La grande réinitialisation (2)…

Je persiste…
 
Comme les jours persistent également à raccourcir et que je suis furax d’être confiné la plupart du temps, j’en rajoute donc une couche (suite à mon post d’hier).
En fait, il ne faut rien exagérer : S’il n’y a pas de « plan », de grand complot visant à détruire votre « (in)confort habituel », il faut tout de même se questionner quant à savoir pour quelle raison nous sommes contraints de rester chez nous pour ne pas diffuser le « Conard-virus » qui tue les plus faibles d’entre-nous.
 
Oui, bien sûr, il y a la lecture « premier degré » : Pour sauver notre système hospitalier.
C’est fort drôle : Ils ont eu leur « Grenelle » et une pluie de milliards au premier semestre de l’année.
Et ils ne sont toujours pas près : Des nuls ?
Notez, ce n’est même pas la question, parce qu’il y a un degré « zéro » : Vous pouvez partir vous aérer les poumons en montagne cet hiver (restaurants fermés), mais vous serez privés de remonte-pente !
Et mieux, si tu vas jusque dans un pays dont les tire-fesses fonctionnent pour mieux de casser la gueule dans la poudreuse, tu seras sanctionné à ton retour.
J’adore la profonde débilité de nos « sachants »…
Et après, on va encore décaisser des milliards pour compenser les « professionnels » des loisirs alpestres…
Je te le dis : Ils sont devenus fous avec l’argent « pas à eux » !
 
En attendant, deux observations : Si les meks sont capables de « filtrer » efficacement les frontières, on se demande pour quelles raisons raisonnables ils ne parviennent pas à filtrer les migrations « illégales » ?
Et puis, moâ je vois les gens s’accumuler dans les magasins, mais pas devant les restaurants fermés, hors « ceux du cœur ». Parce que la misère gagne du terrain.
Et à vive allure…
On est finalement en pleine phase de rupture : Effectivement, le « monde d’après » aura une autre gueule que celui d’avant.
D’abord, il n’y aura plus de neige, c’est déjà marqué comme ça…
Ensuite, c’est comme ça aussi à chaque crise, chaque rupture, on n’est jamais préparé correctement.
Et on a beau s’y atteler, il faudra encore improviser.
 
Songez que, comme je vous le suggérais encore hier, ça marche à tous les coups.
En 14, mes aïeux partaient reconquérir l’Alsace & la Lorraine. Ce devait être une promenade de santé.
Ils sont rentrés cassés, abîmés, estropiés à vie 5 ans plus tard pour être cueillis à froid par la grippe Espagnole. Première rupture : Le pays a tenu le choc en mettant les femmes aux champs et à surtout l’usine.
Ils ne savaient pas qu’un siècle plus tard le statut social des femmes aura été complètement transformé…
Et c’est tant mieux.
 
Ils se sont ensuite pris, comme d’une conséquence « normale » la grande Crise financière, il y aura 90 ans cette année. Attention, si on compte ce genre d’événement en génération de 30 ans, nous en sommes à la troisième génération…
On va rentrer en plein dedans dans les moments à (sur)vivre.
Mais des « crises », on en a tellement connu depuis les années 1930, alors une de plus ou de moins, ce n’est pas bien grave…
 
La génération suivante aura connu l’occupation sous la botte du fascisme international (l’ordre noir) et une second guerre mondiale affreusement mortifère et destructrice.
Pour déboucher, un, sur la « migration-voulue » (on manquait de main-d’œuvre pour cause de « classes [d’âge] creuses », mais on n’avait pas prévu le « séparatisme » de la seconde génération…) et, deux, le délitement des ressources « coloniales » en plus de l’invraisemblable angoisse d’une « guerre totale » et nucléaire…
J’ai failli ne pas naître…
(Notez que je m’en serai probablement mieux porté, mais je n’ai même pas eu le choix).
 
Vous ne savez pas, vous les « d’jeuns » et autres « millénium », mais ils nous auront fait caguer avec la fin de l’humanité inéluctable, pétrifiée dans un « hiver nucléaire ».
Bé oui, si je me souviens bien, si toutes les munitions atomiques étaient tirées, il y avait de quoi rayer la planète plusieurs fois !
Et encore, ceux qui auraient résistés aux blasts générés devaient mourir des rayonnements diffus !
Qu’est-ce qu’ils ont pu nous faire frémir de peur avec leurs discours alarmistes à souhait…
(Que j’en suis vacciné à vie depuis…)
 
Ceux qui n’étaient pas encore irradiés et qu’on n’aurait pas pu soigner, de toute façon ils allaient crever de faim : Bé oui, à force d’envoyer des poussières radioactives qui auraient tué la vie animale et contaminé la flore jusqu’en haute atmosphère, ça aurait rendu le ciel tellement opaque à l’instar d’explosions volcaniques titanesques : Promis juré !
Plus de quoi se nourrir, plus d’activité, tout juste un peu de subsistance pour les pays de l’hémisphère Sud, épargnés par ledit conflit généralisé.
(Ils ont même réussi à faire interdire les essais nucléaires à Mururoa…)
 
Alors ils ont ensuite voulu nous faire peur avec la disparition de la couche d’ozone : On devait tous griller de rayonnement ultraviolet à haute densité et sans protection naturelle. Et ça a marché : On a interdit l’hexafluorure de je ne sais pas quoi…
Que donc dans la foulée, on passe illico presto au « global warning ». De l’hiver éternel à l’été perpétuel, avouez que le demi-tour n’est pas mal, non ?
Mais ça a aussi assez bien fonctionné, puisque la planète s’est décidée à changer de mode de vie (même si elle ne l’a pas encore fait).
Je vous ai affirmé hier qu’il s’agit tout simplement de réduire la population humaine en sacrifiant « écolologiquement » les populations « sous-développées ».
Ni plus ni moins. Tôt ou tard…
Et tous les moyens sont bons pour y parvenir puisque plus personne ne veut faire la guerre autrement que par drones et robots interposés…
C’est « scientifique », alors autant en profiter en toute bonne conscience grâce aux logiciels de la « Silicon Valley » : Il n’y aura qu’un minimum de dégâts humains dans nos troupes et encore, comme au Vietnam, ce sera uniquement ceux qui seront issus des classes les plus pôvres ou des « chiens enragés » formés aux « sirop de la rue » et aux vandalismes… désignés volontaires d’office !
 
Et puis on nous sort un « Conard-virus » de derrière les fagots de pangolins.
Ah m… (étron), celui-là n’était pas prévu !
Quoique…
Bill Gates, il l’avait dit et se préparait en douce à pucer tout le monde et vacciner la chair à canon du continent africain…
Moâ je note que notre « grand comploteur » en chef (j’ai nommé « D’Jack-@talus »), celui qui prédit l’avenir mieux que n’importe qui, n’avait rien prophétisé de la sorte (pas plus que Madame Irma et sa boule de cristal).
Planté le « grand-homme ».
 
Et là, grosse réaction simultanée, dans le sillage de Wuhan, on met en quarantaine non pas une région, mais des pays entiers.
Cassant au passage tous les plans économiques de « croissance » : C’est bon pour la planète, suppose-je.
Attention au motif officiel… pour éviter le crash du système hospitalier qui aura coûté tant et tant depuis trois-quarts de siècle et qui n’est toujours pas adapté.
Mais ça fonctionne : Tu fais peur, tu assumes avec du pognon sorti de nulle part (alors qu’ils ne lâchaient rien, même pas sur les retraites ou les minimas sociaux, les taxes sur le gasoil, etc. le quart-d’heure d’avant) et ils attendent sagement au bord de la méditerranée la seconde vague.
Tout en vous préparant à l’idée d’une troisième vague… on ne sait jamais !
Moâ j’adore ce scénario-là : Franchement, le monde d’avant accouche de celui d’après dans les grandes douleurs de la débilité des « sachants », au moins dans les esprits, qui évitent ainsi de se retrouver devant un tribunal (un risque patent depuis au moins l’affaire du sang contaminé)…
 
Parce que si « D’Jack-@talus » nous prédit direct que nous ne serons jamais débarrassés du « Conard-virus », il n’y a pas de hasard, mais une quasi-nécessité.
Juste pile-poil au momment de l’annonce d’un premier vaccin.
(Qui n’est d’ailleurs pas vraiment un vaccin, mais un OGM, que même les « écolologistes » frétillants les plus ardents, les mêmes qui nous cassaient les pieds et les burnes avec les tomates et maïs OGM, recommandent de s’inoculer volontairement, puisque ce n’est pas obligatoire).
Et comme on manque de recul et de cobayes, on va le déployer d’office chez nos « ultra-seniors » parqués en maison de retraite, puisque ce sont des « cibles privilégiées » de « comorbidité » depuis le début de la crise !
 
Un hasard ? On ne dit pas que le virus ne disparaîtra jamais si ce n’est pas pour pousser à une vaccination généralisée, n’est-ce pas ?
Ah oui, mais pas pour les femmes enceintes, ni celles, qui si elles ne le sont pas encore, ont un projet de conception (naturelle ou assistée)…
Ah tiens donc ?
Le vaccin-OGM ne serait-il pas aussi innocent que ça pour les générations à venir ?
Poser la question (même selon cette forme en prenant sciemment le terme « hasard » deux fois de suite) n’est naturellement pas une affirmation de l’existence d’un « complot » de ma part.
C’est juste une question.
 
D’autant qu’on ne sait pas comment le vacciné va réagir face au « vrai virus » : Là encore, on manque de recul, nous affirment tous les scientifiques.
Logique puisque normalement, il faut plusieurs années pour réunir les informations nécessaires pour valider un vaccin avec le moins de chance de se tromper.
(Un chercheur, me disait le grainetier, c’est seulement au bout de 10 ans qu’on sait s’il c’est un bon recrutement ou non. Trente pour le Nobéliser…).
Là, il aura suffi de quelques semaines pour passer commande de plusieurs centaines de millions de doses…
Payées par qui ? Et avec quoi ?
Vous connaissez la réponse : Avec de l’argent qui n’existe pas mais qu’on viendra, plus tard, vous racketter jusque sur votre lit de mort.
Vous êtes prévenus : C’est déjà un pied dans le « monde d’après ».
 
Et alors, on en vient à vous raconter que les services d’urgence sont débordés, que les lits de réanimation sont saturés (ou en voie de l’être) en oubliant sciemment que tous les ans, tous les ans, c’est la même antienne à pareille époque avec la grippe saisonnière.
Et pourtant, il y a des années à grippe, d’autres non… et les taux d’assurance-maladie d’Alsace-Moselle (et de son système mutualiste hérité de l’occupation) s’adaptent à la hausse ou à la baisse.
Pas ailleurs : Ils sont toujours à la hausse et quand ça ne suffit pas, « Roro-Card » vous aura inventé la CSG pour éviter le défaut de paiement… puis ses successeurs la CRDS et la CADES pour apurer les dettes accumulées…
Une bonne affaire … tant que c’est vous qui payez !
La persistance des ficelles du « monde d’avant » pour le « monde d’après » ?
 
Naturellement, vacciné ou non, on survivra à cette « crise sanitaire ». Le taux de mortalité n’est jamais qu’epsilon (ou presque) et tue à peine deux fois plus que la route (et la voiture) et à peine plus que la grippe « normale ».
Justement, justement, vous n’avez pas le droit de dépasser les 20 km de votre domicile, encore un temps… uniquement pour vos loisirs, bien sûr.
Le « monde d’après » est donc, à grands traits, un monde sans tourisme, sans loisirs (hors les grandes villes et la télé… le petit avantage « culturel » sur les campagnes. Mais c’est justement dans ces villes que les taux de contamination sont les plus forts : 27 % à « Paris-sur-la-Plage », 21 % en « Île-de-Gauloisie », 11 % sur la totalité du territoire national…), sans déplacement au long-cours.
Prendre l’avion, déjà que c’est devenu interdit pour les trajets de moins de 150 minutes en TGV, ça va devenir hérétique : Un désastre à venir pour toute la filière, du mek qui façonne le boulon de 12 de la porte du zinc au marchand de serpillière de la dame-pipi de l’aéroport…
Vous serez obligés de vous munir d’un « green-pass » attestant que vous avez été vaccinés si vous vous déplacez d’une région à une autre.
La « Corsica-Bella-Tchi-Tchi » voulait l’imposer cet été : Le CTC a été recadré mais désormais il est imposé par le préfet aux voyageurs venant de « Ritalie » (privée de réveillons) !
Avouez que…
 
Mais nos « sachants » ne veulent pas aller trop vite. D’abord, si tout le monde était vacciné, même sans savoir les effets désastereux que ça pourrait avoir en termes de « santé publique » (puisque les labos ne veulent pas assumer le risque, ni mêmes leurs compagnies d’assurances), ça voudrait dire que tout le monde peut circuler librement même pour aller au boulot : Plus besoin d’attestation tamponnée par l’employeur !
Le drame…
Ils ne contrôleraient plus personne, tiens donc !
Imaginez seulement qu’on veuille revivre « comme avant », dans les embouteillages, la pollution, des transports-publics bondés, la promiscuité de logements exigus, sans même pouvoir transformer nos bureaux devenus inutiles en logements sociaux, avec des équipements publics (ou seulement communs) surdimensionnés et sous-utilisés, on se retrouverait dans les mêmes travers de nos vies « post-modernes »…
Insoluble.
 
La catastrophe même. « Ils » auraient loupé l’occasion de cette « grande réinitialisation ».
Qui attend quoi de vous ?
Mais que vous renonciez à votre « (in)confort habituel » d’avant en vous dépossédant de votre petite part encore préservée de liberté individuelle.
Qui rentre en plein conflit et de plus en plus frontalement avec la « liberté publique » : On l’a encore vu avec les manifestations contre la loi « sécurité globale » ce dernier week-end.
 
Un vaste « complot » ?
Même pas, je viens de le dire : Une simple opportunité.
Et nous la surmonterons, une fois de plus, comme toutes les précédentes « ruptures » et autres « crises ».
Parce qu’ils ont déjà échoué et qu’ils ne le savent pas encore.