Je vais prendre la route et « Bébé-Roux » n’est
pas là !
Oui, bon, je sais, j’ai un peu de retard à l’allumage sur le plan
gouvernemental de « Gauloisie-jupitérienne » : Il fallait aussi
que je fasse mes bagages, règle les derniers détails des affaires encore en
cours de façon à préparer les suivantes de la rentrée de façon optimale.
Ça fait bien 40 ans que je m’y essaye sans jamais y avoir réussi : Il
serait temps que je m’en occupe, au moins une fois avant de décrocher pour de
bon…
En attendant, « Jupiter » aura complété le gouvernement de
« Casse-tête » pour les 600 prochains jours, enfin… c’est ce qu’ils
en disent tous : On verra bien, parce que des « erreurs de
casting » vont se révéler très vite.
Je ne préjuge pas, j’observe et observerai…
C’était donc dimanche dernier : Onze secrétaires d’État complètent le
tableau pour une photo sur les marches du perron du Palais, trois semaines
après une première « promotion ».
C’est qu’entre-temps, il aura fallu répartir les « secrétaires
généraux » et autres directeurs de cabinet, pour un casting complet « à
la main ».
Il y avait les déçus du premier tour de remaniement, il y a les recalés du
second.
Alors que certains « sinistres » du gouvernement de
« Kung-Fu-Panda » avaient fait savoir qu’ils ne figureraient pas dans
la nouvelle équipe, certains secrétaires d’État ont dû patienter (comme quoi ils ne servent pas à grand-chose) pour savoir
s’ils conserveraient leur (ou un) portefeuille ministériel.
Le verdict est tombé : Cinq secrétaires d’État de l’ancienne équipe
restent en poste ou changent d’attribution dans cet exécutif complété : Sophie
Cluzel (Personnes handicapées), Jean-Baptiste Lemoyne (Tourisme, Français de
l’étranger et francophone), Cédric O (Transition numérique et communautés
électroniques), Laurent Pietraszewski (Retraites et santé au travail) et Adrien
Taquet (Enfance et familles).
Ce dernier, ancien des équipes de « Déesse-Khâ », aura inventé
le nom et le logo des « Marcheurs-même-pas-en-rêve » : C’est un
ancien « communiquant » de chez Havas.
De la petite-enfance, il ne connait rien aux crèches mais se sera occupé
du handicap et l’autisme à l’AN.
J’espère que vous voyez le rapport, parce que moâ, je ne saisis pas bien.
J’espère seulement qu’il pourra être épaulé par Céline (du Groupe SOS-groupe), sémillante (et sexy pour ceux qui
aiment les limandes) patronne du pôle « Crescendo »…
Notez que six petits nouveaux font leur entrée : le conseiller de l’Élysée
Clément Beaune (sans les auspices du même nom, affaires européennes), enfin « reconnu »
et les députés Bérangère Abba (biodiversité), Nathalie Élimas (Éducation
prioritaire), Sarah El Hairy (Jeunesse et engagement), Olivia Grégoire
(Économie sociale, solidaire et responsable, « bulldozer » qui faisait
les nuits chaudes de « Menuet-Valse » avant qu’il ne se tire à
Barcelone pour « faire guignol » dans le civil) et Joël Giraud
(ruralité).
Encore un melting-pot politico-politique.
Encore un melting-pot politico-politique.
Cette nouvelle équipe ne laisse donc aucune place pour l’ancienne
secrétaire d’État à la Transition écologique « Prune Poison » et sa
collègue auprès du « sinistre des Solidarités et de la Santé »
Christelle Dubos qui gerbent toutes les deux.
Elles auront adressé leurs adieux dans un twist émouvant aux larmes diffusé
dans la soirée : « Très honorée d’avoir pu faire avancer la
#TransitionÉcologique en France en portant la #LoiAntiGaspillage qui a
transformé le secteur des déchets. Allant à l’encontre d’intérêt puissants,
c’est bien notre majorité qui a reformé un secteur qui ne l’avait pas été en 30
ans. Merci ! » en dit l’une.
« Du Plan pauvreté à la protection des plus précaires face à la
crise du #COVID_19, il y a à la fois la fierté des batailles menées et
l’impatience des combats à venir, fidèle à l’idée d’une 🇫🇷 qui protège et tend la main à ceux que
la vie malmène » en dit
l’autre !
Belles joueuses…
Presque « classieuses ».
Toutes les deux ne sont pas perdues pour la Nation : Elles devraient
redevenir députées. Leurs suppléants devront leur céder la place.
De mon temps, on se refaisait une petite « partielle », histoire
de tester la popularité du député élu, mais là, on ne s’y risque surtout pas depuis
un moment…
Outre ces deux secrétaires d’États, le bras droit de « Castagneur »
à l’Intérieur « Nu-nez » aura déjà été recasé à la tête de la « task
force » antiterroriste de l’Élysée. Et son « sinistre » de
tutelle et gaffeur, ex-porte-la-parole du premier gouvernement de
« Jupiter » après avoir été patron des
« Marcheurs-même-pas-en-rêve » dont il avait fait le casting des
futurs « députacrouilles » du parti « jupitérien » va se
faire recaser à l’AN comme patron du groupe, puisque l’actuel titulaire en
démissionne (après l’avoir saucissonné) en remplacement de celui qui fait
« titulaire du perchoir » (dans le civil) pour avoir succédé lui-même
à « Rugby », le mek qui n'aime pas le caviar mais en fait servir aux
frais de la princesse à sa table…
Vous avez suivi cette valse à « mille temps » qui joue avec les
têtes comme des « petit-pois qu’on aligne » et où on retrouve
toujours les mêmes « ex » qui te vous construisent « un monde
nouveau » avec des recettes « à l’ancienne » ?
On savait que « Si-bête-la-Diarrhée » aura été remplacée par « Gaby-@tal »
au « porte-la-parolat » du gouvernement de « Casse-tête »,
mais qu’elle doit revenir à la « vie civile », dans un « rôle
interne » au parti… la détection de nouveaux talents !
Qu’elle ne cherche pas trop, il n’y aurait que ça, naturellement, pour un
mouvement qui n’existait pas il y a seulement quatre ans…
Ils sont tous « tout neuf » qu’on nous a juré.
En fait pas du tout : S’il y a quelques exceptions, toutes et tous se
sont déjà frottés aux mandats électifs… dans « l’ancien monde »…
Reste en rade, outre Miss « Buse-one »,
« Gris-veaux », « Hurle-l’eau », « Rubgy » déjà
viré dans les précédentes fournée (et quelques autres passés sous les radars),
Miss « Belle-Loubet », « Dédé-Guy-Yaume » et l’inénarrable
« Mumu-Pénis-Chaud ».
Une hécatombe : Dire qu’ils avaient les meilleurs sous le coude…
Moâ, je confirme, ils n’ont justement plus personne sous le coude à être « à
la hauteur » : Souvenez-vous qu’il avait fallu des semaines pour
remplacer « Gégé-Colombe » à l’intérieur & aux cultes…
Ils ne se bousculaient pas trop, si je me rappelle bien…
Donc six nouveaux secrétaires d’État ont fait dimanche soir leur entrée au
gouvernement, sur les 11 figurant sur le communiqué envoyé par l’Élysée (cinq ont
été repêchés, en repos forcé depuis trois semaines).
Cela fait l’effectif le plus pléthorique depuis le gouvernement
de « Raf-la-main-sur-le cœur III » en 2004, qui réunissait alors 44 personnes.
On est ici dans la fourchette haute des gouvernements sous la Vème République,
qui naviguent le plus souvent avec une trentaine de membres.
Au passage, « Jupiter » n’améliore pas sa promesse de campagne
de 2017 d’avoir autour de lui « un gouvernement de 15 membres maximum,
très ramassé » : Encore une « promesse » oubliée, hachée
menue.
En fait, ramené à l’ensemble de son quinquennat, débuté il y a trois ans
et deux mois, il a fait défiler 69 membres du gouvernement. C’est déjà plus que
« Bling-bling » en cinq ans, avec ses 68 ministres, et autant que « Pompon-Pie-Douze »
qui, lui, a été président quatre ans et 9 mois jusqu’à sa mort en avril 1974.
Son prédécesseur, « Tagada-à-la-fraise-des-bois » comptait pour
sa part 62 « sinistres » à la même période et avait fini son mandat
avec un total de 74 personnes.
Comme quoi, « Jupiter » est un grand consommateur de « cracs-sinistreux ».
Le ratio moyen de 1,3 nouveau ministre par mois, il devancerait au final « Le
Chi » qui avait nommé 107 ministres en 83 mois, en enlevant les cinq ans de
la troisième cohabitation avec la gôche de « Tonto-Yoyo » qui avait
propulsé d’autres « sinistres ».
1er : « Jupiter », 69 ministres en 38 mois :
1,82 ministre par mois ;
2ème : « Le Chi », 107 ministres en 83 mois :
1,29 ;
3ème : « Tagada-à-la-fraise-des-bois », 74
ministres en 60 mois : 1,23 ;
4ème : « Pompon-Pie-Douze », 69 ministres en 58
mois : 1,19 ;
5ème : « Mythe-errant », 135 ministres en 116
mois (hors les deux premières cohabitations) : 1,16 ;
6ème : « Giskard-A-la-barre », 96 ministres en
84 mois : 1,14 ;
7ème : « Bling-bling », 68 ministres en 60 mois
: 1,13 ;
8ème : « CDG », 87 ministres en 123 mois : 0,71 ;
Un métier sans avenir, « sinistre de la République »…
C’est quand même Le Général qui aura occupé le plus longtemps le « Château »…
« L’équipe est au complet. Avec eux, et pour vous, chacun des 600
prochains jours devra être utile au pays et à la hauteur de ses défis. C’est au
plus près des Français que nous leur trouverons des solutions : nous irons à
votre rencontre, partout sur le territoire. À bientôt ! », s’est félicité
sur Twister le « Premier sinistre », « Casse-tête ».
Trois semaines tout de même pour constituer un rallye de bridge et une
équipe pléthorique qui compte au final 16 ministres, 14 ministres délégués et
12 secrétaires d’État soit un total de 42 membres.
Deux des volontés affichées par « Jupiter » depuis le
déconfinement (l’attention à la jeunesse et celle portée aux territoires et au
monde rural), sont illustrées par la création d’un secrétariat d’État à la
Ruralité (une résurgence ancienne) et par l’arrivée de deux secrétaires d’État
à l’Éducation prioritaire et à la Jeunesse et à l’Engagement auprès du ministre
de l’Éducation « Jean-Mi-Banquier » qui garde son fauteuil à la tête
du « Mammouth » de « les-ducs-à-Sion » nationale.
Et puis malgré tout, la parité est respectée, et même un peu mieux,
puisqu’en comptant « Casse-tête », il y a 21 hommes et 22 femmes dans
ce gouvernement.
Ils vont pouvoir « zouker » en Conseil, « Jupiter »
s’occupant de celle qui tient la bougie !
Le président de la République les réunira aujourd’hui, juste pour voir à quoi ils ressemblent.
Magnifique…
Mais, mais, mais, déjà foisonnant, le gouvernement pourrait encore être
complété : Car il en manque au moins un.
Il y a des « hauts commissaires » à nommer.
On avait déjà eu celui des « retraites », mis à la retraite par
anticipation pour cumul prohibé des fonctions (et rémunérations), et on aura eu
celui du « déconfinement » qui a fini « premier-sinistre »
pour 600 jours…
« Kung-Fu-Panda » a déjà dit non à une mission de
« reconstruction » qu’une majorité présidentielle (qui n’existe pas
vraiment) et surtout « Bébé-Roux », ex-« gardes de sots »
(ex-sinistre de l’éducation, il y a longtemps) ex-futur amant (politique) de
« Ségololo », l’homme qui se voyait déjà successeur de
« Giskar-A-la-barre » qui est désormais pressenti pour prendre en
charge le Plan !
Moâ je le vois bien s’occuper de ce qui ne le regarde pas : Car c’est
ça « le plan ».
Pour « Roro-Card », qui a un parcours presque similaire mais
venait du PSU – un caillou dans la chaussure à « Mythe-errant » –
c’était un strapontin pour accéder à Matignon (qui était un piège) où il nous
aura laissé la CGS en héritage : Une belle affaire, plus forte que l’impôt
sur le revenu…
Là, « Bébé-Roux » pourra venir s’exciter un peu sur les
« plans » des JO « de dans quatre ans », du plan de
« Das Groβ-Paris », de la « 5G », de la réindustrialisation
du pays, des marges des agriculteurs et de la ruralité future, des « plans
mobilités », des « plans renforcement de la SNCF », de ceux de
la « souveraineté », de la flotte de pêche et son Brexit, des plans
de la défense, du logement, des territoires ultra-marins, des énergies, bref,
vous l’avez compris, compris, c’est « transverse ».
De quoi foutre le boxon tous les jours avec tous les autres, parce que
forcément, à cet endroit-là, on a une vision « à long terme » sinon
hautaine, de celle des « sachants » qui savent tout mieux que tous les
autres et ignorent jusqu’à l’étendue de leur propre ignorance !
Ça va lui aller comme un gant que je m’amuse déjà de la façon dont on va
réussir à planter le pays « de dans 10 ans »…
Vous verrez qu’il supportera la comparaison de « Jiji-SS », le
président du parti des réformateurs, nommé « sinistre de la réforme »
dans le premier gouvernement du « Chi » sous « Giskard-A-la-barre »
(avant d’être remplacé par « Barre-Bi-thurique » soi-même).
Le mek, sitôt arrivé, il critiquait déjà « la bombe » mais pire
que tout, il voulait aussi réformer les ailes de l’Airbus (le premier, l’A 300)
pas encore sorti des tables à dessin…
Pouf, il a giclé en quelques semaines !
Et puis il a disparu des écrans radar, tombé au milieu du « triangle
des Bermudes » comme par enchantement…
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