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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

jeudi 16 juillet 2020

Hors sol !

Il va falloir qu’on s’y habitue…
 
Moâ, j’aime bien ce mek-là. Non pas pour ce qu’il est ou représente, ni même la façon dont il se prend pour « Jupiter » (sorti de la cuisse de lui-même), ni pour ce qu’il dit et ce qu’il décide (pour votre plus grand bonheur de vivre en « Gauloisie-paradisiaque »), mais parce qu’il est totalement hors-sol et ne raconte que des konneries !
Mais il fait ça avec un tel aplomb, une telle légèreté, comme d’une « douce évidence », qu’il en reste comique au plus haut degré sans même s’en rendre compte.
Ou alors, si c’est fait exprès, c’est dommage qu’ils ne soient pas si nombreux que ça à se rendre compte de son véritable talent, tellement il bluffe tout son monde.
Ce qui est dommage.
 
Pour tout vous avouer, ce 14 juillet 2020 m’a paru désolant : C’est probablement l’humeur de l’époque qui veut ça, mais tout de même.
Un défilé de valeureux militaires qui n’en était pas un, juste une « ronde » sur la place de la Concorde : Il n’y avait que les aéronefs qui ont réussi à « voler droit » !
Et encore, le dernier passage de la PAF se terminant par un « éclatement » n’était pas très droit, justement.
J’ai même cru qu’ils allaient se percuter : Je sais, c’était un effet d’optique, ils ne sont pas si kons que ça nos pilotes d’élite quand ils volent en formation…
Bref, au second degré, c’était une mascarade que même Eurodisney fait mieux dans ses décors de carton-pâte.
 
Dans le même genre, le feu d’artifice qui clôturait la soirée entre la Seine et la Tour Eiffel aura été particulièrement « médiocre » (pour ne pas dire nul) : J’ai vu souvent beaucoup mieux.
Parce ce que je l’ai vu de bout en bout : Un privilège offert à titre posthume par ma « Môman-à-moâ-même » et son beau balcon ouvert sur la « dame de fer ».
C’était le dernier : On va le vendre, ma « petite-sœur » et moâ. Trop cher pour nos maigres moyens.
Mais ils auraient pu faire un effort.
Eh bien même pas…
Beaucoup de couleurs, mais assez peu de « pétarades », moâ qui adore les bien grosses belles « bombes » qui te prennent aux tripes et t’en mettent plein les oreilles et les yeux, je me consolerai avec celui prévu à Calvi-Balagne ce 15 août.
Ils n’ont pas la Tour Eiffel, qui pleurait, mais les remparts de l’étonnante citadelle à mettre en valeur.
Et ils savent y faire…
Alors, si la sono fonctionne cette année, c’est toute la baie qui en résonnera de milles échos… comme tous les ans.
 
En revanche, je n’ai pas vu « Jupiter » faire son cabot dans la « petite-lucarne » : Aucun intérêt puisqu’auparavant, sous l’obélisque de Louxor, il n’a su que bafouiller quelques « mercis » au général qui commandait la troupe sur la place de la Concorde.
Que l’autre ne savait plus quoi dire et que ça a duré une bonne minute montre en main.
D’abord, quand tu es le patron (constitutionnel) des armées du ne dit pas « mon général » même à un quatre étoiles. C’est toi le boss, tu dis « Général » tout court.
Si tu étais un simple trouffion, encore, ça se comprendrait de dire « mon général » (c’est même fortement recommandé, voire imposé, par le code militaire qui a valeur de loi entre « militareux »), mais justement, Président, ce n’est pas un simple trouffion (ou alors il s’est passé quelque chose qui m’aura échappée), surtout quand il se prend pour « Jupiter »…
Donc, j’ai zappé l’épisode suivant, d’autant que je ne supporte pas « Les-a-sale-Aimée » et l’autre qui est tellement insipide que je n’arrive toujours pas à me remémorer son nom.
En revanche, on en a eu plein les colonnes de la presse dès le lendemain : J’étais sûr de ne rien louper…
Quoique…
 
Si j’ai bien compris, « Jupiter » serait revenu sur son début de mandat et sur la crise du « Conard-virus » pour mieux tracer le chemin de la fin de son quinquennat.
Chemin de combat, vous rappelle-je, en vue de sa réélection triomphale !
Déjà que dire de ses trois années passées à l’Élysée ?
Pas grand-chose, finalement.
« Jupiter » aura été « politique » : On ne peut pas dire qu’il aura déçu ses électeurs sur ce plan-là. Il a réussi à marginaliser les extrêmes de l’échiquier politique, il aura phagocyté les « centres-mous », il aura étêté sa droâte et décapité sa « gôche-soce ».
Il lui reste à avaler les « écololos-bobos » et pour le reste, il aura perdu toutes les élections intermédiaires.
Et ce n’est pas fini !
En revanche, question « promesses électorales », disons qu’il ne fait pas mieux que la plupart de ses prédécesseurs, mais ça ne se voit pas puisqu’ils sont tous devenus aphones…
 
Il n’empêche, pour la première fois depuis le début de son mandat, il s’est prêté à la « traditionnelle » interview du 14-Juillet alors qu’il en avait fait un signe de « rupture » de son monde-nouveau personnel.
Mais c’est parce que « ce 14 Juillet est un peu particulier », ce « qui justifie cet échange ».
Là, déjà, on se marre : Il s’agit d’un « monologue » déguisé en dialogue-unilatéral…
Un peu comme sa tournée des popotes de « sortie de crise » des « Gilets-jaunes ».
Si ça avait été un échange, il nous aurait refait le coup de l’interview depuis les bâtiments du Trocadéro avec deux journalistes un peu plus mordants…
D’autant qu’il ne s’était pas trop mal débrouillé face à ses deux trublions-là…
 
Naturellement, ça aura été l’occasion d’aborder de très nombreux sujets : Le remaniement, le « nouveau chemin » politique du gouvernement, l’épidémie de « Conard-virus », le futur et énième plan de relance de l’économie, etc.
Revenant sur le remaniement et le remplacement de « Kungfu-Panda », qui s’est épuisé à lui tracer la route vaille que vaille, par « Casse-tête », « Jupiter » en aura dit être « radicalement en désaccord » avec l’idée que le nouveau gouvernement soit « de droite. Je crois au dépassement politique » a-t-il martelé, en faisant valoir qu’il y a dans le gouvernement des personnalités issues « de ce qui était la droite de notre champ politique (…) comme de la gauche, et à peu près autant d’un côté que de l’autre », bref que des traîtres sans échine ni colonne vertébrale.
Hors-sol : Où a-t-il vu ça ?
Encore s’il vous avait expliqué qu’il te vous faisait un gouvernement « d’union-nationale » (c’est très Gaulliste et dans l’air du temps de l’époque…) avec pour « patron » un « techno-ectoplasme » histoire que personne ne lui fasse d’ombre, on aurait pu comprendre.
Mais même pas…
 
Il n’empêche, il a prétendu respecter « l’émoi et la colère » des féministes après l’arrivée au ministère de l’Intérieur de « Gégé-Dard-à-la-main », en raison des accusations de viol qui le visent.
Je ne vois pas le problème : Il n’était pas déjà « sinistre des comptes-publics », celui-là, avec la même plainte aux fesses ?
Les a-t-on entendues fulminer, les fameuses « féministes » ?
Là où « Jupiter » devient « hors-sol », c’est qu’il s’est contenté de défendre cette nomination au nom de la présomption d’innocence dont il s’estime le « garant ».
Non mais, lui, garant de quoi que ce soit, laissez-moi rire…
« Si, à partir du moment où quelqu’un est accusé, mais pas jugé, il devient en quelque sorte la victime d’un jugement de rue, ou de réseaux sociaux, parce qu’il y a une émotion – et je peux comprendre cette émotion parce que je partage – alors (…) notre démocratie change de nature, elle devient une démocratie d’opinion ».
Hein, elle n’est pas mal celle-là… et dans la même phrase (d’après ce que j’en ai compris…) !
Parce que…
 
Un, c’est quoi une démocratie sinon la synthèse, plus ou moins bien faite, des « opinions » dominantes ?
Si je me rappelle bien, « l’opinion » ne voulait plus de « Bling-bling » qui te nous aura fait caguer au moins autant que « Tonton-Yoyo », tous les soirs au JT pendant cinq ans tous les deux, quelques temps avant, et on a eu « Tagada-à-la-fraise-des-bois ». Mais ça aurait pu être n’importe qui, même un canasson boiteux…
De celui-là, personne ne souhaitait qu’il se représente et le choix aura été de sacrer « Marinella-tchi-tchi » ou de prendre le premier bambin venu (même s’il a mal assumé son complexe d’Œdipe…).
 
Deux, s’il partageait vraiment « l’émotion », il l’aurait également fait avec « Gris-veaux » désigné volontaire pour devenir le futur Maire de la Kapitale, sauf que lui aussi ne sait pas tenir sa bite dans son slip…
Et d’ailleurs, il n’a pas été long à s’en remettre, queue-basse, à la sagesse de sa bonne-femme officiellement cocufiée qui l’aura (provisoirement ?) récupéré.
Franchement, je ne sais pas quel pacte ces deux-là auront passé, mais ça ne sent pas vraiment l’odeur d’un « long fleuve tranquille ».
 
Et puis trois, je pense que les féministes (si ça existe encore), elles auront fort à faire avec « Moriarty ». Non pas qu’il soit particulièrement misogyne (enfin j’imagine), mais je ne l’ai pas beaucoup vu défendre de femmes-battues…
Pourtant, un avocat de son calibre, ça prend tout ce qui passe. Un peu comme Vergès, mais celui-ci était nettement plus « politique », de la catégorie des « Bad-Inter-marché ».
Notez que d’un autre côté, comme il perd à peu-près tous les procès qu’il défend, c’est peut-être une bonne chose pour celles-là…
Mais je n’en saurai pas plus, pour l’heure, sur les ressorts de cette nomination-là qui va nous faire follement rigoler durant quelques mois…
 
Quatre, pire encore, « Dard-à-la-main » est antipathique au possible : Et dommage pour lui, il le porte sur sa tronche ! Il parle vite pour qu’on n’ait pas le temps de tout comprendre, un peu comme « Roro-Card » qui ne mettait jamais ni point ni virgule dans ses discours, mais lui avait le talent et la voix pour ça.
En plus il savait sourire et même rire de lui-même.
« Gégé » fait « nabot » du neurone à côté. Résidu de bidet.
Alors le poser au poste si difficile et si sensible, parce que c’est là, sur son bureau, qu’aboutissent tous les matins que fait le Bon-Dieu, tous « les cancans de la ville », c’est un signe de confiance qui se mérite de façon notoire et ostentatoire, ce qui est loin d’être le cas pour un âne qui recule.
Le moins qu’on puisse dire, c’est que ce « sinistre-là », il n’inspire vraiment pas la confiance.
C’est un peu comme mon « papa-à-moâ » (celui qui me fait encore frémir par son absence quand je l’évoque après tant d’années…) qui n’aurait jamais pris Georges-Marchais en stop : Moâ, idem avec « Dard-à-la-main », même s’il pleuvait des trombes !
Je préfère « Nu-Nez », son colocataire place Beauvau : Lui au moins, il a la gueule de l’emploi et on sait tout de suite à quoi s’attendre !
 
Évidemment, il a été question du « Conard-virus » (pour changer de sujet).
Et là, franchement, question « hors-sol », « Jupiter » aura battu un record : Il n’est plus stratosphérique, mais bien en orbite solaire… Ou lunaire, je ne sais pas.
« Nous serons prêts » en cas de survenue d’une éventuelle deuxième vague, a-t-il assuré. « Nous avons à la fois les stocks et les approvisionnements qui sont sécurisés et nous avons l’organisation au plus près du terrain, qui permettrait de faire face à une recrudescence, si elle était là ».
Et alors, pas à l’occasion de la première vague ?
Bizarre tout de même : On nous avait assuré du contraire il y a encore peu…
 
En revanche, d’éventuels nouveaux confinements se feraient au niveau local, si ça devenait impératif, la consigne serait « d’isoler le plus localement possible et donc le plus vite possible ».
Punaise de gourgandine !
« Ils » ne pouvaient pas y penser avant ?
Ils l’ont bien fait en « « Ritalie », en « Teutonnie » et encore ailleurs, mais pas chez nous !
Hors sol…
 
Et mieux encore : Il souhaite désormais que le port du masque soit « obligatoire dans tous les lieux publics clos » à partir du 1er août.
Mais enfin, lit-il la presse de temps en temps ce « guignol » ?
N’était-ce pas son gouvernement, à qui il avait imposé sa « communicante-personnelle » (« Si-bête-la-Diarrhée ») qui nous avait expliqué durant des semaines et des semaines que le masque, ça ne servait à rien, que c’était même contre-indiqué (notamment pour les asthmatiques et les personnes déjà « fragilisées »), que de toute façon personne ne savait l’utiliser…
Si je me souviens bien, ils étaient même interdits à la vente !
Rappelez-vous de ce pharmacien installé en face de l’hôpital de longs-séjours de Corentin-Celton à « Issy-les-Moules », lâchement dénoncé qui s’était vu « rafler » ses stocks et interdit d’exercer sa profession alors que les toubibs de quartier cherchaient des masques pour eux-mêmes ?
De là où il orbite, on ne doit pas pouvoir lire les manchettes, même avec de puissantes jumelles !
Hors-sol…
 
Évidemment, vu le crédit qu’on peut investir dans la parole « Jupitérienne », quand il te vous raconte qu’il y a « des signes » que l’épidémie « repart un peu », on ne manque pas de s’esclaffer de rire.
Pour les masques : « On le fait dans les transports, ça marche très bien (lui qui les prend si souvent), mais cest un peu erratique dans les lieux publics clos (…) ça veut dire qu’il faut que les choses s’organisent », aura-t-il indiqué.
« Nous sommes sortis du premier pic (…) tout le pays s’est mobilisé et nous avons des résultats, puisqu’on a réussi à endiguer le virus et à retrouver une vie presque normale » : Il rigolait, là… Une vie « normale », il ne sait pas ce que c’est, c’est manifeste !
« Aujourd’hui nous avons des inquiétudes », te vous avertissant « qu’il y a des indices (que) ça réaccélère, nous avons des signes que ça repart quand même un peu ».
Ça repart ? Ça s’accélère ? C’est un peu ou si peu ? Des « indices » ou juste une « opinion » ?
Comme on sait qu’au premier coup, il n’avait rien vu venir en plusieurs mois d’affilée, on a quand même du souci à se faire et je préfère en rire !
 
Dans la même veine, il te vous aura assuré que la rentrée des 12 millions d’élèves en septembre sera « quasi normale ». Mais « évidemment s’il y avait une accélération (du virus) pendant le mois d’août, on sera amené à revoir cette rentrée. (…) Si on fait bien les choses nous aurons une rentrée des classes un peu différente, encore plus exigeante ».
Traduisez, comme vous êtes des nuls, ça va être sportif !
« Le ministre prépare une rentrée où les enseignants seront bien protégés » (là où personne ne vous a rappelé qu’on a dû fermer des ékoles entières, mais pas dans le privé : Ça rapporte trop de pognon…).
Le « défi de l’été » serait d’« aller chercher (…) ceux qu’on appelle parfois les décrocheurs », même s’il n’aime pas tellement ce terme : « Je préfère les accrocheurs, parce qu’on aura besoin de leur vitalité, de leur force, et on devra les aider ». Là, on va être gâté par ces « élites-là », y’a pas à dire…
C’est bien ça : Hors sol !
Confondre les accrocheurs, futurs « premiers de cordée » et les décrocheurs, derniers perdus dans la fange des « banlieues » ou des campagnes, là franchement, il avait bu ou fumé un truc « pas légal »… 
 
Et puis comme feu « Dévide-gens », « Chrichri-la-Garde-meurt-mais-ne-se-rend-pas » et quelques autres, il te vous aura causé de « plan de relance » de l’économie qui représentera « au moins 100 milliards d’euros », en plus des 460 milliards déjà engagés en mesures sectorielles depuis le début de l’épidémie.
On est loin des 28 milliards du « sinistre délégué à la relance » de « Bling-bling ».
Celui-là, avec 28 et un effet multiplicateur keynésien de 3, il en faisait comme pour 100.
Là, avec 560, on doit pouvoir espérer une croissance de 50 % du PIB d’ici la fin du mandat !
Aucun n’aura compris, depuis « Keynes-soi-même », et pas plus « Jupiter », que « l’effet de levier » est en réalité négatif et pas qu’un peu.
Au mieux, ça va toujours dans la poche des mêmes… qui n’en demandent pas tant !
Et qui ne sont pas forcément « Gauloisiens-de-premier-rang » en plus…
« (…) relance industrielle, écologique, locale, culturelle et éducative. Je suis convaincu qu’on peut bâtir un pays différent d’ici à dix ans » : Traduisez, il est persuadé d’y être encore à ce moment-là !
Hors sol, vous dis-je…
 
Et puis alors, grosse rigolade (irrépressible) de ma part quand il annonce que le gouvernement va mettre en place un « dispositif exceptionnel d’exonération des charges pour les jeunes », destiné en particulier à favoriser l’embauche de salariés à « faibles qualifications, jusqu’à 1,6 Smic » et d’annoncer la création de 300.000 nouveaux contrats d’insertion à destination des jeunes « éloignés de l’emploi et le développement du service civique. »
Là, franchement, c’est du comique de répétition hilarant !
Depuis « Mythe-errant », en passant par le CPE, ils ont toujours fait ça avec des résultats toujours aussi inexistants.
Ah si tout de même : Si ça n’existait pas, Uber & consorts n’existeraient pas non plus à faire pédaler les « d’jeuns » quelle que soit la météo !
Finalement, il n’y a que moâ qui n’aurais jamais bénéficié de quoique ce soit : Soit ça n’existait pas et il fallait que je pointe physiquement tous les mois, soit j’étais trop bien payé, soit je n’étais pas assez jeune, soit je n’étais pas assez vieux…
 
L’autre moment de gloire absolue, c’est quand « Jupiter » aura exclu d’augmenter les impôts pour faire face à l’explosion des dépenses publiques : « Il y a une trajectoire fiscale qui a été décidée, votée par la représentation nationale, c’est celle qui sera tenue ». C’est bien, mais qui l’a décidée et dans quelles circonstances ?
Il n’a pas encore vu que les choses ont « sensiblement bougé » entre-temps.
Hors sol…
Et d’affirmer qu’« on ne résout pas une crise comme celle-ci en augmentant les impôts ».
C’est certain, mais s’il n’en invente pas, s’il ne les augmente pas, en revanche ils les rallonge dans le temps ou suspend les baisses « votées ».
C’est probablement pour que ses successeurs soient pris à la gorge de façon définitive…
 
Enfin deux sujets « connexes » : « La réforme des retraites ne peut pas se faire comme elle était emmanchée avant la crise du Covid. Nous ne ferons pas l’économie d’une réforme de notre système de retraites ».
Les « syndicaleux », à vos banderoles et cortèges, vous êtes prévenus !
Sauf que peut-être, on va te vous refaire le coup de la « deuxième vague » et reconfiner les grandes métropoles pour les interdire d’être « en marche »…
Je me marre déjà !
En revanche, on aura le droit l’aller voter entre-deux : Il veut, lui aussi (toujours et encore) modifier notre Constitution pour inscrire « le plus vite possible » la lutte contre le réchauffement climatique dans le texte !
Comme si ça avait un impact tellement important, que quand la planète se refroidira faute d’habitants en nombre suffisant comme nous le propose une récente étude financée par la fondation Gates, il faille une réforme si formaliste, d’urgence impérieuse…
Mais « il faut d’abord qu’il y ait un vote par l’Assemblée puis le Sénat dans des termes conformes (…). À ce moment-là, il peut y avoir ou un congrès ou un référendum ».
 
Quel emmerdement ces procédures quand il y a urgence : Il va lui falloir balayer tout ça et gouverner par ordonnances !
Après tout, c’est déjà le cas au moins jusqu’au 10 octobre prochain.
« Ah que », si on n’est pas sage dans les « lieux clos », c’est un état d’urgence sanitaire qui se prolongera bien jusqu’à Noël !
Décidément du pain béni cette pandémie de « Conard-virus »…
Et si ça ne suffisait pas, on peut compter sur la science qui te vous prépare la grippe du cochon et pourquoi pas une bonne petite-peste Kazakh…
C’est vous dire si j’ai pu en rire… et dès le lendemain !
Comme les bons moments, je les partage, c’est fait avec ce petit-post sans prétention…

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