Probablement indispensables…
Mais pour qui ? Pour quoi ?
C’est un peu comme les « lunettes-noires » : Ça dissimule
une partie du visage, or, rappelez-vous, en « Gauloisie-impérieuse »,
c’est parce qu’il est interdit de dissimuler son visage (des fois que l’on ne
puisse plus vous identifier en vidéo-surveillance) que l’on a interdit le
tchador jusque dans les établissements publics de la République, la burqa et même le burkini !
Bon, les prétextes présentés n’étaient pas vraiment ceux-là, vous vous y
attendiez : On a prétendu que « masquer » des femmes, c’était un
signe « ostentatoire » de religiosité, forcément férocement anti-laïque,
donc « anti-républicaine », le signe incontournable de la soumission
de la condition féminine antiféministe et discriminatoire anti-égalitaire…
Des « piliers » incontournables du si bon « vivre
ensemble » soi-disant garanti par notre constitution et les institutions…
républicaines !
On n’est plus à paradoxe près, puisque la doxa reste au
« respect » des minorités qui imposent leur façon de vivre jusqu’à Ajaccio, l’impériale (et encore ailleurs sur le territoire
national).
Les « lunettes-noires », c’est soi-disant pour protéger les
pupilles et les maculas des ardents rayons de l’astre diurne.
Moâ, ça me fait marrer quand elles sont portées dans le métro, les musées
et d’une façon plus générale dans les lieux naturellement
« assombris » !
À une époque, on avait même accès à des verres qui s’assombrissaient tout
seuls et mettaient bien dix minutes pour redevenir clairs… Juste le temps de se
prendre les portes à demie-ouvertes en travers de la tronche.
En fait, pas du tout : Les lunettes-noires servent seulement à
dissimuler votre regard ! Vous ne pouvez pas savoir, de l’extérieur, où
celui qui les porte sur le nez, porte son regard (quelle paire de fesses en somme),
ni s’il dort ou reste attentif !
Et puis, ça aura été la marque de fabrique universelle des « truands
de cinéma » : Le mek qui portent des verres fumés, c’est celui qui
est désigné comme voulant cacher quelque chose à l’en faire devenir suspect de
crapuleries.
Désormais, même les « agents secrets » et autres
« garde-du-corps » ne se font plus remarquer avec ça (ils ont
l’oreillette vissée au crâne) : Ou alors c’est juste pour « faire
genre », comme la plupart des minettes qui se baladent quasiment à poils dans
les rues de Saint-Tropez mais ont des binocles noires fantaisies jusque dans
les boîtes de nuit de la région !
Bé, le masque, c’est pareil, mais « à l’envers » !
Celui qui n’a pas le sien, il est immédiatement suspecté d’être
« contaminant », c’est-à-dire « très dangereux » !
Quelqu’un qui vous veut manifestement « la mort »…
À éviter de toute urgence jusqu’à bientôt changer de trottoir.
Et encore plus drôle, ce sont les types (et femmes) que vous croisez dans
les rues qui s’étirent les oreilles avec leur masque, mais le portent sur le
menton !
Là franchement, ça me fait rire, parce que ça ne sert à rien.
Notez, elles et ils ont raison : Le masque ne sert à rien, même les
chirurgicaux dans la mesure où on vous raconte que ça vous protège des
infections virales…
Non, ça protège juste des projections accidentelles d’agents pathogènes sur
les plaies des patients qu’on charcute !
De toute façon, il faut être clair : Si un bout de coton, de laine ou
de tissu protégeait de l’air qu’on respire, il n’y aurait jamais eu d’armes
chimiques, bactériologiques ou virales, c’est une évidence…
Or, elles existent et il faut de lourdes tenues, des tenues de
cosmonautes, des combinaisons de plongée profonde ou des masques réellement
étanches en plexiglas ou en verre pour vous en protéger dans n’importe quelle
armée du monde, tout le monde sait ça.
Un peu comme les « lunettes de soleil » des pilotes de
chasse : En cas de risque d’explosion nucléaire, c’est carrément un
bandeau qui occulte totalement un des deux yeux, comme ça le pilote peut
revenir avec son second œil si le premier est brûlé par le
« flash nucléaire »…
Oui mais alors, pourquoi tout ce cirque autour des masques ?
Un coup, même l’OMS dit que ça ne sert à rien, puis recommande son port
généralisé le coup suivant.
Un coup, on réquisitionne tout ce qui existe pour « les
soignants » (ceux que vous applaudissiez à 20 heures en plein air depuis
vos fenêtres dans une atmosphère contaminée), puis, au coup suivant, on vous
oblige à en porter sous peine d’amende…
Serait-ce pour écouler les stocks ?
Soyons sérieux : Certes, le prix franco de port livré depuis la Chine
aura été divisé par dix et on ne sait plus quoi faire des excédents (qu’on
n’arrive même plus à stocker).
Mais tout de même.
Il faut suivre le déroulé de l’opération : Le « conard-virus »
est apparu en Chine en décembre 2019, peut-être même un peu avant. Depuis, il a
fait des centaines de milliers de morts dans le monde : Une aubaine
inespérée pour tous les « déclinistes » de la planète !
En fait même pas : Ce qui tue, ce n’est pas la charge virale ni même
le virus lui-même, mais l’hyper-réaction immunitaire des victimes contaminées.
On pourra toujours dire que si elles n’avaient pas été infectées, elles seraient
peut-être encore là parmi nous à en rire.
Ce qui n’est pas faux.
Et pour limiter la propagation de ce « Conard-virus » et,
notamment en l’absence de traitement ou de vaccin, différentes mesures ont alors
été imaginées.
Parmi lesquelles, le port d’un masque, les « gestes barrières »,
la « distanciation sociale », se laver les mains régulièrement au
savon, se désinfecter avec une solution hydroalcoolique (éventuellement
comestible comme le whisky, la vodka, le gin, le pastis et quelques
autres : 60 % d’eau pour 40 % d’alcool pur !).
Pourtant rappelez-vous, au début de la crise sanitaire,
« Si-Bête-la-Diarrhée » et avec elle tout le gouvernement dont elle
portait seulement « la parole » recommandait de NE PAS porter de
masque, préférant vous coller en « garde-à-vue » chez vous pendant 14
jours, période plusieurs fois renouvelée, jusqu’à faire 55 jours (de Pékin ? Un hasard : Nous étions en
guerre, mais pas contre les Boxers !).
Mais alors, pourquoi imposer maintenant le port de masque à la population
entière, par la force et l’intimidation économique punitive (amendes, fermeture
d’entreprises, etc…) ?
Là, c’est le « punitif » qui reste important : Tu es
directement frappé au porte-monnaie quand tu achètes ton masque et si tu ne
l’achètes pas (parce qu’il n’est même pas remboursé par tes « excellentes
assurances sociales ») tu payes l’amende (qui peut monter très vite à des
niveaux diriment en cas de récidive : Faut avoir les moyens d’assumer avec
des « revenus imposables & cotisables », figurez-vous !).
Bref, on va pouvoir rejouer « au gendarme et au voleur » sur les
grands-boulevards, style « pas vu pas pris ! »…
C’est le même mécanisme qu’on nous répète à en avoir une
indigestion : Souvenez de l’autre « dada », jusque-là, des
« autorités », c’était la bagnole (et ce pouvoir de se libérer de son
environnement immédiat, n’importe quand : « L’horreur » pour les
« sachants » qui ne savent pas tout de vos pulsions).
On nous a imposé la vignette verte (qu’il fallait acheter), puis la
vignette « Crit’air » (qu’il fallait également acheter). On vous a
fait caguer avec le « Gilet-jaune » devenu obligatoire (qu’il fallait
acheter), avec « le triangle » dans le coffre (qu’il fallait acheter),
avec l’alcooltest (estampillé) obligatoirement présent (qu’il fallait acheter)…
et j’en passe (la ceinture de sécurité, le contrôle technique, la vignette
assurance, etc. etc.).
Que des coûts que si tu ne les assumes pas, tu deviens « hors la
loi » !
Que des trucs, qui s’ils peuvent être utiles, désormais plus personne ne
les contrôle, sauf le jour où on veut vraiment te faire caguer un maximum
(probablement par un mek en uniforme qui vient de découvrir qu’il est cocu
tellement il est kon sous son képi, ou une « gendarmette » qui
« voit passer la Lune »).
J’espère au moins que ça rend tout ce beau-monde un peu plus heureux
d’être né sur cette planète et à notre époque…
Eh bien, pour résumer, cette histoire de masque ressemble si fort à tout
ce qu’on a connu qu’il s’agit probablement et seulement d’une opération
psychologique qui vise à changer le comportement de la population, de façon à
créer un contexte qui permettra l’introduction (probablement imminente) de
mesures totalitaires à l’échelle mondiale au prétexte médical et technocratique !
Tout en rendant délibérément la population malade par le port du masque,
physiquement (parce que porter un masque fait que le taux d’oxygène dans le
sang baisse et vous auto-contamine).
Parce que l’on finit par réinspirer son propre CO2 et l’air éventuellement
toxique expiré, tout ça en moins de 30 secondes.
Mais il y a également un effet psychologique recherché, celui où le port
du masque interrompt et perturbe le contact social et la communication entre
individus : Il faut que vous sentiez le plus isolé possible sous prétexte
de vous protéger !
Détestation de tout ce qui n’est pas « vous & votre monde »
au programme…
Ce port du masque est présenté comme une mesure « préventive »,
tout en allant à l’encontre des recommandations de février 2020 :
Heureusement qu’ils ont changé de « Premier sinistre » parce qu’on
aurait dû envisager l’internement psychiatrique de « Kungfu-Panda » pour
« dédoublement de la personnalité » qui aurait sauté aux yeux de la
planète entière, un peu comme pour « McDo-Trompe » (mais celui-là, on
savait depuis le début que c’était un dangereux menteur…)
Et vous aurez noté quoi ?
Bé la continuité : Après tout, « Casse-tête », le nouveau
« Premier sinistre », non content de reprendre à peu-près les mêmes
« sinistres » après un petit « jeu de chaises musicales »,
n’est autre que « Monsieur déconfinement » !
Bref, toujours les mêmes avec leurs mêmes lubies : Rien ne change
mais on vous fait croire l’inverse…
Attendez un peu : Que pourraient prévenir les mesures du décret actuel
ce que les recommandations précédentes ne pouvaient pas ?
Pourquoi est-ce que l’OMS recommandait de NE PAS porter de masque s’il n’y
a « pas de symptômes » ?
Est-ce que les mesures qui sont imposées peuvent protéger contre
quelconque infection « virale » ou même « bactériologique »,
si l’on veut vraiment y croire ?
Pour nous protéger il n’existe hélas pour l’heure ni traitement efficace
démontré ni vaccin, que vous ayez ou non quelques symptomes.
On nous a fait tout un plat avec la Quinine de « Rat-out », on
spécule en bourse (qui font et défont des fortunes) sur les labos et
« McDo-Trompe » claque le pognon monstrueux du contribuable
« ricain » en achetant un truc, des doses de vaccin, qui n’existe
même pas…
En fait seuls un confinement assez strict et l’application de gestes
barrière semblent fonctionner.
Des gestes que nous avons tous appris à connaître : Tousser ou éternuer
dans son coude, éviter de se toucher le visage, se laver les mains et garder
ses distances.
Moâ je veux bien, mais quand j’éternue, même dans mon coude, si je ne m’arrache
pas le bras, c’est tellement violent qu’il faut en refaire les plâtres et les
peintures…
Des mesures, faut-il reconnaître qui pourraient bientôt être renforcées
par le port d’un masque obligatoire, même au bord de la plage estivale.
Une recommandation pas si simple à suivre, compte tenu de la pénurie de
masques qui va faire rage après avoir cruellement manqués au début de la crise
sanitaire.
Les masques FFP2, qui protègent ceux qui les portent de 94 % des
particules jusqu’à une taille de 0,6 micromètre et les masques chirurgicaux qui
protègent les autres des projections de gouttelettes contaminantes, se doivent
toujours être réservés aux personnels de santé.
Mais des masques alternatifs sont désormais produits à destination des
professionnels au contact du public. Ils filtrent entre 70 et 90 % des
particules de 3 micromètres : C’est tout de même 5 fois plus gros… et
laisse passer les plus petites.
Or, retenez-vous bien, la taille du « conard-virus » est de 0,15
microns, quatre fois plus petit que ce que peut filtrer votre masque
chirurgical, là où un globule rouge fait … 7 microns !
Essayez donc de saigner derrière votre masque, et vous verrez…
Bref, ça protège des postillons, mais pas vraiment des virus :
Peut-être y aura-t-il au bout du bout un recul de la tuberculose, finalement.
Le plus drôle c’est que pour le grand public, ce sont aujourd’hui les
masques en tissus faits maison que les autorités encouragent à apprendre à
porter.
Pourtant de vraies passoires qui ne protègent rien du tout, pas même du
vent.
Mais en respectant quelques règles plutôt strictes, comme se laver les
mains avant et après l’utilisation d’un masque, ne pas toucher ni déplacer le
masque une fois ajusté, l’enlever par l’arrière, etc. on vous donne l’illusion
du sérieux « scientifique » de la protection sanitaire imposée.
Essayez donc de moucher un nez qui coule avec ça, ou de vous curer une
narine qui vous démange…
Et après on s’étonne (on fait semblant de s’étonner) de l’apparition de
nouveaux clusters !
Moâ, je ne suis pas étonné et vous annonce qu’il va y en avoir tout
l’été et au-delà de la saison de la grippe saisonnière : Une façon comme
une autre de bien vous laisser vivre dans l’anxiété d’être contaminé et de
vouloir tuer vos compatriotes en les contaminant !
Ne pas porter de masque (même pour éviter la buée sur les lunettes de
soleil, ou fumer un clope), c’est non seulement prendre le risque d’une amende
et d’un contrôle d’identité inopiné, mais c’est tout simplement devenu l’outil d’une
dictature « du premier regard » (ou le retour du contrôle « au
faciès » mais généralisé : Vous allez savoir ce que ça veut dire que
d’avoir une « sale-gueule » et pas seulement « un peu
bronzé » !).
Facile à repérer, le contrevenant est systématiquement stigmatisé au
premier regard et présumé être un criminel en puissance (de
contamination) !
J’admire la méthode, finalement…
Car je suis le premier à y adhérer en vous recommandant de faire attention
à vous et aux autres : N’allez pas visiter vos « vieux » (même à
héritage), vous les tueriez.
N’allez pas bécoter la première venue sans exiger son certificat de
séronégativité (comme au bon vieux temps du SIDA et des MST).
Évitez de fumer en extérieur, mais réservez-vous un
« petit-coin » clos pour mieux empester le tabac froid : Le
remise du masque en sortant vous permettra de découvrir qu’en plus vous puez
l’ail (ou le camembert, ou la picole) !
Et puis tant qu’à faire, si vous devez recevoir des amis chez votre vous à
vous-même pour en vider quelques-unes, équipez-vous convenablement :
1 – Ils laissent leurs pompes sur le palier et enfilent des surchaussures sur leurs chaussettes ;
2 – Ils se lavent les mains abondamment avant de toucher à quoi que ce
soit, sont aspergés de gel hydroalcoolique et enfilent des gants chirurgicaux avant d'accéder dans votre salon ;
3 – Ils viennent en K-Way, pantalon coupe-vent, capuche capelée bien
serrée sur les tempes ;
4 – Masque obligatoire jusqu’en haut du nez : Ils boiront avec une
paille (écololo) glissée entre le masque et la joue ;
5 – Ils protègent leurs yeux avec des lunettes de plongée ou de ski ;
6 – Et faites la photo ainsi déguisés : Ça leur fera des
souvenirs !
Parce que je ne suis pas certain que vous les reverrez avant longtemps
après un pareil accueil !
L’objectif final ?
De quoi en rester durablement perturbé du rachis…
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