Étonnement : La liste des assassinats « d’État »
On avait pris l’habitude (… façon de parler…) que les « barbares »
assassinent dans nos rues au nom d’une croyance ou d’une idéologie surannée,
voire « exotique », signe incontestable de la faiblesse des
arguments développés pour « convaincre ».
À ce terrorisme-là, la violence d’État aura répondu et continue d’y répondre avec un succès certain qui vise à l’éradication.
Même si la Syrie, l’Irak, les Kurdes en sont encore victimes à des degrés divers et bien regrettables.
On avait bien compris que des nations se faisaient la
guerre de façon sourde et impromptue pour le contrôle de régions, de leurs
ressources et de leurs populations : Les Ouïgours ici, la frontière
sino-indienne là, le Yémen par-ci, une partie du continent sahélien par-là, en
Amérique latine et encore ailleurs, en de si nombreux endroits.
On découvre, en janvier dernier, qu’un général Iranien aura été abattu à distance par un drone américain, qu’un avion de la CIA transportant des officiers supérieurs de l’agence s’écrase par ailleurs en représailles, qu’un scientifique iranien peut être abattu dans sa ville quelques mois après que son usine explose, qu’un général Israélien l’est également au Liban…
Que des pétroliers peuvent être incendiés dans le détroit d’Ormuz avec des munitions déposées par des nageurs de combat.
Une guerre bizarre, tous azimuts, sans front dans un monde poreux, sans revendications, sans signature ostensible mais qui fait des morts et est destinée à répandre la terreur chez ceux qui se sentent visés.
On s’interroge que des Russes puissent pirater des
logiciels et des données par foison jusque sur les serveurs des GAFAM et entrer
comme chez eux dans les fichiers administratifs étatiques…
Chez eux justement, on ne compte même plus les assassinats « politiques » en réplique aux années de sang imposées par les rebelles Tchétchènes et leurs commandos-suicides jusque dans les théâtres des villes.
On comprend parfaitement que des « tentatives » de crime, qui ne visent pas à tuer mais à seulement à faire taire des opposants politiques soit une tactique de guerre civile.
Je pense à Navalny qu’il aurait été si simple d’éliminer « à l’ancienne », sans même utiliser des poisons ou des drones turcs qui ont récemment fait tant de ravages dans les rangs de l’armée Arménienne…
Ce qui m’interroge le plus en cette fin d’année ce
sont les morts de « scientifiques ».
La mort récente du russe Alexander « Sasha » Kagansky, ne fait que s’ajouter à la longue liste des personnes engagées dans la recherche sur les « Conards-virus » qui meurent dans des circonstances mystérieuses.
De quoi les « autorités » ont-elles peur pour éliminer sans procès ni reproche ses « cerveaux » ?
Pourquoi autant de barbarisme imbécile ?
Alexander Kagansky travaillait sur un vaccin avant d’être poignardé et jeté par la fenêtre de son appartement du 14ème étage !
Le « Spoutnik V » serait-il frelaté ?
Le vaccin de Pfizer l’est-il tout autant tel que le PéDéGé de la boutique qui le commercialise aura annoncé qu’il ne se vaccinera pas avec ça ?
Kagansky n’est pas le premier ayant participé à la
recherche sur le « Conard-virus » ou qui sont étroitement liés aux
événements survenus depuis la pandémie, et qui ont été tués ou trouvés morts
dans des circonstances mystérieuses…
– Frank Plummer, un scientifique canadien, assassiné
en Afrique, début février. Il a reçu un échantillon du coronavirus du SRAS
saoudien et il travaillait sur un vaccin contre le VIH dans le laboratoire
canadien basé à Winnipeg.
Assassiné au Kenya peu après que l’enquête du GreatGameIndia ait révélé que Frank Plummer était la clé de l’affaire de l’espionnage biologique chinois au Laboratoire national de Microbiologie de Winnipeg.
Ce serait à partir de ce laboratoire canadien que le « Conard-virus » aurait été introduit clandestinement par des agents de guerre biologique chinois et peut-être utilisé comme arme à Wuhan.
– Le professeur Bing Liu, Université de Pittsburgh, en
mai, était sur le point de réaliser une percée dans la compréhension
scientifique du nouveau « Conard-virus », a été abattu
Il a été retrouvé dans sa maison en ville avec des blessures par balles à la tête, au cou, au torse et aux extrémités.
« Bing était sur le point de faire des découvertes très importantes pour comprendre les mécanismes cellulaires qui sous-tendent l’infection par le SRAS-CoV-2 et la base cellulaire des complications suivantes », ont déclaré ses collègues du département de biologie informatique et systémique de l’Université dans un communiqué.
Depuis on en sait un peu plus sur la protéine « S » du « Conard-virus ».
– Gita Ramjee, une scientifique spécialiste du VIH
meurt directement du « Conard-virus » alors qu’elle était à Londres
pour donner une conférence en mars. À son retour en Afrique du Sud, elle s’est
sentie mal et a été hospitalisée.
Sa spécialisation dans la recherche sur la prévention et le traitement du VIH l’a amenée à diriger l’expansion des essais cliniques de la phase I à la phase III sur la prévention et le traitement du VIH dans la région du Grand Durban en tant que chercheuse principale de l’unité des essais cliniques.
– Un chauffeur de l’OMS transportant des échantillons
de « Conard-virus » aura été abattu au Myanmar, en mai.
Le véhicule de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) transportant des échantillons de « Conard-virus » a été attaqué, ce qui a entraîné la mort du conducteur et blessé gravement un fonctionnaire du gouvernement.
Pyae Sone Win Maung conduisait un véhicule des Nations-Unies bien marqué lorsqu’il a été touché par des tirs dans l’État de Rakhine.
– Brandy Vaughan, une lanceuse d’alerte sur les
vaccins aura été retrouvée morte dans sa propre maison. La police ouvrira une
enquête, mais sans succès.
Elle avait dénoncé les dangers des vaccins et a été retrouvée morte à son domicile, à côté de son fils de neuf ans, le 8 décembre dernier.
Brandy Vaughan était une ancienne directrice des ventes de la société pharmaceutique Merck et la fondatrice de LearnTheRisk.org, un site web dédié à l’éducation des gens sur les risques liés aux vaccins.
– Peter Daszak, président de EcoHealth Alliance, il
est celui qui a orchestré le mythe selon lequel « Conard-virus » est
d’origine naturelle.
Des courriels obtenus par l’organisation américaine Right to Know montrent qu’une déclaration dans The Lancet, rédigée par 27 éminents scientifiques de la santé publique, condamnant « les théories de conspiration suggérant que COVID-19 n’est pas d’origine naturelle », a été organisée par des employés d’EcoHealth Alliance.
Il est intéressant de noter qu’EcoHealth Alliance est le même groupe à but non lucratif qui a reçu des millions de dollars du contribuable américain pour manipuler génétiquement les coronavirus avec les scientifiques de l’Institut de Virologie de Wuhan.
– Le virologiste néerlandais Ron Fouchier qui avait
créé un virus H5N1 mutant tient peut-être également la clé de l’enquête sur le « Conard-virus ».
Ce virologiste néerlandais était une figure controversée dans le domaine de la viro-science : Il a créé la souche de virus la plus mortelle au monde et ses recherches ont déclenché une controverse mondiale pour supprimer le financement et mettre fin à de telles expériences.
Les experts ont fait part de leurs inquiétudes sur le plan juridique, craignant que ces expériences ne conduisent non seulement à une pandémie mondiale, mais aussi au bioterrorisme.
Cependant, il a isolé le coronavirus du SRAS sorti clandestinement d’Arabie Saoudite, qui a été envoyé au scientifique canadien Frank Plummer, et est décédé une semaine après la publication du rapport de GreatGameIndia.
Etc.
Il y en a des dizaines que l’Histoire oubliera.
Personnellement, je m’inquiète pour notre prix Nobel
de médecine, quand il affirme que dans le code génétique du « Conard-virus »
il y a des « phrases entières » de mots complets codant les gènes du
VIH.
Et de nous laisser conclure qu’à ce niveau-là, il n’y a pas de hasard…
Vous en conclurez ce que vous voudrez après avoir pris soin de regarder cette courte vidéo (15 mn) :
Le Défi de la vérité : Luc Montagnier, prix Nobel de médecine.
Il paraît qu’il est devenu sénile et raconte la même histoire depuis le mois de mars dernier…
Il n’empêche, dans notre pays, on ne tue pas encore
pour « imprudence verbale » mais la presse reproduit la même dépêche
AFP pour nous raconter la chute, le naufrage de tel ou tel grand professeur
devenu « complotiste » et disant n’importe quoi…
L’opprobre suit, le médecin est qualifié de « controversé »…
Ricanements sur les plateaux des spécialistes de bouchons d’oreille et des autoproclamés « journalistes scientifiques ».
Ils nous ont fait gober l’absence de masques, les
tests aux faux positifs, les résultats qui arrivaient huit jours après…
Ils ont voulu nous empoisonner au Remdesivir… on bien savoir que la chloroquine était un grand danger pour l’espèce humaine, etc.
Aujourd’hui ils interdisent aux médecins de soigner…
Et ils punissent les lanceurs d’alerte…
Le cas Perronne est plus que symbolique. Il a osé parler, dénoncer un système contraire à toute éthique : Prenez un doliprane et attendez d’étouffer pour appeler le 15.
Il a soigné et a pu vérifier que des traitements existaient.
Il a été insulté et un carabin a même lancé une pétition pour avoir sa peau.
Dans quel autre pays au monde, à part la Corée du Nord, peut-on voir un technocrate-énârque (Marre-tain-Kirsch), licencier un médecin
de notoriété internationale ?
Le Professeur Perronne a été démis le 17 Décembre 2020 par le Directeur général de l’AP-HP de ses fonctions de Chef de Service des Maladies infectieuses et tropicales exercées à l’hôpital Raymond Poincaré de Garches depuis 1994.
Motif invoqué : « Depuis plusieurs mois, dans un contexte de crise sanitaire, le Pr Christian Perronne a tenu des propos considérés comme indignes de la fonction qu’il exerce ».
Quid ? Que ? Commodo ?
Quels propos ? Qui juge ? Est-ce que donner son avis serait devenu « indigne » ?
L’ère des barbares…
N’y voyez surtout pas une atteinte inédite à la liberté
d’expression d’un Professeur des Universités – praticien hospitalier.
N’y voyez surtout pas une réprimande pour avoir osé demander dans son dernier livre « Y a-t-il une erreur qu’ils n’ont pas commise ? »
N’y voyez surtout pas comme une intimidation à peine voilée, à destination des jeunes praticiens du monde médical, afin qu’ils restent dans l’adhésion inconditionnelle à la pensée médicale unique.
Vous deviendrez « complotiste » !
Pire que les « barbares »…
Et je ne vous cause même pas du professeur Fourtillan,
vu dans « Hold-up », interné en psychiatrie pour avoir accuser l’institut
Pasteur d’avoir fabriqué un « Conard-virus » et recherché pour
exercice illégal de la profession de médecin. Plus exactement le procureur de
Nîmes aura donné davantage d’explications par la suite : Il était
notamment recherché par la justice pour avoir donné des traitements
expérimentaux à des personnes souffrant de la maladie d’Alzheimer ou de
Parkinson et d’avoir exercé illégalement la profession de médecin ou de
pharmacien…
Au moins, c’est précis : Pharmacien ou médecin ?
Il aura fini par être retrouvé et enfin interné, à la « barbare », sans jugement.
Et ne parlons même pas du sort du professeur « Rat-out » qui résiste encore à la pression médiatique et à celle de ses « aimables confrères » qui le poursuivent en justice et devant les instances leur Ordre…
Combien de temps encore ?
Dans quel monde vivons-nous ?
Émettre une « opinion » devient un délit grave : Quand il ne conduit pas à des mesures disciplinaires, ce délit conduit à une ostracisation implacable et dans d’autres contrées du monde à l’exécution sans jugement…
Qui peut se le permettre ?
Qui en a les moyens ?
Quel est ce « secret » qu’il ne faut surtout pas révéler ?
Avouez qu’il y a matière à s’interroger.
Moâ, dans ces cas-là, j’aime bien imaginer que le « secret
à garder » seulement entre initiés pour être inavouable, c’est que
justement il n’y a pas de secret !
Mais chuttt !
C’est vous dire que je n’adhère pas du tout à tous ces « fils-rouges » qu’on veut bien me tendre mais qui ne mènent à rien, sauf à constater que la barbarie est partout dans notre monde, même si elle sait aussi se faire discrète, parfois cachée derrière un costume-cravate.
Sauf à enfumer autre chose, naturellement…
Mais là, ça ne fait jamais les « Une » de la presse, croyez-moâ.
À ce terrorisme-là, la violence d’État aura répondu et continue d’y répondre avec un succès certain qui vise à l’éradication.
Même si la Syrie, l’Irak, les Kurdes en sont encore victimes à des degrés divers et bien regrettables.
On découvre, en janvier dernier, qu’un général Iranien aura été abattu à distance par un drone américain, qu’un avion de la CIA transportant des officiers supérieurs de l’agence s’écrase par ailleurs en représailles, qu’un scientifique iranien peut être abattu dans sa ville quelques mois après que son usine explose, qu’un général Israélien l’est également au Liban…
Que des pétroliers peuvent être incendiés dans le détroit d’Ormuz avec des munitions déposées par des nageurs de combat.
Une guerre bizarre, tous azimuts, sans front dans un monde poreux, sans revendications, sans signature ostensible mais qui fait des morts et est destinée à répandre la terreur chez ceux qui se sentent visés.
Chez eux justement, on ne compte même plus les assassinats « politiques » en réplique aux années de sang imposées par les rebelles Tchétchènes et leurs commandos-suicides jusque dans les théâtres des villes.
On comprend parfaitement que des « tentatives » de crime, qui ne visent pas à tuer mais à seulement à faire taire des opposants politiques soit une tactique de guerre civile.
Je pense à Navalny qu’il aurait été si simple d’éliminer « à l’ancienne », sans même utiliser des poisons ou des drones turcs qui ont récemment fait tant de ravages dans les rangs de l’armée Arménienne…
La mort récente du russe Alexander « Sasha » Kagansky, ne fait que s’ajouter à la longue liste des personnes engagées dans la recherche sur les « Conards-virus » qui meurent dans des circonstances mystérieuses.
De quoi les « autorités » ont-elles peur pour éliminer sans procès ni reproche ses « cerveaux » ?
Pourquoi autant de barbarisme imbécile ?
Alexander Kagansky travaillait sur un vaccin avant d’être poignardé et jeté par la fenêtre de son appartement du 14ème étage !
Le « Spoutnik V » serait-il frelaté ?
Le vaccin de Pfizer l’est-il tout autant tel que le PéDéGé de la boutique qui le commercialise aura annoncé qu’il ne se vaccinera pas avec ça ?
Assassiné au Kenya peu après que l’enquête du GreatGameIndia ait révélé que Frank Plummer était la clé de l’affaire de l’espionnage biologique chinois au Laboratoire national de Microbiologie de Winnipeg.
Ce serait à partir de ce laboratoire canadien que le « Conard-virus » aurait été introduit clandestinement par des agents de guerre biologique chinois et peut-être utilisé comme arme à Wuhan.
Il a été retrouvé dans sa maison en ville avec des blessures par balles à la tête, au cou, au torse et aux extrémités.
« Bing était sur le point de faire des découvertes très importantes pour comprendre les mécanismes cellulaires qui sous-tendent l’infection par le SRAS-CoV-2 et la base cellulaire des complications suivantes », ont déclaré ses collègues du département de biologie informatique et systémique de l’Université dans un communiqué.
Depuis on en sait un peu plus sur la protéine « S » du « Conard-virus ».
Sa spécialisation dans la recherche sur la prévention et le traitement du VIH l’a amenée à diriger l’expansion des essais cliniques de la phase I à la phase III sur la prévention et le traitement du VIH dans la région du Grand Durban en tant que chercheuse principale de l’unité des essais cliniques.
Le véhicule de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) transportant des échantillons de « Conard-virus » a été attaqué, ce qui a entraîné la mort du conducteur et blessé gravement un fonctionnaire du gouvernement.
Pyae Sone Win Maung conduisait un véhicule des Nations-Unies bien marqué lorsqu’il a été touché par des tirs dans l’État de Rakhine.
Elle avait dénoncé les dangers des vaccins et a été retrouvée morte à son domicile, à côté de son fils de neuf ans, le 8 décembre dernier.
Brandy Vaughan était une ancienne directrice des ventes de la société pharmaceutique Merck et la fondatrice de LearnTheRisk.org, un site web dédié à l’éducation des gens sur les risques liés aux vaccins.
Des courriels obtenus par l’organisation américaine Right to Know montrent qu’une déclaration dans The Lancet, rédigée par 27 éminents scientifiques de la santé publique, condamnant « les théories de conspiration suggérant que COVID-19 n’est pas d’origine naturelle », a été organisée par des employés d’EcoHealth Alliance.
Il est intéressant de noter qu’EcoHealth Alliance est le même groupe à but non lucratif qui a reçu des millions de dollars du contribuable américain pour manipuler génétiquement les coronavirus avec les scientifiques de l’Institut de Virologie de Wuhan.
Ce virologiste néerlandais était une figure controversée dans le domaine de la viro-science : Il a créé la souche de virus la plus mortelle au monde et ses recherches ont déclenché une controverse mondiale pour supprimer le financement et mettre fin à de telles expériences.
Les experts ont fait part de leurs inquiétudes sur le plan juridique, craignant que ces expériences ne conduisent non seulement à une pandémie mondiale, mais aussi au bioterrorisme.
Cependant, il a isolé le coronavirus du SRAS sorti clandestinement d’Arabie Saoudite, qui a été envoyé au scientifique canadien Frank Plummer, et est décédé une semaine après la publication du rapport de GreatGameIndia.
Etc.
Il y en a des dizaines que l’Histoire oubliera.
Et de nous laisser conclure qu’à ce niveau-là, il n’y a pas de hasard…
Vous en conclurez ce que vous voudrez après avoir pris soin de regarder cette courte vidéo (15 mn) :
Le Défi de la vérité : Luc Montagnier, prix Nobel de médecine.
Il paraît qu’il est devenu sénile et raconte la même histoire depuis le mois de mars dernier…
L’opprobre suit, le médecin est qualifié de « controversé »…
Ricanements sur les plateaux des spécialistes de bouchons d’oreille et des autoproclamés « journalistes scientifiques ».
Ils ont voulu nous empoisonner au Remdesivir… on bien savoir que la chloroquine était un grand danger pour l’espèce humaine, etc.
Aujourd’hui ils interdisent aux médecins de soigner…
Et ils punissent les lanceurs d’alerte…
Le cas Perronne est plus que symbolique. Il a osé parler, dénoncer un système contraire à toute éthique : Prenez un doliprane et attendez d’étouffer pour appeler le 15.
Il a soigné et a pu vérifier que des traitements existaient.
Il a été insulté et un carabin a même lancé une pétition pour avoir sa peau.
Le Professeur Perronne a été démis le 17 Décembre 2020 par le Directeur général de l’AP-HP de ses fonctions de Chef de Service des Maladies infectieuses et tropicales exercées à l’hôpital Raymond Poincaré de Garches depuis 1994.
Motif invoqué : « Depuis plusieurs mois, dans un contexte de crise sanitaire, le Pr Christian Perronne a tenu des propos considérés comme indignes de la fonction qu’il exerce ».
Quid ? Que ? Commodo ?
Quels propos ? Qui juge ? Est-ce que donner son avis serait devenu « indigne » ?
L’ère des barbares…
N’y voyez surtout pas une réprimande pour avoir osé demander dans son dernier livre « Y a-t-il une erreur qu’ils n’ont pas commise ? »
N’y voyez surtout pas comme une intimidation à peine voilée, à destination des jeunes praticiens du monde médical, afin qu’ils restent dans l’adhésion inconditionnelle à la pensée médicale unique.
Vous deviendrez « complotiste » !
Pire que les « barbares »…
Au moins, c’est précis : Pharmacien ou médecin ?
Il aura fini par être retrouvé et enfin interné, à la « barbare », sans jugement.
Et ne parlons même pas du sort du professeur « Rat-out » qui résiste encore à la pression médiatique et à celle de ses « aimables confrères » qui le poursuivent en justice et devant les instances leur Ordre…
Combien de temps encore ?
Émettre une « opinion » devient un délit grave : Quand il ne conduit pas à des mesures disciplinaires, ce délit conduit à une ostracisation implacable et dans d’autres contrées du monde à l’exécution sans jugement…
Qui peut se le permettre ?
Qui en a les moyens ?
Quel est ce « secret » qu’il ne faut surtout pas révéler ?
Avouez qu’il y a matière à s’interroger.
Mais chuttt !
C’est vous dire que je n’adhère pas du tout à tous ces « fils-rouges » qu’on veut bien me tendre mais qui ne mènent à rien, sauf à constater que la barbarie est partout dans notre monde, même si elle sait aussi se faire discrète, parfois cachée derrière un costume-cravate.
Sauf à enfumer autre chose, naturellement…
Mais là, ça ne fait jamais les « Une » de la presse, croyez-moâ.
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