C’est une petite pièce
Une petite pièce de 5 centimes vient de
mourir.
Après une vie exemplaire, elle monte au
paradis, un peu inquiète du sort que lui réserve Saint Pierre.
En arrivant, elle est accueillie
chaleureusement par tous les anges et Saint Pierre en personne l’embrasse et
l’installe sur le plus beau nuage du Paradis.
On la traite comme une reine, elle-même
ne comprend pas ce qui lui arrive.
Peu de temps après, c’est un billet de
100 € qui passe l’arme à gauche et arrive aussi au Paradis.
Mais là, l’accueil est nettement plus
froid et Saint Pierre lui montre un discret petit nuage en lui disant que sa
place est là.
Lui, le billet de 100 € est laissé de
côté et personne ne s’occupe de lui alors que pour la pièce de 5 centimes, tout
le monde se fend le cul en quatre.
Quelques temps plus tard, le billet de
100 € n’y tenant plus, demande à parler à Saint Pierre.
« Saint Pierre, comment se
fait-il que la pièce de 5 centimes soit traitée comme une reine et que moi, le
billet de 100 €, je sois mis de côté ? »
Et Saint Pierre lui répond :
« Toi, tu te tais, on ne t’a
pas vu souvent à la messe… »
Trois gars, dont un Ummo arrivent aux
portes du paradis.
St-Pierre leur dit :
« Messieurs, pour entrer, vous
devez gravir 100 marches sans rire. »
Les gars croient que ça va être facile.
Mais, St-Pierre ajoute qu’à chaque
marche, il y a une blague qui vient des « Histoires d’en rire » de l’Ignoble
Infreequentable.
Le premier, un Kameulf, prend un élan
et monte les marches à la course sans lire les blagues.
Et à la 58ème marche, essoufflé,
il s’arrête, lit la blague et éclate de rire.
Le second, un col-vert un peu plus en
forme, se rend à la 75ème marche.
Comme le premier, il lit la blague et
se tord de rire.
L’Ummo, contrairement aux deux
premiers, commence tranquillement, lit les blagues à chaque marche et poursuit
son ascension.
Arrivé à la 99ème marche,
bang, il s’éclate de rire.
« – Kon ! Tu étais arrivé.
Qu’est-ce qui t’a pris ?
– Ben, je viens de comprendre la blague
de la première marche… »
Quelques petites « revenues » :
Le petit Jean-Marc demande à sa
mère…
« Voudrais-tu jouer au papa et
à la maman avec moi ? »
La maman accepte et le petit lui commande
:
« Marie-Yvette, mes céréales et
mon verre de jus d’orange ! »
Le petit-déjeuner fini, il va dans sa
chaise longue et dit sur un ton impérieux :
« Marie-Yvette, apporte mon
livre à colorier et mes crayons de couleur… »
La mère s’exécute.
« Parfait merci ! »
Après quelques minutes il dit :
« OK ! On s’en va dans la
chambre à coucher. »
Marie-Yvette, inquiète, trouve que cela
avait assez duré mais elle entre dans la chambre et aperçoit le petit Jean-Marc
étendu sur le lit qui lui demande :
« Que dirais-tu, de l’idée
d’acheter une bicyclette au petit ? »
Ceux petits vieux (Jean-Marc et
Jean-Paul ?) qui discutent à l’hospice :
« – Dis-moi, qu’est tu préfères
toi, faire l’amour ou les fêtes de Noël ?
– NOEL ! Et de loin !
– Pourquoi ça ?
– Parce que ça arrive bien plus souvent ! »
Une blondasse (c’est exceptionnel ne
mas part) qui en a assez de se faire traiter de blonde idiote, se fait teindre
les cheveux en roux.
Quelques jours plus tard, alors qu’elle
se balade en auto à la campagne, elle voit une ferme de moutons.
Elle s’y arrête et s’approche du
fermier…
« – Si je peux deviner le
nombre de moutons sur votre ferme, m’en donnez-vous un en cadeau.
– Hé… pourquoi pas…
– Vous avez 235 moutons sur votre
ferme.
– Mais, vous êtes bonne ! Très bonne !
Choisissez votre mouton… »
Avant que la demoiselle quitte les
lieux, le fermier lui dit :
« – Vous êtes bonne dans les
devinettes, mais est-ce que je peux avoir ma chance, moi aussi ?
– Mais oui.
– Alors, si je devine la couleur de vos
cheveux avant de les faire teindre, me redonnerez-vous mon chien ? »
Dans l’originale, c’était un énarque
qui faisait ce pari stupide et le fermier à récupérer son chien quand il aura
deviné le métier de métier de technocrate du visiteur d’un jour…
C’est un jeune couple très timide
consulte un sexologue pour comprendre les choses du sexe et apprendre le
langage du corps.
Après la première séance, ils rentrent
à la maison et s’apprêtent à passer à la pratique.
Le mari dit à sa femme :
« – Bon alors maintenant, quand
je voudrai faire l’amour, je te caresserai le sein droit… Et quand je ne
voudrai pas faire l’amour, je te caresserai le sein gauche.
– D’accord. Et moi, comment je procède ?
– C’est simple, si tu veux faire
l’amour, tu caresses mon pénis une fois, et si tu ne veux pas faire l’amour, tu
le caresses 200 fois… »
Une diététicienne est invitée dans les
maisons de retraite pour aider les vieux à mieux manger.
« Tous les aliments que nous
mettons dans notre estomac peuvent nous causer des torts immenses si nous
mangeons mal.
La viande rouge, les boissons gazeuses,
certains fruits, les confiseries, les sucreries, il faut tout surveiller.
Même l’eau du robinet mérite qu’on la
surveille !
Mais il y a une chose qui est encore
plus terrible et dangereuse que nous tous avons mangé ou mangerons un jour, et
j’aimerais savoir si quelqu’un dans la salle, peut me dire quel est l’aliment
qui peut nous causer le plus grand tort ? »
Une mémé, assise dans une chaise
roulante, lève la main.
« – Oui madame. Vous pensez à
quoi ?
– Moi, ça été le gâteau de noces ! »
Devinette de Coluche :
« Quelle la grande différence entre
les oiseaux et les hommes politiques ?
C’est que, de temps en temps, les
oiseaux s’arrêtent de voler. »
Mais encore, quelques traits de
lucidité :
« Les politiciens, il y en a,
pour briller en société, ils mangeraient du cirage. »
« Il n’y a pas de femmes
frigides. Il n’y a que des mauvaises langues. »
« Les femmes seront les égales
des hommes le jour où elles accepteront d’être chauves et de trouver ça distingué. »
« Certains hommes aiment
tellement leur femme que, pour ne pas l’user, ils se servent de celle des
autres. »
« Je voudrais rassurer les
peuples qui meurent de faim dans le monde : ici, on mange pour vous ! »
« Je suis capable du meilleur
et du pire. Mais, dans le pire, c’est moi le meilleur. »
Un homme d’affaires en route pour New-York
arrive à l’aéroport de Los Angeles.
Un portier l’attend…
« – Bonjour Mr Sinatra, voici
votre billet. Votre avion pour New-York vous attend, porte 6.
– Mais je ne suis pas Frank Sinatra,
c’est une erreur ! »
Il finit quand même par entrer dans
l’avion.
En arrivant à New-York, un autre
employé l’attend :
« – Votre limousine est
avancée, Mr Sinatra.
– Mais je ne suis pas Sinatra ! »
Il monte quand même dans la voiture et
arrive devant un immense hôtel où le portier lui dit, en ouvrant la portière de
la limousine…
« – Votre suite est réservée,
voici vos clés, Mr Sinatra.
– JE NE SUIS PAS Sinatra… »
Dans sa chambre, il découvre sur son
lit, une superbe jeune femme !
« – Bonjour Mr Sinatra.
– … !!! Hum!!! « Strangers in the
night, la la la la ! Hello Miss ! »
La famille est à table pour le
déjeuner.
La petite fille de 10 ans lève la tête…
« J’ai quelque chose à vous
annoncer. »
Le silence se fait et tous écoutent…
« Je ne suis plus vierge, et
elle se met à pleurer. »
Après un long silence, le père se
tourne vers sa femme…
« – C’est de ta faute, toujours
habillée et maquillée comme une pute, tu crois que tu es un exemple pour ta
fille ?
Toujours à te vautrer sur le canapé, la
touffe à l’air.
C’est lamentable, c’est comme ça que
les problèmes arrivent !
– Et toi, tu crois que tu es un exemple
? À gaspiller ta paye avec des putasses qui viennent parfois te raccompagner
jusque devant la maison, tu crois que tu es un exemple pour ta fille de 10 ans ?
– Et sa grande sœur », réplique le
père, « cette bonne à rien, avec son copain chevelu et drogué, toujours
en train de se tripoter et de se sauter dans tous les recoins de la maison, tu
crois que c’est un exemple ? »
La grand-mère prend sa petite fille par
les épaules pour la consoler :
« – Alors ma petite fille,
comment cela est-il arrivé ?
– Le curé a choisi une autre fille pour
faire la Vierge dans la Crèche de Noël. »
Jean-Marc qui déambule sur une rue
commerçante est attiré par le comportement bizarre d’un singe dans la vitrine
d’une animalerie.
Le singe mange des cerises, il enlève
le noyau et se l’introduit dans le rectum, le remet dans la cerise et mange le
tout.
Jean-Marc est plus qu’intriqué, mais
faute de temps doit continuer sa course.
Deux semaines plus tard, il repasse au
même endroit et revoit le singe qui fait le même manège, soit d’enlever le
noyau de la cerise le mettre dans son rectum le remettre dans la cerise et de
manger le tout.
Complètement dépassé, notre homme entre
dans la boutique et demande au gérant :
« – Pourquoi votre singe enlève
le noyau de la cerise, le met dans son rectum, le remet dans la cerise et mange
le tout ?
– Ah oui… Il y a 3 semaines passées,
mon singe a mangé une pêche et le noyau n’a pas passé, depuis ce temps il les
essaie tous. »
Jean-Marc et Germaine sont confortablement
installés dans un restaurant pour un souper en tête-à-tête.
Depuis un bon moment, l’homme fixe une
femme saoule assise seule à la table voisine et qui fait tourner son Gin dans
son verre.
La femme demande :
« – Tu la connais ?
– Oui, c’est une de mes ex d’avant notre
mariage.
Elle s’est mise à boire quand je l’ai
quittée pour toi mon amour, il y a sept ans de ça et on m’a dit qu’elle n’a
jamais été sobre depuis…
– Mon Dieu, je n’aurais jamais pensé
qu’une femme puisse fêter ça aussi longtemps !… »
Les
solutions de la semaine dernière :
« La
jolie fille avale la bite ! »
«
Ah ce couillon de Bourges… »
« De
son amour, elle lui vrilla la queue. »
Celles
de la semaine :
« Décidément,
quel beau métier, professeur ! »
« Dommage,
Jean-Marc était en face de la poutre… »
« Cette
joueuse de tennis a subi bien des sets ! »
Bon
week-end à toutes et à tous !
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