Qu’on se le dise.
En fait, l’éolien est en crise. Et pour cause.
Mme la « Sinistre-Elisa-bête-Borgne », avait
été-t-elle informée avant de signer en catimini le décret concernant la Programmation
Pluriannuelle de l’Énergie basée sur l’éolien ?
C’est la question de bon sens qu’on peut se poser.
Mais le « bon sens » est chose semble-t-il assez rare au sommet de ce
pays qui est le mien (que j’aime tant et qui me le rend si mal…)
Des fabricants majeurs de turbines se désengagent d’une
filière qu’ils considèrent désormais sans avenir…
C’est dire !
Mais c’est passé inaperçu jusqu’au sommet de l’État…
Une succession d’annonces concordantes indique que les
leaders européens de la filière éolienne licencient et opèrent actuellement des
désengagements. Une tendance de fond importante en 2019, amplifiée par la crise
du « Conard-virus », qui a mis en évidence l'extrême fragilité des
industriels du vent dont la rentabilité artificielle dépend depuis plus de 15
ans de subventions européennes ou nationales !
Une paille…
Globalement aujourd’hui la mainmise des fabricants
Danois et Allemands est totale.
Aucune des 8.000 éoliennes disséminées actuellement en
« Gauloisie-écolologiste », n’a été fabriquée sur le territoire. Elles
ont toutes été importées pour un montant que l’on peut évaluer à 30 milliards
d’euros.
Et elles ne vivent que de subventions au détriment des
consommateurs.
D’ailleurs vous payez une taxe sur vos factures EDF
pour financer l’effort écolologiste et l’opérateur nationale s’oblige à
racheter 40 € le mégawatt/h quand il le fabrique à 10 € par ailleurs.
De toute façon, il vous le refacture 100 € : Il y
a de la marge et puis il fait tourner sans vent les pales des éoliennes
installées pour dégonfler sa facture.
Il paraît que c’est pour maintenir les pales en bonnes
conditions de fonctionnement : Parce que l’éolien, ça consomme aussi de l’électricité
nucléaire…
Quand on veut marcher sur la tête, on y parvient très
bien, finalement !
Les 8.000 à 10.000 éoliennes supplémentaires prévues
par nouvelle Programmation Pluriannuelle de l’Énergie (PPE) signée le 11 juin
2020 devront elles aussi être importées. Compte tenu de cette situation, il ne
serait pas impossible que ce soient les chinois qui prennent un jour le
contrôle de la production d’électricité éolienne « Gauloisienne » et
qu’ils mettent sous tutelle ainsi l’indépendance énergétique du territoire
national et, compte tenu de la dispersion des implantations des parcs éoliens,
il n’est pas exclu qu’ils prennent progressivement à terme le contrôle le
financier de milliers communes rurales.
Mais ça reste à voir.
Pour l’heure, ils achètent des terres agricoles quand
elles ne sont pas préemptées par les SAFER avec vos impôts…
Une décision structurellement incompréhensible puisque
vous vous êtes engagés sans le savoir à la sécurité énergétique sous la poussée
du vote « écololo » en remplaçant des sources de production d’électricité
fiables et pilotables, par des sources intermittentes et imprévisibles !
Fabuleuse idée…
Mais en constatant de surcroit qu’on a ainsi confié l’avenir
de la production d’électricité du pays à des producteurs de machines
virtuellement en faillite, on peut légitimement s’interroger pour savoir si nos
dirigeants étaient au courant de cette situation et si des informations exactes
lui ont été transmises par le ministère de la transition écologique et
solidaire et l’Agence de maitrise de l’Energie (ADEME), dont l’indépendance
vis-à-vis des lobbys industriels éoliens a depuis des années été dénoncée par
le Fédération Environnement Durable (FED).
En « Teutonnie », déjà l’industrie éolienne locale
rencontre des difficultés. Après le groupe Senvion, dont une partie est
définitivement passée sous l’aile de Siemens Gamesa en décembre, les pertes
massives rencontrées en 2019 par Enercon obligent le groupe à entamer des
pourparlers de restructuration avec des financiers.
Son directeur financier indique à « Recharge »
que la perte d’Enercon pourrait dépasser 500 millions d’euros en 2019, tandis
qu’un redressement pourrait prendre trois ans.
Enercon en difficulté a licencié 3.000 emplois en 2019
et a fermé la société de construction de mats en béton sur le territoire « Gauloisien »
installé près de Compiègne qui vient de voir 70 emplois disparaître…
Pourtant, cette usine était le projet industriel phare
de l’OFATE, (Office franco-allemand pour la transition énergétique-Deutsch-französisches
Büro für die Energiewende) montré en exemple sur leur site.
Ce n’est pas encore « Beyrouth-des-années-80 »,
mais on se rapproche de la Bérézina…
Les grandes manœuvres dans le secteur des énergies
renouvelables ne faiblissent pourtant pas, même en période de crise sanitaire.
La vente de la filiale développement de Nordex serait imminente. Une
transaction qui concerne directement la « Gauloisie-électrique »
puisque les bureaux de cette filiale de 40 personnes sont situés à Saint-Denis,
en région parisienne.
Son portefeuille de 3 GW de projets éoliens européens
à divers stades de développement recherche désormais un preneur impétueux.
Son « cash-flow » 2019 est en effet
sérieusement déficitaire et la situation aura du mal à être longtemps prolongé…
En faillite, le fabricant allemand d’éoliennes Senvion
sera vendu à la découpe : L’entreprise n’a pas trouvé d’acquéreur pour la
sauver du démantèlement. Quelque 4.000 emplois sont menacés.
Comme annoncé en mai 2019, le groupe allemand Siemens va
bien se séparer de 55 % de ses parts dans Siemens Energy lors d’une
introduction en Bourse prévue le 28 septembre 2020. Et 12 à 18 mois plus tard,
il prévoit de procéder à nouveau à une réduction significative du nombre de ses
parts.
Siemens aura alors quasiment tourné la page de la
production des grands équipements énergétiques.
Et dire qu’on parlait encore il y a peu de restaurer
la « souveraineté » des industries « stratégiques »…
On en est loin : « L’écolologie » fait
faillite dans l’éolien, mais on appuie sur l’accélérateur (éolien) avec
conviction pour mieux percuter le mur…
Les utopies ont de toute façon la vie dure : Y’a
qu’à voir un peu les adeptes de « Gratte-là-Thune-Berg », qui ont
voté massivement aux dernières municipales pour un projet politique qui n’est
rien d’autre que du vent et persistent à lutter pour une planète plus propre
avec en main leur « i-bidule » bourré de terres-rares hors de prix,
fabriqué par des « petites-mains » chinoises à bas-coût que même nos
robots ne font pas mieux, tout en continuant de faire la queue chez Mac-Do pour
un hamburger, symbole de la malbouffe (dénoncée en son temps par « J’osais-Beau-Vais »)
à la signature carbone délirante, puisque les frites viennent du Canada et la
bidoche d’Argentine.
Peut-être même que la mayonnaise a été faite avec de l’huile
de colza « ricaine ». Il n’y a probablement que le sel qui vient de Pologne
et les royalties de l’activité repartent se cacher aux Îles-Caïmans : Elle
est figée dans ses lubies, la jeunesse.
D’ailleurs, elle veut des voitures, des trottinettes
et des vélos électriques, aux batteries super bonnes pour la planète.
Les batteries sont produites en Chine et tuent pleins
de petits Chinois.
Puis une fois utilisées, les batteries des « i-bidules »,
des trottinettes, des vélos, et des bagnoles partent au « recyclage » et
terminent sous forme de déchets « ultimes ».
Savez-vous ce que c’est un déchet ultime ?
C’est la quintessence d’une vraie merde environnementale
dont on ne sait pas quoi faire à part l’enterrer, la jeter à la mer.
Et pour ça on a l’Afrique.
Alors « Black Lives Matter », c’est bien,
mais uniquement en Occident, parce que le cours de la vie du petit Africain ne
vaut pas grand-chose.
Pour ce qui est des éoliennes, savez-vous ce qu’elles
deviennent quand il faut les démonter ?
On explique dans « Usine Nouvelle » toute la
difficulté qui existe à recycler les éoliennes, surtout la partie pales et
rotors bourrée de bons produits bien « super-bio-bio » et « super-écololo »
pour la planète. Notre électricité est verte, et le petit africain est vert
aussi quand on lui donne nos déchets ultimes à base de métaux rares et
cancérigènes.
« La demande mondiale de fibre de carbone pour
l’éolien est estimée à 20.880 tonnes en 2018.
Huit cent quarante tonnes de béton, 300 tonnes d’acier
et 25 tonnes de composites, c’est à peu près ce que représente une éolienne de
2 MW. »
Quelques dizaines seulement de ces moulins à vent ont
été démantelées en « Gauloisie-écolologiste » depuis l’installation
du premier parc en 1996.
Parce que comme tout le monde, ça vieillit ces moulins-à-vent…
« Dans cinq ans, ils seront 1.500 à laisser la
place à des modèles plus
puissants.
Un nombre qui va inévitablement
augmenter compte tenu de l’accélération des
investissements en matière d’énergie
renouvelable prévus par la programmation pluriannuelle de l’énergie (PPE). »
« À partir de 2020, plusieurs centaines de machines
devront être démantelées chaque année », prévient-on…
Alors pour cacher ces éoliennes, enfin leurs pales et leurs
moteurs que l’on ne peut pas brûler tellement c’est dégueulasse et cancérigène,
on les enterre.
Un jour, il nous faudra bien prendre « l’écolologie »
au sérieux, mais seulement lorsqu’elle ne se limitera pas à nous emmerder avec
le tri des poubelles, à limiter votre faculté à vous déplacer confortablement
selon vos besoins et l’horaire qque vous vous fixez.
Quand ce ne sera plus pour vous faire les poches ou vous
forcer à acheter des trucs encore plus polluants comme changer votre bagnole ou
votre fosse à purin qui marche très bien mais qui n’a pas de bac à graisse…
Quand tous les produits que nous achetons seront
réparables facilement et simplement et que nous cesserons de jeter.
Quand les « écololos » cesseront de parler
de « l’industrie du recyclage », car le produit le plus écolo est celui que
l’on n’achète pas, que l’on ne consomme pas, et que l’on n’a pas à recycler !
Il y a une industrie du recyclage que parce qu’en face
il y a une industrie de la surconsommation.
« L’écolologie » deviendra sérieuse quand on
s’attaquera au consumérisme débridé et que les jeunots manipulés, endoctrinés,
cesseront d’être dans l’émotion de l’angoisse climatique imposée, mais dans la
réflexion qui précède l’action légitime, utile et nécessaire.
Et voyez le problème avec les « Khmers verts »,
c’est qu’ils font la même chose que les « Khmers rouges » : De
la propagande, des méthodes fascistes, et de l’endoctrinement de la jeunesse
avec à la tête des jeunesses « Khmers vertes » la « Gratte-la ».
Sachez que l’endoctrinement reste détestable car toujours
malsain.
En attendant, la « sinistre-des-cons-finés »
aura signé un décret qui investira votre pognon dans du vent et dans une
déconfiture annoncée et polluante : N’est-ce pas merveilleux, après tout, ces
« utopies » et leur endoctrinement associé ?
Quand donc deviendra-t-on adulte dans ce pays qui est
le mien (que j’aime tant et qui me le rend si mal…) ?
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