Il va falloir qu’on s’y habitue…
Moâ, j’aime bien ce mek-là. Non pas pour ce qu’il est
ou représente, ni même la façon dont il se prend pour « Jupiter » (sorti
de la cuisse de lui-même), ni pour ce qu’il dit et ce qu’il décide (pour votre
plus grand bonheur de vivre en « Gauloisie-paradisiaque »), mais
parce qu’il est totalement hors-sol et ne raconte que des konneries !
Mais il fait ça avec un tel aplomb, une telle légèreté,
comme d’une « douce évidence », qu’il en reste comique au plus haut degré
sans même s’en rendre compte.
Ou alors, si c’est fait exprès, c’est dommage qu’ils
ne soient pas si nombreux que ça à se rendre compte de son véritable talent,
tellement il bluffe tout son monde.
Ce qui est dommage.
Pour tout vous avouer, ce 14 juillet 2020 m’a paru
désolant : C’est probablement l’humeur de l’époque qui veut ça, mais tout
de même.
Un défilé de valeureux militaires qui n’en était pas
un, juste une « ronde » sur la place de la Concorde : Il n’y
avait que les aéronefs qui ont réussi à « voler droit » !
Et encore, le dernier passage de la PAF se terminant
par un « éclatement » n’était pas très droit, justement.
J’ai même cru qu’ils allaient se percuter : Je
sais, c’était un effet d’optique, ils ne sont pas si kons que ça nos pilotes d’élite
quand ils volent en formation…
Bref, au second degré, c’était une mascarade que même
Eurodisney fait mieux dans ses décors de carton-pâte.
Dans le même genre, le feu d’artifice qui clôturait la
soirée entre la Seine et la Tour Eiffel aura été particulièrement « médiocre »
(pour ne pas dire nul) : J’ai vu souvent beaucoup mieux.
Parce ce que je l’ai vu de bout en bout : Un
privilège offert à titre posthume par ma « Môman-à-moâ-même » et son
beau balcon ouvert sur la « dame de fer ».
C’était le dernier : On va le vendre, ma « petite-sœur »
et moâ. Trop cher pour nos maigres moyens.
Mais ils auraient pu faire un effort.
Eh bien même pas…
Beaucoup de couleurs, mais assez peu de « pétarades »,
moâ qui adore les bien grosses belles « bombes » qui te prennent aux
tripes et t’en mettent plein les oreilles et les yeux, je me consolerai avec
celui prévu à Calvi-Balagne ce 15 août.
Ils n’ont pas la Tour Eiffel, qui pleurait, mais les
remparts de l’étonnante citadelle à mettre en valeur.
Et ils savent y faire…
Alors, si la sono fonctionne cette année, c’est toute
la baie qui en résonnera de milles échos… comme tous les ans.
En revanche, je n’ai pas vu « Jupiter »
faire son cabot dans la « petite-lucarne » : Aucun intérêt
puisqu’auparavant, sous l’obélisque de Louxor, il n’a su que bafouiller
quelques « mercis » au général qui commandait la troupe sur la place
de la Concorde.
Que l’autre ne savait plus quoi dire et que ça a duré
une bonne minute montre en main.
D’abord, quand tu es le patron (constitutionnel) des
armées du ne dit pas « mon général » même à un quatre étoiles. C’est toi
le boss, tu dis « Général » tout court.
Si tu étais un simple trouffion, encore, ça se
comprendrait de dire « mon général » (c’est même fortement
recommandé, voire imposé, par le code militaire qui a valeur de loi entre « militareux »),
mais justement, Président, ce n’est pas un simple trouffion (ou alors il s’est
passé quelque chose qui m’aura échappée), surtout quand il se prend pour « Jupiter »…
Donc, j’ai zappé l’épisode suivant, d’autant que je ne
supporte pas « Les-a-sale-Aimée » et l’autre qui est tellement
insipide que je n’arrive toujours pas à me remémorer son nom.
En revanche, on en a eu plein les colonnes de la
presse dès le lendemain : J’étais sûr de ne rien louper…
Quoique…
Si j’ai bien compris, « Jupiter » serait
revenu sur son début de mandat et sur la crise du « Conard-virus »
pour mieux tracer le chemin de la fin de son quinquennat.
Chemin de combat, vous rappelle-je, en vue de sa
réélection triomphale !
Déjà que dire de ses trois années passées à l’Élysée ?
Pas grand-chose, finalement.
« Jupiter » aura été « politique » :
On ne peut pas dire qu’il aura déçu ses électeurs sur ce plan-là. Il a réussi à
marginaliser les extrêmes de l’échiquier politique, il aura phagocyté les « centres-mous »,
il aura étêté sa droâte et décapité sa « gôche-soce ».
Il lui reste à avaler les « écololos-bobos »
et pour le reste, il aura perdu toutes les élections intermédiaires.
Et ce n’est pas fini !
En revanche, question « promesses électorales »,
disons qu’il ne fait pas mieux que la plupart de ses prédécesseurs, mais ça ne
se voit pas puisqu’ils sont tous devenus aphones…
Il n’empêche, pour la première fois depuis le début de
son mandat, il s’est prêté à la « traditionnelle » interview du
14-Juillet alors qu’il en avait fait un signe de « rupture » de son monde-nouveau
personnel.
Mais c’est parce que « ce 14 Juillet est un
peu particulier », ce « qui justifie cet échange ».
Là, déjà, on se marre : Il s’agit d’un « monologue »
déguisé en dialogue-unilatéral…
Un peu comme sa tournée des popotes de « sortie
de crise » des « Gilets-jaunes ».
Si ça avait été un échange, il nous aurait refait le
coup de l’interview depuis les bâtiments du Trocadéro avec deux journalistes un
peu plus mordants…
D’autant qu’il ne s’était pas trop mal débrouillé face
à ses deux trublions-là…
Naturellement, ça aura été l’occasion d’aborder de
très nombreux sujets : Le remaniement, le « nouveau chemin » politique
du gouvernement, l’épidémie de « Conard-virus », le futur et énième plan
de relance de l’économie, etc.
Revenant sur le remaniement et le remplacement de « Kungfu-Panda »,
qui s’est épuisé à lui tracer la route vaille que vaille, par « Casse-tête »,
« Jupiter » en aura dit être « radicalement en désaccord »
avec l’idée que le nouveau gouvernement soit « de droite. Je
crois au dépassement politique » a-t-il martelé, en faisant valoir qu’il
y a dans le gouvernement des personnalités issues « de ce qui était la
droite de notre champ politique (…) comme de la gauche, et à peu près
autant d’un côté que de l’autre », bref que des traîtres sans échine
ni colonne vertébrale.
Hors-sol : Où a-t-il vu ça ?
Encore s’il vous avait expliqué qu’il te vous faisait
un gouvernement « d’union-nationale » (c’est très Gaulliste et dans l’air
du temps de l’époque…) avec pour « patron » un « techno-ectoplasme »
histoire que personne ne lui fasse d’ombre, on aurait pu comprendre.
Mais même pas…
Il n’empêche, il a prétendu respecter « l’émoi
et la colère » des féministes après l’arrivée au ministère de l’Intérieur
de « Gégé-Dard-à-la-main », en raison des accusations de viol qui le
visent.
Je ne vois pas le problème : Il n’était pas déjà « sinistre
des comptes-publics », celui-là, avec la même plainte aux fesses ?
Les a-t-on entendues fulminer, les fameuses « féministes » ?
Là où « Jupiter » devient « hors-sol »,
c’est qu’il s’est contenté de défendre cette nomination au nom de la présomption
d’innocence dont il s’estime le « garant ».
Non mais, lui, garant de quoi que ce soit, laissez-moi
rire…
« Si, à partir du moment où quelqu’un est
accusé, mais pas jugé, il devient en quelque sorte la victime d’un jugement de
rue, ou de réseaux sociaux, parce qu’il y a une émotion – et je peux comprendre
cette émotion parce que je partage – alors (…) notre démocratie change
de nature, elle devient une démocratie d’opinion ».
Hein, elle n’est pas mal celle-là… et dans la même
phrase (d’après ce que j’en ai compris…) !
Parce que…
Un, c’est quoi une démocratie sinon la synthèse, plus
ou moins bien faite, des « opinions » dominantes ?
Si je me rappelle bien, « l’opinion » ne voulait
plus de « Bling-bling » qui te nous aura fait caguer au moins autant que
« Tonton-Yoyo », tous les soirs au JT pendant cinq ans tous les deux,
quelques temps avant, et on a eu « Tagada-à-la-fraise-des-bois ».
Mais ça aurait pu être n’importe qui, même un canasson boiteux…
De celui-là, personne ne souhaitait qu’il se représente
et le choix aura été de sacrer « Marinella-tchi-tchi » ou de prendre le
premier bambin venu (même s’il a mal assumé son complexe d’Œdipe…).
Deux, s’il partageait vraiment « l’émotion »,
il l’aurait également fait avec « Gris-veaux » désigné volontaire
pour devenir le futur Maire de la Kapitale, sauf que lui aussi ne sait pas
tenir sa bite dans son slip…
Et d’ailleurs, il n’a pas été long à s’en remettre,
queue-basse, à la sagesse de sa bonne-femme officiellement cocufiée qui l’aura
(provisoirement ?) récupéré.
Franchement, je ne sais pas quel pacte ces deux-là
auront passé, mais ça ne sent pas vraiment l’odeur d’un « long fleuve tranquille ».
Et puis trois, je pense que les féministes (si ça
existe encore), elles auront fort à faire avec « Moriarty ». Non pas
qu’il soit particulièrement misogyne (enfin j’imagine), mais je ne l’ai pas
beaucoup vu défendre de femmes-battues…
Pourtant, un avocat de son calibre, ça prend tout ce
qui passe. Un peu comme Vergès, mais celui-ci était nettement plus « politique »,
de la catégorie des « Bad-Inter-marché ».
Notez que d’un autre côté, comme il perd à peu-près
tous les procès qu’il défend, c’est peut-être une bonne chose pour celles-là…
Mais je n’en saurai pas plus, pour l’heure, sur les
ressorts de cette nomination-là qui va nous faire follement rigoler durant
quelques mois…
Quatre, pire encore, « Dard-à-la-main » est
antipathique au possible : Et dommage pour lui, il le porte sur sa tronche !
Il parle vite pour qu’on n’ait pas le temps de tout comprendre, un peu comme « Roro-Card »
qui ne mettait jamais ni point ni virgule dans ses discours, mais lui avait le
talent et la voix pour ça.
En plus il savait sourire et même rire de lui-même.
« Gégé » fait « nabot » du neurone
à côté. Résidu de bidet.
Alors le poser au poste si difficile et si sensible,
parce que c’est là, sur son bureau, qu’aboutissent tous les matins que fait le
Bon-Dieu, tous « les cancans de la ville », c’est un signe de
confiance qui se mérite de façon notoire et ostentatoire, ce qui est loin d’être
le cas pour un âne qui recule.
Le moins qu’on puisse dire, c’est que ce « sinistre-là »,
il n’inspire vraiment pas la confiance.
C’est un peu comme mon « papa-à-moâ » (celui
qui me fait encore frémir par son absence quand je l’évoque après tant d’années…)
qui n’aurait jamais pris Georges-Marchais en stop : Moâ, idem avec « Dard-à-la-main »,
même s’il pleuvait des trombes !
Je préfère « Nu-Nez », son colocataire place
Beauvau : Lui au moins, il a la gueule de l’emploi et on sait tout de
suite à quoi s’attendre !
Évidemment, il a été question du « Conard-virus »
(pour changer de sujet).
Et là, franchement, question « hors-sol », « Jupiter »
aura battu un record : Il n’est plus stratosphérique, mais bien en orbite
solaire… Ou lunaire, je ne sais pas.
« Nous serons prêts » en cas de
survenue d’une éventuelle deuxième vague, a-t-il assuré. « Nous avons à
la fois les stocks et les approvisionnements qui sont sécurisés et nous avons l’organisation
au plus près du terrain, qui permettrait de faire face à une recrudescence, si
elle était là ».
Et alors, pas à l’occasion de la première vague ?
Bizarre tout de même : On nous avait assuré du
contraire il y a encore peu…
En revanche, d’éventuels nouveaux confinements se
feraient au niveau local, si ça devenait impératif, la consigne serait « d’isoler
le plus localement possible et donc le plus vite possible ».
Punaise de gourgandine !
« Ils » ne pouvaient pas y penser avant ?
Ils l’ont bien fait en « « Ritalie »,
en « Teutonnie » et encore ailleurs, mais pas chez nous !
Hors sol…
Et mieux encore : Il souhaite désormais que le
port du masque soit « obligatoire dans tous les lieux publics clos »
à partir du 1er août.
Mais enfin, lit-il la presse de temps en temps ce « guignol » ?
N’était-ce pas son gouvernement, à qui il avait imposé
sa « communicante-personnelle » (« Si-bête-la-Diarrhée »)
qui nous avait expliqué durant des semaines et des semaines que le masque, ça
ne servait à rien, que c’était même contre-indiqué (notamment pour les
asthmatiques et les personnes déjà « fragilisées »), que de toute
façon personne ne savait l’utiliser…
Si je me souviens bien, ils étaient même interdits à
la vente !
Rappelez-vous de ce pharmacien installé en face de l’hôpital
de longs-séjours de Corentin-Celton à « Issy-les-Moules »,
lâchement dénoncé qui s’était vu « rafler » ses stocks et interdit d’exercer
sa profession alors que les toubibs de quartier cherchaient des masques pour
eux-mêmes ?
De là où il orbite, on ne doit pas pouvoir lire les
manchettes, même avec de puissantes jumelles !
Hors-sol…
Évidemment, vu le crédit qu’on peut investir dans la
parole « Jupitérienne », quand il te vous raconte qu’il y a « des
signes » que l’épidémie « repart un peu », on ne
manque pas de s’esclaffer de rire.
Pour les masques : « On le fait dans les
transports, ça marche très bien (lui qui les prend si souvent), mais
c’est un peu erratique dans les lieux publics clos (…) ça veut dire qu’il
faut que les choses s’organisent », aura-t-il indiqué.
« Nous sommes sortis du premier pic (…) tout
le pays s’est mobilisé et nous avons des résultats, puisqu’on a réussi à
endiguer le virus et à retrouver une vie presque normale » : Il
rigolait, là… Une vie « normale », il ne sait pas ce que c’est, c’est
manifeste !
« Aujourd’hui nous avons des inquiétudes »,
te vous avertissant « qu’il y a des indices (que) ça réaccélère,
nous avons des signes que ça repart quand même un peu ».
Ça repart ? Ça s’accélère ? C’est un peu ou
si peu ? Des « indices » ou juste une « opinion » ?
Comme on sait qu’au premier coup, il n’avait rien vu
venir en plusieurs mois d’affilée, on a quand même du souci à se faire et je
préfère en rire !
Dans la même veine, il te vous aura assuré que la
rentrée des 12 millions d’élèves en septembre sera « quasi normale ».
Mais « évidemment s’il y avait une accélération (du virus) pendant
le mois d’août, on sera amené à revoir cette rentrée. (…) Si on fait
bien les choses nous aurons une rentrée des classes un peu différente, encore
plus exigeante ».
Traduisez, comme vous êtes des nuls, ça va être
sportif !
« Le ministre prépare une rentrée où les
enseignants seront bien protégés » (là où personne ne vous a rappelé
qu’on a dû fermer des ékoles entières, mais pas dans le privé : Ça
rapporte trop de pognon…).
Le « défi de l’été » serait d’« aller
chercher (…) ceux qu’on appelle parfois les décrocheurs », même
s’il n’aime pas tellement ce terme : « Je préfère les accrocheurs,
parce qu’on aura besoin de leur vitalité, de leur force, et on devra les aider ».
Là, on va être gâté par ces « élites-là », y’a pas à dire…
C’est bien ça : Hors sol !
Confondre les accrocheurs, futurs « premiers de
cordée » et les décrocheurs, derniers perdus dans la fange des « banlieues »
ou des campagnes, là franchement, il avait bu ou fumé un truc « pas légal »…
Et puis comme feu « Dévide-gens », « Chrichri-la-Garde-meurt-mais-ne-se-rend-pas »
et quelques autres, il te vous aura causé de « plan de relance » de l’économie
qui représentera « au moins 100 milliards d’euros », en plus
des 460 milliards déjà engagés en mesures sectorielles depuis le début de l’épidémie.
On est loin des 28 milliards du « sinistre
délégué à la relance » de « Bling-bling ».
Celui-là, avec 28 et un effet multiplicateur keynésien de 3,
il en faisait comme pour 100.
Là, avec 560, on doit pouvoir espérer une croissance
de 50 % du PIB d’ici la fin du mandat !
Aucun n’aura compris, depuis « Keynes-soi-même »,
et pas plus « Jupiter », que « l’effet de levier » est en
réalité négatif et pas qu’un peu.
Au mieux, ça va toujours dans la poche des mêmes… qui
n’en demandent pas tant !
Et qui ne sont pas forcément « Gauloisiens-de-premier-rang »
en plus…
« (…) relance industrielle, écologique,
locale, culturelle et éducative. Je suis convaincu qu’on peut bâtir un pays
différent d’ici à dix ans » : Traduisez, il est persuadé d’y être
encore à ce moment-là !
Hors sol, vous dis-je…
Et puis alors, grosse rigolade (irrépressible) de ma
part quand il annonce que le gouvernement va mettre en place un « dispositif
exceptionnel d’exonération des charges pour les jeunes », destiné en
particulier à favoriser l’embauche de salariés à « faibles qualifications,
jusqu’à 1,6 Smic » et d’annoncer la création de 300.000 nouveaux
contrats d’insertion à destination des jeunes « éloignés de l’emploi et
le développement du service civique. »
Là, franchement, c’est du comique de répétition hilarant
!
Depuis « Mythe-errant », en passant par le
CPE, ils ont toujours fait ça avec des résultats toujours aussi inexistants.
Ah si tout de même : Si ça n’existait pas, Uber
& consorts n’existeraient pas non plus à faire pédaler les « d’jeuns »
quelle que soit la météo !
Finalement, il n’y a que moâ qui n’aurais jamais
bénéficié de quoique ce soit : Soit ça n’existait pas et il fallait que je
pointe physiquement tous les mois, soit j’étais trop bien payé, soit je n’étais
pas assez jeune, soit je n’étais pas assez vieux…
L’autre moment de gloire absolue, c’est quand « Jupiter »
aura exclu d’augmenter les impôts pour faire face à l’explosion des dépenses
publiques : « Il y a une trajectoire fiscale qui a été décidée,
votée par la représentation nationale, c’est celle qui sera tenue ». C’est
bien, mais qui l’a décidée et dans quelles circonstances ?
Il n’a pas encore vu que les choses ont « sensiblement
bougé » entre-temps.
Hors sol…
Et d’affirmer qu’« on ne résout pas une crise
comme celle-ci en augmentant les impôts ».
C’est certain, mais s’il n’en invente pas, s’il ne les
augmente pas, en revanche ils les rallonge dans le temps ou suspend les baisses
« votées ».
C’est probablement pour que ses successeurs soient
pris à la gorge de façon définitive…
Enfin deux sujets « connexes » : « La
réforme des retraites ne peut pas se faire comme elle était emmanchée avant la
crise du Covid. Nous ne ferons pas l’économie d’une réforme de notre système de
retraites ».
Les « syndicaleux », à vos banderoles et cortèges,
vous êtes prévenus !
Sauf que peut-être, on va te vous refaire le coup de
la « deuxième vague » et reconfiner les grandes métropoles pour les
interdire d’être « en marche »…
Je me marre déjà !
En revanche, on aura le droit l’aller voter entre-deux :
Il veut, lui aussi (toujours et encore) modifier notre Constitution pour inscrire
« le plus vite possible » la lutte contre le réchauffement
climatique dans le texte !
Comme si ça avait un impact tellement important, que
quand la planète se refroidira faute d’habitants en nombre suffisant comme nous
le propose une récente étude financée par la fondation Gates, il faille une
réforme si formaliste, d’urgence impérieuse…
Mais « il faut d’abord qu’il y ait un vote par
l’Assemblée puis le Sénat dans des termes conformes (…). À ce moment-là,
il peut y avoir ou un congrès ou un référendum ».
Quel emmerdement ces procédures quand il y a urgence :
Il va lui falloir balayer tout ça et gouverner par ordonnances !
Après tout, c’est déjà le cas au moins jusqu’au 10
octobre prochain.
« Ah que », si on n’est pas sage dans les « lieux
clos », c’est un état d’urgence sanitaire qui se prolongera bien
jusqu’à Noël !
Décidément du pain béni cette pandémie de « Conard-virus »…
Et si ça ne suffisait pas, on peut compter sur la
science qui te vous prépare la grippe du cochon et pourquoi pas une bonne
petite-peste Kazakh…
C’est vous dire si j’ai pu en rire… et dès le
lendemain !
Comme les bons moments, je les partage, c’est fait
avec ce petit-post sans prétention…
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