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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

mercredi 9 décembre 2020

Les plans « B »

Les choses se précisent.
 
Et sur plusieurs sujets d’actualité dans le « en même temps » cher à « Jupiter ».
 
– « BoJo » vaccine le couple royal contre le « Conard-virus » mais reste incapable, sauf retournement de situation de dernière minute, de sortir « en bon ordre » de son Brexit.
Or, plus le temps passe, plus la situation va devenir kafkaïenne : Ne vous en faites pas, c’était prévu dès l’origine !
Mettre le boxon dans son propre parti et la Chambre des Communes pour satisfaire son ambition de devenir le premier ministre du pays, c’était sa stratégie primitive.
Maintenant qu’il est au pied du mur, soit il devient un « grand premier ministre » à l’égal d’un Churchill, soit il finira au bout d’une potence… populaire.
 
Parce que la situation est ingérable : La Pound s’effondre, ses équipes se délitent, les milieux d’affaires ne sont toujours pas préparés à un « no deal » et en plus « Jupiter » lui aura fait expliquer que si un, ou des accords, n’est pas satisfaisant, la « Gauloisie-intrépide » ne ratifiera pas, usant de son droit de veto (comme celui de chacun des 27 membres de l’UE).
« Great UK again », ce n’est décidément pas gagné !
« First America » aura déjà pris un large coup derrière les oreilles, pas bien sûr que ça fonctionne aussi longtemps à London.
 
Ne vous en faites pas, il y a un plan « B » dans les cartons. Plusieurs même.
Premier choix : « Punir » les anglais et œuvrer dans un deuxième temps à la « désunion » du royaume de l’Union-Jack.
C’est « Poux-tine » qui va être ravi… mais je n’y crois pas trop à court terme.
L’Écosse est candidate pour tirer la première, l’Ulster pourrait suivre si Dublin était assez intelligente pour proposer un « rattachement » bénéfique pour la province du Nord de l’île (une idée « ricaine » qui mettra du temps à se mettre en place).
Deuxième choix : Une série d’accords avec l’UE sur des domaines très spécifiques (sécuritaire, sanitaire, échange de données, activité bancaire, etc. pour l’aviation civile, les accords de défense, Interpol, c’est déjà fait).
Laissant en suspend les droits de pêche (qui vont s’arranger à la marge, sils pêchent mais ne peuvent plus vendre, ils vont crever…), la politique économique (subventions, protection des marchés, droit de la concurrence, etc.) et la question des règlements des litiges à venir restant « en jachère ».
Ça va être fort drôle que de devoir demander un visa touristique (et sanitaire) pour aller visiter la Tour de Londres !
Troisième choix : « Last but not least », c’est le « wait and see », laisser pourrir la situation et attendre des élections au Royaume-Uni secoué par une crise économique et sociale qui va suivre.
 
– Le « confinement » en « Gauloisie-infectée » va probablement se prolonger.
« Les enfants, vous n’avez pas été assez sages ! Vous serez donc privés de… »
De dessert ? De Noël ?
Probablement pas, mais de réveillon de la Saint-Sylvestre, si !
De toute façon vous ne pouvez déjà pas dévaler les pistes skiables, donc à quoi bon ?
On va donc vers un durcissement du « couvre-feu » et un recul d’une semaine de la fin de la phase de confinement (qui ne dérange de toute façon pratiquement plus personne : On aura su s’y adapter.).
Et puis il vous faudra rentrer plus tôt à la maison : De toute façon il fait nuit à pas d’heure
 
Le « plan B », ça reste le vaccin.
Mais lequel, car il y en a environ 237 en préparation… et pour l’heure qu’une poignée de disponibles.
Et par sécurité, on va commencer par les « ultra-seniors » en maison de retraite, puisqu’on les a sous la main, ceux dont l’espérance de survie est la plus faible.
Les gamins en dernière intention et surtout pas les femmes qui mettront bas dans les mois à venir…
Une belle étude épidémiologique en perspective et in vivo.
 
Là, il faut entendre le Pr « Rat-Out » expliquer que si la vaccination est imposée (pour des raisons de sécurité sanitaire publique), ce sera la Révolution.
Il va être surpris, parce que les « Gauloisiens-authentiques » sont devenus des moutons et, tétanisés devant la menace du loup, feront comme les « chiens-bergers » leur diront de faire : On n’a pas glissé pour rien de la « démocrature » à un régime despotique, dernière marche vers la dictature, pour rien non plus !
Avec la technique « douce » de la « stratégie de la grenouille » plongée dans la marmite…
 
Mais il a raison : On ne fait pas la guerre à une pandémie en « disant aux gens de rester cloîtrés chez eux ».
On fait comme les Viêt-Cong, on va au contact, « maison par maison » et « même Hippocrate tentait de soigner ses malades », ne les abandonnait pas à eux-mêmes !
Et même le Président mexicain sait faire la nuance entre « recommandation » (du port du masque, du confinement, du vaccin, etc.) et « une obligation » sanctionnée administrativement…
Pas chez nos « sachants » à nous.
Et pour quel résultat ?
Bref, l’incapacité de « l’État-nounou » à prendre les bonnes décisions au bon moment en a pris un sacré coup derrière les (mêmes) oreilles et ce sera du « durable ».
Vous n’imaginez même pas les conséquences à suivre sur le « mental » des milleniums (et autres générations « Z ») !
 
– Sur le front de la « guerre » sanitaire, il y a justement la « baguette magique » du vaccin.
Plan A, c’était de soigner les malades (chloroquine dont on savait depuis 70 ans qu’elle ne tuait personne), « Rem-désir » qui se recyclait depuis son échec contre Ébola, et encore une autre molécule qui a presque l’effet d’un placebo, successivement autorisées puis interdites.
Les corticoïdes restent encore dans les pharmacopées des hôpitaux, mais on sait aussi (depuis au moins « Pompon-Pidoux ») que leur abus est néfaste pour la santé…
Bref, pas de « baguette magique »…
 
Plan B, le vaccin OGM !
Or, même si les chiffres d’efficacité et de sûreté sont confirmés, même si la campagne de vaccination débute, il reste néanmoins beaucoup d’inconnues autour de ces vaccins-là, c’est le moins qu’on puisse en dire.
L’immunologiste qui va chapeauter la stratégie vaccinale « Gauloisienne » a d’ailleurs rappelé jeudi 3 décembre un point essentiel : « Savoir si le vaccin protège contre l’infection (c’est une chose), mais aussi s’il protège contre la transmission » s’en est une autre.
Pour l’heure, on ne fait que des suppositions : Pas d’études scientifiques à se mettre sous la macula, juste des flyers commerciaux.
Et on en a acheté 200 millions de doses !
Terrible les effets d’un « marketing-appliqué » bien fait.
Personnellement je m’attendais plutôt à la réapparition des « enzymes-gloutons », qui « lavent plus blanc que le blanc »
(Clin d’œil à Coluche… et sa nouvelle couleur, « plus blanc que blanc » !)
Mais je ne suis pas chimiste…
 
Parce que le but ultime d’un vaccin consiste à éradiquer un virus ou une bactérie. Pourtant, certains ne font qu’empêcher la maladie de se développer, une fois le virus contracté.
Dans ces cas-là, une personne vaccinée peut tout de même attraper le virus et être contagieuse.
Le problème, rappelé par le « boss », est qu’« il faudra plusieurs mois » pour savoir si les candidats vaccins les plus avancés (Pfizer/Biontech, Moderna, AstraZeneca) sont bien capables de stopper la transmission.
Pas gagné…
 
Si les vaccins actuels ne servent qu’à empêcher la survenue de formes graves, il faudra peut-être imaginer d’autres procédés ciblant le système immunitaire de façon complètement différente, notamment des « vaccins muqueux », administrés par le nez.
Bé oui, ça existe même si dans notre imaginaire collectif, un vaccin, c’est une piqure dans le bras ou la fesse !
Si c’est la solution la plus courante, il existe des candidats vaccins qui pourraient s’administrer directement via les muqueuses de notre corps : Dans le nez, la bouche, le rectum, le vagin ou encore l’estomac.
Pour le nez, cela peut prendre la forme d’un simple spray nasal. Il en existe d’ailleurs un approuvé en Europe, aux Etats-Unis et dans plusieurs pays d’Asie pour la grippe.
 
Et si, comme c’est possible, les produits de Pfizer, Moderna ou encore AstraZeneca n’empêchent pas la transmission du coronavirus, il est possible que la vraie « baguette-magique » soit un vaccin par voie muqueuse qui réussisse cet exploit.
Pourquoi ? Parce qu’un virus nous touche en deux temps : D’abord la contamination via les muqueuses et, ensuite, l’invasion, c’est-à-dire le passage du virus plus à l’intérieur du corps, dans les poumons pour le « Conard-virus ».
Or, nos muqueuses disposent d’un système immunitaire à part entière : « On a une mémoire et des mécanismes immunitaires dans les muqueuses qui sont régulés et exprimés de façon indépendante des réponses immunitaires générées par voies systémiques (au global, notamment dans le sang) explique un directeur de recherche INSERM, immunologiste des muqueuses et spécialiste des vaccins.
 
Avec les vaccins classiques, on force le corps à développer ses défenses (anticorps et cellules T) au niveau global. À l’inverse, un vaccin déposé dans le nez, via un spray nasal par exemple, va stimuler le système immunitaire muqueux, bien différent. Et bien mieux outillé.
Dans le cadre du « Conard-virus », deux à trois catégories d’anticorps sont développés, dont les noms sont présents sur les tests sérologiques : IgG, IgM et IgA. « Les IgG du sang peuvent diffuser dans les poumons, mais par contre ne sont pas transportés efficacement dans les sécrétions au niveau des muqueuses ».
À l’inverse, les IgA le sont.
En clair, les IgG empêchent le coronavirus d’attaquer les poumons et de créer les symptômes connus (la pneumonie et ses dérivés).
(Moâ, je les stimule à coup de nicotine : 4 % de covidés parmi les fumeurs qui représentent 26 % de la population, ça fait réfléchir…)
 
Les IgA, elles, empêchent le coronavirus de pénétrer dans le corps humain via les muqueuses, ce qui reste une stratégie de vaccination impeccable.
Si les IgA sont bien présents dans le sang, « on ne sait pas dans quelle mesure et en quelle proportion ils diffusent dans la muqueuse. Le titre (la quantité dans le sang) des anticorps neutralisants n’est pas forcément le reflet de ce qui se passe dans la muqueuse respiratoire ».
Et on peut prendre comme exemple la vaccination contre la polio : Il existe un vaccin injectable qui protège de la maladie (poliomyélite paralytique), mais ne bloque pas ou peu l’excrétion du virus (qui pénètre dans l’organisme et se réplique dans les muqueuses digestives) dans les matières fécales et dans les secrétions pharyngées et donc la transmission.
À l’inverse, un vaccin oral a été mis au point et bloque la transmission.
Par contre, l’immunité systémique, celle dans le sang, est moins forte avec ce dernier vaccin et nécessite des rappels tous les ans ou deux ans.
Mais comme le poliovirus ne peut pas pénétrer l’organisme via les muqueuses intestinales une fois le vaccin muqueux administré, il a peu de chance de provoquer la maladie.
 
Naturellement, le mieux étant une combinaison des deux : « Si vous prenez des gens qui ont reçu au préalable une vaccination orale et que vous leur donnez ensuite le vaccin injectable, cela peut amplifier la réponse muqueuse tout en induisant aussi une réponse systémique ».
En d’autres termes, si votre système immunitaire muqueux a été exposé au virus et l’a donc « mémorisé », il est possible d’induire une réponse immunitaire muqueuse par un vaccin injectable.
« Par contre, si vous n’avez jamais été exposé au virus (c’est le cas de la très grande majorité des individus dans le cas du « Conard-virus », 89 % en « Gauloisie-confinée », justement et 63 % chez les « Parigots-sur-la-Seine »), votre système immunitaire muqueux est « naïf » et un vaccin injectable aura une efficacité limitée sinon très faible pour stimuler une réponse muqueuse et donc bloquer son entrée et sa réplication (infection) dans la muqueuse et son excrétion dans l’environnement (transmission) ».
Mais alors pourquoi n’entend-on pas plus parler des vaccins muqueux, peut-on se demander (honnêtement) ?
« L’immunologie est beaucoup plus compliquée au niveau des muqueuses qu’au niveau du sang » met en garde une spécialiste en virologie à l’Institut Cochin, qui travaille notamment sur un vaccin muqueux contre le VIH.
 
Cette complexité a de multiples raisons, mais peut être facilement imagée.
La quantité de sang dans le corps ne change pas. Il est donc facile d’analyser le niveau d’anticorps qui y est présent. Les muqueuses, elles, sont en contact avec l’extérieur et sécrètent des substances : « Si l’on veut, les anticorps dans le sang, ce sont les marches d’un escalator qui vous emmènent en haut, puis reviennent au point de départ. Les anticorps muqueux, ce sont plutôt les passagers de l’escalator ».
Le résultat, c’est qu’il est très difficile de comprendre en détail le lien entre immunité dans les muqueuses et dans le reste du corps.
 
Donc, en dehors de la polio, les autres vaccins muqueux ciblent quasiment tous le système digestif pour prévenir du choléra, de la fièvre typhoïde ou du rotavirus.
Il y a également un vaccin nasal qui empêche la transmission de la grippe qui est commercialisé aux États-Unis, en Grande-Bretagne et en Russie.
En « Gauloisie-affolée », comme la vaccination est réservée aux personnes vulnérables (et vise donc à empêcher la maladie, pas la transmission), il n’est pas utilisé.
D’autant que les vaccins muqueux ont quelques inconvénients également : Il ne faut pas utiliser certains adjuvants (il existe un risque que celui-ci atteigne le cerveau).
La réponse systémique (les anticorps capables d’empêcher le développement de la maladie dans les poumons) est souvent plus faible.
Mais tout cela reste surtout bien mystérieux.
« Pour induire une immunité plus stable, il faut combiner des vaccins par voie intramusculaire et par muqueuses ».
Mais alors pourquoi ne l’a-t-on pas fait ?
Personne n’a la réponse (ou le dernier qui savait est mort entre-temps avant qu’il ne donne l’explication).
Actuellement, selon l’état des lieux de l’OMS, sur les 52 vaccins en phase d’essais cliniques (plus ou moins avancés), on dénombre trois vaccins muqueux (deux chinois et un américain), ciblant une administration en spray nasal ou par admission orale.
Mais aucun résultat, même préliminaire, n’a encore été dévoilé sur ces tests humains.
 
Plusieurs laboratoires travaillent en effet sur des vaccins nasaux ou oraux, mais les recherches, parfois très prometteuses, ne sont pas encore entrées au stade des essais cliniques. Dans un article mis en ligne en juillet, des équipes de l’Institut Pasteur ont simplement fait état de résultats encourageants sur des souris.
Une vaccination classique par piqure n’a induit qu’une protection légère (division par 10 du nombre de particules virales dans le poumon). Les chercheurs ont ensuite testé une autre approche : Une injection classique, puis « l’instillation du vaccin par la voie intranasale », explique l’Institut Pasteur dans un communiqué. Résultat ?
La charge a cette fois été divisée par 100.000.
La « baguette magique » alors ?
 
Dans une autre étude de chercheurs américains publiée le 19 août dans la revue Cell, une dose intranasale « a induit des niveaux élevés d’anticorps neutralisant » et de lymphocytes T et a prévenu une infection au « Conard-virus », rappelle la Haute autorité de la santé (HAS) dans un rapport consacré à l’état de la recherche scientifique sur l’immunité face au coronavirus.
Des résultats encourageants qu’il faudra évidemment confirmer via des essais cliniques sur l’être humain.
La HAS précise par ailleurs, sur les vaccins par voie muqueuse, qu’ils pourraient « faciliter l’administration et améliorer l’acceptabilité vaccinale ».
Ce sera donc pour après la « troisième vague » qui va déferler après les fêtes : On vous y prépare déjà par voie de presse qui « fuite » non pas les remords de nos « sachants », mais leurs contrariétés futures…
 
De toute façon Eurodisney a déjà décidé que la fin de « la crise » aura lieu le samedi 13 février 2021 à 9 h 30 : Le parc rouvrira à ce moment-là.
Et on évitera la 7ème vague et c’est tant mieux : Tous les marins du monde vous diront que c’est la plus dangereuse !

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