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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

jeudi 9 juillet 2020

« L’écolologie », c’est vraiment du vent !

Qu’on se le dise.
 
En fait, l’éolien est en crise. Et pour cause.
Mme la « Sinistre-Elisa-bête-Borgne », avait été-t-elle informée avant de signer en catimini le décret concernant la Programmation Pluriannuelle de l’Énergie basée sur l’éolien ?
C’est la question de bon sens qu’on peut se poser. Mais le « bon sens » est chose semble-t-il assez rare au sommet de ce pays qui est le mien (que j’aime tant et qui me le rend si mal…)
Des fabricants majeurs de turbines se désengagent d’une filière qu’ils considèrent désormais sans avenir…
C’est dire !
Mais c’est passé inaperçu jusqu’au sommet de l’État…
 
Une succession d’annonces concordantes indique que les leaders européens de la filière éolienne licencient et opèrent actuellement des désengagements. Une tendance de fond importante en 2019, amplifiée par la crise du « Conard-virus », qui a mis en évidence l'extrême fragilité des industriels du vent dont la rentabilité artificielle dépend depuis plus de 15 ans de subventions européennes ou nationales !
Une paille…
Globalement aujourd’hui la mainmise des fabricants Danois et Allemands est totale.
Aucune des 8.000 éoliennes disséminées actuellement en « Gauloisie-écolologiste », n’a été fabriquée sur le territoire. Elles ont toutes été importées pour un montant que l’on peut évaluer à 30 milliards d’euros.
Et elles ne vivent que de subventions au détriment des consommateurs.
D’ailleurs vous payez une taxe sur vos factures EDF pour financer l’effort écolologiste et l’opérateur nationale s’oblige à racheter 40 € le mégawatt/h quand il le fabrique à 10 € par ailleurs.
De toute façon, il vous le refacture 100 € : Il y a de la marge et puis il fait tourner sans vent les pales des éoliennes installées pour dégonfler sa facture.
Il paraît que c’est pour maintenir les pales en bonnes conditions de fonctionnement : Parce que l’éolien, ça consomme aussi de l’électricité nucléaire…
Quand on veut marcher sur la tête, on y parvient très bien, finalement !
             
Les 8.000 à 10.000 éoliennes supplémentaires prévues par nouvelle Programmation Pluriannuelle de l’Énergie (PPE) signée le 11 juin 2020 devront elles aussi être importées. Compte tenu de cette situation, il ne serait pas impossible que ce soient les chinois qui prennent un jour le contrôle de la production d’électricité éolienne « Gauloisienne » et qu’ils mettent sous tutelle ainsi l’indépendance énergétique du territoire national et, compte tenu de la dispersion des implantations des parcs éoliens, il n’est pas exclu qu’ils prennent progressivement à terme le contrôle le financier de milliers communes rurales.
Mais ça reste à voir.
Pour l’heure, ils achètent des terres agricoles quand elles ne sont pas préemptées par les SAFER avec vos impôts…
           
Une décision structurellement incompréhensible puisque vous vous êtes engagés sans le savoir à la sécurité énergétique sous la poussée du vote « écololo » en remplaçant des sources de production d’électricité fiables et pilotables, par des sources intermittentes et imprévisibles !
Fabuleuse idée…
Mais en constatant de surcroit qu’on a ainsi confié l’avenir de la production d’électricité du pays à des producteurs de machines virtuellement en faillite, on peut légitimement s’interroger pour savoir si nos dirigeants étaient au courant de cette situation et si des informations exactes lui ont été transmises par le ministère de la transition écologique et solidaire et l’Agence de maitrise de l’Energie (ADEME), dont l’indépendance vis-à-vis des lobbys industriels éoliens a depuis des années été dénoncée par le Fédération Environnement Durable (FED).
 
En « Teutonnie », déjà l’industrie éolienne locale rencontre des difficultés. Après le groupe Senvion, dont une partie est définitivement passée sous l’aile de Siemens Gamesa en décembre, les pertes massives rencontrées en 2019 par Enercon obligent le groupe à entamer des pourparlers de restructuration avec des financiers.
Son directeur financier indique à « Recharge » que la perte d’Enercon pourrait dépasser 500 millions d’euros en 2019, tandis qu’un redressement pourrait prendre trois ans.
Enercon en difficulté a licencié 3.000 emplois en 2019 et a fermé la société de construction de mats en béton sur le territoire « Gauloisien » installé près de Compiègne qui vient de voir 70 emplois disparaître…
Pourtant, cette usine était le projet industriel phare de l’OFATE, (Office franco-allemand pour la transition énergétique-Deutsch-französisches Büro für die Energiewende) montré en exemple sur leur site.
Ce n’est pas encore « Beyrouth-des-années-80 », mais on se rapproche de la Bérézina…
 
Les grandes manœuvres dans le secteur des énergies renouvelables ne faiblissent pourtant pas, même en période de crise sanitaire. La vente de la filiale développement de Nordex serait imminente. Une transaction qui concerne directement la « Gauloisie-électrique » puisque les bureaux de cette filiale de 40 personnes sont situés à Saint-Denis, en région parisienne.
Son portefeuille de 3 GW de projets éoliens européens à divers stades de développement recherche désormais un preneur impétueux.
Son « cash-flow » 2019 est en effet sérieusement déficitaire et la situation aura du mal à être longtemps prolongé…
 
En faillite, le fabricant allemand d’éoliennes Senvion sera vendu à la découpe : L’entreprise n’a pas trouvé d’acquéreur pour la sauver du démantèlement. Quelque 4.000 emplois sont menacés.
Comme annoncé en mai 2019, le groupe allemand Siemens va bien se séparer de 55 % de ses parts dans Siemens Energy lors d’une introduction en Bourse prévue le 28 septembre 2020. Et 12 à 18 mois plus tard, il prévoit de procéder à nouveau à une réduction significative du nombre de ses parts.
Siemens aura alors quasiment tourné la page de la production des grands équipements énergétiques.
Et dire qu’on parlait encore il y a peu de restaurer la « souveraineté » des industries « stratégiques »…
On en est loin : « L’écolologie » fait faillite dans l’éolien, mais on appuie sur l’accélérateur (éolien) avec conviction pour mieux percuter le mur…
 
Les utopies ont de toute façon la vie dure : Y’a qu’à voir un peu les adeptes de « Gratte-là-Thune-Berg », qui ont voté massivement aux dernières municipales pour un projet politique qui n’est rien d’autre que du vent et persistent à lutter pour une planète plus propre avec en main leur « i-bidule » bourré de terres-rares hors de prix, fabriqué par des « petites-mains » chinoises à bas-coût que même nos robots ne font pas mieux, tout en continuant de faire la queue chez Mac-Do pour un hamburger, symbole de la malbouffe (dénoncée en son temps par « J’osais-Beau-Vais ») à la signature carbone délirante, puisque les frites viennent du Canada et la bidoche d’Argentine.
Peut-être même que la mayonnaise a été faite avec de l’huile de colza « ricaine ». Il n’y a probablement que le sel qui vient de Pologne et les royalties de l’activité repartent se cacher aux Îles-Caïmans : Elle est figée dans ses lubies, la jeunesse.
D’ailleurs, elle veut des voitures, des trottinettes et des vélos électriques, aux batteries super bonnes pour la planète.
Les batteries sont produites en Chine et tuent pleins de petits Chinois.
Puis une fois utilisées, les batteries des « i-bidules », des trottinettes, des vélos, et des bagnoles partent au « recyclage » et terminent sous forme de déchets « ultimes ».
Savez-vous ce que c’est un déchet ultime ?
C’est la quintessence d’une vraie merde environnementale dont on ne sait pas quoi faire à part l’enterrer, la jeter à la mer.
Et pour ça on a l’Afrique.
Alors « Black Lives Matter », c’est bien, mais uniquement en Occident, parce que le cours de la vie du petit Africain ne vaut pas grand-chose.
 
Pour ce qui est des éoliennes, savez-vous ce qu’elles deviennent quand il faut les démonter ?
On explique dans « Usine Nouvelle » toute la difficulté qui existe à recycler les éoliennes, surtout la partie pales et rotors bourrée de bons produits bien « super-bio-bio » et « super-écololo » pour la planète. Notre électricité est verte, et le petit africain est vert aussi quand on lui donne nos déchets ultimes à base de métaux rares et cancérigènes.
« La demande mondiale de fibre de carbone pour l’éolien est estimée à 20.880 tonnes en 2018.
Huit cent quarante tonnes de béton, 300 tonnes d’acier et 25 tonnes de composites, c’est à peu près ce que représente une éolienne de 2 MW. »
Quelques dizaines seulement de ces moulins à vent ont été démantelées en « Gauloisie-écolologiste » depuis l’installation du premier parc en 1996.
Parce que comme tout le monde, ça vieillit ces moulins-à-vent…
« Dans cinq ans, ils seront 1.500 à laisser la place à des modèles plus puissants.
Un nombre qui va inévitablement augmenter compte tenu de laccélération des investissements en matière d’énergie renouvelable prévus par la programmation pluriannuelle de l’énergie (PPE). »
« À partir de 2020, plusieurs centaines de machines devront être démantelées chaque année », prévient-on…
Alors pour cacher ces éoliennes, enfin leurs pales et leurs moteurs que l’on ne peut pas brûler tellement c’est dégueulasse et cancérigène, on les enterre.
 
Un jour, il nous faudra bien prendre « l’écolologie » au sérieux, mais seulement lorsqu’elle ne se limitera pas à nous emmerder avec le tri des poubelles, à limiter votre faculté à vous déplacer confortablement selon vos besoins et l’horaire qque vous vous fixez.
Quand ce ne sera plus pour vous faire les poches ou vous forcer à acheter des trucs encore plus polluants comme changer votre bagnole ou votre fosse à purin qui marche très bien mais qui n’a pas de bac à graisse…
Quand tous les produits que nous achetons seront réparables facilement et simplement et que nous cesserons de jeter.
Quand les « écololos » cesseront de parler de « l’industrie du recyclage », car le produit le plus écolo est celui que l’on n’achète pas, que l’on ne consomme pas, et que l’on n’a pas à recycler !
 
Il y a une industrie du recyclage que parce qu’en face il y a une industrie de la surconsommation.
« L’écolologie » deviendra sérieuse quand on s’attaquera au consumérisme débridé et que les jeunots manipulés, endoctrinés, cesseront d’être dans l’émotion de l’angoisse climatique imposée, mais dans la réflexion qui précède l’action légitime, utile et nécessaire.
Et voyez le problème avec les « Khmers verts », c’est qu’ils font la même chose que les « Khmers rouges » : De la propagande, des méthodes fascistes, et de l’endoctrinement de la jeunesse avec à la tête des jeunesses « Khmers vertes » la « Gratte-la ».
Sachez que l’endoctrinement reste détestable car toujours malsain.
 
En attendant, la « sinistre-des-cons-finés » aura signé un décret qui investira votre pognon dans du vent et dans une déconfiture annoncée et polluante : N’est-ce pas merveilleux, après tout, ces « utopies » et leur endoctrinement associé ?
Quand donc deviendra-t-on adulte dans ce pays qui est le mien (que j’aime tant et qui me le rend si mal…) ?

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