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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

jeudi 2 juillet 2020

Prévisions imprévisibles…

On est dans une drôle de situation.
 
En effet, il est désormais impossible de dire aujourd’hui quel sera le futur de l’économie mondiale !
D’abord, parce que la crise sanitaire n’est pas terminée et que si la situation s’améliore dans certains pays, notamment en Europe, on ne peut éliminer l’hypothèse selon laquelle il faudrait vivre, en l’attente d’un vaccin, une série de répliques et de vagues de diffusion de la maladie (chacune entraînant de nouveaux épisodes de confinement et de ralentissement de l’activité) : Il n’y a qu’à observer le comportement des autorités chinoises, voire seulement les « Ricaines ».
De plus, mais c’est un autre sujet, Pékin déchire le pacte de rétrocession de Hong-Kong dans la douleur (un seul pays mais deux systèmes), ce qui fait hurler les anglo-saxons et trembler Formose.
Quant aux « Ricains », ils entrent dans « le dur » des élections de novembre 2020 avec des soucis sanitaires qui valent bien ceux du Brésil…
Et on commence à compter les entreprises qui déposent le bilan sur tous les continents : Une crise de « l’économie réelle » qui ne fait que commencer, alors que « les bourses » restent persuadées qu’il y aura toujours assez d’argent qui tombera du ciel pour ne pas faire faillir les fonds de pension des retraités « Ricains »…
Hallucinant, finalement !
 
Ensuite, parce que le futur sera d’abord ce qu’en feront les gouvernements et les citoyens, dans un contexte d’incertitudes radicales et de très grandes difficultés économiques et sociales.
D’ailleurs les points de vue exprimés dans les médias, qu’ils le soient en termes de constat ou de recommandations, reflètent assez bien cette situation inédite et sont innombrables : Il est difficile d’en tirer une vision claire, c’est le moins qu’on puisse en dire.
Mais on peut cependant tenter d’identifier, à partir des différents points de vue exprimés, les principales lignes de fracture.
C’est un moyen de structurer des images plausibles des trajectoires et des états du monde dans lesquels devront se déployer les politiques notamment pour l’énergie et le climat, ces « urgences » qui à défaut d’être incontournables restent bien « anxiogènes » à souhait : On vous fait sciemment surnager entre la peur d’une canicule devenue éternelle et la maladie qui vous cueille à l’improviste au coin de la rue.
Notez, ce sont des risques qui ont toujours existé.
Mais l’époque est à vous faire périr d’angoisses et ça a des conséquences !
 
Pour la dynamique du redémarrage de l’économie, plusieurs hypothèses peuvent ainsi être formulées : On peut même identifier différents profils dynamiques pour la « récupération » de l’économie, même si elle ne sera plus jamais comme avant.
Mais « ça, c’était avant » pour reprendre la pub de « Al-hun-deux-longs »…
Les macro-économistes utilisent d’ailleurs un véritable alphabet : Profil en V, W, U, L, ou encore Z (que je ne sais pas ce que c’est, sauf à imaginer une « non direction générale » qui me semble impossible) et même « Swoosh ».
Personnellement, j’ai un faible pour le symbole de « Nike » : Après une forte chute de l’activité, sur le long terme, elle remontera dans un canal haussier assis sur une pente douce.
Mais attention, avec plein de « W » plus ou moins marqués !
L’avenir nous dira si j’ai raison…
 
En effet, au cours du dernier demi-siècle, presque tous les profils ont pu être observés avec les crises pétrolières des années 1970, financières dans les années 1990 et enfin de la crise de la dette des ménages aux USA en 2008, les « subprimes », suivie de la crise européenne des dettes souveraines.
Dans son dernier « World Economic Outlook », le FMI estime à au moins 3 % la perte de croissance économique en 2020.
Au moins…
La mesure « ex-post » devrait tutoyer les 15 à 16 %, au moins dans certaines parties du monde, probablement plus en « Gauloisie-impétueuse », probablement un peu moins dans le reste de l’Europe (hors les PIGS)…
Mon effroi naît de mes « OIT » (Observations-Instantanées-Terrains), autour de ma petite-sphère d’observation : On déconfine, mais le business n’est pas au rendez-vous.
Or, comme nos entreprises « Gauloisiennes » (et plus particulièrement « Parigotes » en ce qui me concerne) restent « fragiles » (manque de fonds propres, marges étroites, concurrence exacerbée), je ne les vois pas passer l’hiver prochain, au moins pour la plupart…
Même si de « l’argent tombe du ciel » en cataractes serrées pour les « plus grosses », avec le fameux « hélicoptère monétaire » qui brasse de l’air… et du fric.
Il y aura un « choc social » et toute la question sera de savoir si notre « parachute social » sera assez costaud pour absorber la douloureuse chute…
 
Toutefois, dans les débats en cours, on peut repérer en particulier deux axes, chacun porteur de choix alternatifs et qu’il est donc possible de croiser pour finalement obtenir quatre scénarios structurants.
 
Le premier porte sur l’état des relations internationales : Ira-t-on dans l’après-crise vers une confirmation de la « démondialisation compétitive » dont des signes apparaissaient déjà avant la crise sanitaire ?
Ou assistera-t-on au contraire, du fait d’une prise de conscience des interdépendances, à un retour des efforts de coopération internationale, dans le cadre d’un multilatéralisme renouvelé ?
Le second axe renvoie à la fois sur les finalités et sur les moyens des actions qui devront être mises en œuvre pour le rétablissement des économies et des sociétés : Faut-il rechercher le retour le plus rapide possible au statu quo ante, ou faut-il au contraire prendre appui sur la nécessité d’une action vigoureuse des États pour engager les économies et les sociétés sur la voie des « transitions écologiques » qui sont tellement « à la mode », dans une logique de reconstruction « en mieux » ?
Les résultats des dernières municipales nous orientent plutôt vers cette dernière voie en « Gauloisie-verdoyante », mais il faut se rappeler que ce n’est que le reflet des opinions, que d’une « petite-moitié » de la population : Un miroir aux alouettes !
Qui fournit une image incertaine, voire simplement un « mirage »…
 
Dans le premier scénario, au lieu d’encourager une refondation, les États se recentreraient au contraire sur leurs intérêts directs à court terme et renforceraient leurs réflexes autocentrés et autres priorités propres.
Au plan économique, il s’agit de se protéger de la concurrence extérieure et de relocaliser massivement les activités productives.
Le courant est fort dans une grande partie de l’opinion, bien au-delà des simples « souverainistes » habituels (de drôate et de gôche).
Avec, pour les États-Unis, l’objectif de reprendre le bras de fer industriel et commercial avec la Chine, et pour les autres pays, de revenir sur une globalisation jugée apporter plus d’éléments de déstabilisation que d’avantages en termes de baisse du coût des produits et services.
 
L’objectif est bien celui d’une reprise rapide, en V, avec un accent mis sur la relance des activités existantes indépendamment des considérations environnementales, voire avec un retour sur les politiques existantes de protection.
Du coup, au plan énergétique (qui reste un cœur incontournable), le choix sera fait de promouvoir les solutions à moindre coût et ce sont, à court terme, celles fondées sur les énergies fossiles qui seront favorisées. Cela d’autant plus que l’arrêt d’une partie de l’économie mondiale déprime profondément les prix de ces énergies.
C’est le choix de Pékin mais tout autant de Berlin…
Alors même qu’en « Gauloisie-nucléaire » on démantèle la centrale « historique » qui compte 40 ans de bons et loyaux services sans accidents : Le résultat d’une communication « tellement anxiogène » qu’on nous réclame l’arrêt de toutes les autres…
Une absurdité phénoménale : La croissance devra s’appuyer sur l’accès à une énergie « sûre et pas cher » (voire « propre »), on le sait depuis 1973 et la Guerre du Yom-Kippour qui aura engendré le premier choc pétrolier…
Y renoncer, c’est plonger le pays dans le rationnement.
 
Dans ce scénario, la consommation de pétrole reprendrait ensuite, tirée par le redémarrage des transports, ainsi qu’en Asie la production d’électricité à partir du charbon : Contreproductif pour l’air que nous respirons.
Inversement, la crise peut affecter négativement le développement des énergies renouvelables : Les difficultés de financement freinent le développement des nouveaux projets, alors même qu’avant la crise, plusieurs gouvernements prévoyaient de réviser, parfois à la baisse, les schémas d’aide ou d’incitation.
Une reprise en V est certes encore possible dans cette configuration, mais à moyen terme une rechute reste à craindre, soit en raison d’une deuxième vague de la crise sanitaire, soit en raison d’un désajustement de la demande et de l’offre sur les marchés de matières premières, désajustement générateur de chocs de prix : On aurait alors une reprise en W et une instabilité accrue…
 
Dans un deuxième scénario, la première menace perçue est celle de la faillite de nombreux États fragiles, au Sud comme au Nord de la planète.
Le risque est celui d’une crise mondiale majeure, comparable à la Grande dépression des années 30 et que le FMI a qualifiée de « crise du Grand confinement ».
L’urgence extrême est alors d’introduire un moratoire et une renégociation de la dette, gérés par le FMI et la Banque mondiale.
Dans cette perspective ouvertement keynésienne, l’introduction de liquidités par une injection massive de droits de tirage spéciaux (DST) du FMI permettrait d’amplifier la relance.
Mais le résultat attendu serait une stabilisation des économies et une reprise rapide de l’activité et des échanges : Une reprise en V, voire en U si on assistait à un fort rebond à partir de 2021.
À mon sens, c’est peu probable – mais j’espère me tromper – pour la simple raison d’une décorrélation de la création de la masse « M4 » et la création de richesse (la Valeur Ajoutée « marchande »), le PIB mondial et les PIB nationaux.
Ce genre de « relance » ne peut que déboucher, comme dans les années 30, dans une hyperinflation incontrôlable qui ruinerait particuliers, entreprises et États.
Sauf à « shooter » l’économie mondiale aux QE successifs : La potion magique des banques centrales… tant que ça reste « coordonné » !
 
Ce type de reprise, plaçant l’urgence sur la relance de l’économie mondiale, peut conduire à faire nécessairement passer les préoccupations de développement soutenable et de transition énergétique au second plan.
En effet, le sauvetage de l’économie conduit à mettre l’accent sur un retour rapide aux anciens modèles de consommation, sur la sauvegarde des entreprises menacées (automobile, transports aériens, tourisme, etc.), enfin sur des investissements dans des industries matures.
En Europe, la question est de savoir si le « Green Deal » soutenu par la Commission « d’Ursule-de-la-Lyre » résistera aux nouvelles priorités défendues par les États membres et aux retards imposés à certaines « initiatives non essentielles ».
On va en avoir un aperçu avec « BoJo » qui peine en UK à redémarrer l’économie britannique (la vraie, pas celle de la City), tout en tenant ses promesses électorales, en cohérence avec son « hard-Brexit » de fin d’année.
Car derrière, il y a la menace de bataillons de chômeurs, que dis-je, de divisions, de corps d’armée qui se dessinent.
Et la ruine du pays…
 
Dans un troisième scénario, la crise du « Conard-virus » s’inscrit dans une tendance de fond en faveur d’une relocalisation des activités.
Avec une volonté délibérée de reconquérir des degrés de souveraineté par la relocalisation, ce scénario suppose que chaque État, chaque territoire, choisit de « compter sur ses propres forces » pour assurer, peut-être, les transitions écologiques auxquelles ils se sont engagés sous l’impulsion de « Fafa-l’empoisonneur » et de la « Cop 21 ».
On en est à préparer la « Cop 26 » et jusque-là la toundra sibérienne brûle à l’identique de l’Australienne l’année dernière et même la « forêt » du Groenland également…
 
Or, par malchance il faut compter, dans cette hypothèse, sur un ralentissement de la consommation et un recentrage des activités industrielles, qui vont entraîner la mise en œuvre d’un nouveau modèle agricole et d’un aménagement du territoire favorisant les villes de taille petite ou moyenne plus que les métropoles.
Pas certain que ce soit avec enthousiasme…
La mise en œuvre de ces nouveaux modèles de consommation et de production suppose des transformations économiques et sociales profondes qui vont attiser de nombreuses rancœurs de la part de tous les « cocus » qui vont découvrir qu’ils le sont réellement !
Les « Gilets-jaunes » en ont déjà témoigné…
Mais surtout elle ne conduit donc pas à une reprise rapide, mais plutôt à une mise en place progressive, donc à une reprise en U, et même plutôt en L pour tenir compte du ralentissement ultérieur de la croissance du PIB.
 
Ce sont les « déclinistes » qui auront le vent en poupe : Ils l’avaient bien dit et « moâ », je vous avais prévenus qu’on devra « faire avec », vivre avec eux, il y a 5 ans de ça !
Dans ce scénario en effet, le rétablissement du PIB marchand n’est plus l’objectif premier, et d’autres indicateurs de « bien-être », tout nouveau-tout neuf, seront favorisés, is en valeur et en avant.
Vous allez en avoir plein les oreilles et les yeux, tellement c’est « magique »…
Mais forcément, au plan énergétique, si la décroissance devient forte pour toutes les activités polluantes et fondées sur les énergies fossiles, inversement le développement d’une plus grande sobriété rend le moteur « consommation » de la croissance beaucoup, beaucoup moins dynamique.
 
Le développement des chaînes de production et de logistique plus courtes permettant de réduire significativement les besoins de transport, peut-être vous en porterez-vous mieux, mais ce sera le début du rationnement : Perte de pouvoir d’achat induit pour le consommateur, affaissement des productions pour les « faiseurs »… donc réduction d’activité (et de la pollution) accroissement du chômage, mise à mal du « modèle social » sous-financé, etc.
Dans cette hypothèse, les énergies renouvelables, certes, surtout dans leur version décentralisée (photovoltaïque, bioénergies, réseaux de chaleur), joueront un rôle majeur pour un approvisionnement décarboné.
Encore faut-il s’y préparer ce qui reste loin d’être le cas.
Je n’y crois pas vraiment.
 
Il est un quatrième scénario : Le « choc » du « Conard-virus » (et ceux de ses successeurs, notamment la grippe du cochon qui se prépare), auront provoqué la prise de conscience des risques encourus du fait des crises globales (virus comme changement climatique) entraînant en rebond une prise de conscience d’au moins une partie des grands acteurs de la communauté internationale.
Il n’y a qu’à voir le « choc » provoqué par le drame de George Floyd où, jusqu’à Uncle-Bens’, Y’a-bon-Banania et L’Oréal changent leurs étiquettes : Terminé la vente de produit « blanchissant » le derme (ce n’est pas moâ qui en achetais, je vous rassure : Je consomme plutôt des écrans solaires, mais pas encore des « autobronzants ») et demain les lessives ne laveront plus « blanc que blanc » mais « marron-caguasse »…
C’est dire !
Passons : Ces « grands acteurs » s’organisent pour mettre en place une reconstruction d’institutions multilatérales en faveur du développement durable, de la protection de la biodiversité, des investissements verts et de la décarbonation des systèmes énergétiques.
C’était déjà en filigrane au dernier Davos, ça le sera encore plus dans le prochain.
 
Car une réflexion commune est menée, par exemple entre l’Europe, avec son « pacte vert » (green deal) et la Chine, avec les plans « nouvelles infrastructures ».
Ainsi sont mis en place de « nouveaux pactes verts », coordonnés et amplifiés.
Ces investissements sont instaurés rapidement pour éviter que ne s’installe une stagnation prolongée.
La consommation se porte déjà majoritairement sur des produits « verts & bios » et l’investissement est un puissant vecteur de croissance : On aura alors une reprise en U, voire en « Swoosh » si l’effet d’entraînement de l’économie s’enclenche plus ou moins rapidement, dans une logique reconstruction et de croissance verte.
Naturellement, cette hypothèse renvoie à des changements importants dans l’efficacité énergétique et dans les modèles de consommation, en particulier en matière de transport.
Mais il s’accompagne d’un effort très, très ambitieux de reconstruction des systèmes énergétiques, mobilisant toutes les innovations pour les technologies bas-carbone.
Et pour l’heure, force est de constater qu’on n’y est pas non plus.
 
Parmi celles-ci, les énergies renouvelables (qui coûtent cher) connaissent un développement accéléré non seulement dans les applications décentralisées, mais aussi sur de grands réseaux électriques interconnectés.
Dans un scénario mobilisant l’ensemble des énergies décarbonées, il est alors possible que, dans certains pays, soient aussi mobilisées l’énergie nucléaire ou des solutions comme la capture et le stockage du carbone.
Là, en « Gauloisie-atomique » on a heureusement un peu d’avance (et de savoir-faire).
« Pruneau-le-Mer » ne dit pas autre chose…
 
Ceci dit tout cela n’est bien sûr pas une prévision : Dans un contexte d’incertitudes radicales, il est absolument impossible de déduire le futur du passé.
De plus, il est impossible d’évaluer aujourd’hui les probabilités d’occurrences.
Et encore moins d’y associer un degré de « désirabilité ».
Le scénario le plus souhaitable n’est pas forcément le plus probable et inversement…
On ne peut qu’espérer que le moins souhaitable ne soit pas le plus probable.
S’il ne fait pas de doute qu’au sortir de la crise, les choix politiques des gouvernements, tant au niveau de la coopération internationale que de l’importance accordée aux impératifs de transition écolologique, structureront l’état du monde de demain, sont-ils tous si bien « organisés » et « conseillés » chacun par leurs « sachants » pour aborder dans les meilleures conditions cette « phase nouvelle » du « Monde d’après » ?
Là, franchement, vue la tournure que prennent les « lignes politiques » ici et là, je ne suis sûr de rien.
Juste à espérer que l’hypothèse « Swoosh » (la moins pire des hypothèses et « ma » préférée parce que la plus probable) puisse prendre le relai durablement…

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