Revisitées
par Jean-Marc
Un jour, un curé s’est engagé dans une
course, sur son âne nommé « Q », et il a gagné.
Le curé était tellement content de son
âne qu'il s’est engagé de nouveau dans une autre course et il a gagné encore
une fois.
La radio locale annonce dans sa
matinale :
« Le
Q du curé va de l’avant ».
L’évêque était tellement contrarié par ce
genre de publicité qu’il a ordonné au curé de ne pas inscrire l’âne dans une
autre course.
« Le
Q du curé déplait à l’évêque » a repris la radio.
C’en était trop pour l’évêque alors il
ordonna au curé de se débarrasser de l’âne.
Le curé le donne donc à une religieuse
dans un couvent proche.
Les chroniqueurs de la radio, entendant
la nouvelle, annoncent le lendemain :
« Une
nonne a le meilleur Q de la contrée ».
L’évêque s’est évanoui.
Il a informé la religieuse qu'elle
devrait se débarrasser de l’âne.
Alors elle l’a vendu à une ferme pour
10 €.
Le lendemain, la radio disait :
« Une
nonne vend son Q pour 10 € ».
C’en était trop pour l’évêque alors il
ordonne à la religieuse de racheter l’âne et le conduire dans les plaines où il
pourra courir à l’état sauvage.
Le lendemain, les titres aux infos :
« La
nonne annonce que son Q est libre et à l’état sauvage ».
L'évêque a été enterré le lendemain.
Il aurait mieux fait de s’occuper de
ses fesses…
Pourquoi les politiciens
établissent-ils de si généreux programmes pour les détenus alors qu’ils coupent
dans le système de l’éducation ?
Parce qu’ils savent qu’ils n’auront pas
besoin de retourner à l’école…
Encore un « vieille » revue
par Jean-Marc :
Un employé d’une grande entreprise
passe un coup de téléphone, et dit :
« Eh ma poule ! Tu bouges tes p’tites fesses et tu me montes un café au
plus vite ! »
À l’autre bout de la ligne, une voix
très masculine répond :
« Dis donc, espèce d’insolent ! Tu t’es trompé de numéro ! Tu sais à qui
tu parles ? Au Président Directeur général ! »
Et l’employé lui dit :
« – Et toi espèce d’idiot, tu sais à qui tu parles ?
–
Non ! »
Et il raccroche…
Jean-Marc se présente à son futur beau-père et
lui demande :
« – Monsieur, je désire épouser votre fille.
–
Mon gars, as-tu bien regardé ma femme ?
–
Certes, Monsieur, mais à y bien réfléchir, je préfère votre fille ! »
Il était pourtant prévenu…
« – Bonjour Samuel !
–
Bonjour Jacob !
–
Quelle chaleur, hein ? Tu viens boire un verre ?
–
Non merci, Samuel, j’ai pas soif !
–
Allez viens… C’est moi qui paie.
–
C’est vrai qu’il fait chaud, hein ? Allons-y ! »
Jean-Marc organise un concours…
« Celui qui lancera le marteau le plus loin n’aura pas besoin de
travailler pour le reste de sa vie. »
3 participants : Un menuisier, un
cordonnier et un assisté social lancent le marteau à tour de rôle.
Le menuisier le lance à 500 mètres, le
cordonnier à 800 mètres et l’assisté social le lance à 1.000 mètres !
Ce dernier, au moment de lancer son
marteau, a crié de toutes ses forces :
« Moé, travailler ? Jamais ! »
En fait, c’est une « revenue »
des « Histoires d’en rire des aventures de Dumé » (en
livre broché à la demande).
Le Corsu gagne au JO d’été à l’épreuve
du lancer de marteau. Commentaire : « Quand j’ai vu cet outil de travail, je l’ai lancé le plus loin possible
de moi ! »
Pendant une garden-party, une fringante
veuve repère Jean-Marc et demande à une
invitée qui il est.
« C’est un riche cadre-supérieur ambitieux et vieux garçon. Ses parents
sont morts et il ne s’est jamais marié. »
La dame ne fait ni un ni deux et
s’approche de notre homme.
« Il y a un moment que je vous observe, et vous ressemblez furieusement à
mon deuxième mari. »
Jean-Marc sourit et lui demande :
« – Il est ici votre deuxième mari ?
–
Non. Je ne suis pas encore remarié. »
Ce qui me fait penser à cette blonde
pétulante croisée à la fac à une époque où on pouvait encore fumer dans les
amphis.
« Tu fumes des gitanes. Va falloir que tu passes aux blondes… »
Encore une « vieille-revenue »
à peine améliorée :
Deux vampires rentrent au petit matin,
juste avant le lever du jour, dans la crypte d’une vieille chapelle abandonnée
pour y réintégrer leur cercueil et s’endormir pour la journée.
L’un dit à l’autre :
« –
Oh toi, tu n’as pas l’air d’être bien… Tu es malade ?
– Non,
mais je n’ai pas trouvé de victime à mon goût et je n’ai pas eu mon compte de
sang humain. D’ailleurs, je vais ressortir et essayer de me trouver un humain à
mordre, sinon je sens que je vais passer un mauvais jour dans mon cercueil.
– C’est
trop tard, tu ne peux pas ressortir, il fait presque jour. »
Mais, sans écouter son ami, notre
vampire s’élève d’un battement d’ailes, franchit la fenêtre, et quitte la
chapelle.
Trente secondes plus tard, il revient,
le visage et le torse couverts de sang, et s’assied dans son cercueil.
« – Wouah ! T’es un vrai champion, comment as-tu fait pour trouver du
sang aussi vite ?
–
Viens jusqu’à la fenêtre, je vais te montrer. Tu vois le chemin qui part de la
chapelle ?
– Oui,
je le vois.
– Et
tu vois le gros lampadaire au bout du chemin ?
–
Oui, je le vois.
– Eh
bien moi, je ne l’ai pas vu. »
Jean-Jacques apprend que sa femme vient
d’avoir un terrible accident.
Il accourt à l’hôpital et demande pour
la voir.
On lui répond que le Docteur s’occupe
de son dossier et qu’il viendra le rencontrer dans une quinzaine de minutes
afin de faire le point sur l’état de santé de son épouse.
Lorsque le docteur entre dans la salle
d’attente, il aperçoit Jean-Jacques complètement paniqué.
Le toubib s’assoit à ses côtés et lui
dit :
« Les nouvelles ne sont pas très bonnes. Votre femme a eu un accident de
la route et sa colonne est fracturée à deux endroits.
–
Mon Dieu ! Remarchera-t-elle un jour ?
–
J’ai bien peur que non. C’est inopérable. Vous devrez vous en occuper jusqu’à
la fin de ses jours. Vous allez devoir la nourrir chaque journée. »
Jean-Jacques se met à pleurer.
« Ce n’est pas tout, vous allez devoir la retourner dans son lit à toutes
les deux heures afin d’éviter d’autres complications. »
Jean-Jacques n’en peut plus, il est
alors incapable de s’arrêter de pleurer.
« Et évidemment, vous devrez changer ses couches car elle n’a plus le
contrôle de sa vessie. Vous devrez les changer environ six fois par jour. »
Jean-Jacques se met à trembler et à
pleurer de plus en plus fort.
Le docteur continue :
« Vous devrez également nettoyer ses selles régulièrement car elle n’a
plus le contrôle sur ses sphincters. Ses intestins seront souvent bloqués, je
crois. Évidemment, vous devrez vous assurer qu’elle n’accumule aucunes selles. »
Jean-Jacques ne se contrôle plus et
perd momentanément le nord.
Il devient hystérique et se prend la
tête à deux mains.
C’est à ce moment que le docteur lui
pose une main sur l’épaule et lui dit :
« Je blague ! Votre femme est morte ! »
De Jean-Marc à Jean-Paul :
« – Quelle est la différence entre un mec qui tombe du 10ème étage
et un mec qui tombe du 1er étage ?
– Je
ne sais pas…
– Un
mec qui tombe du 10ème étage ça fait «
AAAAAAAAAAAAAAAHHHHHHHHHHH!!!!!!!…Pouf !
Et
un mec qui tombe du 1er étage ça fait « Pouf !…AAAAAAAAAAAAAAAHHHHHHHHHHH!!!!!!!
»
– Et
un chinois qui tombe du 10ème étage ça fait « Chiiiiinnnnnnn…Toc »… »
Jean-Marc et Jean-Paul jouent à un jeu de
devinette stupide. Mais comme l’un est intelligent et l’autre réputé stupide,
leur règle veut que chacun d’eux va poser des énigmes à l’autre, si Jean-Paul
ne sait pas répondre, il paye 1 euro, alors à l’autre, alors que si c’est Jean-Marc
qui ne sait pas répondre il paye 100 euros parce que lui il est plus intelligent,
et comme ça c’est équitable.
Jean-Marc commence :
« – Qu’est ce qui a 4 pattes et qui miaule ?
– Je
sais pas, tiens voilà 1 €.
–
Qu’est ce qui a 4 pattes et qui aboie ?
– Je
sais pas, tiens voilà 1 €.
–
Allez dis quelque chose toi aussi », demande Jean-Marc à Jean-Paul…
« Bon d’accord… Qu’est ce qui a 8 pattes le matin et 4 le soir ? »
Jean-Marc réfléchit, réfléchit pendant
une heure mais ne trouve pas, et se trouve contraint de donner sa langue au
chat :
« – Je sais pas. Tiens voilà 100 €. Alors c’était quoi ?
– Je
ne sais pas non plus. Tiens voilà 1 €. »
Les « gores » du moment :
Les mêmes :
« – Qu’est-ce qui est jaune, qui pèse une 130 kg, qui a quatre pattes, et
qui vole ?
–
Deux canaris jaunes… mais des belles bêtes ! »
« – Dis maman, c’est vrai que je ne suis pas normal ?
–
Mais non mon petit, c’est courant des canaris jaunes qui pèsent 100 kg.
Après
tout on vit à Tchernobyl. Maintenant, ferme tes trois petits yeux et dors. »
C’est Jean-Marc qui se promène au bord d’un lac, tout à coup il voit
quelqu’un qui se débat dans l’eau en criant « HELP HELP » …
Alors il lui crie :
« Eh idiot ! T’aurais mieux fait d’apprendre à nager au lieu
d’apprendre l’anglais. »
Entendu à bord du Titanic :
« – Capitaine, Ô mon capitaine ! Quelle est la distance vers la terre la
plus proche ?
–
Environ deux miles, monsieur.
–
Dans quelle direction, capitaine ?
–
Vers le bas, je crains. »
C’est un vieux couple encore très
heureux.
Ils ont tous les deux 94 ans.
Le mari meurt soudainement d’une crise
cardiaque.
Leur fille accourt vers sa mère pour la
consoler, et celle-ci lui confie :
« – Ton
père est mort en faisant l’amour, le pauvre.
– Mais
qu’avez-vous pensé à votre âge de continuer à faire de telles folies ?
– Tu
sais ma fille, c’était devenu une habitude, et nous y allions bien lentement.
Tous les dimanches matin, on suivait le rythme des cloches de la messe de sept
heures.
À
Ding, c’était l’entrée et à Dong, c’était la sortie. On ne se fatiguait pas
trop, tu sais, et c’était notre petit bonheur.
Si
ça n’avait pas été de ce camion de crème glacée avec son Gueding Guedang
Gueding Guedang de fou, ton père serait sûrement encore en vie … »
Bon week-end à toutes et à tous !
I3
PS : N’oubliez pas « mon Gardien »
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