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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

mercredi 23 décembre 2020

2020 ? Une année « incroyable »

Un raz-de-marée d’informations fallacieuses !
 
Que nos « politiques », qui ont lu et assimilé Machiavel, racontent n’importe quoi à longueur de journée et son contraire le lendemain, on a l’habitude.
Tout ce qu’il en ressort, c’est qu’ils ne sont pas très sérieux (avec du « pognon pas à eux »).
Certains ont du talent, d’autres, même pas : C’est comme ça.
Et qu’à force de faire les pitres, ils feraient mieux de faire du théâtre (comme Michel Noir, ex-maire de Lugdunum) ou pousser la chansonnette voire de faire des séries télé (comme Nanar-Tapis, ex-ministre de la ville).
Et après on critiquera des « clowns professionnels » (comme Coluche ou Bigard) de vouloir faire de la politique…
Passons, passons…
 
Avouez tout de même que cette année, on aura été servi en denses carabistouilles autour du « Conard-virus » et qu’une nouvelle population de « sachants » est venue se greffer sur la chasse-gardée des « politiques » que ça donne une mayonnaise assez époustouflante !
Souvenez-vous :
 
– « Les masques ne sont pas nécessaires pour tout le monde », disait la porte-la-parole du gouvernement « Si-bête-la-diarrhée » en mars dernier, juste avant le premier confinement. Six mois plus tard, ils sont devenus obligatoires dans la quasi-totalité de l’espace public !
La pôvrette, elle ne faisait que relayer les assertions des « experts » et « autorités sanitaires ».
Et elle n’était pas la seule.
Quelques jours avant le premier confinement, « Olive-Verlan », le sinistre de la bonne Santé affirme que « l’usage du masque en population générale n’est pas recommandé et n’est pas utile ».
À cette époque, l’Organisation mondiale de la santé ne recommande pas de généraliser le port du masque et met en avant le risque de se sentir faussement en sécurité…
Au même moment, les stocks de l’État sont réservés exclusivement « aux soignants » (ceux qu’on a applaudi tous les soirs à la fraîche depuis nos balcons…)
 
La doctrine officielle aura évolué au moment de déconfiner : « Les scientifiques ont eux-mêmes évolué », justifie le « Premier sinistre Kung-Fu-Panda », le 28 avril devant l’Assemblée Nationale.
Ce n’est pas moâ, c’est l’autre…
Notre « bon sens », lui n’a pas varié autant.
Avant la fin du premier confinement, nous sommes nombreux à se mettre à la couture pour créer un masque ou on achète des masques-chirurgicaux, dont le prix est plafonné à 95 centimes.
Si les « Gauloisien-patriotiques » ont désormais des masques, son port n’est pas encore généralisé. Il faudra attendre fin juillet, alors que l’épidémie commence à rebondir, pour qu’il soit obligatoire dans les tous les lieux clos.
Et c’est avant la rentrée, soit près de trois mois après le premier déconfinement, qu’il devient obligatoire dans les entreprises, les lycées et les collèges.
Et en primaire, à la Toussaint.
Depuis, celui qui ne le porte pas risque une « amende administrative » de 135 €…
 
– On a eu également le : « Il n’y aura jamais de deuxième vague ».
Dès le début de l’épidémie de « Conard-virus », des interrogations et débats ont surgi autour du caractère saisonnier ou non de ce nouveau virus et de la probabilité qu’il disparaisse soudainement.
Dès l’été, les indicateurs montrant que le virus circule ont commencé à repartir à la hausse. Cette circulation du virus a pourtant été niée par plusieurs épidémiologistes.
Ainsi, dans une tribune publiée fin septembre dans Mediapart, 350 scientifiques, universitaires et professionnels de santé « hautement qualifiés »… qualifiaient « l’idée d’une deuxième vague » « d’aberration épidémiologique », sans que l’on « voit rien venir qui puisse être sérieusement comparé à ce que nous avons vécu au printemps dernier ».
Ce n’est pas moâ qui l’invente… et désormais on attend de pied ferme la troisième vague avec le nouveaux virus « brexiteux ».
 
Un mois plus tard, fin octobre-début novembre, le taux de positivité des tests avait plus que doublé, avec une moyenne quotidienne de près de 50.000 nouveaux cas positifs et un nombre de reproduction du virus ne permettant plus un contrôle étroit de l’épidémie.
On comptait sept fois plus de personnes hospitalisées qu’à la mi-mars et le nombre de décès cumulés lié au « Conard-virus » mi-décembre était quasi le double de ce qu’il était mi-juin !
L’ensemble des indicateurs (taux d’incidence, hospitalisations, admissions en réanimation, décès à l'hôpital) a en fait augmenté jusqu’à la première semaine de novembre, avant de décroître, puis de stagner en palier, voire augmenter à nouveau.
 
– Également le : « Il faut dix ans pour créer un vaccin ».
Pour arrêter la pandémie, le vaccin a été présenté très tôt comme le remède efficace. Mais surtout pas les médicaments déjà existant, réputés dangereux par l’OMS qui aura changé son fusil d’épaule à plusieurs reprises…
Mais la communauté scientifique a tout de suite alerté : Il faut en moyenne dix ans pour trouver un vaccin. Et pourtant, moins d’un an plus tard les premières doses d’un vaccin ont déjà été administrées au Royaume-Uni, en Chine, en Russie ou encore aux États-Unis !
Normalement, soit lesdits vaccins ne valent pas tripette, soit ils étaient déjà  conçus avant…
Et au lieu de les acheter « à l’aveugle », on aurait dû développer la recherche sur des molécules et protocoles de soins !
Que nenni…
 
Car cette rapidité s’explique d’abord par le financement massif avec plusieurs dizaines de milliards de dollars. Les entreprises pharmaceutiques ont aussi accéléré les procédures. Les demandes d’autorisation de mise sur le marché ont été déposées alors que les essais cliniques sont toujours en cours et la production a parfois été lancée avant le feu vert des autorités.
Objectif : Gagner du temps dès que les résultats sont disponibles.
Malgré ce temps record pour la création d’un vaccin, l’Agence européenne du médicament promet qu’ils seront jugés sur « les standards habituels de qualité et de sécurité »…
Bien entendu.
 
– On a aussi eu droit au : « Les enfants sont peu porteurs du virus et peu contagieux ».
Car dès le début de l’épidémie, il a été constaté que les enfants étaient moins symptomatiques que les adultes et développaient moins de formes graves de la maladie.
Si ces constatations se sont confirmées, le rôle précis que jouent les enfants et les adolescents dans la transmission de ce « Conard-virus » reste à ce jour incertain.
Plusieurs enquêtes ont pourtant été menées sur ce sujet dans le monde entier mais avec des résultats contradictoires et des biais rendant toute extrapolation complexe.
 
Au gré de ces études, mais aussi de données économiques et sociales, le discours politique a beaucoup évolué. De fait, le 12 mars, « Jupiter » justifiait ainsi la fermeture des écoles : « Nos enfants et nos plus jeunes, selon les scientifiques, sont ceux qui propagent le plus rapidement le virus même s’ils n’ont parfois pas de symptômes. »
Un mois et demi plus tard, début mai, le « sinistre de les-Ducs-à-Sion », « Jean-Mi-Banquier » avec sa tronche de « surgé », annonçait une réouverture progressive des écoles, en indiquant que « les dernières études médicales démontrent que les enfants ont une faible contagiosité à l’âge de l’école primaire ».
Une réouverture des écoles également justifiée par d’autres paramètres : Reprise du travail des parents et souci d’éviter le décrochage scolaire des enfants notamment.
Il faut dire qu’en « temps normal », ils abordent le collège sans savoir ni lire, ni écrire ni encore moins compter…
Et il faut en diplômer plus de 95 % au bac en fin de parcours d’enseignement général !
 
– Il y a eu aussi le : « Les personnes âgées doivent rester confinées ».
À deux reprises, « Jupiter » Macron a avancé l’idée d'un confinement spécifique pour les personnes âgées, plus vulnérables face à l'épidémie.
Le premier épisode remonte au 13 avril dernier. Le chef de l’État annonce alors un déconfinement pour le 11 mai, mais pas pour tout le monde : « Nous demanderons aux personnes les plus vulnérables, aux personnes âgées de rester confinées, tout au moins dans un premier temps.
Je sais que c’est une contrainte forte, je mesure ce que je vous demande » en passant probablement à sa cougar d’épouse (Miss 60 %… du total de leurs années à eux deux).
Dans la foulée, le président du Conseil scientifique, le professeur « Del-Frais’zy » confirme lors d’une audition devant les sénateurs qu’il « faudra poursuivre le confinement » pour les séniors.
Finalement, après plusieurs jours de débat, l’Élysée fait savoir que « Jupiter » préfère faire appel « à la responsabilité individuelle ».
Mais l’idée d'un confinement spécifique des personnes âgées revient dans le débat public à la rentrée.
Alors que le nombre de cas repart à la hausse, le Président s’adresse une nouvelle fois aux « Gauloisiens-trompés » le 28 octobre et il dit alors avoir envisagé l’idée « de confiner les seules personnes à risque. Cette voie n’est pas non plus au moment où je vous parle utilisable (…) Elle peut être pertinente mais elle n'est pas suffisante. »
Ce n’est donc pas l’option retenue.
À la suite d’un article publié dans Le Monde (ce torchon) début novembre affirmant que l’Élysée travaille sur un scénario de confinement, plusieurs membres du gouvernement et le porte-la-parole démentent officiellement l’idée d’un reconfinement éventuel des seules personnes âgées…
Ce sera tout ou rien…
 
– Et puis également, les fameux « cas contact »…
Qui doit s’isoler et combien de temps ? Depuis le début de la pandémie, ces données ont évolué en fonction de plusieurs paramètres : Connaissance de la maladie, nombre de cas recensés, moyens mis en place pour les identifier et les isoler, les « tracer », la recommandation ou non de porter un masque, évolution des moyens de protection jugés efficaces, l’adhésion de la population aux mesures d’isolement, la possibilité de les faire appliquer, etc.
Ainsi, à partir de mai, on est devenu « cas à risque » en cas de « contact rapproché » et/ou prolongé sans masque.
En septembre, la période d’isolement est par ailleurs passée de 14 à 7 jours.
« Parce qu’on est davantage contagieux dans les cinq premiers jours de symptômes » (et les quatre jours avant…), expliquait alors le « Sinistre de la bonne Santé ». En rajoutant aussitôt que « le principe de réalité fait qu’on constate qu’un grand nombre de Français ne respecte pas la quatorzaine ».
Oh les vilains…
Une durée d’isolement réduite, donc dans l’espoir qu’elle soit mieux respectée.
Ce principe de réalité, autant que l’évolution des connaissances scientifiques, ont également conduit à faire évoluer les protocoles en vigueur à l’ékole.
 
– La question s’est posée rapidement : Faut-il tester massivement (ou non) ?
Le pays a changé radicalement de position dans sa politique de dépistage depuis le début de l’année.
Elle est passée de recommandations très restrictives en mars 2020 à une politique de dépistage massif quelques mois plus tard !
Ce qui a mené le « Premier des sinistres » à affirmer que la « Gauloisie-contaminée » est « le pays qui a le plus testé en Europe ».
Le fat…
Mais rappelez-vous, les premières indications étaient de ne tester que les malades graves afin de mieux masquer une pénurie de moyens pour dépister toute la population.
Ensuite, la multiplication des tests a surchargé les laboratoires et entrainé des délais de résultats trop longs qui ont nui au traçage rapide des « cas contacts ».
En cette fin d’année 2020, le pays teste comme jamais, mais les « autorités » seront-elles en mesure d’isoler ses malades ?
 
– Question « isolement » (à part pour les « vieux » qu’on ne pouvait même plus approcher dans leurs asiles de seniors), s’il n’y avait pas autant de décès, il y aurait de quoi en rire.
Souvenez-vous de la Suède.
Les scandinaves, 10,3 millions d’habitants, ont surpris le monde entier en choisissant une stratégie non contraignante face au « Conard-virus ».
Le faible nombre de victimes au tout début de l’épidémie et la liberté de déplacement d’une population non confinée et non masquée ont conduit certains guignols hommes politiques à considérer que c’était l’exemple à suivre.
Même le leader des « Patriotes » affirmait qu’il s’agissait d’une « performance extraordinaire ».
Il a oublié le « borgne de San-Cloud », père de « Marinella-tchi-tchi », inventeur des « sidatorium » a son époque…
Et au moment de faire le bilan de l’année 2020, le roi des Suédois estime que leur stratégie est un échec avec un nombre de morts globalement comparable à celui de la « Gauloisie-contaminée » en proportion de la population.
Sans attendre la fin de l’année, il était clair dès avant l’été que la Suède avait échoué à protéger les personnes âgées, quand les maisons de retraites du pays recensaient plus de la moitié des victimes de l’épidémie.
Si eux constatent leur échec, nous, nous constatons le même…
Allez donc savoir.
Mais on a réussi à foutre sans-dessus-dessous toute une économie fragilisée par des politiques économiques démentes depuis des décennies et à claquer un « pognon de dingue » sans même plus compter en quelques mois…
Ce n’est pas nous qui paierons : Nous serons tous morts au moment des échéances !
 
– Et enfin, la question annexe de l’origine de la pandémie : D’où vient le « Conard-virus » et comment est-il arrivé jusqu’à nous ?
Là encore, grosse pagaille de « sachants » : Très rapidement, des scientifiques chinois ont affirmé que le pangolin était sans doute l’animal qui a joué le rôle d’entremetteur entre la chauve-souris et les humains.
« C’était une hypothèse car effectivement, il avait une caractéristique moléculaire qui pouvait faire penser qu’il avait la serrure d’entrée que l’on retrouve chez l’Homme », expliquait le directeur de recherche à l’Institut de recherche pour le développement, et spécialistes des maladies infectieuses.
Mais depuis, les scientifiques ont continué d’étudier ce virus et ont finalement écarté la responsabilité du pangolin dans la transmission du « Conard-virus » aux humains : « On note que le taux d’identité entre les séquences de SARS-CoV-2 et celles issues du pangolin n’atteint que 90,3 %, ce qui est bien inférieur aux taux habituellement observés entre les souches infectant l’humain et celles infectant l’hôte intermédiaire », explique un virologue dans une interview au journal du CNRS.
Quant à savoir comment il nous a infecté, si personne ne l’affirme, c’est bien par la voie des airs (et des rapatriements en urgence de nos compatriotes confinés à Wuhan)…
 
– Et quant à savoir quand le « Conard-virus » est-il apparu pour la première fois, c’est le foutoir.
La première dépêche de l’agence France-Presse évoquant ce qui allait devenir l’épidémie de « Conard-virus » est parue sur les écrans des réactions le 5 janvier 2020. Elle parle d’une « mystérieuse pneumonie » en Chine.
Trois jours plus tard, l’OMS évoque la possibilité d’un « nouveau coronavirus ».
Et la Chine met en quarantaine toute une région…
Entre les informations relatant les premiers cas fin décembre en Chine et celles évoquant des traces du virus en « Ritalie » en septembre 2019, de multiples dates ont été avancées pour tenter d’identifier la date d’apparition de la maladie.
Bref, nous n’en saurons jamais rien.
Et pendant un an, on aura tout vu et tout entendu autour de ces sujets.
 
C’est dire qu’il y a de la matière à « romancer » : Le problème, c’est qu’il y a plusieurs scénarios qui se précisent pour le prochain volume estival des « Enquêtes de Charlotte » (et autant de « controverses doctrinales » au « plus haut niveau » entre moâ et mon Gardien qui est en contact avec notre « narratrice » qui elle-même travaille pour « Charlotte » soi-même…).
On n’est décidément pas sorti d’affaire, je vous assure (alors que ça devait être bouclé ces jours-ci ainsi que d’autres volumes à publier) !

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