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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

mardi 15 décembre 2020

Ce n’est pas encore l’heure des bilans,

Mais déjà celle des prévisions pour 2021 !
 
Les banquiers Danois sont fortiches à ce jeu-là : Ils prévoient des « trucs » qui ne se réaliseront pas mais qui pourraient avoir de telles conséquences traumatisantes, que l’histoire de la longueur du nez de Cléopâtre fait figure de grosse rigolade !
 
Le millésime 2021 pour Saxo-Bank n’est pas mal.
On avertit tout de suite, ce n’est pas le scénario central, mais que les événements prévus ont une probabilité largement sous-estimée par les marchés…
Suivez donc mes conseils (pour mieux vous faire plumer : Ça pourrait être pire !)
Et s’ils devaient se concrétiser, ces scénarios pourraient en surprendre plus d’un et auraient de toute façon un impact retentissant.
Ils en retiennent 10.
 
1 – Dette publique et taux d’intérêt : La « Gauloisie-ruinée » appelle la « Teutonnie » à l’aide ! Mais si…
« Jupiter » a nettement accru notre dette publique depuis l’éclatement de la crise sanitaire du « Conard-virus ». C’est un fait incontournable pour un résultat plus ou moins décevant.
Et les entreprises de l’Hexagone sont elles-mêmes très endettées, surtout depuis quelques temps…
Les faillites se multiplient (ce qui va arriver)), d’autant que les deux confinements ont rendu de nombreuses sociétés exsangues, malgré les aides de l’État (vous quoi : Vous les payez pour qu’elles puissent vous payer !
Le « monde d’après ».
Du coup, nos banques sont malmenées, car elles subissent de nombreuses pertes sur les crédits accordés plus ou moins de force.
« Pour maintenir bas les taux d’intérêt et continuer à assurer de bonnes conditions de financement à nos entreprises, la « Gauloisie-exsangue » demande l’aide de la « Teutonnie-aux-abois », en faisant pression pour que la BCE poursuive sa politique monétaire ultra-accommodante », indique le responsable de la recherche macroéconomique de chez les Danois.
Ce n’est pas tout-à-fait comme cela que ça va se passer, parce qu’il n’y a pas que « Jupiter » qui a claqué un « fric de dingue », mais globalement tous les PIGGS.
(Le « club Med » de l’UE : Sea, sex & sun !)
La conséquence, c’est qu’on devrait voir des tensions sur l’Euro dans les mois qui vont venir.
Pour l’heure, la monnaie unique se porte plutôt bien parce que finalement tous les pays au monde ont pratiqué les mêmes politiques financières en même temps en inondant les marchés de liquidités.
Et qu’avec « McDo-Trompe » encore au affaires, les choses ne s’arrangent pas quant à « BoJo », à force de souffler le froid et le chaud, la Pound en a perdu sa boussole…
Mais les écarts entre zones monétaires vont se creuser dès que la croissance de l’activité repartira, évidemment dans le désordre…
Et entre l’Europe du Sud et celle des « frugaux », ce sera le grand écart, alors qu’en Chine et au Japon (plus la Corée) la zone sera nettement plus « homogène ».
Résultat l’Euro va souffrir…
 
2 – Par ailleurs, avec la blockchain, nous dit-on, « Fesses-book » et « Twister » devront partir à l’assaut des fake news.
La désinformation (des fausses nouvelles) et autres « manipulations » des opinions constituent déjà un enjeu de plus en plus critique.
Les géants des réseaux sociaux vont subir « une pression accrue de la part des grandes puissances, qui souhaitent lutter contre ce fléau. Facebook et Twitter investissent alors massivement dans la technologie blockchain pour garantir la fiabilité des informations et lutter ainsi contre les fake news ».
C’est probable, mais cette technologie n’empêchera pas les gens de croire en ce qui ont envie de croire, même en leurs délires et fantasmes.
C’est d’ailleurs le principe du « complotisme » : On te présente un fait réel qu’on aligne avec un mensonge et on fait passer l’ensemble pour une réalité « que tu es bien niais de ne pas comprendre ».
Les blockchains n’y changeront rien.
Pas plus que l’IA qui aura bloqué J-C. Bourret (journaliste à la retraite et accessoirement colonel de réserve de la Gendarmerie) pour un propos relayé sur la Chloroquine, sur son « Fesses-book » : Du coup, il s’est cassé !
Tant pis pour « Montagne de sucre »…
La « dictature » de l’information « correcte » fait son œuvre et ce n’est pas fini : Ça se renforce, même !
 
D’ailleurs hier, durant 4 heures, ce blog était inaccessible, tout comme l’adresse courrielle associée : Je vous avais dit que j’allai être censuré !
Ça n’existait même plus et ce n’est pas un « bug » : J’ai pu accéder à tous mes autres sites…
Que j’étais de mauvaise humeur à devoir imaginer la création d’un nouveau blog.
 
3 – Fusion nucléaire : Un réacteur révolutionnaire ouvre l’ère de l’abondance énergétique.
Le réacteur de fusion nucléaire SPARC conçu par le MIT, validé en 2020 comme un moyen viable de produire une énergie à moindre coût, connaît des améliorations significatives en 2021, notamment grâce à l’intelligence artificielle (IA).
Ce serait le coup d’envoi à une révolution énergétique, qui « ouvre la perspective d’un monde qui ne connaîtra plus de pénurie en eau ou de pénurie alimentaire, grâce au dessalement et à l’agriculture verticale. Un monde où les transports seraient bon marché (…). Mieux encore, l’énergie de fusion permet à presque tous les pays de devenir autonomes sur le plan alimentaire et en énergie et entraîne la hausse des niveaux de vie la plus rapide de l’Histoire ».
C’est vrai et c’est faux : Les Chinois ont commencé à « allumer leur Soleil artificiel » » dans le silence des médias occidentaux.
Notre Iter, ce n’est pas pour demain qu’il « divergera » (sera relié au réseau électrique).
De toute façon, si Flamanville ne tourne toujours pas, ils sont plusieurs pays à finaliser des réacteurs de nouvelles générations, plus petits, plus fiables, plus nombreux.
C’est d’abord une « révolution verte » (entendre « décarbonée ») et avant que l’eau, la nourriture, l’énergie soient « gratuites » (ou presque), soyons sérieux, il se passera plusieurs générations…
Mais c’est une bonne nouvelle si ça pouvait être vrai !
 
4 – Le revenu de base universel (RBU) favorisera un exode, dans les grandes villes.
C’est vrai qu’il en est de plus en plus question dans les sphères politiques.
C’est la théorie de « l’hélicoptère monétaire » qui va être inaugurée dans les semaines prochaines aux USA et naturellement envahir le continent européen.
Mais ce revenu de base universel favoriserait un exode, depuis les grandes villes.
Personnellement, je ne vois pas très bien pour quelle raison : Les villes sont une nécessité « trimillénaire ».
Mais pour eux, la reprise post-« Conard-virus » de l’économie est « en K » (c’est-à-dire avec des gagnants et des perdants), les grandes puissances vont donc avoir recours au revenu de base universel (RBU) pour lutter contre les inégalités.
Or, avec « le RBU, les destructions d’emplois survenant dans de nombreux secteurs et la banalisation du télétravail vident une bonne partie des immeubles de bureaux des grandes villes. Des agglomérations qui font face à un exode, de nombreuses personnes ne voyant plus de raison d’y rester », explique-t-on.
D’autant que le coût du logement est plus bas ailleurs…
Ce qu’ils n’ont pas vu venir c’est qu’avec les restrictions des déplacements qui vont devenir plus ou moins permanents (crises sanitaires successives obligent), la ville est un atout considérable…
Tout y est « au pied » de la porte !
Sauf le boulot « dématérialisé »…
 
5 – Avènement d’un « fonds technologique citoyen » avec le « dividende disruptif ».
C’est possible.
La révolution technologique détruit structurellement de nombreux emplois, il y a de plus en plus de laissés pour compte. Et la crise du « Conard-virus » n’a rien arrangé…
Aussi, afin d’éviter que de nombreux citoyens soient laissés « au bord de la route », les États pourraient faire en sorte que chacun profite de cette révolution technologique, grâce à un « fonds technologique citoyen » faisant de chaque personne un investisseur.
« Cette politique, qui s’apparente à un dividende disruptif, concourt à apaiser les inquiétudes économiques et sociales des laissés pour compte de la croissance économique », selon eux.
Sauf qu’ils n’ont pas anticipé que la quête d’un niveau de vie minimum va empêcher d’investir pour le citoyen lambda. Se nourrir, se loger, se soigner, se vêtir va prendre de plus en plus l’aspect d’une course-poursuite infernale si en plus il faut se déplacer depuis sa campagne vers la « ville la plus proche »…
(Cf. Les « Gilets-jaunes »).
La solution c’est que le RBU cité ci-avant soit réinvesti d’office dans l’épargne « disruptive »…
Je ne suis pas bien sûr qu’il ne faille pas attendre les nouvelles générations privées d’emploi pour en arriver là, si on te prend de la main gôche ce qu’on te donne de la main droâte.
 
6 – Plus sérieux, les faillites se multiplient chez les entreprises les plus fragiles à cause de la Fed (et pas seulement elle, me semble-t-il).
En effet, la dette a décollé dans le sillage de la crise du « Conard-virus » et ce au niveau mondial. Les principales banques centrales de la planète, dont la Fed, et les grandes puissances ont soutenu largement l’économie, en comprimant les taux d’intérêt et en mettant en œuvre des plans de relance de très grande envergure.
En 2021, avec le recul, on peut imaginer que l’économie a été stimulée à l’excès.
« La forte reprise post-vaccin Covid-19 la met rapidement en surchauffe. Face à l’accélération de l’inflation, la chute du chômage et la crainte d’un envol des salaires, la Fed laisse les taux d’intérêt à long terme augmenter, entraînant dans la foulée une hausse des taux des titres de dette plus risqués (c’est-à-dire les taux d’intérêt des entreprises les plus endettées, les émetteurs jugés les plus spéculatifs et à la capacité de remboursement plus incertaine) ».
« Les faillites des entreprises les plus fragiles se multiplient ».
Il ne faut pas être extra-voyant pour pouvoir l’anticiper !
C’est bien ce qui va se passer, mais on ne sait pas quand.
Pour mémoire, je rappelle que ça devait être le cas dès le 15 octobre 2020 (question technique de calendrier) et ça ne s’est pas produit, au contraire, puisqu’il y a eu moins de dépôts de bilan que lors d’une année « normale » au moins en « Gauloisie-impertinente ».
Naturellement, la situation des entreprises de « loisir » (au sens large, hôtel, restaurants, centre de loisir, spectacles-vivants, salles de concert, de théâtre, etc.) ne vont pas pouvoir tenir comme ça perpétuellement, sans recettes, c’est une évidence.
Et derrière les « foncières » n’encaisseront plus de loyers et ne pourront plus rembourser leurs emprunts…
Je ne vous dis pas l’angoisse des banquiers qui restent à venir et à prospérer : Ils vont se retrouver à la tête d’un patrimoine foncier énorme dont ils ne sauront pas quoi faire et qui ne vaudra plus rien !
 
7 – L’argent (métal) devrait voir son cours exploser
C’est possible derrière l’envolée des cours de matières premières.
Du fait du laxisme persistant de la Fed, qui augure de taux durablement bas, le dollar chute, une monnaie peu rémunérée étant moins attractive.
À l’instar de l’or, l’argent (métal) en profite, car les deux métaux précieux étant cotés en billets verts, ils deviennent mécaniquement moins onéreux pour les acheteurs munis d’autres devises.
Actif réel, l’argent profite aussi de l’accélération de l’inflation (qui érode mécaniquement la valeur des devises), des injections massives de liquidités de la Fed et de sa politique accommodante à l’excès.
Enfin, alors que l’argent a de nombreuses applications dans l’industrie et entre dans la composition des panneaux solaires, « il profitera à plein de 2021 de la demande chinoise et asiatique, où l’économie se redresse, et des plans de relance verts en Europe et aux Etats-Unis ».
C’est probable.
Mais ce sera le cas pour toutes les autres matières premières, y compris agricoles et pétrolières.
Plus la monnaie de référence se déprécie, plus les cours montent : Logique.
 
8 – Les marchés des pays émergents et « frontière » profitent de gains de productivités massifs.
Peut-être seulement…
La technologie favorise des gains de productivité massifs dans les pays émergents et « frontière » (c’est-à-dire des pays émergents à un stade plus précoce).
D’abord grâce au déploiement de systèmes d’accès à Internet par satellite (projet Starlink de SpaceX…), qui devrait faire chuter le prix des abonnements Internet et doper les débits de téléchargement.
« Dans l’éducation et chez les entreprises, les gains de productivité seront considérables. Ensuite, la révolution en cours dans l’univers des paiements et de la banque en ligne permet un accès massif à l’économie numérique via les appareils mobiles. Enfin, combinée à l’automatisation, la dronautique va doper les gains de productivité dans l’agriculture, dans de nombreuses zones rurales sous-développées du monde entier.
Les marchés financiers et les devises des pays émergents et frontière devraient donc profiter d’une croissance économique dopée par les gains de productivité. »
Mécaniquement, c’est logique.
Techniquement, il faudra tout de même vendre (et exporter) sa production avec une monnaie « solvable » et « stable » (pas avec du dollar dévalué) à des marchés dynamiques.
Ce qui n’est pas gagné avec une reprise en « K »…
Et puis quant à la « productivité » dans l’éducation, en « Gauloisie-savante », là franchement, je demande à voir, parce que…
 
9 – La cryptomonnaie de la Chine accélère l’afflux de capitaux étrangers.
Vrai !
Si la reprise de l’économie de la Chine « est dopée par l’investissement public, elle l’est aussi par le boom des capitaux étrangers sur les marchés d’actions et d’obligations de l’Empire du Milieu. »
(Allez donc en causer à votre conseiller financier de chez Saxo : Il saura comment vous plumer !)
Car, la Chine développe sa propre monnaie numérique, la Digital Currency Electronic Payment (ou DCEP, version numérique du yuan [CNY] fondée sur la technologie Blockchain), qui devrait « accompagner la libéralisation du système financier du pays et y favoriser un surcroît de capitaux étrangers », indique-t-on chez les experts.
Les obligations d’État et les actions chinoises pourraient ainsi tirer leur épingle du jeu, par rapport aux autres marchés mondiaux.
Probablement que oui.
Sauf que ça n’aura qu’un temps : La monnaie, plus qu’ailleurs, est en Chine aux mains des autorités politiques et démocratiques populaires. Les « blockchains » aussi.
Investir en Chine, c’est accepter de tout perdre sur un simple « click » du pouvoir : Il n’y a pas d’indépendance financière en Chine (pas d’indépendance du tout en tout d’ailleurs) et ça devrait être un frein puissant, pas tout de suite, mais plus tard…
Méfiance.
 
10 – Eux voient Amazon migrer à Chypre !
Et l’UE de monter au créneau.
Les Gafam suscitent de plus en plus l’ire des grandes puissances, qui dénoncent leur puissance excessive et leurs trop faibles niveaux d’imposition.
Face à une pression exacerbée, Amazon déménagerait donc son siège social européen à Chypre.
Les conseillers du géant du e-commerce « aident » alors Chypre à réécrire son code fiscal pour répliquer celui de l’Irlande, mais avec un taux d’imposition sur les sociétés et des taxes encore plus faibles.
Du coup l’UE réagit en forçant Amazon à changer ses pratiques.
Et elle oblige Chypre et les autres pays européens « à harmoniser les règles fiscales… et les taux d’imposition à la baisse ».
Des grands rêveurs ! On n’arrive déjà assez mal à harmoniser les taux de TVA (les droits douaniers, c’est fait), alors les taux et assiettes d’IS et d’IR…
Les États-Unis et d’autres pays décident également de lutter contre les monopoles.
Par conséquent, les vents contraires vont se lever pour les Gafam, dont il faudra se méfier en Bourse.
Là, c’est probable : Ils ont mangé leur pain blanc, c’est une évidence qui va s’imposer au fil du temps.
Mais il faudra des années et des années pour les « limiter » et elles auront le temps de rebondir sur autre chose.
Il suffirait d’une rupture technologique nouvelle ou de l’émergence de « besoins nouveaux » qu’ils auront laissé passer : L’Histoire est pleine de ce genre de « destructions créatives ».
 
Je vous épargnerai d’y revenir l’année prochaine.
D’abord parce que je ne suis pas bien sûr d’être encore de ce monde-là (je commence à en avoir ma claque…) ;
Ensuite, l’exercice a déjà été fait mille fois et personne n’aura vu que, ne serait-ce que pour l’année qui s’achève, n’aura répondu en rien aux « prophéties », pas même « sanitaires ».
Mais c’est toujours le moment de résurgences de fantasmes affolants.
Surtout chez les banquiers quand ils vous disent de faire ceci et pas cela : Ils n’y connaissent pas grand-chose, sauf à vous piquer vos maigres économies pour survivre eux-mêmes.
Tout un métier…

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