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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

dimanche 12 juillet 2020

Des effets du « Conard-virus »

Ça leur a foutu la trouille…
 
Non pas que notre civilisation soit mortelle : On savait.
Mais qu’il faille protéger l’espèce « Homo sapiens-sapiens » en l’exportant pour cause virale impromptue !
 
Vous le savez, chez les « huguenots-hérétiques », notamment anglo-saxons (mais également chez les mahométans et les feujs) avoir fait fortune est un signe distinctif du Divin qui vous élit pour « réaliser de grandes choses » en principe au profit de l’espèce humaine (ou d’autres causes, peu importe lesquelles).
Chez les papistes, on est plutôt fataliste : Avoir de « grand-pouvoirs » (y compris en faisant fortune) vous oblige à prendre de grandes responsabilités.
C’est un prêté pour un rendu et c’est plutôt une charge à laquelle on n’est jamais parfaitement préparé.
C’est probablement pour cette raison que « la fortune » des autres fait peur plus qu’envie en pays papiste, à l’inverse de partout ailleurs où la « bonne fortune » oblige autrui au respect.
Et ils sont nombreux à se penser « être élu » du Divin pour prendre en charge une partie de la destinée de l’espèce…
 
« Gates » veut vacciner tout le monde et on lui reproche déjà de vouloir nous « pucer » et de modifier notre ADN pour mieux nous stériliser…
Chez « Gogol » on veut « interfacer » l’IA avec nos organes, y compris notre âme et cerveau pour un « renouveau » de l’espèce.
« Baizos » participe à la conquête spatiale sur sa tirelire personnelle mais n’oublie pas d’avoir des projets de préservation de la planète en limitant l’étendue de l’humanité et sa proportion à saccager la planète depuis avant l’antiquité.
Et encore d’autres qui financent des projets plus ou moins obscures et malthusiens, persuadant même des ONG « propres sur elles » et autres organisations internationales (en les finançant) que l’espèce humaine est une catastrophe pour elle-même, jusqu’à vous imposer de rafraîchir le climat alors que, pauvres petites-bêtes mortelles que nous sommes, n’y sommes pour presque rien.
 
Ne pas oublier que tu engloutis demain toute l’espèce humaine dans le lac Léman, il va enfler de seulement 3 cm supplémentaires…
Un petit-rien qui ferait toute la différence jusque dans la tête d’autistes comme « Gratte-la-Thune-Berg » à peine sortie de l’enfance.
Comme disait ma Grand-mère, il faut de tout pour faire un monde.
La preuve, lui répondait Coluche, c’est qu’il y a de tout.
 
Même le « sud-Aff’ » Elon Musk veut envoyer des volontaires sur Mars en 2024 pour « assurer la survie de l’humanité et favoriser ainsi sa régénération sur Terre en cas de troisième guerre mondiale ».
Il fait ce qu’il veut de son pognon, mais il n’a pas pensé une seule seconde que ces exilés partiront avec leurs microbes et virus et leurs ambitions contrariées qui les mèneront à s’autodétruire bien plus facilement en petit-groupe qu’étalés sur 5 continents.
 
Il n’empêche des chercheurs de l’Observatoire astronomique de Strasbourg qui n’avaient rien d’autres à faire durant le confinement (les étoiles s’étaient mises aux abonnés absents) se sont penchés, eux, vers une autre destination : Proxima Centauri b, l’exoplanète potentiellement habitable la plus proche de la Terre.
Ce n’est même pas celle des « (f)ummistes ».
 
Dans cette étude, publiée sur la plateforme scientifique arXiv, Frédéric Marin et Camille Beluffi ont calculé le nombre de personnes nécessaires pour une telle expédition afin d’assurer la survie d’une colonie de façon pérenne, et ont conclu que 98 individus suffiraient…
Même pas une compagnie !
Mais un chiffre qui ne doit rien au hasard.
 
Les chercheurs se sont basés sur un code probabiliste nommé « Heritage », prenant en compte toute une série de paramètres, comme le nombre d’hommes et de femmes, leur âge, leur espérance de vie, le risque de consanguinité, etc.
Même les scénarios les plus noirs ont été envisagés, comme le cas d’une épidémie de peste se répandant parmi les passagers ou la destruction accidentelle d’une partie du vaisseau.
Oui, parce que la destruction totale mettrait fin à l’expérience, naturellement…
 
Premier critère à prendre en compte : La durée du voyage.
Proxima Centauri b est ainsi située à 4,22 années-lumière de la planète Terre, soit 4 x 1013 kilomètres.
Avec une navette de type Apollo 11, il faudrait donc 114.000 années pour parvenir à destination.
Mais en utilisant d’autres types de technologies comme l’accélération gravitationnelle, comme pour la mission Parker Solar Probe, il serait possible d’atteindre les 724.205 km/h, soit 200 km/s, d’après les chercheurs.
Dès lors, le voyage ne durerait seulement que 6.300 ans !
C’est donc cette vitesse qui a été prise comme référence de départ.
 
En fonction de paramètres de départ arbitraires, le modèle mathématique recalcule chaque année le nombre de passagers restant et compare ce chiffre avec le seuil minimal requis pour assurer la survie de l’équipage.
Finalement, les chercheurs ont trouvé une courbe de probabilité de succès en fonction du nombre de personnes de départ, et en sont arrivés au chiffre optimal de 98 (49 hommes et 49 femmes), en prenant en compte les risques d’incidents aléatoires.
 
Évidemment tout cela reste très théorique : Un grand nombre d’inconnues n’ont pas été étudiées, comme les ressources en eau et en nourriture ou le rôle de chacun des passagers.
« Il y a bien sûr d’autres questions inhérentes à un tel voyage : quel serait le régime politique à bord du vaisseau ?
Dans quel état d’esprit se trouveraient les générations intermédiaires, dont le seul but serait de se reproduire pour assurer le succès de la mission ?
Pour le moment, les implications psychologiques et sociologiques ne sont pas mathématisables », explique ainsi Frédéric Marin au site « L’Édition du soir de Ouest France ».
 
Une autre étude publiée dans « Acta Astronautica », en 2014, était d’ailleurs parvenue à un nombre bien différent concernant la pérennité d’une population lors de voyages interstellaires.
Selon cette étude-là, ce n’est pas 98 personnes mais… 40.000 qui seraient nécessaires pour assurer la survie d’une colonie.
Bref, l’expédition n’est pas près de voir le jour, d’autant plus que personne ne sait vraiment si Proxima Centauri b est réellement habitable.
Soumise à des radiations importantes, il est possible que son atmosphère et ses océans se soient évaporés et que sa surface ait été intégralement stérilisée.
Ce serait vraiment très bête pour les valeureux descendants des pionniers terriens.
Mais comme ils n’avaient rien d’autre à faire, ils y sont tout de même allés de leur publication.
 
Personnellement, je reste étonné : D’une part, 6.300 ans, c’est au minimum 210 générations qui ne se plantent pas quand au taux de fécondité emporté à bord.
D’autre part comment se répartiront les métiers répertoriés dans le fichier ROME-2019 ? Et comment assurer les formations si on manque de « talents » à bord ?
On y découvre 531 fiches regroupant plus de 10.000 appellations différentes de métiers et emplois.
Le code ROME est composé d’une lettre et quatre chiffres et il se structure en trois niveaux : La lettre (de A à N) une famille de métiers (au nombre de 14) ;
La lettre et les deux premiers chiffres identifient le domaine professionnel (au nombre de 110) ;
La lettre et les quatre chiffres, représentant le code ROME, renvoient à la fiche métier…
Comment vont-ils faire à seulement 98 ?
Notez qu’ils n’auront peut-être pas besoin de banquier ni d’inspecteur des impôts…
Mais il faudra bien un « despote » pour organiser tout ça !
 
Et puis je ne te vous dis pas l’ambiance si « Pomponette » fout le moral à zéro du boulanger-pâtissier-confiseur-chocolatier du bord sur un coup de cœur !
Ou si le bosco devient dépressif ou alcoolique, je ne te vous raconte pas les crises à la cantine…
Déjà que le coiffeur-barbier doit être deux, pour ne pas pouvoir s’auto-couper les tifs et que même un sous-marin nucléaire lanceur d’engins doit faire surface pour évacuer son chirurgien atteint d’une banale appendicite…
Je veux dire qu’on a bien vu les effets du confinement, très provisoire, vécu in vivo en « Gauloisie-éternelle », la même chose dans le vide intersidéral durant 63 siècles, je ne veux même pas savoir…
 
Incommensurable de konnerie !
Enfin, ça en aura distrait quelques-uns durant le confinement dernier et finalement ça aura mis en lumière qu’il n’y a pas de solution.
Mars peut-être, et encore…
Mais commençons déjà par notre satellite naturel…
On verra bien les problèmes que ça pose à ces exilés (provisoires) là, en ne perdant pas de vue que tous nos astronautes qui passent quelques mois en orbite à l’abri des rayons cosmiques, derrière les ceintures de Van Allen, sont bien contents de rentrer en bonne santé pour couler des jours heureux sur notre « bonne vieille Terre ».
D’autant qu’elle sera encore là quand l’espèce dominante aura peut-être disparu.
Allez savoir !
 
Bonne fin de week-end à toutes et à tous !
 
I3

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