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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

lundi 14 décembre 2020

Cette fois, c’est « Jupiter » soi-même qui vous aura averti…

Les « fils-rouges » forment un faisceau d’indices,
 
Comme on dit en matière judiciaire, à défaut de preuves formelles… Et ça devient de plus en plus précis, même seulement mis bout-à-bout et non pas tressés.
Qu’on y songe une petite seconde :
 
– Le pays est maintenu dans le corset d’un second confinement pour enrayer une crise sanitaire qui aura fait plusieurs dizaines de milliers de morts « anticipées » et fait disparaître comme par enchantement la grippe saisonnière (une bonne affaire pour les assurances-retraites qui ne retrouvent pas pour autant leur équilibre, la faute aux défaut des cotisants…)
Le premier confinement aura été une catastrophe économique, parce qu’il était « strict » et a été très bien suivi.
Il a fallu ouvrir et prolonger les « aides » à travers un endettement massif (du jamais vu là où on faisait des économies de bouts de chandelle) pour retarder la déconfiture du tissu des PME et TPE qui maille le territoire et lui donne sa résilience (en commençant par arroser les grandes entreprises « stratégiques »).
55 jours à l’arrêt, ça laissera des traces profondes durant des années et des années, notamment dès qu’on retirera leur assistance d’oxygène aux entreprises « zombies ».
C’est déjà marqué comme ça dans les futurs livres d’Histoire.
 
Le second « confinement » aura su éviter d’étouffer l’essentiel des survivants.
Le probable « troisième » sera une réédition vraisemblablement inutile pour prolonger « le plaisir », parce que ça a du bon pour le pouvoir en place (quel qu’il soit) « d’interdire ».
Il n’est pas né pour ça, mais justement, c’est une prérogative qu’il s’est totalement arrogé depuis des années sous la pression des événements : On ne compte plus les lois liberticides depuis les années « Bling-bling » et son Kächer, à l’adresse des uns ou des autres, et par petites tranches pour que « ça passe » mieux et relativement inaperçu.
 
– Pendant ce temps-là, les « sachants » cravachent pour ne pas attirer l’attention (focalisée par la crise sanitaire et ses fameux « critères », changeant même les modes de calculs au passage, arrêtés sans concertation démocratique ni débat par des « conseils » et consultants divers et spécialisés qui y vont chacun de leurs certitudes « scientifiques », un peu dans tous les sens et sans même se concerter).
Depuis février 2020, on a tout entendu et son contraire, on a tout vu et son inverse.
Et ça continue…
Magnifique les « comité de sachants » qui ne peuvent dire que des vérités « scientifiques » ! Ça, au moins, ça fonctionne bien en interdisant toute contestation (hors « Rat-out », Perronne et quelques autres vite taxés de « complotisme ». D'ailleurs, il y en a un, un professeur de médecine, qui vient d'être interné pour avoir accusé l’institut pasteur de conspirationnisme !).
Et puis ça continue de « turbiner » : Loi « sécuritaire », loi sur le « séparatisme » rebaptisée loi sur la « laïcité » qui reprennent pour partie des articles déjà censurés dans le cadre de la loi Avia (la première « urgence » de sortie du premier déconfinement) détricotée par le Conseil Constitutionnel.
La « Laïcité », un thème détourné mais cher à une frange opaque des « tenants des Lumières » à « trois-points ».
 
Cette dernière est présentée comme « adaptation aux temps présents la grande loi de 1905 » (sur la même laïcité) mais que ce n’est « pas un texte contre la religion musulmane ».
Au passage on ferme (à moitié) les églises « papistes », ces « clusters » qui s’ignorent, au moins aussi dangereux que les restaurants-bars-brasseries et autres lieux festifs : La vie n’est pas une fête (dogme luthérien) et « Paris-sur-la-plage » pas un lieu de débauche, n’en déplaise à Hemingway…
Ce projet de loi prévoit une interdiction (une de plus…) des « comportements communautaires et des signes religieux » pour « les agents qui travaillent au nom du service public » (donc pas que les fonctionnaires ou « contractuels », mais aussi tous ceux qui exerceront une mission d’intérêt général), la scolarisation obligatoire dès 3 ans, et puis surtout la création d’un délit de « mise en danger de la vie d’autrui par divulgation d’informations relatives à sa vie privée », comme si la loi « sécurité globale » ni suffisait déjà plus…
La fin de la presse-poubelle qui fait ses titres sur les « affres de nos célébrités » ?
 
– Et quand la loi n’est pas nécessaire parce qu’elle existe déjà (merci à « Tagada-à-la-fraise-des-bois »), on passe par la voie des décrets, donc sans l’aval du Parlement : Normal, c’est plus discret et la loi  le permettant existe déjà ! Seul recours, le Conseil dÉtat...
Derniers exemples en date : Les trois récents décrets élargissant le champ des données personnelles que peuvent recueillir les forces de l’ordre contre les personnes ou associations soupçonnées d’atteinte à la « sûreté de l’État ».
Mince, l’État est menacé jusque dans sa « sûreté » !
J’ignorais.
On n’avait pas vu ça depuis le putsch des généraux d’Alger…
 
Des décrets qui ont également suscité des réserves de la Commission nationale de l’informatique et des libertés (Cnil), qui avait pointé le périmètre particulièrement large des données concernées, et du défenseur des droits…
Aux termes de ces textes, les opinions politiques, les convictions philosophiques et religieuses et l’appartenance syndicale pourront désormais être collectées dans des fichiers qui, jusqu’alors, se limitaient à recenser des activités,, exactement comme sous le Régime de Vichy !
Mais à l’époque, on cherchait seulement les juifs…
Même pas l’appartenance aux associations, notamment franc-maçonnes : C’est interdit depuis le siècle précédent.
Ne vous en faites pas, pour avoir dirigé plusieurs associations à la « petite-enfance », je sais être « fiché » par « big-brother »… et c’est naturel : Il faut qu’on puisse me retrouver si par malheur un gamin est « secoué » par mégarde et une aide-puéricultrice qui aurait pété un câble…
Dans le détail, ces décrets portent sur trois fichiers : Le Pasp (Prévention des atteintes à la sécurité publique), tenu par la police ; le Gipasp (Gestion de l’information et prévention des atteintes à la sécurité publique), géré par les gendarmes, et l’EASP (Enquêtes administratives liées à la sécurité publique), utilisé avant le recrutement de fonctionnaires sur des postes sensibles.
 
– On a bastonné durant des semaines et des semaines les « Gilets-jaunes » ce qui n’a jamais éliminé les « casseurs » : Ceux-là auraient-ils une dérogation estampillée en règle pour circuler à plus de 20 km et plus de 3 heures de chez eux, pour aller casser du mobilier urbain, des vitrines et la gueule de quelques flics plantés là sans réagir ?
On en arrête une centaine chaque fois, on en juge une poignée et ils reviennent… comme autant de générations spontanées !
Fabuleux : Les lois ne s’appliquent donc plus en mon beau pays (celui que j’aime tant et qui me le rend si mal…) !
Ce n’est donc pas forcément utile d’en faire de nouvelles, toujours plus « dures », me semble-t-il.
 
De toute façon, vous n’êtes pas concernés, sauf indirectement pour votre sécurité personnelle, puisque début novembre, seulement 60.686 personnes étaient inscrites au Pasp, 67.000 au Gipasp et 221.711 à l’EASP, selon le ministère de l’Intérieur.
Pour 3,5 millions de fonctionnaires (et assimilés) ce n’est pas beeaucoup…
Et jusqu’à présent, ces fichiers ne recensaient officiellement que les personnes impliquées dans des actions de violences collectives, en particulier en milieu urbain ou à l’occasion de manifestations sportives et pouvant porter atteinte à la sécurité publique.
Désormais, le recueil de données s’étendra aux personnes physiques et morales, donc les associations, qui présentent un danger pour la sûreté de l’État et sont susceptibles de prendre part à des activités terroristes, de porter atteinte à l’intégrité du territoire ou des institutions de la République.
Ce n’est évidemment pas votre cas, j’en suis certain : Au pire, vous êtes membre d’une association de bouliste ou de la bibliothèque locale…
 
Mais ces ajouts ont été décidés au regard des troubles graves à l’ordre public qui se sont développés depuis 2015, notamment la menace terroriste, justifie-t-on place Beauvau, au ministère.
Les fichiers EASP, Pasp et Gipasp n’ont pas vocation à collecter des renseignements sur l’ensemble de la population mais uniquement sur des catégories de personnes délimitées sur la base d’éléments matériels concrets, vous assure la même source.
Toutefois, les décrets prévoient aussi la collecte de données sur les personnes en lien avec celles soupçonnées de porter atteinte à la sécurité publique ou la sûreté de l’État.
Et c’est la porte ouverte au fichage massif, comme en ex-RDA ,de toutes les personnes qui participent à des manifestations, y compris celles qui n’ont rien à voir avec des activités violentes, s’inquiète le juriste à l’ONG « Quadrature du Net », qui annonce préparer un recours devant le Conseil d’État.
 
Selon lui, ces décrets vont faciliter les recoupements entre tous les fichiers, notamment avec le TAJ (traitement des antécédents judiciaires), qui autorise le recours à la reconnaissance faciale, non-exclue par les nouveaux textes.
Dans son avis rendu en juin, la Cnil avait regretté que le champ des données concernées par les décrets n’ait pas été délimité de manière plus fine.
Parmi les nouvelles catégories, figurent ainsi et notamment l’activité sur les réseaux sociaux et les troubles psychologiques et psychiatriques (dans le respect du secret médical nous assure-t-on).
Bref, de la « matière première » en pagaille à traiter par les logiciels de Palantir (« piqués » dans les logiciels de « BBR » de Charlotte, vous rappelle-je, même si ce n’est qu’une hypothèse « romanesque », pour ne pas être censuré…)
 
Alors que la Cnil avait demandé au gouvernement d’exclure explicitement la possibilité d’une collecte automatisée de ces données sur les réseaux sociaux, cela a été refusé.
Déjà le fisc vous « trace » de cette façon-là pour mieux vous redresser à l’occasion.
 
Passent encore toutes ces billevesées : En « Gauloisie-totalitaire », on a l’habitude et on vit avec, parce que chacun aura trouvé la parade pour garder sa sphère de « liberté individuelle » intacte. Ce qu’une intelligence peut faire, une autre intelligence peut le défaire, c’est bien connu.
Vous l’aurez même découvert avec le dernier attentat de Nice la veille du « second reconfinement » : Le terroriste est passé totalement sous les radars même en franchissant plusieurs frontières et la mer Méditerranée…
Même pas un numéro fiscal ou de sécurité-sociale à lui attribuer.
 
– Mais il y a mieux (ou pire, c’est selon) : Il y a quelques jours « Jupiter » nous annonçait en s’adressant sur un réseau social de « d’jeuns » que : « Peut-être que je ne pourrai pas être candidat. Peut-être que je devrai faire des choses dans la dernière année, dans les derniers mois… dures, parce que les circonstances l’exigeront et qui rendront impossible le fait que je sois candidat. Je n’exclus rien. On a vécu des choses qui étaient absolument imprévisibles. Donc je ne prévois rien. »
Relisez, SVP, c’est caractéristique et même prophétique !
 
Plusieurs assertions : « Peut-être je ne pourrai pas être candidat. »
Quoi, il est atteint d’une maladie incurable ?
Pas par la limite d’âge, en tout cas, puisqu’il est encore le plus jeune de la troupe (et toujours autant ambitieux)…
 
« Peut-être que je devrai faire des choses dans la dernière année, dans les derniers mois… dures, parce que les circonstances l’exigeront ».
Quelles circonstances ?
La crise sanitaire ? Et en quoi il prendrait des décisions encore plus… dures ?
Notez qu’il ne parle pas de décision, mais de « faire des choses » : Lesquelles ?
Telles qu’elles sont inavouables encore pour l’heure…
 
« Qui rendront impossible le fait que je sois candidat. »
Ce n’est pas qu’il ne veut pas, mais c’est que ça devient impossible !
Et de prévenir en amont que ça va se passer dans la dernière année de son mandat, peut-être seulement « les derniers mois ».
Quoi, il va y avoir la guerre ?
 
« Je n’exclus rien ». Donc il prévoit tout, même l’indicible ?
Non : Il veut seulement nous faire croire que : « Donc je ne prévois rien. »
Or, gouverner, c’est justement prévoir… Que même le prochain porte-avions sera nucléaire et de 75.000 tonnes de déplacement (et non pas de 40.000 comme le CDG), en 2035…
Et jusque-là, il mène sa barque avec détermination malgré les obstacles et vents contraires, c’est le moins qu’on puisse lui reconnaître (hors sa « réforme de la constitution », sa priorité première dès qu’il est arrivé au pouvoir).
 
« On a vécu des choses qui étaient absolument imprévisibles. »
Ah ça oui, les événements se sont succédés dans une chronologie impitoyable, réglée « au millimètre près » pour mieux assoir son pouvoir sur le pays.
Là encore, c’est le moins qu’on puisse dire…
Il a même su rebondir à la perfection avec sa « tournée des popotes » post-crise des « Gilets-jaunes » et sa « Convention citoyenne » qui aura bien enfumé le « bon peuple ».
Imaginez donc une seule seconde que la pandémie du « Conard-virus » ait été déclenchée un an avant son démarrage historique, en plein crise desdits « Gilets-jaunes » (ou seulement un an après, en février 2021), l’alignement des planètes politiques auraient été totalement différent, bien évidemment !
 
La « presse aux ordres », celle qui lui aura bordé les couvertures en 2017, n’aura retenu que le fait que le Président se demande s’il ira en campagne en 2022 affronter « Marinella-tchi-tchi » (l’option jusque-là servie comme un fait acquis par la même presse et autres « sondages d’opinion »).
Elle n’a pas vu ou ne veut pas voir le « plan B » qui se met en place…
 
Je résume : D’état d’urgence en état d’urgence, de report d’élections en report d’élections, il apparait de plus en plus que nous vivrions peut-être les derniers jours de la Vème République.
Car il peut très bien être envisagé de reporter l’échéance de 2022…
Sine die, de report en report…
Techniquement, juridiquement c’est assez facile : L’article 16 de la Constitution le permet.
Avec un Parlement à la botte, le doigt sur la couture, se sachant désavoué par leurs électeurs, c’est du tout cuit que de pouvoir décider de jouer « les prolongations »…
 
Mais à la double condition qu’il y ait justement « consensus » politique formé autour de « désordres » qui mettent « gravement en danger » les institutions !
Et comment faites-vous de « désordres graves » avec des « Black-blocks » dans les rues ?
Assez facilement : Même le Général « Deux-villes-liées » (son ex-chef d’état-major) parle déjà de risque de « guerre civile » !
C’est dire…
Car il suffit de serrer encore un peu plus la vis aux citoyens (pas de réveillon de la Saint-Sylvestre, par exemple), les maintenir sous pression liberticide (c’est en cours avec tout l’arsenal juridique qui se met en place), la relâcher un peu au moment des vacances scolaires et estivales pour décompresser, ça, ils l’ont bien compris, et reprendre la main en suite.
 
Vous avez compris ? Et les deux précédents empires de la « Gauloisie-des-Lumières », avec ses deux Napoléon (I et III), sont là pour nous prouver que cela est tout à fait possible.
Je vous en avais averti il y a déjà bien des lustres
On va tout droit vers un « coup d’État » permanent.
C’est une hypothèse qui devrait être prise en considération, quitte à être traités de « complotistes ».
Parce que là, les différents scénarios envisagés jusque-là – qui poursuivent tous le même but – n’ont pas pu prospérer.
Dernière échéance prévisible : 2 décembre 2021 !
À force d’obstination, il finira par y parvenir, parce qu'il y a des réformes importantes (pour la haute-finance) qui ne sont pas encore passées… 

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