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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

mercredi 8 mai 2019

Avril 2019

Les « loupés » du mois de mars pour commencer
 
Un mois « difficile » avec la destruction par le feu de la toiture de Notre-Dame-de-Paris et de sa flèche.
Il n’y a pas eu que ça… hélas, même si c’est moins spectaculaire et surtout moins médiatisé :
 
1 – Tombes vandalisées à Auch, dans le Gers
On signale, dimanche 31 mars, que deux tombes avaient été vandalisées dans le cimetière municipal d’Auch (Gers), le 6 mars dernier. « Croix été saccagés » et plainte déposée sans résultat.
 
Vol chez le trésorier de l’église anglicane de Pau du 26 février.
Le produit de la quête (ou des quêtes) de l’église anglicane St Andrew de Pau (Pyrénées-Atlantiques) a été volée au domicile du trésorier de cette église le 26 février dernier, après effraction de son appartement.
Les cambrioleurs étaient au nombre de deux. L’un a été interpellé : il est passé en jugement jeudi 28 mars et a été condamné à 20 mois de prison.
 
2 – Tombes vandalisées dans le cimetière municipal de Ploërmel, dans le Morbihan
C’est la consternation ce lundi 1er avril à Ploërmel dans le Morbihan. Dans la matinée, l’agent communal en charge du cimetière a découvert cinq croix gammées peintes à la bombe bleue sur des tombes, rapporte Ouest-France. « Je condamne bien évidemment ces dégradations. C’est la première fois qu’on assiste à ce genre de chose à Ploërmel », a réagi le maire Patrick Le Diffon.
Les tombes vandalisées sont toutes situées dans le fond du cimetière communal. « On ne sait pas encore pourquoi ces tombes ont été ciblées. Mais il ne s’agit pas de tombes juives ».
Sans ça, vous en auriez été alerté par la « presse-aux-ordres ».
Une enquête, confiée à la brigade de recherches, a été ouverte pour faire toute la lumière sur cet acte de vandalisme.
 
3 – Une école catholique vandalisée à Hendaye, dans les Pyrénées-Atlantiques
Il s’agit de l’école maternelle du groupe scolaire Saint-Vincent, une école catholique sous contrat. L’école a été vandalisée le dimanche 31 mars en début de soirée.
Trois mineurs hendayais de 13, 14 et 15 ans ont été interpellés en flagrant délit par les policiers, qui avaient été avertis par des voisins de l’établissement situé au 3, rue Pierre-Loti : De jeunes krétins !
Les trois adolescents ont été entendus, puis remis à leurs parents. Ils ne sont pas connus des services de police. À l’intérieur de l’école, les dégâts sont importants : huit classes ont été dégradées, des extincteurs vidés, du matériel informatique cassé, les murs et le sol recouverts de peinture.
Ce n’est pas la première fois que l’école maternelle Saint-Vincent est victime de vandalisme. Il y a deux ans, ce sont les écoles des Joncaux qui avaient également fait les frais de tels actes.
 
4 – Crucifix abattu à Uffholtz, dans le Haut-Rhin
On signale un acte de vandalisme commis, samedi 30 mars dernier, contre un crucifix situé sur la commune de Uffholtz et sur le chemin conduisant à Wattwiller…
 
5 – Vols à répétition dans le cimetière de Parthenay, dans les Deux-Sèvres
Les faits ont été signalés voici une dizaine de jours donc dans la dernière semaine du mois de mars dernier.
Il y a une dizaine de jours, le maire Xavier Argenton recevait quatre personnes venues dénoncer des vols répétés sur les tombes du cimetière de Parthenay. En réponse, la mairie a décidé de multiplier les patrouilles policières et de mettre en place une campagne d’affichage. « On veut informer les gens de la situation et donner un numéro de téléphone pour appeler la police et la gendarmerie », précise Daniel Longeard, adjoint chargé de la sécurité.
Le déploiement de la vidéoprotection, prévu à la fin de l’année, devrait intégrer le cimetière « dans un deuxième temps. Mais le cimetière fait partie des lieux publics donc il est éligible ». Les autorités demandent également aux habitants d’être vigilants afin de pouvoir recouper les informations.
 
6 – Tags sur le parvis d’une église à Roanne, dans la Loire
Dans la nuit du lundi 1er au mardi 2 avril, le parvis de l’église Saint-Étienne a été tagué à la peinture bleue. « Dieu est gay » pouvait-on y lire. Des inscriptions qui ont choqué les fidèles.
Alertée, la Ville a fait enlever par ses services ces inscriptions au cours de la matinée.
 
7 – Profanation dans la chapelle de l’hôpital d’Annecy, en Haute-Savoie
On signale un cas de profanation survenu dans la chapelle du Centre Hospitalier Annecy Genevois…
Il y a deux semaines environ (dans la deuxième quinzaine de mars 2019), le tabernacle de la chapelle de l’hôpital d’Annecy a été ouvert au pied de biche, les hosties répandues par terre.
L’ostensoir, sans valeur, mais avec une grande hostie, volé.
Cette chapelle est une petite salle comportant trois parties ouvertes : à gauche la partie catholique, au centre la partie juive et la partie de droite pour l’islam. Elle est souvent occupée par des personnes musulmanes qui viennent prier.
Le lendemain, la boîte aux lettres du bureau de l’aumônerie, qui est à quelques mètres de la chapelle, a été arrachée.
L’évêché a été prévenu. Il y aura une enquête, une plainte a été déposée
 
La croix du cimetière de Bernes-sur-Oise y restera !
On signalait le 28 mars dernier, l’action judiciaire affligeante d’un conseiller municipal de Bernes-sur-Oise (Val-d’Oise) qui avait fait un procès à la commune pour obtenir le démontage de la croix situé à la croisée d’avenues du cimetière municipal.
Le tribunal administratif a débouté ce « croisé » de la laïcité…
Le cimetière de Bernes-sur-Oise va conserver sa croix dans son allée centrale.
 
Marseille : prêtres et religieuses régulièrement injuriés
Les entraîneurs sportifs, les enseignants, les moniteurs de camps de jeunesse, etc., ne sont pas régulièrement traités de pédérastes dans les rues. Les prêtres si… Exemple à Marseille.
François Valty est un ostéopathe réputé à Marseille. Parmi la clientèle de son cabinet, situé dans le quartier de Notre-Dame-de-la-Garde, des religieuses et des prêtres. « Je soigne les corps, mais je suis frappé par la grande détresse de certains de mes patients religieux. » Ces hommes et femmes d’Église se confient au praticien qu’ils savent catholique et fervent pratiquant. Ses mots à lui sont crus : « Ils ont été traités de “pédés” ou de “salopes” par des inconnus croisés dans la rue. Juste parce qu’ils étaient identifiables avec leurs habits de prêtre ou de religieuse de la Congrégation des Sœurs de la Compassion. »
 
8 – Une église profanée à Bois-de-Céné, en Vendée
On signale que l’église paroissiale Saint-Étienne de Bois-de-Céné (paroisse de La Trinité-entre-Marais-et-Champ, diocèse de Luçon, Vendée) avait été profanée le jeudi 4 avril 2019 : « le tabernacle a été violé, la porte et le fond perdes, des hosties ont été retrouvées à terre ».
 
9 – Incendie sous le porche d’une église à Avignon, dans le Vaucluse
Ce n’est sans doute pas l’église elle-même qui était visée, mais les hardes de celui qu’elle abritait comme l’ont fait tant d’églises pendant tant de siècles. C’est aussi ce symbole de l’église refuge et protectrice, qui a été violé et sali.
L’incendie s’est déclaré ce dimanche 7 avril vers 9 heures sous le porche de l’église Saint-Didier, à Avignon. Il relie la place Saint-Didier à la placette voisine. Le feu a été maîtrisé sans l’intervention des pompiers mais l’intérieur du porche a été fortement noirci par les flammes. À cet endroit se trouvaient un matelas, ainsi que les effets personnels de personnes sans domicile fixe. Tout a été détruit.
 
10 – Un nouvel ossuaire profané en Lorraine
Après la profanation de l’ossuaire situé sous la sacristie de l’église de Vintrange (Moselle), que j’ai signalé le 28 mars dernier, c’est celui qui est accolé à l’église Saint-Christophe de Jouaville (Meurthe-et-Moselle) qu’un (ou des) inconnus ont profané, passant par le toit du petit édifice classé monument historique. Le maire de cette commune de 300 habitants, en a été averti samedi 6 avril.
De petite taille, l’ossuaire est caché des regards des riverains. C’est sans doute cette discrétion qui a permis aux malfaiteurs de s’introduire par la toiture dans le petit bâtiment.
Plusieurs ossements ont été jetés au sol et la gendarmerie, prévenue par le maire, a ouvert une enquête.
 
11 – 200 tombes vandalisées dans le cimetière de Trilbardou, en Seine-et-Marne
Certes, les 400 tombes que contient ce cimetière municipal n’ont pas été « profanées », mais 200 ont été vandalisées !
Cela s’est produit entre la fin d’après-midi de samedi et le début de matinée de dimanche. Le maire du village du Pays de Meaux a porté plainte et lancé un appel à témoins.
 
12 – Vols dans l’église de Pibres, dans le Tarn
Dans la nuit du dimanche 7 au lundi 8 avril 2019, le grand portail de l’église a été fracturé et le (ou les) voleurs ont emporté trois statues, deux stations du Chemin de Croix, un tableau, le cierge pascal et son support et deux candélabres…
 
13 – Un voleur arrêté en flagrant délit dans l’église d’Arradon, dans le Morbihan
Le dimanche 7 avril, un homme de 49 ans est pris en flagrant délit de vol d’argent numéraire dans l’église d’Arradon après la messe dominicale. Les militaires de la communauté de brigades de gendarmerie de Vannes procèdent à son interpellation. Plusieurs autres infractions liées à son véhicule lui sont relevées. Au cours de sa garde-à-vue, il lui est en outre notifié la révocation d’un sursis le condamnant à 2 mois d’emprisonnement pour non-exécution d’une peine, à la suite d’un vol commis en 2016. Présenté le lundi 8 avril à un magistrat du Parquet de Vannes, dans le cadre d’une reconnaissance préalable de culpabilité, il est condamné à 6 mois de prison ferme (soit un total de 8 mois ferme), ainsi qu’à la confiscation de son véhicule.
 
Chapelle taguée à Toulouse, en Haute-Garonne ?
La chapelle Saint-Jean-Baptiste de Toulouse (apostolat de l’Institut du Christ-Roi), a été tagué à plusieurs reprises et sans doute à différentes dates.
« Les tags qui apparaissent sur les photos ne sont pas sur les murs de la chapelle mais sur le mur arrière du musée des Augustins. La Chapelle n’a pas été touchée, de ce que j’ai pu voir hier sur place. » précise un témoin …
 
Vandalisme de la basilique de Saint-Denis : le procès du vandale pakistanais repoussé à mai
Il s’agit d’un migrant d’origine pakistanaise suspecté des actes de vandalisme contre la basilique de Saint-Denis commis dans la nuit du 2 au 3 mars dernier.
Un dialogue de sourds. « Je ne sais pas en quoi je suis concerné par cette affaire », déclare, au tribunal de Bobigny ce vendredi, le prévenu.
Suspecté d’avoir dégradé deux portes, plusieurs vitraux et l’orgue de la basilique de Saint-Denis en mars, cet homme de 41 ans est jugé en comparution immédiate. Le quadragénaire a été interpellé jeudi au centre de rétention de Vincennes (Val-de-Marne), confondu par son ADN retrouvé dans la basilique. De nationalité pakistanaise, il est arrivé en France il y a deux mois, et ne parle pas français. Il a déjà écopé d’un rappel à la loi pour avoir dégradé à deux reprises des biens en février.
Le tribunal décide finalement de renvoyer le procès au 10 mai, et de placer le prévenu en détention provisoire jusqu’à cette date. Une expertise psychiatrique a été ordonnée.
 
14 – Alerte à la bombe dans l’église Saint-Nizier à Lyon
On signale, dimanche 14 avril à 12 h 30, dimanche des Rameaux, une alerte à la bombe et évacuations de l’église Saint-Nizier à Lyon juste après l’Évangile.
 
15 – Vandalisme et vol dans l’église d’Écoche, dans la Loire
Il s’agit de l’église Saint-Bonnet (paroisse Saint-Joseph-entre-Monts-et-Forêts).
Les faits se sont produits à l´abri des regards entre le 12 et le 15 avril, place de l’Abbé-Larue à Écoche, dans le Roannais.
La porte de l’église a été attaquée au pied de biche, fracturant la lourde barre en bois qui protégeait l’édifice. À l’intérieur, les cambrioleurs ont ensuite démoli le tronc qui sert à stocker l’argent de la quête. Un butin dérisoire : à peine 30 euros.
 
16 – Incendie de Notre-Dame
Une première alerte incendie est donnée à 18 h 20. Mais une procédure de levée de doute ne permet pas de détecter aucun départ de feu. Entre-temps, l’église où une messe a débuté (à 18 h, heure à laquelle les ouvriers ont quitté le chantier) peu avant est évacuée. Une seconde alerte à 18 h 43 permet cette fois de constater un feu au niveau de la charpente. Les flammes ont rapidement dévoré cette « forêt », surnommée ainsi en raison de son enchevêtrement de poutres en bois de chêne, chacune taillée dans un arbre différent. La flèche et une grande partie de la toiture de la cathédrale s’effondrent ensuite sous la morsure des flammes, emportant dans leur chute une partie de la voûte. La propagation de l’incendie est finalement enrayée au niveau du beffroi Nord, dont la chute pouvait laisser craindre le pire.
D’importants moyens ont immédiatement été déployés par les pompiers de Paris. Quatre cents soldats du feu avec 18 lances à incendie, certains juchés sur des bras mécaniques à des dizaines de mètres de hauteur, ont lutté pour circonscrire au plus vite le feu. L’eau était pompée directement depuis la Seine. Quand les pompiers de Paris ont vu que la flèche menaçait de s’effondrer, les personnes à l’intérieur ont été rappelées pour faire intervenir un robot.
Au lever du jour, une centaine de pompiers avec huit lances d’eau étaient toujours en train d’arroser l’échafaudage. L’ensemble du feu est éteint, a annoncé peu avant 10 h le porte-parole des pompiers.
Un sapeur-pompier et deux policiers ont été légèrement blessés.
Le parquet de Paris a ouvert une enquête sous le chef de « destruction involontaire par incendie ».
Elle a été confiée à la Direction régionale de la police judiciaire qui a mobilisé près de 50 enquêteurs sur ce dossier. La piste accidentelle est privilégiée à ce stade. Les ouvriers qui travaillaient sur ce chantier sont auditionnés. Les procédures de sécurité « ont été respectées », assure la principale entreprise chargée des travaux.
Les enquêteurs vont également exploiter les vidéos de surveillance intérieure et extérieure de la cathédrale mais aussi les nombreuses vidéos prises par des particuliers. Une fois le bâtiment sécurisé, les équipes du laboratoire central commenceront à faire des prélèvements et à effectuer un certain nombre de constatations sur place. Mais la dimension même du sinistre et le volume très important de matériel à traiter vont rendre l’enquête plus complexe.
La charpente, la toiture et la flèche ont été réduites en cendres.
La structure tient bon malgré des vulnérabilités dans l’édifice, notamment au niveau de la voûte et d’un pignon du transept nord.
Les trois rosaces emblématiques n’ont apparemment pas subi de dommages catastrophiques.
La Sainte Couronne et seize statues de cuivre, qui avaient été décrochées de la flèche pour être restaurées, ont échappé au sinistre. Trois reliques qui devaient être décroché en juin, n’ont pas eu cette chance.
Le Bourdon et les autres cloches, renouvelées en 2013, sont intacts.
Une partie des œuvres présentes à l’intérieur de la cathédrale ont pu être extraites à temps. Certains grands tableaux, intransportables, devront être restaurés au Louvre. Le « grand orgue a souffert mais pas de manière catastrophique », explique le restaurateur chargé de son entretien.
Le petit orgue a, lui, été endommagé par les flammes.
Initialement annoncé comme perdu, le coq surmontant la flèche a été retrouvé mardi.
Il est très cabossé mais tout à fait restaurable.
 
 
17 – Une statue de sainte Barbe, patronne des mineurs, vandalisée à Cocheren, en Moselle
Un symbole très fort de cette ancienne cité minière, a été vandalisé dans la nuit de mardi 16 à mercredi 17 avril 2019.
La statue de Sainte-Barbe, patronne des mineurs mais aussi des pompiers et des artificiers, a été enlevée de son socle et jetée à terre.
Une véritable aberration. Un acte incompréhensible et impardonnable qui mérite une lourde sanction. Ls habitants ne comprennent pas, d’autant que la place est truffée de caméras.
 
18 – Une statue de la Vierge décapitée à Marlhes, dans la Loire
La statue a été probablement vandalisée à la masse ou avec un marteau. L’article du Progrès nous informe par ailleurs, que cette statue avait déjà été vandalisée l’année dernière.
Pourtant construite en fonte, avec des renforts en métal, a été cassée au niveau de la tête et de la poitrine. C’est assurément un acte volontaire. La, ou les personnes qui l’ont dégradée, devaient être bien outillées pour réussir à casser une sculpture aussi solidement conçue.
Déjà, l’année dernière, un incendie (volontaire ou pas, on l’ignore), avait endommagé la sculpture.
 
19 & 20 – Les églises de Saint-Étienne fermées en dehors des heures de culte
Une information signale deux incidents récents : l’un survenu en l’église de la Nativité et l’autre à la Grand’Église (église Saint-Étienne-et-Saint-Laurent), incidents dont rien n’a transpiré…
À la suite de divers signalements, Jacques Brun, conseille de tenir les lieux de cultes des paroisses de Saint-Étienne et Saint-Benoît fermés en dehors des temps de célébration ou de permanence pour les confessions durant les prochaines semaines. « Une décision qui n’a pas été prise de gaieté de cœur », indique le prêtre.
La raison de cette préconisation est liée à la présence de migrants à Saint-Étienne.
Des sans-abris qui avaient occupé illégalement la Bourse du travail puis l’université sur le campus Tréfilerie, et qui furent délogés par les forces de l’ordre le 11 avril et le 15 avril.
Un message plutôt caricatural circulerait au sein du clergé indiquant qu’ils seraient pris en charge par des « membres de la jeunesse communiste extérieure à la ville » qui les inciteraient à squatter des lieux de culte. Une approche stigmatisante puisque le collectif qui s’occupe des migrants regroupe citoyens, citoyennes, membres d’associations et syndiqués stéphanois.
Ce tour de vis a d’ailleurs été précipité par deux incidents (l’un à l’église de la Nativité et l’autre à la Grande église). Mais rien ne prouve que ces deux incidents aient été causés par les migrants pris en charge le collectif.
 
21 – Incendie dans l’église d’Eyguières, Bouches-du-Rhône
Il s’agit de l’église Notre-Dame-de-Grâce.
Vers 16 h 30, ce dimanche (21 avril), un incendie s’est déclaré dans une église au centre du village d’Eyguières, dans le nord des Bouches-du-Rhône. Le feu a endommagé du mobilier sans faire de blessé. Environ 25 pompiers ont été engagés. La gendarmerie est aussi intervenue. Pour l’instant, d’après une source à la gendarmerie, l’origine du feu n’est pas établie.
Depuis, la piste criminelle est désormais privilégiée dans l’incendie de l’église
Le feu est parti d’une chapelle située dans l’église et a détruit le presbytère et endommagé une estrade en bois de l’édifice du XVIIIème siècle. L’intervention d’un riverain a permis d’éviter l’embrasement de l’église.
23 avril, un homme suspecté dans l’incendie de l’église Notre-Dame-de-Grâce d’Eyguières (Bouches-du-Rhône), a été arrêté et présenté au parquet de Tarascon…
Le maire UDI d’Eyguières (commune des Bouches-du-Rhône d’environ 6 500 habitants) s’est empressé de rapporter qu’il souhaitait fermer par des cloisons la chapelle endommagée par les flammes pour éviter « que des photos soient prises et que des conneries se disent sur Facebook » a-t-il précisé.
Une entreprise de nettoyage va également remettre le lieu en état. La mairie a déposé plainte et l’enquête s’oriente vers un acte de malveillance.
Un mineur âgé de 15 ans a été arrêté et déféré le mercredi suivant devant le parquet de Tarascon (Bouches-du-Rhône). Il s’agit d’un adolescent, souffrant de problèmes psychologiques selon le procureur de Tarascon, qui a été présenté à un juge pour enfant et placé sous contrôle judiciaire.
Ce n’est pas tout : Désormais le maire « loue gratuitement » (sic !) l’église aux catholiques. Passons sur l’expression cocasse : « louer gratuitement »…
Ce qui est moins cocasse, c’est de faire passer pour un acte de générosité ce que les dispositions de la loi dite de « séparation » de 1905, prescrivent.
En « échange » de la spoliation de toutes ses églises, l’Église catholique comme affectataire s’est vue concéder l’usage gratuit et l’entretien aux frais des communes de ses lieux de culte, concession grevée toutefois de conditions aussi restrictives que draconiennes.
 
22 – Montpellier : Église taguée en centre-ville
« Notre-Dame de rend l’argent », voilà ce que l’on pouvait lire ce samedi (20 avril 2019) sur les murs extérieurs de l’église Saint-Denis en centre-ville de Montpellier. Un tag faisant directement référence à l’élan exceptionnel de générosité qui a suivi l’incendie de la cathédrale de Notre-Dame de Paris et permis de récolter de très nombreux dons. Une générosité qui ne semble pourtant pas faire l’unanimité.
 
23 et 24 – L’église de Saint-Julien-de-Cassagnas et une autre du district paroissial profanées
Le curé (Père Ouédraogo) a réuni en urgence les membres du Conseil de Pastorale, et d’autres personnes juste après ce saccage du cimetière car l’église locale et une autre du secteur ont été profanées.
Plus particulièrement à l’église Saint-Julien, le tabernacle a été pour voler le ciboire et le Saint Sacrement.
Dans la nuit du 21 au 22 avril, le cimetière du petit village gardois situé au nord d’Alès a été profané par un ou plusieurs individus. Une soixantaine de croix ont été cassées ou renversées. Certaines ont même été placées à l’envers ou disposées d’une étrange façon. Les gendarmes de la brigade de recherche sont sur place, ainsi que la cellule d’identification judiciaire ainsi qu’un représentant du parquet et le sous-préfet de l’arrondissement d’Alès.
Une « mauvaise blague » selon France 2
Deux adolescents rapidement inculpés : La gendarmerie n’a pas tardé à retrouver les deux profanateurs qui auraient agi « par bêtise » selon le procureur de Nîmes… Ils ont été interpellés le jour même de leurs méfaits. Deux mineurs, un garçon et une fille, âgés de 16 à 17 ans, ont été déférés au parquet des mineurs à Nîmes, ce mercredi 24 avril. Ils ont été présentés au juge des enfants et devaient être placés sous contrôle judiciaire. Derrière cette profanation, il n’y avait « aucune revendication politique ou religieuse », déclare le procureur de Nîmes.
 
25 – Une église vandalisée à Moivrons, en Meurthe-et-Moselle
Il s’agit de l’église Saint-Gorgon (paroisse Saint-Augustin-Schoeffler, diocèse de Nancy et de Toul). Les actes de vandalisme ont été constatés mercredi 24 avril 2019.
Le maire a été appelé pour constater les dégâts. Après un tour de l’église, le maire a constaté que des lumignons, une vingtaine de petites bougies que l’on place sur les cercueils lors des cérémonies d’obsèques, ont été allumés à l’extérieur et dispersés sur les marches de l’entrée principale. La paraffine fondue en grande quantité recouvrait les escaliers les rendant très glissants et impraticables. Au pied des escaliers, plusieurs petites cuillères à café se trouvaient également au sol.
Suite à ce geste de vandalisme, le maire a porté plainte à la gendarmerie.
 
26 – Cimetière d’église vandalisé à Romilly-la-Puthenay, dans l’Eure
On signale que le cimetière de l’église Saint-Pierre de l’ancienne commune de Romilly (regroupée avec celle de Puthenay ; environ 325 habitants pour cette nouvelle commune) a été vandalisée. Dans la nuit de Pâques (samedi 20-dimanche 21 avril 2019), des individus ont détruit, dans doute à coups de marteau, les croix de plusieurs tombes.
 
27 – Une croix vandalisée à Valcabrère, en Haute-Garonne
Lundi soir, 22 avril vers 22 heures, un jeune faisant partie d’un groupe de 5 ou 6 personnes, a grimpé sur une croix placée sur la place du village. « Cette croix est constituée d’un bloc antique surmonté d’un chapiteau et d’une colonne romaine sur laquelle était fixée une croix métallique. L’ensemble a été renversé ce qui a provoqué la destruction de la colonne et du chapiteau » indique le maire Jean Verdier, désolé devant un tel spectacle.
« Les jeunes s’enfuient et escaladent le mur d’une habitation pour se cacher » ajoute celui-ci, qui a donc prévenu les services de gendarmerie, rapidement sur place pour constater les dégâts. Comme le fait savoir Jean Verdier, « d’autres jeunes sont arrivés sur les lieux et ont été questionnés par les gendarmes auxquels ils ont livré les noms des auteurs des dégradations ».
 
Jacques de Grenoble : l’enquête est toujours en cours…
Église Saint-Jacques de Grenoble : l’enquête est toujours en cours…
L’église Saint-Jacques de Grenoble a été entièrement détruite par un incendie le jeudi 17 janvier 2019. Les assureurs n’ont, par conséquent, pas payé le moindre centime au diocèse propriétaire de cette église construite après la loi dite de « séparation » de 1905, et que les médias se remettent à utiliser le conditionnel…
 
28 – Nantes : la croix de Charrette de nouveau taguée
On signale que cette croix avait déjà été taguée par des anarchistes en janvier 2017. La voici de nouveau taguée le jeudi 25 avril 2019, place Viarme à Nantes.
 
29 – Vols et vandalisme dans une église de Fellering, dans le Haut-Rhin
On signale que l’église Saint-Antoine à Fellering restera fermée quelques jours. Jeudi 25 avril entre 13 h et 18 h notre amplificateur pour la sono de l’église a été volé, ainsi que l’émetteur du micro sans fil. Le micro d’autel a aussi disparu. Le tronc d’offrande vandalisé, ainsi que l’affiche de notre paroisse.
 
30 – Vive la laïcité « militante » sur les ondes du service public « neutre » (payé avec vos impôts) : https://www.youtube.com/watch?v=Jusjnqt0LxQ
On ne manque pas d’humour chez les fonctionnaires de la « pensée unique »…
En revanche, le talent n’y est décidément pas…
 
Finistère : Un écumeur d’églises sous les verrous
Les gendarmes de la brigade de recherches de la compagnie de Quimperlé (Finistère) ont bouclé une belle affaire de vol d’objets de culte dans différentes églises de l’Ouest et de France. L’auteur présumé, un homme domicilié en Sarthe et âgé de 37 ans, a été incarcéré à la prison de Ploemeur (Morbihan), le 26 avril. Sa complice présumée et ex compagne, une femme de 34 ans, également domiciliée en Sarthe a été placée sous contrôle judiciaire.
Au début de l’enquête des gendarmes, il y a le vol, le 16 février, d’un calice dans les églises de Nizon et Melgven (Finistère). Il y a aussi, entre le 14 et le 20 février, celui d’un ciboire dans celle de Riec-sur-Bélon. « Ces vols ont été commis dans en journée. Jamais tous les objets de culte n’étaient volés. Mais ici un ciboire, ici un calice… », expliquent les enquêteurs.
L’homme aurait volé de nombreuses églises dans toute la France. Pour l’heure, 70 ont été retrouvés : statues, ostensoirs, calices, clochettes, linges de cérémonie, tabernacle…
 
31 – Une école catholique taguée à Fouesnant, dans le Finistère
On signale, à Fouesnant, que l’école Notre-Dame d’Espérance a été taguée avec de la peinture noire NTM (Nique ta mère) et FDP (Fils de putes).
La gendarmerie est intervenue dès le lendemain matin à la demande de la directrice et les graffitis recouverts de peinture blanche.
 
J’arrête là les compteurs du mois d’avril 2019 : Il était temps que le mois d’avril se termine.
Heureusement, il n’avait que 30 jours calendaires !
On retrouvera la suite de cette « longue et triste aventure » le mois prochain.
 
Bien à vous toutes et tous !
 
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