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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 17 mai 2019

Quelques « classiques »

Revisitées par Jean-Marc
 
Un jour, un curé s’est engagé dans une course, sur son âne nommé « Q », et il a gagné.
Le curé était tellement content de son âne qu'il s’est engagé de nouveau dans une autre course et il a gagné encore une fois.
La radio locale annonce dans sa matinale :
« Le Q du curé va de l’avant ».
L’évêque était tellement contrarié par ce genre de publicité qu’il a ordonné au curé de ne pas inscrire l’âne dans une autre course.
« Le Q du curé déplait à l’évêque » a repris la radio.
C’en était trop pour l’évêque alors il ordonna au curé de se débarrasser de l’âne.
Le curé le donne donc à une religieuse dans un couvent proche.
Les chroniqueurs de la radio, entendant la nouvelle, annoncent le lendemain :
« Une nonne a le meilleur Q de la contrée ».
L’évêque s’est évanoui.
Il a informé la religieuse qu'elle devrait se débarrasser de l’âne.
Alors elle l’a vendu à une ferme pour 10 €.
Le lendemain, la radio disait :
« Une nonne vend son Q pour 10 € ».
C’en était trop pour l’évêque alors il ordonne à la religieuse de racheter l’âne et le conduire dans les plaines où il pourra courir à l’état sauvage.
Le lendemain, les titres aux infos :
« La nonne annonce que son Q est libre et à l’état sauvage ».
L'évêque a été enterré le lendemain.
Il aurait mieux fait de s’occuper de ses fesses…
 
Pourquoi les politiciens établissent-ils de si généreux programmes pour les détenus alors qu’ils coupent dans le système de l’éducation ?
Parce qu’ils savent qu’ils n’auront pas besoin de retourner à l’école…
 
Encore un « vieille » revue par Jean-Marc :
Un employé d’une grande entreprise passe un coup de téléphone, et dit :
« Eh ma poule ! Tu bouges tes p’tites fesses et tu me montes un café au plus vite ! »
À l’autre bout de la ligne, une voix très masculine répond :
« Dis donc, espèce d’insolent ! Tu t’es trompé de numéro ! Tu sais à qui tu parles ? Au Président Directeur général ! »
Et l’employé lui dit :
« – Et toi espèce d’idiot, tu sais à qui tu parles ?
– Non ! »
Et il raccroche…
 
Jean-Marc se présente à son futur beau-père et lui demande :
« – Monsieur, je désire épouser votre fille.
– Mon gars, as-tu bien regardé ma femme ?
– Certes, Monsieur, mais à y bien réfléchir, je préfère votre fille ! »
Il était pourtant prévenu…
 
« – Bonjour Samuel !
– Bonjour Jacob !
– Quelle chaleur, hein ? Tu viens boire un verre ?
– Non merci, Samuel, j’ai pas soif !
– Allez viens… C’est moi qui paie.
– C’est vrai qu’il fait chaud, hein ? Allons-y ! »
 
Jean-Marc organise un concours…
« Celui qui lancera le marteau le plus loin n’aura pas besoin de travailler pour le reste de sa vie. »
3 participants : Un menuisier, un cordonnier et un assisté social lancent le marteau à tour de rôle.
Le menuisier le lance à 500 mètres, le cordonnier à 800 mètres et l’assisté social le lance à 1.000 mètres !
Ce dernier, au moment de lancer son marteau, a crié de toutes ses forces :
« Moé, travailler ? Jamais ! »
En fait, c’est une « revenue » des « Histoires d’en rire des aventures de Dumé » (en livre broché à la demande).
Le Corsu gagne au JO d’été à l’épreuve du lancer de marteau. Commentaire : « Quand j’ai vu cet outil de travail, je l’ai lancé le plus loin possible de moi ! »
 
Pendant une garden-party, une fringante veuve repère Jean-Marc et demande à une invitée qui il est.
« C’est un riche cadre-supérieur ambitieux et vieux garçon. Ses parents sont morts et il ne s’est jamais marié. »
La dame ne fait ni un ni deux et s’approche de notre homme.
« Il y a un moment que je vous observe, et vous ressemblez furieusement à mon deuxième mari. »
Jean-Marc sourit et lui demande :
« – Il est ici votre deuxième mari ?
– Non. Je ne suis pas encore remarié. »
Ce qui me fait penser à cette blonde pétulante croisée à la fac à une époque où on pouvait encore fumer dans les amphis.
« Tu fumes des gitanes. Va falloir que tu passes aux blondes… »
 
Encore une « vieille-revenue » à peine améliorée :
Deux vampires rentrent au petit matin, juste avant le lever du jour, dans la crypte d’une vieille chapelle abandonnée pour y réintégrer leur cercueil et s’endormir pour la journée.
L’un dit à l’autre :
« – Oh toi, tu n’as pas l’air d’être bien… Tu es malade ?
– Non, mais je n’ai pas trouvé de victime à mon goût et je n’ai pas eu mon compte de sang humain. D’ailleurs, je vais ressortir et essayer de me trouver un humain à mordre, sinon je sens que je vais passer un mauvais jour dans mon cercueil.
– C’est trop tard, tu ne peux pas ressortir, il fait presque jour. »
Mais, sans écouter son ami, notre vampire s’élève d’un battement d’ailes, franchit la fenêtre, et quitte la chapelle.
Trente secondes plus tard, il revient, le visage et le torse couverts de sang, et s’assied dans son cercueil.
« – Wouah ! T’es un vrai champion, comment as-tu fait pour trouver du sang aussi vite ?
– Viens jusqu’à la fenêtre, je vais te montrer. Tu vois le chemin qui part de la chapelle ?
– Oui, je le vois.
– Et tu vois le gros lampadaire au bout du chemin ?
– Oui, je le vois.
– Eh bien moi, je ne l’ai pas vu. »
 
Jean-Jacques apprend que sa femme vient d’avoir un terrible accident.
Il accourt à l’hôpital et demande pour la voir.
On lui répond que le Docteur s’occupe de son dossier et qu’il viendra le rencontrer dans une quinzaine de minutes afin de faire le point sur l’état de santé de son épouse.
Lorsque le docteur entre dans la salle d’attente, il aperçoit Jean-Jacques complètement paniqué.
Le toubib s’assoit à ses côtés et lui dit :
« Les nouvelles ne sont pas très bonnes. Votre femme a eu un accident de la route et sa colonne est fracturée à deux endroits.
– Mon Dieu ! Remarchera-t-elle un jour ?
– J’ai bien peur que non. C’est inopérable. Vous devrez vous en occuper jusqu’à la fin de ses jours. Vous allez devoir la nourrir chaque journée. »
Jean-Jacques se met à pleurer.
« Ce n’est pas tout, vous allez devoir la retourner dans son lit à toutes les deux heures afin d’éviter d’autres complications. »
Jean-Jacques n’en peut plus, il est alors incapable de s’arrêter de pleurer.
« Et évidemment, vous devrez changer ses couches car elle n’a plus le contrôle de sa vessie. Vous devrez les changer environ six fois par jour. »
Jean-Jacques se met à trembler et à pleurer de plus en plus fort.
Le docteur continue :
« Vous devrez également nettoyer ses selles régulièrement car elle n’a plus le contrôle sur ses sphincters. Ses intestins seront souvent bloqués, je crois. Évidemment, vous devrez vous assurer qu’elle n’accumule aucunes selles. »
Jean-Jacques ne se contrôle plus et perd momentanément le nord.
Il devient hystérique et se prend la tête à deux mains.
C’est à ce moment que le docteur lui pose une main sur l’épaule et lui dit :
« Je blague ! Votre femme est morte ! »
 
De Jean-Marc à Jean-Paul :
« – Quelle est la différence entre un mec qui tombe du 10ème étage et un mec qui tombe du 1er étage ?
– Je ne sais pas…
– Un mec qui tombe du 10ème étage ça fait « AAAAAAAAAAAAAAAHHHHHHHHHHH!!!!!!!…Pouf !
Et un mec qui tombe du 1er étage ça fait « Pouf !…AAAAAAAAAAAAAAAHHHHHHHHHHH!!!!!!! »
– Et un chinois qui tombe du 10ème étage ça fait « Chiiiiinnnnnnn…Toc »… »
 
Jean-Marc et Jean-Paul jouent à un jeu de devinette stupide. Mais comme l’un est intelligent et l’autre réputé stupide, leur règle veut que chacun d’eux va poser des énigmes à l’autre, si Jean-Paul ne sait pas répondre, il paye 1 euro, alors à l’autre, alors que si c’est Jean-Marc qui ne sait pas répondre il paye 100 euros parce que lui il est plus intelligent, et comme ça c’est équitable.
Jean-Marc commence :
« – Qu’est ce qui a 4 pattes et qui miaule ?
– Je sais pas, tiens voilà 1 €.
– Qu’est ce qui a 4 pattes et qui aboie ?
– Je sais pas, tiens voilà 1 €.
– Allez dis quelque chose toi aussi », demande Jean-Marc à Jean-Paul…
« Bon d’accord… Qu’est ce qui a 8 pattes le matin et 4 le soir ? »
Jean-Marc réfléchit, réfléchit pendant une heure mais ne trouve pas, et se trouve contraint de donner sa langue au chat :
« – Je sais pas. Tiens voilà 100 €. Alors c’était quoi ?
– Je ne sais pas non plus. Tiens voilà 1 €. »
 
Les « gores » du moment :
 
Les mêmes :
« – Qu’est-ce qui est jaune, qui pèse une 130 kg, qui a quatre pattes, et qui vole ?
– Deux canaris jaunes… mais des belles bêtes ! »
 
« – Dis maman, c’est vrai que je ne suis pas normal ?
– Mais non mon petit, c’est courant des canaris jaunes qui pèsent 100 kg.
Après tout on vit à Tchernobyl. Maintenant, ferme tes trois petits yeux et dors. »
 
C’est Jean-Marc qui se promène au bord d’un lac, tout à coup il voit quelqu’un qui se débat dans l’eau en criant « HELP HELP » …
Alors il lui crie :
« Eh idiot ! T’aurais mieux fait d’apprendre à nager au lieu d’apprendre l’anglais. »
 
Entendu à bord du Titanic :
« – Capitaine, Ô mon capitaine ! Quelle est la distance vers la terre la plus proche ?
– Environ deux miles, monsieur.
– Dans quelle direction, capitaine ?
– Vers le bas, je crains. »
 
C’est un vieux couple encore très heureux.
Ils ont tous les deux 94 ans.
Le mari meurt soudainement d’une crise cardiaque.
Leur fille accourt vers sa mère pour la consoler, et celle-ci lui confie :
« – Ton père est mort en faisant l’amour, le pauvre.
– Mais qu’avez-vous pensé à votre âge de continuer à faire de telles folies ?
– Tu sais ma fille, c’était devenu une habitude, et nous y allions bien lentement. Tous les dimanches matin, on suivait le rythme des cloches de la messe de sept heures.
À Ding, c’était l’entrée et à Dong, c’était la sortie. On ne se fatiguait pas trop, tu sais, et c’était notre petit bonheur.
Si ça n’avait pas été de ce camion de crème glacée avec son Gueding Guedang Gueding Guedang de fou, ton père serait sûrement encore en vie … »
 
Bon week-end à toutes et à tous !
 
I3
 
PS : N’oubliez pas « mon Gardien »

Ma bibliothèque (1)

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L'ouvrage que vous tenez devant vos yeux ne devrait pas exister...

Bibliothèque de "mon Gardien"

Bibliothèque de "mon Gardien"
Première reprise

Bibliothèque de "mon Gardien" (2)

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Humour extraterrestre

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