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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

jeudi 31 décembre 2020

Rétrospective

2020, une année exécrable !
 
Non seulement j’ai été contraint de me délivrer des « permissions de sorties » pour aller acheter mon tabac, mais en plus il a fallu que je vide les meubles de ma « Môman-à-moâ-même ».
Quel arrachement de voir partir à la déchetterie tous ses souvenirs pieusement conservés…
J’ai même pu récupérer ma première dent-de-lait, c’est vous dire…
Abominable, vous ne pouvez pas savoir !
Pensez-y : Ne laissez pas traîner tous ces objets qui ont meublé votre vie derrière vous !
Vos gamins chialeront à chaudes larmes quand ils devront s’en séparer…
 
Mais il n’y a pas eu que ça. Le roman d’été n’avance pas !
On doit en être au troisième scénario, à une vingtaine de synopsis, à deux centaines de pages éparses et en désordre.
Cette « collaboration » entre « l’auteur », « la narratrice », « le sujet » et « mon gardien » qui fait le lien devient infernale.
Si c’était une bonne idée au départ pour faire faire le boulot par un tiers et contourner « Pourrito », à l’usage c’est un vaste « konnerie » : Même la reprise de « Laudato sì » n’a pas pu aboutir dans les délais alors que le manuscrit original aura été si « limpide » à mettre en ligne !
J’en ai ma claque…
 
Pourtant, quelle année ! Elle aura fourni pas mal de « matière » à romancer.
Souvenez-vous qu’au passage à la nouvelle année qui se termine aujourd’hui, le nouveau « Conard-virus » était déjà là.
Il contamine d’abord la ville de Wuhan en Chine.
En janvier, après qu’il ait fait ses premiers morts, on regarde de loin cette épidémie grippale sans se douter qu’en à peine deux mois et demi, il va se propager et forcer la plupart des pays du monde à se mettre sur pause en mode confinement.
Toute la planète y passe tour à tour et quand certains pays ne le font pas, c’est « catastrophe sanitaire » (hors deux pays).
Le choix est cornélien : « Vivre et mourir, ou mourir (économiquement) pour survivre (à la pandémie) ! »
 
Bien sûr que le « Conard-virus » aura été la colonne vertébrale de 2020.
Un virus qui a bouleversé nos modes de vie et qui a fait de 2020 l’année où l’on a masqué nos visages, supporté que des écouvillons soient désagréablement enfoncés dans nos narines, renoncé aux embrassades avec nos proches, dû faire une croix sur nos sorties au restaurant, au bar, au théâtre, au cinéma…
2020, c’est aussi l’année du « Brexit » et ses multiples rebondissements, une mauvaise année de plus pour le climat et la planète, des catastrophes naturelles et industrielles…
 
Donc début janvier (dès la seconde semaine, un peu après l’assassinat d’un général iranien), on parle encore d’un « mystérieux virus chinois », semblable au Sras, qui fait ses premières victimes à Wuhan, dans le centre du pays.
Plusieurs patients sont liés au marché aux poissons de la ville aux onze millions d’habitants, qui est inspecté par les autorités sanitaires chinoises.
À ce moment-là, on ne sait pas encore si ce nouveau virus se transmet entre êtres humains, ou si les animaux sauvages vendus sur le marché en sont le seul vecteur.
 
Et c’est aussi l’époque d’incendies monstrueux en Australie qui succèdent à ceux d’Amazonie.
Depuis fin 2019, l’Australie est la proie des flammes, aidé par des températures élevées et une importante sécheresse.
Dix-huit millions d’hectares partent en fumée en quelques mois.
L’impact sur la faune est considérable : Dans un rapport publié en juillet, le WWF australien estime que trois milliards d’animaux, TROIS MILLIARDS (mammifères, reptiles, oiseaux…) sont morts dans ces feux de brousse !
Les images de koalas blessés, errant dans les forêts d’eucalyptus calcinés, recueillis puis soignés dans des refuges, ont ému le monde entier.
 
En janvier toujours, mais la fin du mois et face à la diffusion de l’épidémie du nouveau « Conrad-virus » découvert à Wuhan, les autorités chinoises entreprennent de construire un hôpital de 1.000 lits pour isoler et soigner les malades.
Commencée le 24 janvier, la construction de l’hôpital prendra seulement dix jours !
Un deuxième hôpital de 1.600 lits est également construit à la hâte de l’autre côté de la ville.
Les autorités ont pourtant tardé à agir face à l’émergence de ce nouveau virus, comme l’a reconnu lui-même le secrétaire local du Parti communiste.
Alors que l’épidémie du nouveau « Conard-virus » gagne du terrain à Wuhan, le gouvernement de « Kung-Fu-Panda » organise le rapatriement d’expatriés qui souhaitent revenir en « Gauloisie-sociale ».
Un premier avion part de Chine le 30 janvier, avec près de 200 Gauloisiens à bord qui seront placés en quarantaine pour deux semaines dans un centre de vacances à Carry-le-Rouet (Bouches-du-Rhône) afin de s’assurer qu’ils ne sont pas contaminés.
Mais pas les pilotes militaires du zinc…
 
Fin janvier, le Royaume-Uni quitte enfin l’Union européenne. Décision irrévicable.
Le 31 janvier, à 23 heures (heure de Londres).
Après trois reports, c’est enfin l’aboutissement du choix qu’ont fait les Britanniques lors du référendum de juin 2016, trois ans et demi plus tôt…
Enfin presque, puisqu’il faudra encore onze mois entre le pays et les 27 pour finaliser l’accord de divorce, conclu in extremis avant la fin de la période de transition, la veille de Noël.
 
Premier pays européen touché par le nouveau « Conard-virus » venu de Chine, la « Ritalie » prend des mesures de quarantaine dans certaines localités dès la fin février, qui seront progressivement étendues à plusieurs provinces au nord du pays.
Le 9 mars, les Carabinieri contrôlent la frontière entre la province de Modène, en quarantaine, et celle de Bologne.
Le soir même, le confinement est étendu à tout le pays.
Pendant que la marine Turque fait des siennes en méditerranée jusqu’à menacer une corvette « Gauloisienne », face à l’inexorable progression du virus, la « Gauloisie-grippée » décrète à son tour un confinement national.
On vote le dimanche et le surlendemain, le 17 mars à midi, il devient interdit de sortir de chez soi sans attestation dérogatoire, pour aller travailler, faire ses courses ou seulement prendre l’air.
Les villes prennent alors des airs de « cité-fantôme » : Peu de monde dans les rues, des queues interminables pour entrer dans les rares magasins « essentiels » restés ouverts, les « parigots » en auront profité pour filer « à la campagne » emmenant sous leurs bras leurs « nichées » et leurs ordinateurs pour continuer à avoir une activité professionnelle « non-essentielle » via Internet…
D’autant qu’il fait beau.
La région Grand-Est est l’une des plus touchées par la première vague de « Conard-virus ».
Les services de réanimation sont saturés et des transferts de patients sont organisés vers des pays voisins ou des régions encore épargnées.
En plein confinement, des TGV sont réquisitionnés pour être médicalisés et évacuer des malades, de Strasbourg vers Bordeaux, par exemple.
L’armée dresse des hôpitaux de campagnes mais les cliniques privées sont désertes…
 
« En mai, fais ce qu’il te plaît » : On va déconfiner, alors que la colère gronde aux États-Unis après la mort de George Floyd.
Le 25 mai à Minneapolis (Minnesota, États-Unis), George Floyd est tué par un policier lors de son arrestation. Maintenu au sol par le genou du policier appuyé sur son cou, il hurle à plusieurs reprises qu’il ne peut plus respirer.
Filmée par des passants, l’arrestation à l’issue fatale de cet Afro-Américain relance les débats sur le racisme dans la police américaine.
Ce sera au tour de la nôtre un peu plus tard avec l’affaire « Traoré » puis celle de ce producteur de musique agressé dans ses locaux par des flics…
Pendant plusieurs semaines, des dizaines de manifestations ont lieu dans toutes les grandes villes du pays, ainsi que des émeutes le 28 mai à Minneapolis même.
 
Début juin débute le démontage de l’échafaudage de Notre-Dame de Paris-sur-la-plage.
Un an après l’incendie de la cathédrale la veille de Pâques, les « cordistes » s’attaquent à la partie la plus délicate du chantier : Démonter l’échafaudage installé autour de la flèche avant l’incendie, qui a en partie fondu et menace la structure de l’édifice.
Les pièces de métal seront sciées une à une puis évacuées avec une grue de 80 mètres, la plus haute d’Europe.
La partie de mikado géant prendra fin le 24 novembre : La cathédrale est alors enfin débarrassée de son échafaudage et on va pouvoir la réhabiliter selon « les règles de l’art ».
 
On finit de voter fin juin et on retiendra une « vague verte » à l’occasion de ce deuxième tour des municipales qui concerne surtout les métropoles.
Un déferlement sur les grandes villes « gauloisiennes » : Strasbourg, Tours, Poitiers, Annecy, Besançon… Les « écololos » s’imposent et parviennent même à remporter des villes loin de leur être acquises.
À Lyon, c’est « Gégé-la-Colombe » qui, après 19 ans de règne sans partage sur la ville, est évincé par Grégory Doucet à la mairie et Bruno Bernard à la Métropole.
Symbole suprême : Pierre Hurmic réussit à prendre Bordeaux, le bastion de « JCD-le-gagneur » et « d’Alun-Juppette ».
Depuis 1947, la cité girondine des ex-négriers n’avait eu que des maires de droâte.
 
Juillet, le 3, « Jupiter » se sépare de « Kun-Fu-Panda » qui n’aura pas démérité mais en a plein les bottes de Matignon !
Il préfère le calme de la mairie havraise reconquise.
D’un autre côté, après des mois éprouvants sur le plan sanitaire, « Jupiter » souhaite donner un « nouveau souffle » à la politique de son gouvernement. Au moins pour la fin de son quinquennat.
Et pour incarner ce nouveau départ, il choisit de remplacer son « Premier sinistre » par « Gens-Casse-Tête », son ex-Monsieur déconfinement !
Déconfinement qui foire : Si on peut bien partir en estives, le masque devient obligatoire dans les lieux publics
On en rigole encore !
Mais on restera ainsi bâillonné que dans les magasins et autres lieux ouverts au public !
 
Objet de polémiques et de convoitise à mesure que les stocks mondiaux se raréfiaient, d’abord déclaré inutile en population générale par l’Organisation mondiale de la santé et « Si-Bête-la-Diarrhée » portant la parole du gouvernement, le masque devient finalement l’accessoire « mode » indispensable de 2020.
Déjà obligatoire dans les transports depuis le déconfinement de mai, le gouvernement décide le 20 juillet de l’imposer dans tous les lieux publics clos.
De nombreuses villes choisiront également de le rendre obligatoire dans l’espace public.
Il en est des bleus, des blancs, des « Corsi » (siglés FNLC : De grands spécialistes !), des « Hermès », des « Lacroix » et même des noirs et des roses (pour les filles).
 
Et puis le drame au cœur de l’été : Beyrouth soufflée par une explosion le jour anniversaire de l’abolition des privilèges !
Il est tout juste 18 heures, ce 4 août, quand une puissante explosion retentit dans le port de Beyrouth. Un entrepôt des douanes dans lequel était stockée sans précaution une cargaison confisquée de 2.750 tonnes de nitrate d’ammonium, huit fois la quantité qui avait explosé à l’usine AZF de Toulouse en 2001 vient de péter.
Le souffle de l’explosion creuse un cratère de 120 mètres de diamètre dans le port et ravage une bonne partie de la capitale libanaise.
L’explosion aura été perçue jusqu’à Chypre…
Plus de 200 personnes ont perdu la vie, et des milliers ont été blessées.
La ville n’est qu’un chaos.
 
Pendant ce temps-là les Pékin a continué en 2020 sa reprise en main musclée de Hong-Kong. Malgré des manifestations historiques menées par le mouvement prodémocratie, la Chine a adopté, le 30 juin, le projet de loi controversé sur la sécurité nationale.
Le texte visant donne aux autorités chinoises le pouvoir de « réprimer la subversion, la sécession, le terrorisme et la collusion avec des forces étrangères ». Pour l’opposition comme pour plusieurs pays occidentaux dont les États-Unis, cette loi constitue une attaque contre l’autonomie et les libertés du petit territoire.
D’ailleurs, en décembre, trois célèbres militants prodémocratie, dont Joshua Wong, sont condamnés à des peines d’emprisonnement. De même, le magnat des médias hongkongais Jimmy Lai, très critique envers Pékin, doit répondre devant le tribunal d’une inculpation pour « collusion avec des puissances étrangères ». Il encourt la prison à vie.
 
En ce mois d’août les forces armées azerbaïdjanaises partent à la reconquête des territoires échappant au contrôle de Bakou depuis les années 1990. À cette époque, dans la foulée de la chute de l’URSS, une guerre avait fait 30.000 morts et des centaines de milliers de réfugiés, aura abouti à la sécession de la région du Haut-Karabakh, aujourd'hui peuplée quasi-exclusivement d’Arméniens qui ont poussés désormais à l’exil.
Pendant six semaines, d’âpres combats balayent les forces arméniennes face à l’armée azerbaïdjanaise équipés avec du matériel turc et russe, avant l’entrée en vigueur, le 10 novembre, d’un cessez-le-feu conclu sous l’égide de la Russie où « Poux-tine » tire les marrons du feu, actant la défaite arménienne : Trois districts entourant le Haut-Karabakh reviennent dans le giron de Bakou.
Des territoires repris dans un climat toujours marqué par la tension et quelques accrochages, malgré le cessez-le-feu. À l’étranger, la crainte est désormais de voir le conflit s’internationaliser dans une région où Russes, Turcs et Occidentaux partagent tous des intérêts.
 
L’année 2020 aura également vu le réveil d’une opposition inattendue en Biélorussie. Le 9 août, le président Alexandre Loukachenko annonce sa réélection à la tête de l’État, avec un score « d’empereur africain » de plus de 80 % face à sa rivale, Svetlana Tikhanovskaïa.
Un scrutin jugé frauduleux par l’opposition et nombre de pays occidentaux.
Dès lors, des milliers de manifestants se réunissent chaque dimanche à Minsk et dans plusieurs grandes villes du pays pour demander le départ du chef de l’État, au pouvoir depuis plus de 25 ans…
Derrière cette contestation brille un trio féminin (Svetlana Tikhanovskaïa, Veronika Tsepkalo et Maria Kolesnikova), incarnant le renouveau d’une classe politique jeune et progressiste.
Malgré les condamnations européennes, plusieurs meneurs de la contestation ont été emprisonnés ou contraints à l’exil.
 
Et « Casse-tête » invite les « Gauloisiens-valides » à se faire tester « pour casser les chaînes de contamination » du « Conard-virus », dès la rentrée.
Les ékoles sont ouvertes, les collèges aussi (vu la catastrophe scolaire du premier confinement) mais on hésite pour les lycées et les universités…
Le télétravail reste recommandé mais pas imposé.
Les tests PCR sont gratuits et accessibles à tous sans ordonnance.
Début septembre, pendant que l’exécutif se félicite du nombre record de tests réalisés chaque semaine, les files d’attente s’allongent devant les centres de dépistage (un bon moyen de se contaminer sans le savoir), tout comme les délais pour avoir les résultats : Dans les grandes villes, il faut souvent attendre une semaine, voire plus, pour un délai de contagiosité de 14 jours au plus…
Incohérence du projet, mais pourquoi pas ?
Sauf que les laboratoires sont débordés et la stratégie d’isolement des cas contact a du plomb dans l’aile !
Il faudra compter sur une priorisation des tests pour les soupçons de contamination et l’arrivée des tests antigéniques, qui donnent un résultat en quinze minutes, pour soulager le système de dépistage.
 
Après l’Australie en début d’année, c’est l’Ouest des États-Unis qui est en proie, une nouvelle fois, à des incendies sans précédent, aidés par le vent, une sécheresse record et des températures élevées.
Plusieurs dizaines de personnes ont perdu la vie, notamment en Californie et dans l’Oregon, les États les plus touchés, et plus de trois millions d’hectares sont partis en fumée aggravant la « signature carbone » du pays, sans compter les milliards de dollars de dégâts matériels.
Le 9 septembre, le ciel de San Francisco, enveloppée dans les fumées des incendies voisins, prend des airs « d’apocalypse-now » en virant à l’orange !
 
Le 16 octobre, à la veille des vacances scolaires, un terroriste décapite Samuel Paty, un professeur d’Histoire du collège de Conflans-Sainte-Honorine (Yvelines), pour avoir montré en classe une caricature de Charlie Hebdo représentant le prophète Mahomet.
Son assassinat rouvre la blessure à peine refermée de l’attentat contre le journal satirique en 2015 dont le procès des complices se poursuit, et relance les débats sur la liberté d’expression.
Le dimanche suivant, plusieurs manifestations à travers la « Gauloisie-laïcarde » rassemblent des dizaines de milliers de personnes, en hommage au professeur et en soutien à la liberté d’expression.
Caricaturer est un droit de la « libre expression », non ?
Demandez donc à « Titi-le-Luron » ou « Coluche » ce qu’il en coûte de caricaturer les « grands de ce monde »…
Mahomet est si grand que des cinglés se penchent sur ce qu’on peut en penser : La loi Divine ne s’impose-t-elle pas sur toute autre ?
Et comme Mahomet promet le « paradis aux 70 vierges » à tous ses martyrs, il y a encore des candidats qui se présentent…
 
« Joe-Baille-Dan » remporte la présidentielle américaine début novembre !
C’est une Amérique plus divisée que jamais qui se rend aux urnes pour élire son président. D’un côté, les partisans du démocrate qui rêvent d’en finir avec l’ère « McDo-Trompe ». De l’autre, ceux du président républicain sortant, qui souhaitent le voir rester au pouvoir quatre ans de plus : Ils ne sont pas encore en surdose…
Les résultats sont tellement serrés dans certains États qu’il faut attendre plusieurs jours avant de pouvoir proclamer un gagnant, d’autant que le camp du déchu a lancé plusieurs recours en justice pour faire annuler des bulletins reçus par correspondance, généralisés en raison de la pandémie et enregistre de ce fait une participation record, mais bien souvent à l’avantage de son adversaire.
La victoire du démocrate est actée le 7 novembre et célébrée par ses supporteurs tandis que « Trompe » refuse toujours de reconnaître sa défaite.
Il fera même de la rétention de « passage de dossiers » pendant des mois.
 
« Mauricette », 78 ans, sera la première « Gauloisienne » vaccinée à Sevran (Seine-Saint-Denis) le 27 décembre, contre le « Conard-virus ».
Les premiers vaccins élaborés, expérimentés puis validés par les autorités sanitaires en moins d’un an devraient être la clé pour sortir d’une pandémie qui, en à peine quelques mois, a mis le monde à genoux.
Un record de l’ingénierie biologique : Même pas un an pour valider toutes les étapes !
Les anglais avaient commencé un peu avant.
Les russes encore plus tôt…
Mais c’est dans le Kent (UK) qu’apparaît aussi une variante dudit virus : Que du bon pour 2021 ?
 
Alors enterrons vite fait « cette année 20 » qui aura vu une des pires crises économiques depuis « les années 30 », une récession mondiale qui mettra les dogmes habituels en la matière aux « déchets & rebus » du cimetière des idées « unanimes ».
Comme les meubles et souvenirs de ma « Môman-à-moâ-même »…
 
Qu’elle était triste et exécrable, cette année-là !
Salut à toi, 2020 : Je ne t’oublierai ni ne te regretterai aucunement…
 
Bon réveillon à toutes et à tous !
 
I3

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