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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

jeudi 23 juillet 2020

Finalement, il a succombé à ses blessures…

Et j’en reste tout triste…
 
« Vous direz à tous ceux qui nous soutiennent que Philippe (Monguillot) se bat et que l’extraordinaire équipe médicale fait son maximum » ! C’était le message adressé par l’épouse du conducteur du Tram’bus, très grièvement blessé à la tête, laissé pour mort par ses agresseurs et qui gît dans un état de mort cérébrale à l’hôpital de Bayonne.
Désormais, il n’est plus après une longue agonie, décédé vendredi après-midi à 17 h 30.
 
À longueur d’ondes et de colonnes, toute la presse a commenté cette agression, mais extrêmement rares sont les médias qui se sont hasardés à donner le nom des auteurs du méfait.
Exception faite du quotidien « Le Parisien » qui indiquait que cette bande de malfaiteurs « se réunissait dans l’appartement de l’un d'eux, Mohammed A. »…
En passant, on pouvait une fois de plus noter la différence de traitement avec l’agresseur de la mosquée de Bayonne, dont les journaux avaient dans l’heure qui suivait l’attaque, non seulement donné le nom et l’adresse, mais même le pedigree complet, et celui de son père, avec force clichés tendant à le rattacher à un mouvement politique !
 
Alors que généralement, lorsque ce sont des maghrébins (et autres Africains) qui attentent à la vie d’un Européen ou d’un Asiatique, on se contente de l'antienne : « à l’heure actuelle tout ce que nous pouvons dire c’est qu’un individu né et résidant sur la planète Terre aurait été en possession d’un couteau de cuisine qui pour une raison encore inconnue aurait causé des dégâts corporels majeurs… d’après les premiers éléments de l’enquête il s’agirait d’un homme bien connu des services de police mais la présomption d’innocence nous empêche bien évidemment de dévoiler l’identité de ce malheureux déséquilibré »...
Le nouveau « Gardes-des-sots » a encore beaucoup de travail à fournir, qu’il ne fournira pas : On en parlait encore hier…
 
Quant aux autres participants à l’agression de Philippe Monguillot, il s’agirait de Mohamed C., Moussa B. et Sélim Z. (et non des « Français marginaux » comme certains l’ont honteusement laissé supposer). En réalité, des racailles au casier long comme le bras !
Pour sa part, comme l’a rapporté la presse, le procureur a reconstitué cette agression « d’une extrême violence ».
Dans un premier temps, « trois personnes, dont une avec un chien, montent dans le Tram’bus à l’arrêt Gare de Bayonne ».
« Un quatrième homme monte ensuite à l’arrêt Balichon. Le chauffeur veut alors contrôler son ticket et demande aux trois autres de placer un masque sur leur visage. Les insultes fusent, puis il y a une bousculade. Le chauffeur est poussé hors du bus. Là, deux des individus lui donnent de violents coups de pieds et de poings dans la partie haute du corps et notamment vers sa tête ».
Violence gratuite ou seulement les effets du « Captagon » ?
Ça a été lui, ç’aurait pu être n’importe qui d’autre…
 
Les quatre hommes prennent la fuite en laissant le chauffeur « inconscient sur le trottoir » et vont « se réfugier dans l'appartement de l’un d’eux » assurant que « rien n’expliquait cette extrême violence ».
Un premier suspect a été arrêté dès dimanche. Quatre autres l’ont été lundi, dont un mineur rapidement mis hors de cause.
« La violence des coups, leur visée et les déclarations (lors des auditions) me permettent de retenir la qualification de tentative d’homicide volontaire pour les deux mis en cause qui ont porté les coups », a encore déclaré Marc Mariée.
Les deux suspects, âgés de 22 et 23 ans, soupçonnés d’être les auteurs des coups portés sur le chauffeur du tram'bus ont été mis en examen pour tentative d’homicide volontaire et incarcérés. Deux autres accusés ont été mis en examen, l’un pour « soustraction de criminel à l’arrestation et aux recherches et non-assistance à personne en danger » et le second, pour « non-assistance à personne en danger ».
Maintenant, ils sont désormais pour meurtre…
 
Je suis triste et ça s’est passé la semaine dépassée. Vous aurez oublié entre-temps : Pas moâ.
Interrogée par le quotidien « Le Parisien », une sexagénaire qui vit depuis son enfance dans le quartier où habitent les criminels agresseurs, explique : « Non vraiment, ici, ce n’est plus comme avant, ça s’est vraiment dégradé, ça devient la cité du n’importe quoi ! ».
Elle parle d’incivilités de plus en plus fréquentes et d’un sentiment d’insécurité croissant. Alors, lorsque, lundi matin, elle croise des policiers dans l’ascenseur de son immeuble, elle est à peine surprise.
 
Venu de Paris, le nouveau « sinistre délégué aux transports », confirme : « Les incivilités sont quotidiennes malheureusement dans les transports aujourd’hui »…
Or, cet « ensauvagement » de la société est une réalité : Cette agression s’ajoute à la longue liste des violences quotidiennes qui pourrissent la vie !
Ainsi, récemment, le général (luzien) Bertrand Soubelet, injustement écarté « sous la pression politique » de son poste à la Direction générale de la gendarmerie nationale après son audition par la commission des Lois de l’Assemblée nationale, indiquait combien il avait été « ému par la mort de Mélanie Lemée, jeune championne de judo de 26 ans, amoureuse de la vie et gendarme au service de la sécurité des Français », en précisant : « Je ne suis pas un adepte de la langue de bois. Ce drame a été provoqué par un jeune Français d’origine maghrébine qui roulait sous l’emprise de stupéfiants à une vitesse supérieure à 130 km/h sur la commune de Port Sainte Marie après avoir refusé deux contrôles dans les minutes qui précédaient.
Connu pour différentes infractions il n’avait plus de permis car il avait été annulé. Voilà la réalité brute…
Ma colère s’explique par le fait que sa mort est déjà rangée dans la rubrique des faits divers et (…) que certains se réjouiront de ce drame ».
 
Ajoutons que Yassine E. (comme toujours, très peu de médias osent citer le prénom du criminel) avait déjà été condamné à trois reprises pour des infractions à la législation sur les stupéfiants et (…) sur la circulation routière, qu’il conduisait sans permis, sous l’empire de stupéfiants, et il venait de faire l’acquisition de 150 grammes de cocaïne (d’après les dires du procureur).
 
Nul doute qu’aucune « Traoré » ni aucun rappeur ne « graffera » une fresque en son honneur à Stains, avec les encouragements du maire, Azzédine Taïbi, ni ailleurs…
Pas plus, sans doute, en l’honneur du chauffeur de bus bayonnais…
En revanche, on louera sans doute l’esprit civique de cet autre « jeune », Zakaria Zigh, « plus jeune colistier élu sur la liste du nouveau maire PS de Saint-Ouen, Karim Bouamrane », qui, après avoir été arrêté par la police lors d’une course-poursuite sur un scooter volé (simple rappel à la loi !) a de nouveau été interpellé par la police deux jours plus tard, cette fois avec du cannabis (sous le pont Alexandre-III !)…
Devant les policiers, ce samedi soir-là, il avait indiqué être conseiller municipal. Il leur avait glissé qu’il « devait se faire oublier quelque temps avant de réintégrer (son) siège de conseiller ».
 
Les Landes n’échappent pas, hélas, à cette « contagion » : Mardi 7 juillet, en début de soirée, au boulodrome de Mimizan, un jeune homme de 25 ans a été blessé de trois coups de couteau, près d’un banc voisinant le boulodrome de Mimizan.
Le jeune homme a été très grièvement touché, à tel point qu’un hélicoptère Ecu 40 a été envoyé à l’hôpital de Mont-de-Marsan afin de chercher du sang et de le transfuser.
Le jeune homme a ensuite été transféré à l’hôpital de Bordeaux par hélicoptère, dans un état grave.
 
En Bretagne, un homme été jugé ce jeudi 9 juillet par le tribunal correctionnel de Saint-Nazaire pour avoir cambriolé un vieillard avant de le tabasser et de lui déféquer dessus en maculant sa tête avec les excréments aux cris de « Allah Akbar ».
Et à l'arrivée des agents au domicile de la victime, le prévenu les insulte, et les menace de mort. À plusieurs reprises, il crie « Allah Akbar, je vais revenir avec une voiture, tout défoncer, faire un carnage ».
Devant le tribunal, quand le procureur dénonce son « comportement odieux », il préfère se boucher les oreilles.
L’homme a déjà été condamné à 19 reprises, dont une fois pour assassinat.
Que faisait-il dehors au juste ?
 
Le quartier Saint-Michel a connu de violentes bagarres entre « jeunes en errance » pendant et après le confinement rapportait par ailleurs le quotidien « Sud-Ouest ».
C’était d’abord sur le cours Victor-Hugo, lorsqu’un homme blessé par un coup de couteau avait été secouru, près de son établissement.
La victime était la deuxième d’une série de sept blessés par arme blanche, durant la nuit du 24 au 25 juin, dans l’hypercentre de Bordeaux.
Selon nos confrères de « Sud-Ouest », depuis le déconfinement, les agressions au couteau se multiplient dans le cœur historique de la capitale de la Nouvelle-Aquitaine.
Le restaurateur d’un snack témoin de ces affrontements acceptait de se confier à la journaliste « à condition que son nom et celui de son commerce n’apparaissent pas ».
« Je ne veux pas d’ennuis. Les gars qui ont fait ça sont des barjots. Ce sont de jeunes clandestins défoncés aux médocs et à l’alcool. Ils dealent, trafiquent et squattent le coin depuis le confinement. Ils se font la guerre entre eux et nous pourrissent la vie. Presque tous les soirs, il y a une bagarre. Baladez-vous dans le quartier : on ne parle que de ça ».
 
Et les entretiens recueillis par « Sud-Ouest » auprès d’une trentaine de riverains, des commerçants ou encore des travailleurs sociaux dans le quartier cours Victor-Hugo/Saint-Michel/porte de Bourgogne ne fera que confirmer la triste réalité. « Place Bir Hakeim, une dizaine de jeunes avec des haches, pioches et des sortes de sabres, a déboulé de Victor-Hugo et traversé la place en courant. Ils sont partis vers le tram. C’était surréaliste ».
Ou encore « des jeunes qui jouent de plus en plus du couteau ou autres armes blanches, y compris artisanales, comme cette tige en fer aiguisée retrouvée cachée dans un arbre par le patron d’un café du cours Victor-Hugo qui vient de décider d’avoir recours à un videur, tous les jours d’ouverture ».
Toujours de l’enquête de « Sud-Ouest », on apprend que Hussein, lui, a un « spot » à côté de son bar : un coin de trottoir, à l’angle du quai des Salinières, sur lequel « une dizaine de jeunes prennent place, toutes les fins d’après-midi ».
« Ce n’est pas toujours les mêmes. Ils dealent surtout des médicaments, revendent des trucs qu’ils ont volés, des téléphones, des colliers, de tout. Ils sont à l’affût d’une éventuelle proie et se cachent à peine. »
Ils étaient déjà présents avant le confinement, surtout autour de la porte de Bourgogne et du quai de Salinières. Quand tout a fermé à cause du coronavirus, « ils sont remontés sur le cours Victor-Hugo, dans la rue des Faures et sur la place Meynard, là où il y avait un peu plus de passage et donc potentiellement un peu plus de clients », explique Driss Ben Haddou, le président de l’association des commerçants de Saint-Michel.
 
Selon plusieurs riverains, il s’agit majoritairement de jeunes Algériens et dans une moindre mesure de jeunes Marocains. « Il y a des mineurs, mais surtout des majeurs de 20–25 ans. Quelques filles leur tournent autour. Il se dit que des nouveaux sont arrivés de Toulouse et Marseille, ces dernières semaines », témoigne un commerçant de la rue des Faures.
« D’après ce qui circule, beaucoup sont originaires de deux villes, Mostaganem et Jijel, et se concurrencent. Ils n’ont rien, donc rien à perdre. J’ai essayé d’en raisonner. Peine perdue : ils sont ingérables. Je n’avais jamais vu ça », lâche-t-il, dépité et affirmant avoir des échos de commerçants de la Victoire et de la gare tout aussi exaspérés.
Habitante de Saint-Michel depuis vingt-quatre ans, Fatima abonde : « On a vu des scènes ahurissantes pendant le confinement et les semaines qui ont suivi. C’est monté jusqu’à une trentaine de jeunes dans la rue des Faures, qui trafiquent, gueulent, se battent et sortent les lames. Rien à voir avec les dealers habituels du quartier, discrets voire courtois. Je n’ai jamais vu ces gosses s’en prendre à un habitant, mais vous retrouver au milieu d’une telle ambiance, ça fait peur ». 
Estimant ne pouvoir assurer la sécurité de ses clients, le patron d’un café de Saint-Michel a d’ailleurs fermé son bar, pendant un week-end, fin juin.
Autant dire que le nouveau maire « écololo-bobo » de Bordeaux est « attendu sur le sujet »…
 
L’air de rien, ces mots ne sont pas les miens mais ceux de J-C. Bourret, le rédac’ en chef et présentateur d’un journal télévisé d’il y a quelques temps déjà, bientôt octogénaire, que je suis sur « fesse-book », puisque c’est un grand chasseur d’Ovni (sujet qui me passionne parce que tout le monde déraille sur le sujet)…
Lui y voit autre chose :
 
« Quand des basques donnent une leçon de journalisme à l’ensemble des médias Français…
Le journaliste est là pour transmettre la Vérité, sur laquelle il travaille quotidiennement, à ses lecteurs ou auditeurs.
Mais…
… ayant été rédacteur en chef de France-Inter/FR3/TF1/La Cinq et RMC, j’ai constaté combien le suivisme, le politiquement correct faisaient des ravages dans les cerveaux des confrères…
Croyant souvent bien faire, et défendre le camp Républicain des antifascistes, combien de fois ai-je constaté la suppression d’informations jugées gênantes, car contraires aux idées dominantes que l’on peut résumer ainsi :
- la gauche c'est le bien ;
- la droite c’est le mal ;
- l’extrême droite c’est le nazisme ;
- l’extrême gauche : connait pas !
- l’immigré est tabou : il est victime, donc pas de stigmatisation, même quand c’est un immigré qui est responsable d’un crime ou d’un assassinat.
 
Attitude totalement contreproductive, car dès l’instant ou un crime sordide est commis, et ou l’identité des suspects arrêtés n’est pas communiquée, beaucoup pensent : ce sont des présumés coupables d’origine étrangère, et on nous le cache…
Mais j’ai vu pire : croyant « bien faire », des confrères ont remplacé Mohamed par Jean-François !
 
On le constate une fois de plus à travers deux terribles faits divers :
La jeune gendarme, tuée par un délinquant récidiviste, qui a foncé sur elle à 130km/h, et l’a tuée sur le coup : il s’agit d’un Français d’origine Nord-africaine…
Et les deux agresseurs du chauffeur de bus de Bayonne, « connus des services de police »… mais pas des journalistes, qui cinq jours après n’ont publié ni leurs prénoms, ni leur origine et parcours et encore moins leurs photos…
Ce qui nous change de l’attitude des confrères, lors de l’attaque – heureusement rarissime – d’une mosquée en France : en deux heures on avait le nom, la photo du présumé coupable : et surtout, ceci expliquant cela, c'était un proche des idées « d’extrême droite »…
 
Tout cela est pitoyable, car il faut d’abord savoir qu’une écrasante majorité des Français d’origine maghrébine, condamne vigoureusement les exactions commises par une minorité de leurs coreligionnaires…
Malheureusement, c’est cette minorité qui vit de trafics et de violences, qui fait la une des journaux…
Et ce n’est pas en cachant les prénoms des coupables et leurs photos, que l’on résoudra le « problème des banlieues difficiles ».
 
Les confrères Basques qui ont écrit cet article, ont avancé beaucoup de vérités, dont la presse nationale devrait s’inspirer… »
 
Moâ, j’y vois l’immense lâcheté, non pas des journalistes ou des « politiques » de « gôche » ou de « droâte », mais du genre humain : À force de ne pas appeler un chat un chat, à force de « démission » en tous genres depuis l’ékole maternelle jusque dans les prisons aux portes ouvertes, tout bon sens est perdu au détriment de tous.
Ce doit être l’époque qui veut ça…
Du coup on fait le mauvais diagnostic et personne n’est capable d’élaborer une médecine idoine !

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