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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 24 mai 2019

Les ignobles du moment

De Jean-Marc
 
« – Maman, maman, j’aime pas grand-père !
– Ça ne fait rien : Pousse-le sur le bord de l’assiette et mange tes haricots. »
Variante :
« – Dis, mon petit tu l’aimes ta grand-mère ?
– Oh oui !
– Alors, reprends-en… »
 
Ou encore :
« – Jean-Marc enlève tes doigts du nez de grand-père !
– Jean-Marc, laisse grand-père tranquille !
– Jean-Marc, dernier avertissement, arrête ou je referme le cercueil ! »
 
« – Maman, maman, je peux avoir du chocolat ?
– Mais oui, mon petit, sers-toi, il est dans le buffet. »
Le gosse prend un air triste :
« – Mais maman, tu sais bien que je n’ai pas de bras.
– Ah, pas de bras, pas de chocolat ! »
 
« – Papa, je veux jouer avec grand-mère !
– Non !
– S’il te plait mon petit papa chéri !
– D’accord, mais c’est la dernière fois que je la déterre. »
 
Un petit garçon interpelle sa maman :
« – Maman, Maman ! Hein qu’j’suis pas p’tit comme les copains d’l’école y disent ?
– Mais NON ! Je sais bien que tu n’es pas petit ! »
Quelques minutes plus tard… La maman appelle son fils :
« Pierrot !!! Prend l’escabeau et va me chercher des fraises dans le jardin ! »
 
« – Papa, papa à l’école ils disent tous que j’ai de grandes dents, c’est pas vrai hein ?
– Mais non, mais non, ne pleure pas et relève la tête, tu rayes le parquet ! »
 
« – Papa, papa, c’est vrai que j’ai pas une grande bouche ?
– Mais non, prend ta pelle et mange ta soupe. »
 
« – Maman, maman, c’est vrai que j’ai des grands pieds ?
– Mais non mon chéri… Eh ! N’oublie pas de sortir tes chaussures du garage, sinon papa ne pourra pas y garer la voiture ! »
 
« – Maman, maman, je ne veux plus dormir avec mon petit frère.
– Tais-toi ! Je t’ai déjà dit qu’on n’avait pas assez d’argent pour l’enterrer. »
 
« – Maman, maman, je peux jouer avec le petit chiot ?
– D’accord, mais quand tu as fini, tu remets tous les os en place dans la poubelle. »
 
« – Comment sortir un bébé d’un robot mixeur ?
– Avec une paille… »
 
« – Qu’est-ce qui crie et ne peut pas passer à la porte ?
– Un gamin avec un javelot planté dans la tête. »
 
« – Qu’est-ce qui est Rose…Marron… Noir… et qui fait ‘‘Cling !’’ ?
– Un bébé dans un micro-onde. »
 
« – Pourquoi dit-on ‘‘pure laine vierge’’ ?
– Parce que les moutons courent plus vite que les bergers. »
 
Les « revenues » du moment :
Trois femmes qui voyagent en train racontent leurs infidélités conjugales.
La première :
« Non. Je ne peux pas cacher ça à mon mari, faut que je lui raconte tout. »
La deuxième, admirative :
« Quel courage ! »
La troisième, également admirative :
« Quelle mémoire ! »
 
Jean-Marc et Jean-Paul gamins, discutent dans la cour de l’école :
« – À quelle heure te réveilles-tu le matin ?
– Oh, environ une heure après le début des cours ! »
 
Une dame dans un autobus lit un article sur l’espérance de vie.
Elle se tourne vers Jean-Marc, son voisin, et lui dit :
« – Saviez-vous qu’une personne meurt à chaque fois que je respire ?
– Hummmmm…. Avez-vous songé à utiliser un rince-bouche, Madame ? »
 
Cela fait bientôt quatre ans que Josiane a perdu son mari, et encore maintenant, elle déprime.
Elle porte le deuil et elle pleure son homme comme s’il était mort hier.
Sa fille l’appelle souvent et lui conseille de se changer les idées, de revoir du monde, etc.
Un beau jour quand-même, Josiane se décide à sortir, mais problème, elle connaît très peu de monde.
Sa fille saute sur l’occasion et lui dit tout de suite :
« Maman, je connais quelqu’un que tu dois à tout prix rencontrer. Il est absolument parfait. »
Alors un rendez-vous est pris entre Josiane et le monsieur.
Et, coup de chance, les deux se plaisent et décident de se revoir.
Au bout de six semaines de sorties ensemble, ils décident de partir en week-end à deux à la mer…
Lorsqu’ils se retrouvent tous les deux dans la chambre de l’hôtel, Josiane se déshabille et se retrouve toute nue, sauf qu’elle garde une petite culotte de dentelle noire.
Elle dit alors au monsieur :
« Tu peux me caresser les seins et tout mon corps, mais sache qu’ici-bas (pointant son pubis) je suis toujours en deuil. »
Naturellement, pour le prétendant, cette phrase fait l’effet d’une douche froide.
La nuit suivante, c’est le même scénario.
Josiane se retrouve en petite culotte de deuil devant son amoureux qui lui est en tenue d’Adam… avec une érection du tonnerre de Zeus, laquelle est couverte par un préservatif noir !
Josiane le regarde alors, étonnée, et demande :
« – Dis-moi, qu’est-ce que c’est que çà ? Un préservatif noir ?
– Ben oui, je viens présenter mes condoléances… »
 
Jean-Marc et Jean-Paul au téléphone :
« – Allo, c’est toi ?
 – Non, c’est moi.
– Ah, désolé, je me suis trompé de numéro… »
 
Conversation captivante entre deux touristes, à Paris.
Dans un café bondé à Paris, seul à sa table, un touriste Québécois du nom de Marcel déguste une religieuse.
Soudain, un autre touriste s’approche de lui :
« – Est-ce que moi pouvoir asseoir ici ?
– Pas de problème…
– Merci, vous être gentil…
– Vous êtes en vacances ?
– Oui, moi arrivé hier…
– Vous venez de quel pays
– D’Österreich. Et toi ?
– Du Québec.
– Québec ? Moi pas connaître…
– Bon, je viens du Canada alors…
– Ah ! Canada ! Ça connaître ! Mais pourquoi avoir dit que vous venez du Québec ?
– Parce que je viens d’abord du Québec !
– Ah, vous être né au Québec et avoir immigré au Canada…
– Non, moi être né au Québec puis être resté au Québec…
– Ah, votre père vient du Canada ?
– Non, mon père, ma mère, ma femme, tout le monde vient du Québec…
Alors pourquoi avoir dit Canada ?
– Parce que ne vous saviez pas ce qu’est le Québec !
– Mais si vous pas avoir su c’était quoi Österreich, moi pas vous avoir dit que mon pays être Japon…
– Le Canada, c’est pas le Japon. Le Canada, c’est mon pays.
– Ah, votre pays plus être Québec alors ?…
– Mon pays, c’est le Québec. Mais mon pays, ça peut aussi être le Canada, si la personne à qui je parle sait pas c’est quoi le Québec…
– Moi pas comprendre…
– Regarde, c’est simple : Je viens de la province de Québec dans le pays du Canada.
– Ah ! Mais moi pas avoir demandé de quelle province vous venez, mais de quel pays… Moi, venir de région Vorarlberg en Österreich, mais avoir répondu Österreich quand vous avoir demandé de quel pays je venais…
– Je sais, je suis pas un cave ! Mais moi, quand on me demande de quel pays je viens, je réponds le Québec ! Même si c’est le nom de ma province. Pour moi, c’est comme mon pays.
– Oh ! Moi comprendre. Vous être séparatiste. Vouloir que votre province du Québec devienne votre pays…
– Es-tu fou ? Je veux rien savoir de ça !
– Moi pus comprendre…
– C’est simple ! Tu m’as demandé de quel pays je viens, j’ai répondu le Québec, parce que le Québec c’est mon pays, mais je veux pas que ce le soit vraiment, parce que ce serait trop de trouble. Je veux juste pouvoir le dire. Faque je peux-tu le dire ?
– Moi tout mêlé. Toi avoir passeport de quel pays : Québec ou Canada ?
– CANADA Tabernacle !
– Alors pourquoi toi pas avoir répondu tout de suite Canada ?
– Parce que ça me tente pas. Pour moi, le Canada, c’est Anne Murray, le Stampede, la police à cheval, Toronto, le SRAS, c’est pas chez nous ça. Chez nous, c’est Séraphin Poudrier, La P’tite Vie, FélixLeclerc. Tu comprends ?
– De moins en moins…
– Regarde, on va oublier ça. Pose-moi une autre question.
– De quelle ville tu viens ?
– Euh… Ben là, je ne sais plus…
– Toi pas savoir c’est quoi ta ville ?
– Oui, je sais c’est quoi ma ville. Mais ma ville, c’était une ville qui a fusionné avec une autre ville mais qui, là, va peut-être défusionner avec la ville qui serait censée être devenue ma ville…
– Toi pas évident ! Quand toi écrire ton adresse, toi écrire quoi ?
– Je le sais pus. Avant, j’écrivais l’Ancienne-Lorette, mais l’Ancienne-Lorette est devenue Québec, mais ils ont dit d’attendre trois ans avant de ne plus écrire l’Ancienne-Lorette pour pas mêler le facteur. Mais là, les libéraux ont passé une loi qui permet à l’Ancienne-Lorette de redevenir l’Ancienne-Lorette, mais je sais pas s’il va falloir attendre encore trois ans avant de pouvoir l’écrire. Ou si quand les trois premières années vont être finies, il va falloir écrire Québec durant trois ans, et après écrire l’Ancienne-Lorette. À moins que le PQ soit revenu au pouvoir et que là, on ait refusionné avec Québec, ce qui fera ! Et qu’on devrait écrire Québec pendant trois ans…
– Je pense que moi je avoir mal de tête…
– Pourtant, c’est simple ! Ma ville, c’est l’Ancienne-Lorette, mon pays, c’est le Québec. Mais si t’aimes mieux, ma ville c’est Québec, puis mon pays, c’est le Canada.
– Ah, oK, là, je comprends !
– Il était temps ciboire. En tout cas, ça été ben l’fun de jaser avec toi, puis si jamais tu viens dans mon coin, tu viendras me voir…
– OK. Mais tu vas être où ? À Québec ou au Québec… ou à l’Ancienne-Lorette ou au Canada ?
– Au Canada… abruti ! »
 
Oui, je sais, elle est ignoble pour nos « cousins » du nouveau-monde…
 
N’oubliez pas d’aller voter dimanche…
Bon week-end à toutes et à tous !
 
I3
 
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