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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

lundi 27 juillet 2020

Le nouveau féminisme

J’adore ce pays (qui est le mien…)
(Que j’aime tant et qui me le rend si mal…)
 
Je fais le ménage dans mes posts « en attente » avant de faire mes valises.
Et je tombe sur quelques notes prises à l’occasion d’une visite chez le « coupe-tifs ».
Bé oui, je suis comme tout le monde (exceptés les chauves, bien entendu), j’ai les ongles et les tifs qui poussent, parfois en touffe, notamment à la sortie du confinement.
Normalement, j’y vais autour de Noël pour paraître pas trop kon sur les photos de fêtes de famille et avant le départ en estives pour les « pays chauds », parce que… ça fait trop chaud pour mon unique neurone réfugié sous ladite touffe.
Mais là, entre l’agonie de ma « Môman-à-moâ » et le confinement qui aura suivi, j’ai avancé la coupe d’été pour cause de retard de la coupe d’hiver.
 
Et je confie « mes antennes » à « Matilda » (ce n’est pas comme ça qu’elle s’appelle, mais elle aura inspiré le personnage homonyme dans « Parcours olympiques » : Je n’ai absolument aucune imagination, même quand je « romance » », hélas… C’est comme ça !) et poireaute gentiment en feuilletant les magazines mis à disposition.
Elle, je l’aime bien : Mignone, brune, un accent de Toulouse à couper à la hache, vive et précise, c’est elle qui la première fois qu’elle m’a pris en main, juste avant de me shampoigner (je le fais tous les matins depuis des décennies…) m’aura averti : « Attention, je mouille ! »
Vous imaginez ma surprise, moâ qui ai toujours l’esprit mal placé (la faute à mon unique neurone, celui du « nerf honteux ») : Je ne lui avais pourtant rien dit ni rien fait…
 
Bref, je tombe sur la touffe, non pas de « Si-Bête-la-Diarrhée » mais d’une autre « blackette » qui est à la Une des manchettes.
Miss Traoré
Amada, Assa, ça vous dit quelque chose au moins ?
Assa, c’est la frangine d’Amada, son pauvre frangin qui n’aura malheureusement pas survécu à une course poursuite avec les « keufs » (la bande rivale de son quartier à lui).
Tonalité de l’article : « La polygamie, une expérience formidable » !
J’adore ce féminisme-là !
Si, si.
Sauf qu’il faut être cinglé.
 
Attendez, déjà que j’ai du mal à comprendre les pôves kons qui se sont faits piégés une première fois (mais bon, admettons : Il faut bien ça pour se reproduire), mais qui ont le culot de jeter la mère de leurs gosses pour en faire avec une autre, même dans les liens sacrés du mariage, mais alors en supporter plusieurs à la fois, là franchement, ça me dépasse !
Ou alors une seule dans chaque port…
C’est pourtant ce qu’affirme l’égérie féministe Assa Traoré…
Que je relis, pour penser que je n’ai pas bien compris.
Mais non, elle insiste.
 
Ce pays (qui est le mien, que j’aime tant et qui me le rend si mal…) est décidément « en marche » !
Je ne sais pas vers quoi, mais il y va…
Son gouvernement, ses manifestants – pas un mois sans que ne s’ébranle un cortège de mécontents sur le pavé – et, surtout, sa morale.
Qui avance si vite que même moâ j’ai du mal à suivre.
 
Prenez la polygamie. Eh bien, on peut désormais dire haut et fort, comme l’imprime « Paris Match » (numéro du 11 juin dernier), que c’est une « expérience formidable ».
Miss Assa, forte de l’exemple de son papa-à-elle, « leader charismatique » arrivé du Mali à 17 ans pour y travailler au service de la propreté de la ville de Paris, s’est marié quatre fois, donnant le jour à 17 enfants !
C’est marrant, « Mon Gardien », quand il s’occupait d’activité sociale dans la Kapitale (pendant que je faisais dans « la crèche associative »), m’aura raconté avoir croisé Mamada (ou une autre, je ne me souviens plus), une ivoirienne qui fait des ménages et squatte « légalement » (elle ne paye pas son loyer, ni ses charges, ni son eau, ni son électricité et encore moins le moindre impôt, même local, pas même la TVA sur sa bectance, puisque les repas de sa nichée étaient fournis par le service social de la ville) trois appartements, parce que c’est elle qui s’était mariée cinq fois, avec quatre ivoiriens de passage (le premier était un « natif » d’Île-de-Gauloisie, pour la nationalité) et avait fait 18 enfants, l’aîné et les deux suivants s’étant eux-mêmes reproduits 9 fois au total…
Normal qu’il y ait des listes d’attente dans les cités HLM, même dans le bout du 15ème Parigot…
Trois appartements, ils devaient tout de même être un peu à l’étroit…
 
Pour en revenir à notre Malien, après avoir divorcé de deux Françaises (l’acquisition de la nationalité, c’est important…), épousées successivement celles-ci, aura ensuite fait ménage à trois avec les deux dernières, d’origine malienne, Hatouma et Oumou, respectivement mères d’Assa et Amada : « Les deux compagnes cohabitent, les dix enfants qui naissent ne font aucune différence entre elles, ce sont (leurs) deux mères », lis-je un peu étonné.
Ces dernières elles-mêmes « n’ont jamais fait de distinction entre tous ces petits »…
Il faut dire qu’un bout de charbon, ça ressemble à un autre, comme les chinois entre eux : Tous pareils…
C’est donc un tableau idyllique que dépeint la jeune femme, rapporté par deux journalistes dans les colonnes du magazine sans l’ombre d’une distance critique.
J’espère que c’est sciemment : Soit pour que le lecteur s’esclaffe à tout rompre, soit pour ne pas paraître « critique » à l’égard d’un mode de vie importé des tropiques qui semble être « en décalage » avec nos horizons « policés ».
C’est que s’agissant de « minorité visible », il s’agit d’être prudent avec les mondes « associatifs » et quelques ayatollahs qui en ont pris le contrôle, quand on est « journaleux »…
 
Moâ, je ne sais pas, ça ne m’a jamais gêné de travailler avec des blacks, des blancs, des beurs et même des asiatiques (ou des « feujs ») : On respire tous le même air pollué et vivons les mêmes galères sous la même botte de nos dirigeants politiques, même ceux qui se prétendent « Jupiter ».
J’ai autant de respect pour les uns que pour les autres. Peut-être plus quand en plus certains se montrent au-dessus du lot et partagent volontiers leur savoir-faire et compétences : C’est toujours très enrichissant.
 
L’inconvénient, c’est que parfois leurs travers déteignent un peu : Par exemple j’ai appris à faire la différence entre un ashkénaze et un sépharade, entre un juif-turc et un juif anglo-saxon, voire un grand-blond aux yeux bleus qui habite Tel Aviv.
Je sais aussi distinguer un Marocain d’un Algérien au premier coup d’œil, à me méfier d’un Tunisien (surtout quand il est « feuj »), à estimer un Égyptien, que je ne confonds pas avec un Arabe ou un Perse, voire à apprécier un Libanais (surtout quand c’est une Libanaise).
Je sais les antipathies maladives au sein du Maghreb entre Berbères et Kabyles.
On m’a également appris la haine viscérale des chinois entre eux et surtout avec les nippons, mais encore, de façon plus nuancée, avec les coréens, les peuples du Sud (Cochinchinois) qui ne se blairent pas entre eux.
Quant aux peuples d’Afrique, je m’y perds un peu, même quand ils se battent à coup de bazooka aux Périchaux (en bordure des boulevards des Maréchaux à « Paris-sur-la-Seine ») mais là encore, l’Histoire aura laissé de profondes blessures : Après tout, qui fournissait des esclaves aux négriers du nouveau continent durant des siècles ?
 
Pour en revenir à Assa, née « Gauloisienne » comme moâ-même, ayant peut-être aussi fréquenté les « ékoles publiques » de la République tout comme moâ, en réalité ce n’est d’ailleurs pas la première fois qu’elle s’essaie à un tel plaidoyer : On se souvient tous d’un portrait qu’aura fait d’elle « Libé » (ce torchon devenu « politiquement correct »), le 6 septembre 2016, où elle évoque son enfance qui a été « très heureuse » : « C’est souvent mal vu, la polygamie, mais nous, on est une famille très liée. J’appelle la mère d’Adama maman. »
Oui, pourquoi pas : J’appelle bien « mon chaton » des personnes qui savent se faire « chatte » rien que pour mon plaisir de pouvoir leur faire plaisir.
(Je ne vais quand même pas dire « ma grosse dinde », ce serait inélégant…)
 
Au risque de casser l’ambiance très « Petite Maison dans la prairie » et de jeter un froid, si la polygamie est souvent « mal vue » – on se demande bien pourquoi ? –, dois-je rappeler qu’elle est surtout totalement illégale dans notre pays, interdite par l’article 147 du Code civil.
Et poursuivie dans le Code pénal.
Que déjà, les « ménages à trois », ça aura inspiré bien des libertins et toute une littérature comique, à la Feydeau !
Rappelons que la lutte contre la polygamie – au même titre que celle contre l’excision – fut, jadis, un des grands et beaux combats des féministes des « beaux-quartiers » !
Après tout, ce n’est jamais qu’une forme déguisée d’esclavagisme, l’appropriation « consentie » du corps d’autrui, ni plus ni moins qu’une forme de prostitution qui a encore cours dans nos pâtés d’immeuble.
Et après on s’étonnera des « tournantes » dans les caves des mêmes…
 
Or, les associations féministes, comme « Osez le féminisme ! », ont fait, et sans hésiter, de « Assa » leur égérie, la conviant à l’occasion et relayant ses actions.
J’admire l’inversion du « bon sens » quand c’est le fait d’ignares…
Les magazines féminins comme « Causette » ou « Elle » exaltent bien « une militante charismatique et tenace » à laquelle ils tressent des couronnes de lauriers !
Magnifique l’aveuglement des médias « aux ordres » sous perfusion de coke !
Personne ne semble lui tenir rigueur de ses prises de position « un peu osées » en matière de mœurs et de régime matrimonial.
Il est vrai qu’en nos temps libertaires, les « trouples » bénéficient déjà, dans la presse, d’une indulgente curiosité, ultime étape avant sa normalité.
Alors si, en plus, les intéressées et leur progéniture, comme l’assure Assa Traroé, nagent dans la plus parfaite félicité…
Que leur apprendre d’autre ?
 
Aucune de ces féministes, ni même Assa Traoré, n’aura dû lire de littérature africaine.
Notamment, l’écrivain Birago Diop, qui a couché par écrit les récits traditionnels des griots, décrit, dans Les Contes d’Amadou Coumba, toute la souffrance des femmes forcées à la polygamie.
On y lit même que les « Mamelles », célèbres collines de la corniche dakaroise, doivent leur présence au suicide – par jalousie et par rancœur – de l’une d’entre elles. Ou peut-être d’avoir perdu un de ses maris parti conquérir le « nouveau monde » dans des plantations tenues par des Becquets…
Dakar posée en face de l’Île de Gorée, dernière étape avant « les colonies »…
Mais en fait, qui imagine que les féministes de 2020 s’intéressent réellement au sort des femmes, soumises au patriarcat venu du tréfond du moyen-âge d’un autre continent qui n’a pas eu accès « aux Lumières » fussent-elles africaines ?
Assez écœurant finalement…
 
Le pire n’est pas là : On nous fait croire à une nouvelle « affaire Dreyfus » dont serait victime la jeunesse des faubourgs dès lors qu’elle est un peu bronzée.
Et on nous donne des leçons de morale et même de droit de procédure pénale.
Attend, moâ je veux bien : Tout est perfectible, alors pourquoi pas ?
Je veux bien qu’on donne des gages de bonne volonté à rouvrir une enquête close depuis plusieurs années pour ramener le calme dans les esprits et rétablir l’ordre public.
Je veux même bien que « Jupiter », qui n’était pas « aux manettes » à l’époque des faits, ne se retrouve pas à gérer une nouvelle « affaire Leonarda » (dont on n’entend même plus parler) : Je peux comprendre.
C’est le temps d’une saison, pas plus.
Mais de là à en profiter pour me donner des leçons de morale civile, il y a un pas tout de même !
 
Franchement, il est où le « pacte républicain », celui d’en respecter les lois et règlements, même les plus absurdes, qu’on signe toutes et tous tous les jours en vivant sur le territoire de ce pays (que j’aime tant et qui me le rend si mal…) ?
Je suis un grand tolérant devant l’Éternel, mais il ne faut pas abuser, parce que sans ça, on va droit vers une dictature encore plus féroce que celle dans laquelle nous survivons et ça terminera en guerre civile permanente si elle n’est pas saignante et bien sanglante dès les premières heures.
Ou à honorer un Dieu qui n’est même pas « papiste »…
L’horreur !
 
Mon « pote-stalinien-coco », lui regrette la fermeture des « camps de rééducation » : « Au moins, on lui apprendrait à vivre, à celle-là ! » (C’est « rigoureux », un « stal », sur le plan moral : Irréprochable, patriote et casier judiciaire vierge…)
Que je lui aie répondu que c’est en Chine, les camps de rééducation.
Staline, il avait les Goulags.
« Et des asiles d’aliénés. Faut être fou pour s’opposer à la Vérité historique et scientifique ! »
En attendant, je vide mes réserves à post.
Et si ça ne m’amuse pas forcément, je suis ravi de pouvoir m’insurger (au moins un peu).

2 commentaires:

  1. Les kabyles sont des berbères. Par contre les berbéristes kabyles s'opposent aux "Arabisés" algériens afin de faire reconnaitre leurs spécificités culturelles et particulièrement leur langue.Certains peuvent même être séparatistes.

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    1. Non, non : Ils vivent dans les mêmes régions côtières ou montagneuses (quoique…, il y a les portes du désert de l'autre côté de la montagne et des Touaregs), mais je peux faire une différence entre une Kabyle et une Berbère.
      Notamment avec la couleur des yeux.
      Mais aussi avec les noms, parfois d'essence européenne (Wisigoths) pour les uns et pas pour les autres.

      Maintenant, clairement ils ne supportent pas vraiment les "arabes" auxquels ils sont mélangés, en fait des Maghrébins qui parlent arabes parce qu'ils ont été mahométisés avec le Coran et viennent vraiment d'Arabie, il y a plusieurs générations de ça, longtemps le seul livre disponible (notamment avant l'arrivée des "Gauloisiens").

      Mais il y en a d'autres encore, mais là je commence à m'y perdre pour n'avoir pas toujours été en contact.

      Bien à vous, JP2 !

      I-Cube

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