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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

lundi 13 juillet 2020

Elle va vous pourrir la vie pendant 6 ans !

« Paris-sur-la-plage » promet un enfer de bonnes intentions…
 
Moâ, j’adore « Sœur-Âne », son parfum envoutant, ses « yeux mouillants » quand elle m’étreignait chaudement (en public : Soyons sérieux, c’est une mère de famille mariée !). Et puis elle m’aura fait rencontrer « My-Miam-El-Konnerie » à la silhouette si prometteuse…
Seulement voilà, si je lui reconnais un don pour très bien connaître ses dossiers (au moins du temps où elle était première adjointe au logement de « De-la-nuée »), je vous avoue que c’est d’abord une « dogmatique » (je n’aime pas les dogmatiques qui n’écoutent pas d’autres points de vue, même quand ils rapportent des « vérité-factuelles ») et une « Soce » (je n’aime pas les « soces » si prompts à s’accrocher à leurs erreurs-dogmatiques contre vents-&-marées malgré les malheurs qu’elles provoquent…).
Et puis elle a viré le « cousin-Jean » (Tiberi) qui profite enfin d’une retraite bien méritée avec vue sur le Panthéon.
C’est dommage, parce qu’elle est loin d’être konne, mais elle est prise en otage par les « écololos-bobos » de la kapitale qui sont pires que des « soces »
Ce sont trois raisons pour lesquelles je n’irai jamais « coller ses affiches ».
 
On peut en rajouter une : Plus elle en fait, plus je peste mais plus je m’enrichis sans rien faire.
Assez extraordinaire, finalement, à vouloir le bonheur des autres sans même leur demander leur avis quant aux moyens – alors que les fins aboutissent à l’inverse des objectifs officiellement affichés – provoquant « l’étatisation » de toute une ville (lumière…) qui appartient déjà pour une large partie non pas à ses habitants, mais à la puissance publique (sous toutes ses formes) et aux clergés (sous toutes leurs formes).
N’en jetez plus : Vous deviendrez tous locataires si on ne parvient pas à mettre fin à ces déluges d’absurdité !
 
Pour le reste, elle aura été réélue triomphalement à la Mairie-centrale avec 49 % des bulletins représentant finalement à peine 17 % des parigots inscris, soit l’équivalent de 83 % de cocus qui vont faire savoir probablement leurs mécontentements divers et variés : Circuler à vélo, ce n’est pas fait pour les seniors, la môme « Paic-Resse » fait ce qu’elle peut pour fournir trains, métros et bus seulement quand elle a les sous, mais ce sera toujours insuffisant pour assurer plusieurs centaines de millions de déplacements par mois…
Et puis j’attends de voir les passages-piétons sur les chaussées du périphérique et la mise en place de radar « 30 km/h » : Je sens que je vais acheter une voiture avec seulement la première vitesse en fonction, pas besoin d’une boîte de vitesse multi-rapports.
Ça fera hurler le riverain !
Oui, parce que mon « veau-diesel » sera interdit l’année prochaine, alors j’économise sous à sou pour le remplacer…
 
Mais elle a d’autres raisons de se mettre à dos ses électeurs.
Au moins deux : Le logement et les bagnoles, l’un n’allant pas sans l’autre d’ailleurs et ayant un impact sur un troisième, le commerce… Mais c’est un autre sujet.
 
En matière de logement elle veut respecter la débile loi SRU (elle ferait mieux de payer l’amende, ça reviendra moins cher), ce qui suppose de continuer à produire des logements sociaux pour atteindre le seuil de 25 % fixé d’ici 2025.
Moâ, des HLM sur la plus belle avenue du mode, j’attends de voir, d’autant que ce sont des rentes de situation à vie pour seulement quelques privilégiés… « méritants ».
Et pour cela, elle compte utiliser plusieurs leviers : « La construction neuve sur les anciennes emprises ferroviaires, la préemption d’immeubles anciens, le conventionnement, la transformation de bureaux obsolètes en logements ».
Elle aura abandonné au passage l’idée aussi sotte que grenue de réquisitionner les églises et les couvents…
Mais aussi, en s’appuyant sur le dispositif d’encadrement des loyers qui est en vigueur (avec de nouveaux plafonds à partir du 1er juillet 2020), et elle reste catégorique : « Nous signerons une charte avec l’ensemble des agences immobilières et des plateformes, les engageants au respect de la loi.
Je souhaite que nous organisions, tous les six mois, un contrôle aléatoire des annonces mis en ligne. »
Gare aux contrevenants !
 
Au sein du marché locatif, elle a également annoncé la création d’une société immobilière baptisée « Paris Logement Abordable » (tout un programme en soi…), avec des acteurs institutionnels. Son objectif : « Proposer des logements à destination des classes moyennes qui seront loués 20 % en dessous du prix du marché. Concrètement, cela signifie une pièce en plus pour le même loyer », croit-elle savoir.
Pas bien grosse la pièce… et puis il faudrait pouvoir pousser les murs existants !
Concernant l’accession à la propriété, elle souhaite proposer 5.000 logements à moins de 5.000 euros du m² « grâce à la dissociation du foncier et du bâti ».
Par l’intermédiaire de la « Foncière de la Ville de Paris », il s’agit de proposer des logements moitié prix que ceux qui sont actuellement sur le marché dans la capitale : Ça va être la ruée… mais finalement une goutte d’eau face aux dizaines de milliers de transactions annuelles !
 
Notez que c’est à la condition d’avoir les terrains disponibles et un promoteur capable d’obtenir un permis de construire de construire de la merde en quelques mois, parce que la garantie décennale le mettra sur la paille…
En réalité, il ne reste plus que 5 arrondissements qui sont à moins de 10.000 €/m².
Un seul, le 20ème, se situe à moins de 9.000 €/m². Le quartier le plus cher est Odéon (6ème) qui affiche une moyenne à 16.880 €/m² et le plus « abordable » reste Pont de Flandres (19ème) à 7.950 €/m².
Franchement, pour bien faire il faudrait que les HLM parigots investissent désormais en grande banlieue pour proposer aux primo-accédants des appartements corrects à 5.000 €/m².
 
D’ailleurs selon elle, toutes les villes « Das Groβ-Paris » doivent prendre leur part dans la construction de logements et notamment de logements sociaux !
(Vous voyez qu’elle n’est pas si konne que ça…).
Mais « Paris ne doit pas « rejeter » sur la banlieue l’effort à réaliser en la matière. Nous continuerons à créer des logements sur les anciennes friches ferroviaires, comme nous l’avons fait à Clichy-Batignolles, mais aussi dans les anciens hôpitaux, dans des bâtiments de bureaux reconvertis… » ajoute-t-elle.
C’est bien, mais « les friches », il y en a de moins en moins : Il faudrait pousser les « murs de Paris » au-delà du périph’, pour bien faire…
 
Il n’y a pas que ça : Aux portes de Paris, justement, elle s’engage à créer de nouveaux quartiers de logements insérés dans des grands parcs.
À Bercy Charenton, à Chapelle Charbon… « Nous souhaitons opérer une révolution dans la construction : toujours préférer la conservation à la démolition, les matériaux écologiques (bois, terre, pierre…) au béton, et généraliser le réemploi.
Nous changerons nos règles d’urbanisme pour qu’elles intègrent ces nouvelles priorités. » promet-elle.
Et puis son « dada » : « Airbnb ne respecte pas la réglementation : moins de la moitié des annonces y affichent le numéro d’enregistrement obligatoire et plusieurs milliers de logements parisiens sont loués plus de 120 jours par an.
Il faut mieux réguler encore cette activité. »
Et pour cela, elle souhaite proposer un référendum auprès des Parisiens, qui portera notamment sur la limitation de la plateforme dans les quartiers.
Son idée ? « Diminuer le nombre annuel de nuitées autorisées de 120 à 30 ou 60 ou empêcher la transformation de locaux d’activité en hébergements touristiques. ».
Combien pour les JO de 2024 (qu’elle pourra inaugurer devant un parterre de chefs d’État) ?
2 fois 15 jours avec les paralympiques : C’est bon, je passe sous les radars !
 
Elle va même plus loin : Dans le cadre de la lutte contre la vacance locative, et à l’occasion d’une interview du 5 juin dernier, elle aura indiqué qu’elle souhaitait racheter des logements Airbnb puis les remettre sur le marché locatif de longue durée à moins de 20 % des prix du marché. « Cette proposition fera partie des premiers actes que je poserai » ajoutant « qu’Airbnb représentait 26.000 logements au cœur de la capitale. »
Tant que ça ? C’est si peu finalement par rapport au presque million de « résidence »…
On travaille vraiment sur des « pouillèmes » et ça se veut l’égale des chefs d’État !
L’ex-sinistre de la Ville et du logement aura réagi à cette proposition-là : « La mairie de Paris a une relation très particulière avec Airbnb. Elle en fait un objet politique avec une position dogmatique ».
Notez que c’est justement ce que j’en disais…
 
Ceci dit, elle n’avait pas attendue d’être réélue pour triompher. Lors du vote du budget 2019, la mairie de Paris affichait fièrement le logement comme « priorité des priorités » et rappelait son très fort engagement financier sur le sujet : 400 millions d’euros dépensés par an en moyenne, soit 2,4 milliards d’euros pendant sa mandature : Là encore, pour 9,4 milliards de dépenses annuelles (et 6,14 milliards de dettes cumulées), 0,4 milliard, c’est une « priorité » de puceronne !
Elle ferait bien de modérer les embauches d’agents territoriaux (qu’il faut aussi loger en priorité…)
Et puis vous aurez noté qu’au début de son mandat, le prix moyen au m² dans la kapitale s’élevait à 8.400 € contre 10.580 € en juillet 2020, soit une augmentation de 26 % en un peu plus de 6 années.
J’adore…
Comme quoi, la pénurie administrative aura eu l’effet inverse de l’objectif recherché : Un classique des effets des « dogmatiques » !
 
À ce niveau de prix, il est aujourd’hui clair que les classes moyennes ne peuvent plus devenir propriétaires à Paris.
Et le problème persiste au niveau de la location pour ces mêmes classes moyennes.
La réponse apportée par l’État est alors d’élargir la base des personnes qui peuvent bénéficier d’un logement social. Pour un couple avec un enfant le plafond de ressources annuel est ainsi de 47.000 € … bien au-delà du revenu moyen pour cette catégorie de la population.
Ian Brossat, adjoint communiste au logement à la mairie de Paris, devrait être satisfait car « Paris-sur-la-Seine » se rapproche d’un système communiste pour le logement : Une large partie de la population est désormais éligible à un logement public bien plus avantageux que dans le privé, mais les délais pour obtenir un logement social (7 ans) feraient pâlir un fonctionnaire de l’URSS et des logements restent à la disposition des apparatchiks du système !
Ses résultats sont si bons qu’il a été reconduit dans sa délégation.
Et ça va plus loin puisque la mairesse-centrale veut désormais s’en prendre au marché privé, déclarant qu’elle « souhaite intervenir sur le marché libre ».
Nationalise, nationalise, moâ, je m’enrichis !
Et en plus, sans rien faire que d’être né…
 
C’est pourtant simple : Comme je l’explique depuis des années, la prolifération des logements sociaux participe à l’augmentation des prix de l’immobilier.
Le principe est simple : Les prix montent car l’offre est restreinte alors que la demande est importante.
Préempter des logements privés pour les transformer en logements sociaux diminue l’offre disponible et favorise donc la hausse des prix !
Un principe élémentaire qui n’est pas intégré par la mairie-centrale cramponnée à sa priorité de respecter la loi SRU, et donc d’atteindre le seuil de 25 % de logements sociaux d’ici 2025.
« Bien que n’ayant obtenu aucun résultat concret, la mairie de Paris s’entête »
 
L’autre idée est de louer les terrains préemptés mais pas le bâti. C’est en premier lieu une attaque directe contre le droit à la propriété : L’acheteur n’est in fine pas entièrement propriétaire de son bien, mais locataire perpétuel…
Notez que comme un bon quart des terrains (sur lesquels sont bâtis des logements revendus) appartiennent déjà au clergé et autres congrégations qui pratique le même principe, on a le mérite de savoir que ça fonctionne plutôt bien.
Finalement, les interventions de la mairie, comme partout, nuisent à l’efficience du marché et en plus, elles représentent un coût considérable pour le contribuable.
 
Mais il est une autre approche qui va encore provoquer plus de « demandes » de foncier : Créer délibérément des embouteillages en espérant ainsi décourager les utilisateurs de voitures !
Là, franchement, pour des « faux-nez » « dogmatique & écololo-bobo », on est en plein dans une stratégie absurde : Elle revient à augmenter les nuisances en espérant les réduire…
Car voilà que c’est comme ça que « Paris-sur-la-plage » est devenu en 2019 la quatrième ville la plus embouteillée du monde !
J’admire la performance, puisqu’elle a sauté de trois places dans ce classement mondial en quelques mois…
 
On nous rabâche les oreilles que l’automobile est responsable des émissions nocives.
Quand je vois les bus et les camions cracher leurs fumées noires, je me dis que mon filtre à particule est vraiment un luxe que j’offre à la planète…
Car le niveau inchangé de particules fines dans l’atmosphère de l’agglomération parisienne pendant les deux mois de confinement est venu rappeler et démontrer que les problèmes sont bien plus complexes que certains voudraient le faire croire.
Se débarrasser soudainement de l’essentiel de la circulation automobile ne les règle pas par un coup de baguette magique : Il y a même eu un pic de pollution aux particules fines dans la région parisienne le 28 mars 2020 !
On ne sait toujours pas pourquoi les faits persistent à contredire les meilleurs dogmes, d’autant quand ils sont « écolologiques » : Impensable cette « folle dame nature » !
 
Il faut dire que la croisade anti-voitures, quand elle est menée sans cohérence, sans stratégie et sans proposer d’alternatives crédibles, quand elle vise seulement à trouver un responsable facile à des questions complexes, si c’est pour emmerder le prolo, ça n’apporte bien évidemment pas de solutions aux problèmes et parfois même peut les aggraver.
Créer délibérément des embouteillages (avec de nombreux chantiers sur la voie publiques, par exemple, ou créer des sens de circulation contre-nature) en espérant décourager ainsi les utilisateurs de voitures, c’est la politique du pire, une aberration !
Voilà pourquoi « Paris-sur-la-Seine » est devenu aujourd’hui la quatrième ville du monde la plus embouteillée derrière Bogota, Rio de Janeiro et quasiment à égalité avec Rome.
Ils vont être chouette les JO de 2024…
 
Selon le classement mondial Inrix, qui fait autorité, les automobilistes ont perdu en 2019, en moyenne dans les embouteillages, 191 heures à Bogota, 190 heures à Rio de Janiero, 166 heures à Rome et 165 heures à Paris. La ville de Paris a perdu trois places et se trouvait au septième rang du même classement en 2018.
Pour rappel, les embouteillages sont une nuisance de merde d’étron : Ça gâche la bonne-humeur pour la journée.
Mais ils augmentent aussi les niveaux de pollution, ils pèsent sur la santé des populations qui en sont victimes, ils ont un coût économique très élevé du fait du temps perdu et ils ont pour effet d’augmenter les accidents et les incidents sur les chaussées.
 
Enfin, les embouteillages sont aussi un signe indirect et fort d’inégalités sociales (fort pour une « soce ») !
C’est ce que montre une étude publiée en 2019 par la société néerlandaise TomTom, spécialisée dans les outils de navigation automobile : Plus la vie coûte cher dans une ville, plus les populations les moins favorisées ont tendance à aller s’installer dans les banlieues et les zones périurbaines où le coût des logements et le coût de la vie sont plus faibles. Mais celles-là continuent à venir au centre des villes pour travailler, pour rencontrer des clients, pour intervenir sur des chantiers…
Bref, ça accélère les dégradations circulatoires !
 
Car la congestion automobile résulte dans les faits de nombreux facteurs, souvent locaux. Ainsi, les mauvais classements de Bogota et de Rio Janeiro, s’expliquent notamment, pour la première, par la faiblesse des transports publics et, pour la seconde, par une géographie faite d’une succession de collines traversées par un nombre limité de routes, des goulots d’étranglement.
Pour réduire la congestion, de nombreux experts expliquent qu’il faut réduire le nombre de véhicules entrant dans le centre des agglomérations et quand ils y sont entrés de fluidifier au maximum la vitesse de circulation pour qu’ils y restent le moins de temps possible (les feux tricolores coordonnés).
Or, c’est la stratégie inverse qui est menée à « Paris-sur-la-plage » depuis des années, caractérisée par la multiplication des « pincements » de trafic…
 
Les données collectées et analysées par Inrix montrent pourtant qu’il est possible de réduire rapidement les embouteillages en rendant tout simplement coûteux l’utilisation des routes et l’entrée dans les villes et en développant les infrastructures de transport public.
En doublant le péage urbain pour les véhicules anciens à haut niveau d’émissions qui souhaitent rouler dans le centre de Londres, la capitale anglaise à réduit de 13 % entre 2017 et 2019 le nombre d’heures perdues en moyenne par les automobilistes. Une stratégie qui peut être contestée pour de nombreuses raisons, notamment sociales (puisque ça pénalise nettement plus les classes moyennes que les « happy-few »), mais qui a au moins le mérite d’être efficace sur la congestion des routes.
Notez également au passage que « Sœur-Âne » reste une exception puisqu’aucune autre agglomération de « Gauloisie-routière » n’approche son niveau d’embouteillages.
La ville la plus congestionnée après la capitale, c’est Bordeaux qui compte 125 heures perdues en moyenne par an, puis on trouve Lyon avec 105 heures, Marseille 81 heures et Grenoble 76 heures.
Pourtant, Marseille, j’évite : Ils sont tous fadas et conduisent comme des ploucs !
 
Peut-être devrait-elle s’ouvrir de ses problèmes à ses ex-collègues. Oui, parce que ces villes-là ont viré leur pantalon pour passer sous la bannière, plus ou moins directement, des « écolologistes-dogmatiques ».
On fera peut-être le bilan dans 6 ans…
En attendant, si comme ailleurs, on empêche de rentrer dans une ville et qu’on déplace les « pôvres » jusqu’en centre-ville, forcément, les commerces vont devoir se déplacer ailleurs (là où sont posés leurs clients anciens) ou fermer boutique.
Parce que ce n’est pas le pouvoir d’achat des agents territoriaux « logés aux frais de la princesse » qui boostera le commerce… avec des fonciers toujours plus chers !
 
Mais ce n’est qu’un détail et un autre problème… parce que finalement tout est lié.
Alors que « Sœur-Âne » saucissonne les problèmes pour mieux s’imposer…
Un classique : Diviser pour mieux régner !
Pas si konne, vous disais-je…

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