Jean-Marc rentre à la maison.
Il tombe sur sa femme, Germaine, qui
est dans la chambre, en train de faire ses valises.
« – Qu’est-ce que tu fais ?
– Tu le vois bien : Je te quitte
pour vivre une vie meilleure !
– Et où penses-tu aller ?
– Je vais en Floride.
J’ai vu dans un reportage qu’on pouvait
gagner 200 $ pour une pipe là-bas. »
Jean-Marc réfléchit deux secondes, puis
il sort sa valise et commence à y entasser ses affaires.
« – Mais qu’est-ce que tu fais ?
– Je vais en Floride moi aussi !
Je veux voir comment tu vas te
débrouiller avec 400 $ par an ! »
Jean-Marc entre dans une pharmacie
et demande un préservatif noir.
Le pharmacien, interloqué, lui répond
qu’il n’en possède pas et lui demande la raison :
« En fait, j’ai juré à ma femme
de porter le deuil jusqu’au bout !
Alors j’anticipe… »
Jean-Marc, Jean-Paul et
Jean-Michel joue à la pétanque et cherchent un quatrième partenaire suite au
décès accidentel de leur copain Jean-Yves.
Il y a Jean-Robert, Jean-Roger et Jean-Marcel.
Jean-Marcel, justement, connaît un gars
qui serait un bon pétanqueur.
Ce gars s’appelle Jean-Raymond et il
accepte de venir jouer avec les trois autres en disant :
« OK pour venir jouer avec vous
dimanche prochain à 9 heures, mais j’aurai peut-être 10 minutes de retard,
alors attendez-moi ! »
Le dimanche arrive et Jean-Raymond est
bien là à 9 h 00 tapantes.
Finalement, Jean-Raymond les bat tous
en jouant exclusivement de la main gauche.
En les quittant, Raymond leur dit :
« À dimanche prochain. Mais je
serai peut-être 10 minutes en retard, alors attendez-moi ! »
Et le dimanche suivant, Jean-Raymond
est bien à l’heure et il les bat encore, en jouant cette fois-ci exclusivement
de la main droite.
Et tous les dimanches, Jean-Raymond
arrive à l’heure et il leur met la « pâtée » quelle que soit la main
qu’il utilise pour jouer.
Au bout de deux mois, Jean-Paul n’y
tient plus et demande à Jean-Raymond :
« – Dis donc Jean-Raymond, tu
nous dis tous les dimanches que tu seras peut-être 10 minutes en retard, mais
tu es toujours ponctuel.
En plus de ça, tu nous bats à chaque
fois, quelle que soit la main avec laquelle tu joues.
Tu ne crois pas que tu nous dois
quelques explications ?
– Oui, oui, tu as raison. En fait,
c’est parce que je suis superstitieux.
Quand je me lève le dimanche matin, je
regarde de quel côté ma femme est couchée. Si elle est couchée sur son côté
gauche, je joue de la main gauche.
Si elle est couchée sur son côté droit,
je joue de la main droite.
– Et si elle dort sur le dos ?
– J’arrive avec 10 minutes de retard ! »
C’est un ours qui poursuit un lapin.
L’ours dit :
« J’vais t’attraper, petit
salopard de lapin de merde ! »
Le lapin répond :
« Va t’faire foutre, ours de
merde ! »
Les deux traversent un champ où se
trouve une grenouille magique.
La grenouille dit :
« Stoppez-là, vous deux ! Je
suis une grenouille magique et je peux vous exaucer TROIS vœux chacun. Qui
commence ? »
L’ours :
« Moi, je suis le plus gros et
le plus fort. »
La grenouille :
« Vas-y l’ours, quel est ton
premier vœu ? »
L’ours:
« Moi, je veux que tous les
ours de mon bois soient des femelles, sauf moi ! »
La grenouille magique :
« Pas de problème ! Et toi,
lapin, que souhaites-tu ? »
Le lapin :
« Moi, je veux un casque de
moto à la grandeur de ma tête. »
L’ours regarde le lapin et dit :
« T’es vraiment con, toi ! »
La grenouille :
« Pas de problème, ton vœu est
exaucé. Voilà ton casque. L’ours, quel est ton deuxième vœu ? »
L’ours :
« Moi, je veux que tous les
ours du bois voisin soient des femelles ! »
La grenouille :
« C’est fait ! Et toi lapin,
quel est ton deuxième vœu ? »
Le lapin :
« Moi je veux une moto à ma
taille, superpuissante, ultra-turbo ».
La grenouille :
« La voilà ! »
L’ours regardant le lapin :
« Non, mais tu le fais exprès
ou t’es cave à ce point ? »
La grenouille :
« Bon, ça suffit les
engueulades, est-ce qu’on peut terminer vos souhaits ? »
L’ours :
« Mon dernier vœu est que tous,
mais alors tous les ours de l’univers soient des femelles sauf moi ! »
La grenouille :
« Ton vœu est exaucé. Et toi,
lapin, quel est ton dernier vœu ? »
Le lapin met son casque, monte sur sa
moto, démarre à fond et crie en se retournant :
« Je veux que l’ours soit gay ! »
L’institutrice s’adresse à ses élèves…
« – Alors Jean-Guy-Marie, douze
bouteilles de vin à 20 € chacune, combien ça fait ?
– À la maison, ça fait trois jours. »
Pendant un cours de mathématiques, le
prof demande à Jean-Marc …
« – Si j’ai trois pommes à
diviser en sept parties égales, que dois-je faire ?
– De la compote Monsieur ! »
Son père dit à Jean-Guy-Marie, âgé de 6
ans, « Tu dois manger tous les épinards si tu veux devenir fort comme papa.
– J’veux pas être fort comme toi, j’veux
être boss, comme maman. »
Un Américain est assis entre un
Français et un Italien sur un vol transatlantique, en classe affaires.
Ils travaillent tous trois pour l’ONU.
Après quelques verres, l’Américain dit
:
« La nuit dernière, j’ai fait
l’amour avec ma femme trois fois de suite.
Ma femme m’a dit en me préparant mes œufs
au bacon que ça n’avait jamais été aussi bon depuis qu’on s’était marié il y a
dix ans. »
Le Français rajoute :
« La nuit dernière, j’ai fait
l’amour avec ma femme quatre fois de suite, et ce matin ma femme m’a préparé un
délicieux petit-déjeuner avec des croissants en me disant que j’étais un amant
merveilleux. »
Comme l’Italien reste silencieux, le
Français lui demande :
« Et vous, combien de fois
avez-vous honoré votre femme hier soir ?
– Une fois.
– Une fois ?… Et que vous a-t-elle dit
ce matin ?
– Elle m’a dit : « N’arrête pas chéri !
» »
Un Ummo tombe en panne en pleine
campagne.
Il descend de soucoupe volante, ouvre
le capot, et se gratte la tête.
Une belle vache s’approche et lui dit à
l’oreille :
« – Tu as un problème de
carburateur !
– Merci ! Je fais quoi ? »
Elle ne répond pas.
Le Ummo avance vers la ferme, au bout
du champ.
Il rencontre un vieux fermier.
Il lui raconte son problème et termine
en lui disant qu’il pense avoir un problème de carburateur…
« – Hé ! Hé ! » fait
le vieux. « C’est Charlotte qui t’a conté ça.
– Charlotte ?
– Oui, Charlotte, une de mes vaches.
C’est elle. Je suis certain. Elle a des taches blanches et brunes ?
– Oui, c’est ça. Je pense bien.
– C’est bien elle. C’est bien elle.
Faut pas se fier, elle ne connaît rien aux soucoupes volantes.
Je vais aller chercher la grosse
Blanche. »
Une dame d’un certain âge prend l’avion
pour Londres et veut s’asseoir en première classe avec son billet de classe
économique.
L’hôtesse lui explique qu’elle doit
s’asseoir dans les sièges réservés à la classe économique.
Mais elle insiste toujours pour
s’asseoir en première classe et il n’y a aucun moyen pour lui faire changer
d’idée.
L’hôtesse va voir le capitaine Haddock,
le commandant du bord et lui explique la situation.
« OK ! Je m’en occupe. »
Le capitaine Haddock s’approche de la vieille
dame et lui chuchote quelques mots à l’oreille.
Elle ramasse ses objets et se dirige
immédiatement vers la classe économique.
L’hôtesse demande au commandant, ce
qu’il a bien pu lui dire pour que la dame change d’idée sans argumenter.
« Je lui ai dit que la première
classe ne se rendait pas à Londres. »
Un bébé dromadaire à sa maman…
« – Dis Maman, pourquoi est-ce
que j’ai ces énormes pieds avec trois orteils ?
– Eh bien, c’est parce que lorsque l’on
traverse les immensités désertiques, on ne risque pas de s’enfoncer.
– Ah… d’accord. »
Quelques minutes plus tard…
« – Dis Maman, pourquoi est-ce
que j’ai ces si longs sourcils ?
– Ces sourcils sont là pour empêcher le
sable de passer sous les paupières au cours des tempêtes de sable.
– Ah… d’accord. »
Un peu plus tard…
« – Dis maman, pourquoi est-ce
que l’on a cette grosse bosse sur le dos ?
– La bosse nous sert à stocker l’eau
pour nos longues courses dans le désert. C’est grâce à elle que l’on peut se
priver de boire pendant plusieurs dizaines de jours !
– Ah… d’accord.
Comme ça, on a des pieds très larges
pour ne pas s’enfoncer dans le sable, on a de longs sourcils pour ne pas avoir
les yeux irrités par le sable, et on a cette bosse sur le dos pour pouvoir
stocker de l’eau pour nos longues courses dans le désert…
– C’est ça !
– Mais alors maman dis-moi une chose…
– Oui mon fils ?
– Ben… maman… veux-tu bien me dire… que
fait-on au zoo de Paris ? »
Jean-Paul veut acheter un cadeau à sa
fiancée.
Après mûre réflexion, il décide de lui
acheter une paire de gants.
Accompagné de la sœur de sa fiancée, il
entre dans une boutique de vêtements.
La sœur de sa fiancée achète, de son
côté, des petites culottes pour elle-même.
À l’emballage, la vendeuse mélange les
articles du jeune homme et de la sœur. Sans vérifier le contenu des colis, Jean-Marc
envoie les petites culottes (qu’il croit être des gants) à sa fiancée qui fait
un stage à l’étranger avec la note suivante :
« Douce Chérie, voici un petit
cadeau pour te prouver que je n’ai pas oublié ton anniversaire. J’ai choisi ce
cadeau car je me suis aperçu que tu avais l’habitude de ne pas en porter
lorsque tu sortais le soir.
J’ai failli en prendre d’une longueur
beaucoup plus importante, mais la vendeuse m’a conseillé de prendre les prendre
plus courts car ils sont alors plus faciles à enlever.
La couleur est plutôt claire, et
pourrait être salissante, mais la vendeuse m’a montré une paire qu’elle avait
portée pendant trois semaines et elle était à peine salie.
La jeune vendeuse en a fait l’essai
devant moi et ça lui allait très bien.
J’aurais aimé pouvoir te les mettre
moi-même la première fois, mais je ne peux malheureusement pas être avec toi.
Sans doute beaucoup d’autres hommes les
serreront dans leurs mains avant que je ne puisse te revoir.
Pense, juste au nombre de fois où
j’aurai le plaisir de les embrasser au cours des prochaines années.
Lorsque tu les enlèveras, souffle
dedans avant de les ranger afin de chasser l’humidité qui reste toujours après
une journée d’utilisation.
N’oublie pas de les porter quand tu les
laveras pour empêcher le rétrécissement.
J’espère que tu vas les aimer et que tu
les porteras lorsque tu rentreras de voyage.
Avec tout mon amour.
Ton chéri !
P.S. : La vendeuse les portait à la
dernière mode, avec les rebords pliés en montrant la fourrure. »
Une adolescente venait d’avoir son
permis de conduire.
Elle propose à ses parents de les
conduire à l’église pour la messe !
En arrivant, la mère dit : « Merci ».
« – Pas besoin de me remercier »
dit l’ado.
« – Ce n’est pas à toi que je
parlais.
Je remerciais DIEU ! »
Les
solutions de la semaine dernière :
« Décidément,
quel beau fessier prometteur ! »
«
Dommage, Jean-Marc était en passe de la foutre… »
« Cette
joueuse de tennis a sucé bien des bites ! »
Celles
de la semaine :
« Mieux
vaut tard que jamais ! »
« J’ai
du piment pour mes dix canards… »
« Moi,
j’aime les beaux gros coussins. »
Bon
week-end à toutes et à tous !
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