Bienvenue !

Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 18 décembre 2020

Devinez !

Jean-Marc et Jean-Paul
 
Maintenant qu’ils sont déconfinés jusqu’au soir, restent enfermés, avachis sur le même canapé, sirotent une bière devant la télé à regarder les pubs et accessoirement un match de ligue.
Et se posent quelques colles…
 
« – Sais-tu quelle est la différence entre un polytechnicien, un ingénieur-BTP et un ingénieur des arts et métiers ?
– Bé non, moi je suis plombier. LE plombier de ces dames !
 Hé bien moi je sais.
– Et c’est quoi ?
– Le polytechnicien construit un pont, le pont s’écroule, le polytechnicien sait pourquoi.
L’ingénieur-BTP construit son pont le pont s’écroule, mais il ne sait pas pourquoi.
L’ingénieur des arts et métiers construit son pont, le pont tient mais l’ingénieur ne sait pas pourquoi ».
 
« – Qu’est ce qui peut faire le tour du monde en restant toujours dans son coin ?
– Je n’en sais rien ! C’est paradoxal, non ?
– Réfléchis un peu…
– un timbre, peut-être ?
– Tu vois, quand tu veux … »
 
« – À qui sert un soutien-gorge ?
– À retenir les seins, pardi.
– Oui il soutient les faibles, maintient les forts et ramène les égarés. »
 
« – Pourquoi 20 % des femmes sont insatisfaites de leur vie sexuelle ?
– Tant que ça ?
– Eh oui : Je ne peux pas être partout à la fois ! »
 
Et se racontent des blagues vieilles comme « mes robes ».
 
C’est le Parrain de la Mafia New-yorkais qui découvre qu’il y a dans la « famille » un traître qui a détourné 100.000 dollars.
Fou de rage, il charge son adjoint, Luigi, de découvrir le coupable.
Deux jours plus tard, Luigi a trouvé le coupable.
C’est Ronaldo, le sourd-muet de la famille.
Comme Luigi est le seul qui puisse communiquer avec lui par le langage des gestes, le Parrain lui demande de servir d’interprète.
« Comment as-tu pu me trahir, moi, ton parrain ! » dit-il d’un ton affligé à Ronaldo. « Traduis, Luigi. »
Luigi traduit, et Ronaldo baisse la tête piteusement.
« Maintenant, tu vas me rendre l’argent que tu m’as volé » poursuit le parrain.
« Traduis, Luigi. »
Luigi traduit, mais Ronaldo secoue la tête négativement.
« Si tu ne me rends pas l’argent, je te fais découper en rondelles ! » hurle Le Parrain, fou de rage.
« Traduis, Luigi. »
Luigi traduit, et Ronaldo comprend que Le Parrain ne plaisante pas.
Terrifié, il répond par gestes :
« Les 100.000 dollars sont cachés dans une enveloppe, sous le lit de la chambre 26 de l’hôtel San Lucia, à Brooklin. »
« Alors ? Qu’est-ce qu’il a dit ? » demande le parrain.
Luigi hésite un moment puis répond :
« Il a dit que vous étiez trop trouillard pour mettre votre menace à exécution, parrain. »
(C’était une revenue de très, très loin !)
 
C’est un homme habite le sous-sol d’une maison à deux étages.
Juste au-dessus de lui, habite un homme qui travaille tard le soir et qui arrive vers les 23 heures.
Tous les soirs, lorsqu’il rentre, il lance ses grosses bottes de travail provoquant un vacarme qui réveille le gars du dessous.
Après plusieurs mois, le gars du dessous se décide, monte à l’étage et demande au travailleur d’arrêter de lancer ses maudites bottes en arrivant à la maison le soir.
Le lendemain, le gars du haut, par habitude, lance sa première botte contre le mur provoquant ainsi le vacarme habituel.
Prenant soudainement conscience de la conversation de la veille, il enlève la deuxième sans faire de bruit.
Deux heures plus tard, le gars d’en bas monte, cogne et hurle :
« Quand donc enlèves-tu ta deuxième botte que je puisse me coucher ? »
 
Un homme entre dans une boutique de jardinage et s’adresse au vendeur :
« – Oh l'ami j'ai décidé de faire du sport et donc du jardinage.
– Et comment, mon ami, est-ce que je peux vous aider ? »
L'homme réfléchit.
« – J’ai besoin d’un engrais, un bon.
– Tenez l’ami, la moitié du travail sera fait » dit alors le vendeur avec un ton publicitaire.
« Vraiment ? Donnez m’en deux alors. »
(C’est une blague (f)Ummiste, recyclée par Jean-Marc, « revenue » de l’autre bout de la galaxie…)
 
Une petite fille est chez sa grand-mère et lui demande (en respectant les gestes-barrières) :
« C’est quoi un amant ? »
 La grand-mère sursaute, paniquée et s’exclame :
« Mon Dieu, j’avais complètement oublié ! »
Elle se précipite vers une grosse armoire fermée à clé. Elle déverrouille, ouvre la porte et il en tombe un squelette !
 
La sœur de la petite fille, âgée de quatre ans, se met à tousser, mais elle ne met pas sa main devant sa bouche.
Sa grand-mère la réprimande et lui dit qu’elle doit toujours mettre sa main devant sa bouche avant de tousser (au mépris des gestes-barrière).
« – J’ai pas besoin de faire ça, moi, grand-maman !
– Ah non ? Et pourquoi ?
– Parce que, contrairement à toi, moi j’ai pas de dentier qui pourrait tomber. »
 
(Encore une revenue de très loin…)
Un employé d’une grande entreprise prend le téléphone :
« Eh ma poule ! Tu bouges tes p’tites fesses et tu me montes un café… »
À l’autre bout de la ligne :
« – Non mais qui est l’imbécile au bout de la ligne ? Tu parles au président de la société !
– Et toi, idiot ? Tu sais à qui tu parles ?
– Non », dit le patron…
Et l’employé répond :
« OUF ! » et raccroche le combiné…
 
Un jour, un bon vieux médecin de campagne, se rend loin, mais très loin dans la campagne pour assister à un accouchement.
C’était tellement loin qu’il n’y avait pas d’électricité.
Lorsqu’il arrive, nul autre à la maison que la mère et un enfant de 5 ans.
Alors le médecin demande à l’enfant de tenir la lampe torche assez haut pour l’éclairer et qu’il puisse assister la mère à son accouchement.
Après l’arrivée du nouveau-né, le médecin lui donne une tape sur les fesses pour lui aider à prendre sa première respiration, puis il demanda à l’enfant de 5 ans ce qu’il pensait du nouveau-né.
Et le gamin répond :
« Vous pouvez le taper encore une autre fois, il n’aurait pas dû se traîner jusque-là, de toute façon. »
 
L’homme vient de terminer de poser le tapis dans une maison cossue.
Après trois heures de travail, il se dit qu’il mérite bien une cigarette.
Il fouille dans ses poches et le les trouve pas.
« Elles doivent être dans le camion » pense-t-il.
Mais là non plus, il ne les trouve pas.
Il revient dans la maison.
Elles sont peut-être dans boîte à outils.
Mais en entrant dans le salon, il voit une bosse sur le tapis, au beau milieu de la pièce.
« Ah non ! Mon paquet de cigarettes a dû tomber de ma poche pendant que je posais le tapis… »
N’ayant pas envie de recommencer son travail, et voyant que la dame est dans une autre pièce, il écrase la bosse avec son talon pour la faire disparaître.
Il s’éloigne et regarde le tapis.
« Parfait, ça ne se voit pas » constate-t-il.
La dame arrive au même moment…
« – Tenez, ces cigarettes doivent vous appartenir car je ne fume pas. Elles étaient sur les marches de l’escalier. Au fait, vous n’auriez pas vu Crapule ?
– Crapule ?
– Oui, Crapule, mon petit hamster… »
 
Et se font un test.
D’ailleurs, ne regardez pas la fin tout de suite, notez bien les numéros avant. Cela ne prend même pas 2 minutes.
Il se passe 5 choses en même temps dans votre appartement qui nécessitent votre attention.
1 – Le téléphone sonne.
2 – Le bébé pleure.
3 – On sonne à votre porte.
4 – Vous avez suspendu le linge dehors, et il commence à pleuvoir.
5 – Vous avez laissé le robinet ouvert dans la cuisine, et l’eau commence à déborder.
Dans quel ordre règleriez-vous ces problèmes ?
 
Marquez l’ordre dans lequel vous régleriez ces problèmes sur un bout de papier et vérifiez ensuite comment vos décisions ont été prises.
Les résultats sont très intéressants…
Chaque point représente quelque chose dans votre vie. Sur la liste ci-dessous, vous pouvez voir la définition de chaque point :
 
1. Téléphone : Le travail.
2. Bébé : La famille.
3. Porte : Les amis.
4. Linge : L’argent.
5. Eau : Le sexe.
 
La suite que vous avez choisie définit l'ordre des priorités dans votre vie…
Alors, qui a décidé de fermer l'eau du robinet en premier ?
 
Trois petits garçons, sur le toit d’un édifice, regardent, sur la rue, une Ferrari et une Lamborghini stationnées au pied de l’immeuble.
Le premier dit :
« – J’aimerais être tout en or. Je prendrais mon petit doigt pour acheter la Ferrari en bas.
Moi », dit le deuxième, « j’aimerais être tout en argent, je prendrais mon pouce et j’achèterais la Lamborghini.
– Moi », dit le troisième, « j’aimerais être tout frisé…
– Tu es malade le poil, ça vaut rien !
– Ma sœur a juste un petit rond de poils tout frisés entre les jambes et la Ferrari et la Lamborghini lui appartiennent. »
 
Germain, dans sa cuisine, se prépare à faire des œufs à la coque pour le petit déjeuner.
Jean-Marc arrive.
Elle se retourne et dit :
« Fais-moi l’amour, là, tout de suite ! »
Les yeux de Jean-Marc s’illuminent.
Il l’embrasse, la caresse, et l’honore sur la table de cuisine.
Ensuite, elle lui dit « Merci ! » et retourne à ses œufs à la coque.
« – Tu peux m’expliquer ?
– Le minuteur pour les œufs à la coque est cassé. »
 
« – Maîtresse, maîtresse, est-ce qu’on peut punir une personne pour quelque chose qu’elle n’a pas faite ?
– Bien non. Certainement pas !
– Alors je n’ai pas fait mes devoirs… »
 
DÉFINITION
LONGÉVITÉ : Longue extension à la peur de mourir !
 
Un ingénieur, un physicien et un mathématicien assistent à une conférence aux États-Unis.
Ayant assez peu d’argent, ils descendent dans un hôtel miteux.
Dans leur chambre miteuse, se trouve un lit miteux et une télévision non moins miteuse.
C’est tellement miteux qu’il n’y a même pas d’extincteur pour les incendies.
À côté la baignoire (miteuse), il y a un sceau et les inscriptions suivantes :
« En cas d’incendie, prendre le sceau, le remplir à l’aide de l’eau de la baignoire et jeter l’eau sur le feu -la direction- »
Dans la nuit, le physicien se réveille, il y a plein de fumée dans sa chambre, son téléviseur est en feu.
Il se lève, remplit le sceau et jette toute l’eau sur le feu.
Résultat, il y a de l’eau partout, mais le feu est éteint, il peut retourner se coucher.
Même chose dans la chambre de l’ingénieur.
Son téléviseur flambe.
Il sort son calepin et son crayon, effectue quelques calculs, met la quantité d’eau nécessaire dans le sceau, puis jette l’eau sur le téléviseur.
Résultat, le feu est éteint et il n’y a pas d’eau sur le plancher.
Il retourne se coucher.
Même chose chez le mathématicien.
Il analyse la situation, il regarde le feu, puis il regarde le sceau à côté du bain.
Il se dit : « S’il existe une solution à ce problème. Je trouverai bien. »
Puis retourne se coucher.
 
Un employé de la voirie annonce à son contremaître qu’il a cassé son manche de pelle et il lui demande quoi faire.
« Je ne sais pas, je vais demander au chef de chantier ».
Il appelle le chef de chantier et ce dernier lui répond :
« Je ne sais quoi faire, je vais appeler l’architecte. »
Il appelle et l’architecte lui répond :
« Prenez une pause-café, je vais former un comité avec les clients ».
 
Le nouveau vicaire qui est à ses premières confessions dans une paroisse : Une jeune fille s’accuse d’avoir fait une fellation à son ami.
Le vicaire embêté se demande quelle pénitence donner dans ce cas, il demande à la jeune fille de patienter un instant, il sort du confessional et va voir le vieux curé et lui dit :
« – Combien donnez-vous à une fille pour une fellation ?
– Moi ? Je donne 20 € ! »
(Une vieille « revenue » qui varie dans le temps… quant au tarif !)
 
Solutions des contrepèteries de la semaine dernière :
 
« L’archéologue a fait céder l’anus de Vestale. »
« Ah le prix d’une copulation !… »
« La sodomie a stoppé net le prout. »
 
Celles proposées cette semaine à votre sagacité :
 
« Savez-vous que le haut de L’Écosse est plein de Suisses ? »
« La malheureuse s’est tordu l’humérus ! »
« De l’art d’empiler les culottes… »
 
Bon week-end déconfiné à toutes et à tous !
 
I3
 
PS : N’oubliez pas mon « gardien » et « sa bibliothèque »

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