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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

dimanche 19 juillet 2020

Les bons côtés du « Conard-virus »…

Avoir une érection de 4 heures !
 
Mais si, ça existe ! On appelle ça le « priapisme ».
Ou bander pendant plus d’une heure sans discontinuer…
Ça m’arrive encore, mais c’est dans des situations « particulières » de sensualité et de toute façon, la « mécanique » fait des pauses.
Parce que ça t’empêche aussi de marcher normalement…
Sans ça, c’est pathologique : Il faut s’en méfier, tant pis pour vos dames !
 
C’est arrivé le 17 juin dernier (2020) : Une étude est parue dans la revue The American Journal of Emergency Medicine, racontant le cas d’un patient de 62 ans, admis aux urgences suite à un syndrome de détresse respiratoire aiguë particulièrement virulent.
En ce moment, c’est plutôt fréquent.
Deux jours auparavant, le bonhomme avait rendu visite à son médecin, se plaignant de fièvre, de toux sèche et de diarrhée.
Des symptômes qui aurait dû alerter son carabin personnel, mais manifestement peu alerte, le toubib lui prescrit des antibiotiques avant de le renvoyer chez lui.
Il est passé sous respirateur pour être atteint d’une chute de tension nécessitant le recours à des injections en intraveineuse, et le patient fut soumis à une tomodensitométrie et à une analyse du fluide présent dans ses poumons.
Il a alors fallu peu de temps à l’équipe médicale pour poser un diagnostic d’infection au « Conard-virus ».
 
Un fait étonnant a toutefois surpris les soignants lors de l’examen médical : Le patient était atteint de priapisme, un trouble caractérisé par une érection s’étendant au-delà de plusieurs heures.
(On ne vantera jamais assez l’attractivité-sexuelle des « dames pique-pique »…)
Si une personne est « affligée » d’érection incontrôlée pendant une longue durée, ça peut pousser certains à la moquerie (et d’autres à l’envie), mais le priapisme n’en demeure pas moins un problème de santé très douloureux et dangereux, requérant une intervention médicale urgente.
 
Encore mal compris aujourd’hui, il se définit par une érection durant plus de quatre heures, en dépit de l’absence de stimuli physiques ou psychologiques.
C’est là le nœud du problème, si on peut dire…
Ignoré ou mal traité, le phénomène peut laisser des séquelles permanentes au niveau du pénis, voire causer sa nécrose.
Le drame quoi : Trop mûr, il tombe, définitivement inerte…
 
Dans le cas de ce patient, l’érection se caractérisait par une rigidité des deux corps caverneux, tandis que le gland était tout mou.
Kon, quoi… pas bon pour un usage idoine !
Après quatre heures de compression à l’aide de packs de glace, l’aspiration du sang sous anesthésie locale finit par révéler des caillots de sang noir, caractéristiques du priapisme à flux réduit (PFR).
Contrairement au priapisme à flux agrandi (PFA), généré par un défaut de régulation de la tension artérielle, le PFR est plus dangereux en ce qu’il résulte d’une occlusion du flux veineux et donc d’un arrêt complet de la circulation sanguine dans la région.
 
La stagnation du sang dans les corps caverneux du patient aurait ainsi causé sa coagulation, résultant en une thrombose pénienne.
Après une extubation sans complication au terme de 14 jours, le patient a été renvoyé chez lui sans autres signes de priapisme ni séquelles notables.
Tant mieux pour lui : Sa-dame sera ravie, suppose-t-on !
 
Mais notez que ce n’est pas la première fois qu’un cas de complication thromboembolique (la formation de caillots menant notamment au risque d’embolie pulmonaire) est détecté chez un patient atteint de « Conard-virus ».
L’équipe souligne en effet dans son étude que : « De fait, les patients atteints de la Covid présentent la présence simultanée de tous les éléments de la triade de Virchow, favorisant la thrombose », à savoir : hyperviscosité, hyper-coagulation et dysfonction endothéliale (une diminution de la dilatation des vaisseaux).
Le lien entre le priapisme de leur patient et son infection au « Conard-virus » ne serait donc pas à exclure…
« Bien que les arguments en faveur d’un lien de causalité entre la Covid-19 et le priapisme, ainsi que le mécanisme ischémique du priapisme, soient très forts dans notre cas, de plus amples récits de cette nature contribueraient à renforcer les preuves », écrivent les chercheurs.
Ils ajoutent tout de même « que cette urgence médicale devrait être reconnue par les professionnels de la santé et traitée promptement pour éviter des complications fonctionnelles immédiates et chroniques. »
 
Certes, à moins que ça permette de se passer des petites « pilules-bleues » propres aux impuissants et autres « bandes-mous ».
Quoique dans son cas, la « tête-chercheuse » du missile (le gland) était resté mollasson : Le coup à « pas de bol » !
Avoir une bandaison de taureau devant « Fernande (je bande, je bande) » et un gland qui reste inerte, même qu’avec « Lulu, il ne bande plus », parce que « la bandaison ça ne se commande pas, papa » comme le chantait Brassens (Georges), c’est forcément « maladif ».
Enfin, encore un défaut à signaler au « Conard-virus » venu de Chine.
Mais il paraît qu’ils vont nous en proposer d’autres, notamment des pneumonies nettement plus létales venues de leurs steppes septentrionales, dont on ignore encore l’origine (bactérienne ou virale, personne ne sait encore…), pour vos retours de vacances.
 
Alors profiter du moment présent parce que la perspective de mourir de bandaison, franchement, je ne sais pas s’il faut en rire ou en pleurer…
On verra bien, n’est-ce pas !
Mais ça méritait d’être signalé.
 
Bonne fin de week-end à toutes et à tous !
 
I3

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