité de « Jupiter » de mener à bien une réforme, tout comme la réforme du code du travail, ça ne s’est pas passé aussi bien que souhaité.
Alors on recule les échéances pour passer en force après une élection majeure victorieuse ?
Personnellement, si j’avais reçu pour mission (acceptée) de le faire, c’est comme ça que je le ferai : J’économiserai la parole des « premiers de cordées », prendrai une « premier sinistre » qui gère et administre le quotidien, mais n’a aucune idée de ce qu’est de faire de la stratégie et j’userai de tous les « seconds couteaux » dont je dispose pour aller ferrailler à ma place, quel que soit leur talent à le faire.
Un président, même dans une société commerciale, une
association, n’importe quelle organisation, même étatique ou supranationale, c’est
tous devant, lui derrière, bien abrité…
On n’est plus au temps du Pont d’Arcole !
Et justement, il me semble que c’est exactement ce qui se passe depuis quelques jours avec cette « pagaille » apparente…
À suivre, naturellement.
Voire…
Entre la polémique inutile voire déplacée sur les menus sans viande, « l’islamo-gôchisme » supposé gangréner l’académie des sciences et autres « universitaires », la sortie de « Dard-à-la-main » prétendant que « Marinella-tchi-tchi » reste « folle-à-la-messe » médiatique, comme s’il avait pu la lui tâter (ce qui aurait pu lui valoir des poursuites pour agression sexuelle : C’est un habitué, semble-t-il), juste au moment d’annoncer qu’il allait dissoudre « génération identitaire » (ce qu’il n’a pas encore fait) et de fermer des mosquées salafistes, « Miss Marre-laine-Chie-à-pas » qui se serait fait piquer en avance sur le calendrier des vaccinations, photo à l’appui toute frisée, alors que chacun sait que c’est une adepte du « lissage-gate » brésilien, et l’amendement gouvernemental surprise, déposé au dernier moment pour installer le vote électronique par anticipation à la prochaine présidentielle… franchement, on ne regrette pas d’être né, finalement !
C’est ce qu’en prétendre certains dans les couloirs du pouvoir tapissés de dorures.
« La semaine qui vient de s’écouler a prouvé que malgré le Covid-19, on pouvait faire exister d’autres sujets dans l’actualité.
Et encore, les « députacrouilles » n’y ont pas été convoqués.
Traduction d’un participant : « Je l’ai senti sur le mode il faut arrêter de déconner. Une fois, mais pas deux. »
Il n’empêche, ça va faire un an qu’on ne parle que du « Conard-virus ».
Et de tous les impacts sur nos vies, celle des institutions et de son calendrier à venir (et passé), passer à autre chose, c’est une bonne médecine, non ?
En juin prochain, deux élections en une seule pour les « territoriales » et un mandat de 6 ans : Les Départementales et les Régionales.
Puis plus rien pendant presqu’un an jusqu’aux présidentielles prévues encore pour avril-mai 2022 suivies des législatives en juin suivant.
Or, les deux dernières consultations – Européennes de mai 2019 et les Municipales de l’année dernière (mars/juin 2020) – n’ont pas été brillantes, loin de là, pour les « jupitériens ».
Il faut dire que la première partie du quinquennat est partie en trombe pour finalement se retrouver « en couille », embourbé comme jamais par « Benne-Allah » et les dérives sécuritaires qui l’ont accompagné, par les « Gilets-jaunes » dû à un cafouillage de précipitations et par la crise sanitaire qui auront stoppé les réformes attendues…
À croire que le cafouillage c’est la marque de fabrique de « Jupiter »… à vouloir toujours tout faire « en même temps ».
Et il ne croit pas si bien dire avec le dernier épisode en date : Les menus sans viande dans les cantines de Lyon qui a vu s’écharper rien de moins que la « sinistre de la Transition écolologique », « Barbarella-Pompe-à-Huile », d’un côté, puis celui de « l’agricul-turture », « Juju-de-la-Normandie » et enfin celui de « l’intérieur & des cultes », « Gégé-Dard-à-la-Main ».
À trois, font-ils une valse au moins ?
Parce qu’une belotte, il faut un mort…
La place du mort ? C’est donc une belotte !
Ou un poker-menteur…
Résultat, « pendant qu’on parle de ça, eh bien on ne parle pas d’autre chose. Notamment des sujets de fond.
Quant à la tentative de la « sinistre de l’enseignement supérieur », après sa « gangrène », quand il a s’agit de remettre la lumière sur son action pour lutter contre le mal-être et la précarité des étudiants… c’est passé à la trappe !
C’était quand même sympas de penser à offrir aux étudiants des serviettes périodiques et des « psy » gratuitement ou des repas chauds à un euro…
Un flop communicatif flamboyant !
D’autant que, question communication, « Bibi-Jupiter » a failli être emportée par une attaque quand elle aura entendu, et vu, Canteloup dékonner avec l’accent (et le visage : un deep-fake) de son cher et tendre à elle à la fin du journal de 20 heures de la soirée.
« Trois ans de communication qui partent à la poubelle, ce n’est pas possible ! » s’est-elle inquiétée.
Heureusement, ce n’était qu’un gag, évidemment…
Mais au moins, on sait désormais que la chaîne à une auguste auditrice… et qui n’est pas sourde !
Pour le reste… elle marque tout de même son âge, à ce que j’en dis, le neurone un peu avachi pour prendre des vessies pour des lanternes.
« Moins nous alimentons les polémiques auto-portées, mieux nous nous portons », est-il ainsi écrit dans le mail de recadrage envoyé sur le tard, en relevant « des polémiques sur des sujets périphériques, doublées d’une forme de cacophonie ministérielle ».
C’est le moins qu’on puisse dire.
Mais restées cachées.
On se souvient seulement qu’il a le palpitant qui parfois l’oblige à faire des « malaises vagales » impromptus.
« On est à un an de la présidentielle et, mine de rien, c’est là que les lignes se définissent.
Ou peut-être pas : Il n’a peut-être plus rien à nous dire après avoir tant mobilisé la « petite-lucarne » avec ses deux alliances et ses oreilles décollées.
Après tout, on s’interroge depuis l’antiquité sur la sagesse du sage qui ne dit plus rien…
Peut-être qu’il – le sage – a compris que ça ne servait à rien que de la ramener.
Mais « Jupiter » ne me semble pas être « un sage » : C’est un compétiteur !
Bref, on est en pleine triangulation politique », décrypte-t-il.
Justement, le dire, c’est jeter un écran de fumée pour mieux dissimuler les objectifs et la tactique employée.
Car on est bien rentré de plain-pied dans la précampagne électorale de 2022 avec cette séquence, pas de doute !
Au risque de brouiller sa ligne et ses messages.
Et je vous avoue que le clip de « Carlito & McFly » est une excellente idée : « Je t’invite à l’Élysée si tu fais 10 méga-vues ! » Et les meks le font en deux jours pour une sorte de navet comme on en a tant vus depuis des dizaines d’années : Le quart d’heure de gloire, quoi…
Vient s’interposer le calendrier de la crise sanitaire et la pandémie du « Conard-virus ».
Les types qui se trompent et qui partent trop tôt comme « Mes-Luches » ou « Marinella-tchi-tchi » pour l’échéance présidentielle, ils hypothèquent les territoriales et du coup leur candidature personnelle ultérieure.
Ceux qui partiront trop tard mordront la poussière au soir du premier tour.
Qu’est-ce qu’il vaut mieux en tenant compte du calendrier imposé par le « Conard-virus » ?
Normalement, les « partis du monde d’avant », vont tabler sur les « territoriales ».
Premièrement, ils n’ont pas de leader – même chez les « Républicains-
Mais ça veut dire qu’on laisse le champ libre aux oppositions de faire leurs lits aux territoriales.
Ce sont aux « seconds couteaux » de faire le boulot.
Et c’est justement ce que l’on voit : Ils tirent dans tous les sens, sans coordination apparente, sur tout ce qui bouge et peut faire buzz.
Occuper le terrain médiatique, c’est manifestement leur stratégie, jusqu’à en faire peut-être trop.
BlackRock et quelques autres s’impatientent de faire main-basse sur les régimes de retraite et plus tard sur les régimes de santé et surtout de prévoyance, une mine d’or.
Et là, ça n’avance pas : Les régimes du chômage, un test grandeur nature sur la capacité de « Jupiter » de mener à bien une réforme, tout comme la réforme du code du travail, ça ne s’est pas passé aussi bien que souhaité.
Alors on recule les échéances pour passer en force après une élection majeure victorieuse ?
Personnellement, si j’avais reçu pour mission (acceptée) de le faire, c’est comme ça que je le ferai : J’économiserai la parole des « premiers de cordées », prendrai une « premier sinistre » qui gère et administre le quotidien, mais n’a aucune idée de ce qu’est de faire de la stratégie et j’userai de tous les « seconds couteaux » dont je dispose pour aller ferrailler à ma place, quel que soit leur talent à le faire.
On n’est plus au temps du Pont d’Arcole !
Et justement, il me semble que c’est exactement ce qui se passe depuis quelques jours avec cette « pagaille » apparente…
À suivre, naturellement.
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