… Celle de l’hydrogène !
C’est très probablement le vecteur énergétique des
futures mobilités.
Sauf que l’hydrogène, s’il est largement abondant dans notre environnement, n’est pas une source d’énergie en soit, mais un seulement vecteur comme l’électricité.
Sauf qu’il est assez difficile à stocker, à transporter et encore à utiliser.
À moins de pouvoir s’en servir pour alimenter une pile à combustible via des cartouches et sous la forme d’une pâte.
Des cartouches fonctionnant bien sûr à température ambiante et à la pression atmosphérique.
Et c’est justement une idée prometteuse aujourd’hui développée en « Teutonnie » par l’institut IFAM qui a pris une certaine avance…
Car l’hydrogène est devenu à la mode au cours des
derniers mois.
Depuis que soudain, l’été dernier, la « Gauloisie-énergétique » a décidé de consacrer des milliards d’euros à la création d’une filière d’hydrogène décarboné et de suivre ainsi nos voisins d’outre-Rhin, mais aussi le Japon, la Corée du sud et la Chine.
Il faut dire que l’hydrogène est aujourd’hui le seul carburant de substitution à grande échelle aux carburants fossiles pour bon nombre d’activités essentielles qui vont du transport de marchandises sur longue distance à la production de chaleur en passant par l’industrie lourde.
Mais l’hydrogène n’est toujours pas une source
d’énergie en tant que telle.
La molécule la plus abondante dans l’univers existe très peu à l’état naturel sur notre belle planète bleue.
L’hydrogène est donc fabriqué et ensuite stocké, distribué et utilisé… comme l’électricité, pas mieux.
Et la façon dont est produit l’hydrogène, avec ou sans émissions de gaz à effet de serre, est un élément clé pour en faire un outil de la transition tout comme la façon de l’utiliser, de le transporter et de le stocker.
Or, les chercheurs qui trouvent semble avoir mis la
main sur un nouveau moyen d’utiliser l’hydrogène, apparemment très prometteur.
Ils viennent d’inventer au sein d’une équipe du Fraunhofer Institute for
Manufacturing Technology and Advanced Materials (IFAM) une pâte d’hydrogène
baptisée « Power paste » qui pourrait être très facile à utiliser, en
particulier dans les petits véhicules.
Cette pâte d’hydrogène, créée à partir d’une base de magnésium, pourrait être stockée dans une cartouche qui servirait à alimenter, par exemple, la pile à combustible d’un deux roues à hydrogène, vélo électrique, scooter, triporteur…
Pour faire le plein, il suffirait au conducteur de remplacer l’ancienne cartouche par une nouvelle et de remplir un réservoir d’eau.
Le « moteur à eau »…
Cette idée de cartouche d’hydrogène n’est pas
nouvelle.
Elle a déjà été développée depuis plusieurs années par la société suisse Stor-H.
Ce qui est nouveau est la façon de stocker l’hydrogène dans la cartouche.
Elle semble à la fois facile, sans danger et très performante en termes de densité énergétique.
« La pâte d’hydrogène stocke l’hydrogène sous une
forme chimique à température ambiante et à la pression atmosphérique pour être
ensuite libéré à la demande », explique le Herr Dr Marcus Vogt (dudit institut).
Il manque le « Van » et se croirait presque dans un conte de science-fiction !
Comme la pâte ne commence à se décomposer qu’à des températures de plus de 240 degrés Celsius, les conducteurs n’auront pas à s’inquiéter de laisser leur véhicule au soleil.
Même en cas de réchauffement-global…
Autre atout considérable, « la pâte d’hydrogène a
une énorme densité de stockage d’énergie », ajoute Marcus.
« Elle est nettement plus élevée que celle d’un réservoir haute pression de 700 bars. Et par rapport aux batteries, elle a dix fois la densité de stockage d’énergie. »
Cette densité fait même de la pâte l’équivalent en termes de performance énergétique pure de carburants fossiles comme l’essence.
Cela pourrait en faire une option possible pour alimenter aussi des voitures ou des drones.
L’IFAM, jamais en retard, est en train de construire
une usine pilote dans la ville de Braunschweig qui pourrait produire quatre
tonnes par an de pâte d’hydrogène et tester en grandeur réelle son utilisation.
L’ouverture de l’usine est prévue pour la fin de l’année.
Quatre tonnes, c’est bien, mais ça n’est pas demain que je verrai mon « tas-de-boue-à-roulettes » fonctionner avec ça !
La nichée de ma « Nichée », peut-être un jour.
Mais d’ici là, on aura inventé la « charge ultra-rapide » de condensateur monté à l’envers : Charge rapide, restitution lente.
Et puis il faudra probablement doubler les réseaux de distribution d’électricité et multiplier les réacteurs nucléaires…
Parce qu’on vient de s’apercevoir que les éoliennes,
ça gèle, même au Texas, justement au moment où fallait réchauffer les chalands.
Kon, comme truc.
Quand aux panneaux solaires, c’est vachement bien de piquer des terres cultivables (pour mieux répartir la pénurie alimentaire ainsi engendrée), mais sous la neige, ça ne fonctionne pas très bien, finalement…
Non-pilotable !
Une catastrophe humanitaire à prévoir…
On ne remerciera jamais assez les « écololos » de vouloir vous faire crever de froid et de faim.
J’adore : On va peut-être se battre pour de la pâte d’hydrogène d’ici quelques années !
Ça méritait d’être signalé pour finir votre week-end,
bien naturellement.
Bien à vous toutes et tous !
I3
Sauf que l’hydrogène, s’il est largement abondant dans notre environnement, n’est pas une source d’énergie en soit, mais un seulement vecteur comme l’électricité.
Sauf qu’il est assez difficile à stocker, à transporter et encore à utiliser.
À moins de pouvoir s’en servir pour alimenter une pile à combustible via des cartouches et sous la forme d’une pâte.
Des cartouches fonctionnant bien sûr à température ambiante et à la pression atmosphérique.
Et c’est justement une idée prometteuse aujourd’hui développée en « Teutonnie » par l’institut IFAM qui a pris une certaine avance…
Depuis que soudain, l’été dernier, la « Gauloisie-énergétique » a décidé de consacrer des milliards d’euros à la création d’une filière d’hydrogène décarboné et de suivre ainsi nos voisins d’outre-Rhin, mais aussi le Japon, la Corée du sud et la Chine.
Il faut dire que l’hydrogène est aujourd’hui le seul carburant de substitution à grande échelle aux carburants fossiles pour bon nombre d’activités essentielles qui vont du transport de marchandises sur longue distance à la production de chaleur en passant par l’industrie lourde.
La molécule la plus abondante dans l’univers existe très peu à l’état naturel sur notre belle planète bleue.
L’hydrogène est donc fabriqué et ensuite stocké, distribué et utilisé… comme l’électricité, pas mieux.
Et la façon dont est produit l’hydrogène, avec ou sans émissions de gaz à effet de serre, est un élément clé pour en faire un outil de la transition tout comme la façon de l’utiliser, de le transporter et de le stocker.
Cette pâte d’hydrogène, créée à partir d’une base de magnésium, pourrait être stockée dans une cartouche qui servirait à alimenter, par exemple, la pile à combustible d’un deux roues à hydrogène, vélo électrique, scooter, triporteur…
Pour faire le plein, il suffirait au conducteur de remplacer l’ancienne cartouche par une nouvelle et de remplir un réservoir d’eau.
Le « moteur à eau »…
Elle a déjà été développée depuis plusieurs années par la société suisse Stor-H.
Ce qui est nouveau est la façon de stocker l’hydrogène dans la cartouche.
Elle semble à la fois facile, sans danger et très performante en termes de densité énergétique.
Il manque le « Van » et se croirait presque dans un conte de science-fiction !
Comme la pâte ne commence à se décomposer qu’à des températures de plus de 240 degrés Celsius, les conducteurs n’auront pas à s’inquiéter de laisser leur véhicule au soleil.
Même en cas de réchauffement-global…
« Elle est nettement plus élevée que celle d’un réservoir haute pression de 700 bars. Et par rapport aux batteries, elle a dix fois la densité de stockage d’énergie. »
Cette densité fait même de la pâte l’équivalent en termes de performance énergétique pure de carburants fossiles comme l’essence.
Cela pourrait en faire une option possible pour alimenter aussi des voitures ou des drones.
L’ouverture de l’usine est prévue pour la fin de l’année.
Quatre tonnes, c’est bien, mais ça n’est pas demain que je verrai mon « tas-de-boue-à-roulettes » fonctionner avec ça !
La nichée de ma « Nichée », peut-être un jour.
Mais d’ici là, on aura inventé la « charge ultra-rapide » de condensateur monté à l’envers : Charge rapide, restitution lente.
Et puis il faudra probablement doubler les réseaux de distribution d’électricité et multiplier les réacteurs nucléaires…
Kon, comme truc.
Quand aux panneaux solaires, c’est vachement bien de piquer des terres cultivables (pour mieux répartir la pénurie alimentaire ainsi engendrée), mais sous la neige, ça ne fonctionne pas très bien, finalement…
Non-pilotable !
Une catastrophe humanitaire à prévoir…
On ne remerciera jamais assez les « écololos » de vouloir vous faire crever de froid et de faim.
J’adore : On va peut-être se battre pour de la pâte d’hydrogène d’ici quelques années !
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