Bienvenue !

Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 3 mai 2019

Ce n’est pas vraiment une revenue…

De Jean-Marc
 
C’est l’histoire de Jean-Charles, un SDF qui se promène sur les Champs Élysée et voit une limousine s’arrêter à sa hauteur.
Il regarde à l’intérieur et reconnaît un ami d’enfance, c’est Bernard Tapie !
Mais oui, notre « Nanar-national » encore bien alerte.
Et celui-ci le reconnaît également.
Du cou, il sort de la limousine et demande à son chauffeur de l’attendre.
Il prend son ami Jean-Charles par le bras et lui propose de faire quelques pas ensemble.
Jean-Charles lui dit :
« – Je vois que tu as bien réussi dans la vie.
– Oui ça va pas mal, et toi ?
– Moi je dois dire que ça ne va pas très fort en ce moment. »
Il lui explique sa dernière déconfiture qui l’aura ruiné durablement.
Pendant qu’ils marchent, Tapie est intrigué par un « clic-clac » qui se fait entendre à chaque pas que fait l’autre.
« C’est quoi ce « clic-clac » ? » lui demande-t-il.
« – C’est la semelle d’une de mes chaussures qui s’est décollée et aujourd’hui je n’ai pas les moyens de m’en payer une autre paire.
– Attends je vais te dépanner » lui dit Nanar.
Et il sort de sa poche une grosse liasse de billets de 500 euros entourée d’un élastique.
Il retire l’élastique, le donne à son ami et lui dit :
« Tiens ! Mets l’élastique autour de ta chaussure, comme ça, ça ne fera plus « clic clac ». »
Dans l’originale, c’était « Bernie » (l’épouse du « Chi ») au fait de sa gloire qui descend de sa limousine et se fait interpeler par un SDF, tout autant ruiné, qui lui dis : « Madame, s’il vous plaît… Ça fait trois jours que je n’ai pas mangé. »
Et l’autre de répondre sur un ton impérieux : « Mais ce n’est pas bien ! Il faut vous forcer ! »
 
Un chameau et un éléphant se rencontrent pour la première fois.
L’éléphant, étonné devant pareil animal, demande :
« – Pourquoi t’as les nichons sur le dos ?
– Culotté comme question pour quelqu’un qui a la bite sur le visage… »
 
Une très jolie femme vient réclamer un délai pour le paiement de ses impôts.
Le percepteur, qui louche abondamment sur ses jambes, lui dit :
« Avant tout, chère madame, sachez bien que, contrairement à ce que l’on croit, dans mon administration, il n’y a pas que des incorruptibles. »
 
Un fou frappe férocement sur le sol avec un morceau de pain.
« – Eh ! tu fais quoi ?
– Je casse la croûte. »
 
« – Maman, Maman, aujourd’hui j’ai été le seul à répondre à une question du professeur !
– Bravo ! Et quelle était cette question ?
– Qui a brisé la vitre pendant la récréation ? »
 
Dans un supermarché du sexe à Pigalle, Jean-Marc dépose ses emplettes sur le tapis de caisse.
La caissière du sex-shop fait le décompte de tous les accessoires, puis, prenant à la main la boîte contenant un vagin artificiel, elle demande au gars :
« Comment allez-vous l’utiliser ? »
Offusqué et rougissant, Jean-Marc répond :
« – Mais, ce ne sont pas vos oignons !
– Allons monsieur, il n’y a rien de pernicieux dans ma question. Si je vous demande ça, c’est que si c’est pour manger, la TVA est à 5,5 % au lieu de 20 % ! »
 
C’est la nuit. Le fils de Jean-Marc et de Germaine vient de se réveiller à la suite d’un méchant cauchemar.
Encore sous le coup de l’émotion, il ne parvient pas à retrouver le sommeil et décide d’aller retrouver ses parents dans leur chambre.
À peine a-t-il ouvert la porte qu’il tombe sur papa et maman dans la célèbre position dite de « la levrette ».
« – Papa, maman… Qu’est-ce que vous faites ?
– Heu… On est en train de te faire une petite sœur » bredouille Jean-Marc embarrassé. « Et maintenant retourne dormir.
– D’accord papa », répond le gamin l’esprit embrumé.
Le lendemain, en rentrant du travail, Jean-Marc retrouve son fils sur le porche de la maison en pleurs.
« Qu’est-ce qui se passe ? Pourquoi pleures-tu ainsi, mon fils ? »
Entre deux sanglots, le gamin répond :
« – Tu sais papa, la petite sœur que toi et maman vous m’avez faite hier soir…
– Euh oui…
– Eh bien, ce matin, le facteur est venu et il l’a mangée ! »
 
Amoché, une bosse dans le front et les babines enflées, Jean-Paul rencontre Jean-Marc.
« – Qu’est-ce qui t’est arrivé, t’es drôlement amoché ?
– Ouais ! J’ai pris un coup de patte de cochon congelée dans la gueule.
– Ouach… ! Comment est-ce arrivé ?
– C’est hier. Il faisait chaud. Une de nos belles journées de printemps. Elle portait une robe courte, sexy. Elle était penchée dans le congélateur pour prendre quelque chose et, alors, je ne sais pas ce qui m’a pris, j’ai pas pu résister et je l’ai prise par derrière.
– Hé ! Hé ! Et alors ?
– Ouais, elle gueulait et j’ai continué de plus belle.
– Puis ?
– Ben, plus elle se débattait, plus ça m’excitait.
– Tu m’étonnes… avec ta femme !
– Puis à un moment elle a attrapé une patte de cochon congelée puis elle m’a foutu un coup sur la gueule…
– Elle aime plus le sexe ta femme ?
– SI ! Mais pas chez Picard. »
 
Quelques « collectors » relevés dans la presse d’époque par Jean-Marc à l’occasion de la guerre du Golfe :
 
« Après le départ des Américains, l’Irak sera libéré de Saddam, du gaz et du pétrole. »
 
D’un reporter de Fox News : 
« Comme des bêtes sauvages, ils abattent nos hélicoptères, pendant que nous effectuons des bombardements pacifiques sur leurs villes. »
 
Message urgent sur CNN :
« Le président Bush annonce la fin de la guerre en Irak.
En effet, CNN a appris qu’on vient de trouver des réserves immenses à Madagascar et, immédiatement, la 7ème flotte s’est mise en branle pour libérer… »
 
Petite annonce :
« Construisons la démocratie dans n’importe quel pays du monde, de préférence riche en pétrole. Pays sans pétrole, tels Haïti, prière de s’abstenir. Gaz, or et diamants acceptés… »
 
Les cinq minutes qui ont ébranlé le monde :
Un jour, Condolezza Rice convoqua l’état-major américain dans ses bureaux, ferme la porte, lance la musique et se lance dans un strip-tease d’enfer :
« Alors, on fait l’amour ou la guerre ? »
Quelques minutes plus tard, la toute puissance américaine s’abattait sur l’Irak.
 
« – Pourquoi les bombes intelligentes se trompent-elles si souvent ?
– Elles ne peuvent pas être meilleures que leurs maîtres… »
 
Un metteur en scène s’extasie :
« – Mais vous êtes une tragédienne née ! Comment avez-vous appris à pleurer ainsi, en bouleversant les spectateurs par vos cris ?
– Eh bien, j’ai été longtemps mariée à un petit commerçant. Et j’ai appris en l’écoutant parler avec les fonctionnaires du ministère des finances… »
 
Dans le même genre :
Jean-Marc téléphone à la police.
« – Je viens déposer plainte parce que je reçois des coups de téléphone et des lettres de menace.
– Depuis combien de temps ?
– Quelques mois.
– Soupçonnez-vous quelqu’un ?
– Oui, bien sûr… C’est bêtement signé de fonctionnaires des impôts ! »
 
Quelques saillies scolaires (pour vous inspirer en vue de l’époque des bulletins) ?
 
« Très attentif en classe… au vol des mouches. »
 
« A touché le fond mais creuse encore avec courage… »
 
« En nette progression vers le zéro absolu ! »
 
« A les prétentions d’un cheval de course et les résultats d’un âne ».
 
« Participe beaucoup… à la bonne ambiance de la classe. Se retourne parfois… pour regarder le tableau. »
 
« Ensemble bien terne, élève peu lumineux ».
Juste en dessous, par un autre prof :
« Élève brillant… par son absence ».
 
« Dors en cours, sur le clavier ou le tapis de souris, selon l’urgence. »
Un peu plus loin :
« Ne se réveille que pour boire son café à l’intercours ».
 
« Des progrès mais toujours nul. »
 
« L’apathie a désormais un visage. »
 
« Sèche parfois le café pour venir en cours ! »
 
« Un vrai touriste aurait au moins pris des photos. »
 
« En forme pour les vacances. »
 
« Tout comme son acolyte Jean-Marc, plonge inexorablement dans les profondeurs de la nullité. »
 
« Fait preuve d’un absentéisme zélé. »
 
« Fait des efforts désespérés… pour se rapprocher de la fenêtre. »
 
« Hiberne probablement. »
 
« Printemps arrivé, toujours pas réveillé. »
 
« Elle mâche… Elle parle… Elle mâche… Elle parle… »
 
Bon week-end à toutes et à tous !
 
I3
 
PS : N’oubliez pas « mon Gardien »
 
 

Ma bibliothèque (1)

Ma bibliothèque (1)
L'ouvrage que vous tenez devant vos yeux ne devrait pas exister...

Bibliothèque de "mon Gardien"

Bibliothèque de "mon Gardien"
Première reprise

Bibliothèque de "mon Gardien" (2)

Bibliothèque de "mon Gardien" (2)
 

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire