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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

mardi 9 octobre 2018

Lâché ?

En tout cas, clairement un tournant !
 
Je te vous cause, bien naturellement, de « Jupiter », qui se serait aussi pris une avoinée de « Bibi » ! La semaine dernière, ça eut été un véritable vaudeville de pacotille jusqu’à la veille au soir du « conseil des sinistres ».
Avec une passation de pouvoirs entre « l’intérimaire » et le sortant de la place Beauvau particulièrement glaciale.
Depuis, je suppose que vous avez un nouveau gouvernement, mais comme je n’ai pas suivi, on en causera une autre fois.
Et votre « Gégé-la-Colombe » repartait à Lyon se faire élire par le maire démissionnaire (lui aussi !), alors même qu’on le disait fatigué et seriné par sa « moitié-à-lui » qui souhaitait le faire revenir fissa dans ses foyers…
Un peu contradictoire : Si le vieillard est fatigué, pour quelle raison il repart au combat – électoral – de « dans-deux-ans » ?
Hein, et puis les européennes, c’est l’année prochaine.
D’ailleurs au passage, je me suis « replayé » « Marinella-tchi-tchi » dans l’intermède. Quelle évolution ! Elle ne veut plus sortir de l’Europe ni même de l’Euro (hein, la leçon de chose britannique fait ses effets même chez les europhobes, au fil du temps, après la Grèce, la « Ritalie » et quelques autres…) mais bâtir une Europe des Nations !
Que c’est beau, que c’est beau…
 
Revenons à notre démissionnaire, je te vous dire : Je ne supportais pas trop sa tronche de « croquemort », celui des planches de Goscinny dans « Luky-Luke », mais ce n’était pas un si mauvais « sinistre » de l’intérieur que ça : On a connu pire, même si personne n’a jamais égalé le « cousin-Pasqua ».
(Vous n’étiez pas né ? Il avait une trogne de patibulaire pas croyable et l’accent rocailleux de sa vallée, formé à la vente du pastaga de contrebande marseillais qui étaient assez géniaux : À chaque fois qu’il ouvrait la bouche devant un micro, c’était pour dire une ânerie – des ânes de sa vallée Corsa, naturellement – sur le ton des évidences ! Magnifique…)
« Gégé-la-Colombe », c’était plutôt pour nous faire savoir tout le sérieux qu’il mettait à remplir sa charge : Plutôt tristounet.
Sait-il rire au juste ?
Peu importe.
 
Tout comme « Nico-Hurle-Eau » et la petite « Fesse-aille », il claque la porte.
Mais lui, c’est style Feydeau : « Attention, je vais partir ! » ; « de toute façon, je partirais » ; « j’en ai marre, on ne peut plus Lui causer » ; « je me casse » ; « il n’a pas accepté ma dém’ » ; « je la lui retourne, mais si on a besoin de moi, j’assumerai jusqu’au bout » ; « z’ont pas trouvé mon remplaçant » ; « ah si, c’est Phiphi qui s’y colle et fait la gueule, alors, bye-bye les meks : j’me tire ! »
Difficile de faire plus drôle : S’il ne sait pas rire, il ne manque pas d’humour, finalement…
Et d’en rajouter : « On quitte toujours ce ministère avec regret (un regret ou des regrets, je ne sais pas…), car c'est un beau ministère. Il y a des gens qui sont extraordinaires : les policiers, les gendarmes, les sapeurs-pompiers. J'ai pris énormément de joie à être à la tête de ce ministère », s’est-il épanché, parlant au passé de son passage Place Beauvau avant même que cette démission ne soit remontée au sommet de l’État.
Notez que les concernés en restent consternés, eux qui se font caillasser, agresser, vilipender et qui n’osent toujours pas aller perquisitionner les « caves-à-tournante » dans les « no-go-zones » : Ils préfèrent flasher le citoyen « solvable » et demandent des renforts via leurs syndicats…
Et « Jupiter », dont le « sinistre » avait été un soutien historique, allant jusqu’à chialer à grosses larmes le jour de l’investiture aux « Palais de l’Élysée », n’a pu que prendre acte de ce départ mené aux forceps.
Au suivant de rouvrir tous les dossiers encore chauds !
 
« Jupiter » est splendide : Un, il lui renouvelle publiquement sa confiance dans l’intermède – effectivement, la règle républicaine (et de bon sens) veut qu’on ne mette jamais à la tête de ce ministère qu’une personne de « totale-confiance », car c’est là que tous les « bruits & rumeurs » aboutissent et qu’il s’agit d’aller vite. Et puis ça se termine par un communiqué où « Jupiter » confirme lui garder « toute son amitié ».
Les nuances, vous savez, les nuances…
Un peu mon n’veu : C’est lui qui a travaillé à le faire « dieu » avec toutes les fratries maçonniques dans son sillage.
Il y aurait eu plus de 500 « frères », de toutes obédiences, dès avant le premier tour des présidentielles de l’année dernière, réunis autour du « Cercle Camille-Desmoulins » pour soutenir, que dis-je, appuyer la candidature de « Manu », grâce à leurs réseaux dans la presse, les médias, le monde « politique » et financier…
Et « Gégé-la-Colombe » est « maçon » depuis 1989, initié dans la loge parisienne « Droiture et Solidarité » affiliée au Grand-Orient. Il ne s’en cache même pas depuis 2011…
 
Mais deux, et c’est formidablement drôle, on vous raconte que la rupture entre les deux hommes est profonde : « La distance entre eux s’est installée bien avant l’affaire Benalla ». Ah bon ?
Quoi, cette « petite affaire », ce sketch de népotisme-appliqué ?
Avant sa resucée du consulat de LA et demain celle du rectorat de Versailles…
Et puis quelques autres passées inaperçues.
Attendez donc : La maçonnerie « opérative » ne fonctionne que comme ça, en « réseautant ». C’est exactement le même « népotisme »… entre frangins !
Voilà qui me surprendrait qu’ils soient « surpris »…
Alors certains évoquent une relation bien plus dégradée : « Ils ne se supportaient plus », estime un observateur.
Voilà autre chose : Le « manque d’humilité » ou encore autre chose ?
Parce que l’arrogance, ça n’a jamais empêché les mégalomanes de parvenir aux sommets du pouvoir, au contraire…
L’affaire « Benne-Allah » aurait servi de révélateur des tensions entre l’Élysée et le ministère de l’Intérieur.
Ah oui ?
Nous y voilà ?
 
Le premier flic de « Gauloisie-fliquée » ne peut effectivement pas ignorer qu’on a encore vu le sieur « Benne-Allah » à Londres la semaine dernière : Il est peut-être chômeur et mis en examen, il sort du territoire comme il veut (et y revient sans être inquiété), toujours actif à… on ne sait pas quoi.
Revenons-y donc une énième fois (que ça en devient de plus en plus pénible).
 
Les zones d’ombre relatives au « sieur » sont nombreuses et, dans la foulée, il y a au moins deux choses marquantes : 1 – Ils se sont tous débinés quand il a s’agit de couvrir « le patron » posté sur son Olympe et le seul qui est allé (le « porte-la-parole ») il s’est fait jeter comme un malpropre ; 2 – Il a quand même fallu plus de deux mois et demi pour « lâcher » la bombinette de l’agression du 1er mai, alors que toutes les hiérarchies semblent, après coup et dans votre dos, avoir été très au courant…
Là, je te vous le redis, ça m’interpelle !
Normalement, dans une démocratie qui se respecte (au moins en Europe-occidentale), il ne faut pas huit jours pour que ce genre de chose s’étale au moins dans les colonnes du « Canard-déchaîné ».
Non, là, deux mois et demi…
 
Ni le volatil-palmipède, ni les « Média-part », ni encore moins « Libé-ce-torchon », voire « #Charlie » n’ont pipé mot.
Idem en Helvétie, en UK, en Wallonie et encore ailleurs (Russia-Today, CNN, etc.).
Comment ne pas y voir autre chose que le « poids des réseaux », le « choc des solidarités fraternelles » ?
C’est « Le Monde » (cet autre « torchon » : C’est personnel, rien à voir avec leurs « honorables-correspondants » et autres pigistes qui y bossent) qui a dû se toucher pendant plus de deux mois pour accoucher du bidule.
C’est que ça a dû fermement « plancher » sur le sujet dans les milieux « maçons » : Faire ou ne pas faire ?
Brûler ou non les l’idole passée ?
Plus de deux mois pour décider de lâcher « Jupiter » !
On n’est plus dans une affaire « politique » ou même « métaphysique », où se jouent des égos hypertrophiés ou des lignes « partisanes » : On est probablement à la limite de la frontière « vie-publique/vie-privée ».
Et je dois vous avouer que chez les tabloïds de sa très gracieuse majesté britannique – c’est vrai que je suis parti « au large » un peu après – on préfère faire les manchettes sur Megan, pas sur la « vie-des-bêtes » continentale, c’est plus vendeur.
 
Donc, ils ont fini par le « lâcher » et eux lâcher leurs infos. Mais ça reste « maîtrisé » : Pas de débords sur les virées nocturnes de « Jupiter » (il ne sort plus, mais reçoit des visiteurs), ni même de filature de celle qui en sort tous les soirs avant d’aller se coucher, la « tendre Bibi ».
Vous ne saurez pas, jusqu’à ce qu’on chope l’un ou l’autre sur un scooter, un casque sur le crâne ou dissimulé dans une Burqa…
C’est quoi, ce coup-tordu-là ?
Eh bien serait-ce juste et seulement un avertissement, un lourd avertissement, une sorte de coup de semonce ?
Faire savoir à « Jupiter » qu’il a « missions à accomplir » et qu’il est comme tous les autres, mortel !
C’est là où j’en reste épaté : Quelles « missions » ? Quid de ses superpouvoirs jupitériens ?
 
Un, je vous rappelle ce post (certes, un roman, mais assis sur des réalités qui étaient en « information ouverte » jusqu’en juillet 2017. Après, ma foi…), puisque j’avais pu les repérer : « Jupiter » sait qu’il n’est pas éternel, forcément, même si quand on reste jeune, ce n’est pas si urgent que ça…
Deux, vous le savez depuis le mois de décembre 2017, ses « parrains » ne sont pas que « frangins-trois-points », mais on les retrouve aussi dans le « groupe Bilderberg » et même chez la « Trilatérale » (les « financiers-occultes »).
Souvenez-vous, il a déçu à Davos, avec deux discours divergents dans un seul et même exercice (en anglais et en gauloisien-natif), il ne va pas assez vite dans les « réformes en profondeur », même si le chemin parcouru reste impressionnant pour un béotien comme moi (code du travail, réforme du volet social en cours, privatisation de la SNCF, etc.), il patine sur l’Europe et dans les relations avec la Syrie et ses voisins, et surtout, il ne s’attaque pas à la mère de toutes les réformes : La réduction du train de vie de l’État (et de son champ de compétences), au contraire, il en rajoute !
 
Mais, trois, ce qui reste probablement le déclencheur, ça reste les travaux sur la réforme de la constitution : Avortée !
D’un coup.
Justement dans le sillage de ladite affaire du 1er mai.
Un hasard ?
Pensez donc !
En bref, « ils » ont préféré « le lâcher » plutôt que de le laisser faire sur ces sujets.
À lui de « rebondir », ou de s’effondrer.
À moins que, à moins que… on s’aperçoit, mais un peu tard, qu’il n’a rien de l’enfant de chœur qu’on nous chantait comme « le gendre idéal » et que ça reste un intrus intolérable dans les cénacles « bien-pensants », je veux dire presbytériens, luthériens, baptistes et même anglicans (que des « hérétiques huguenots »…).
Chez les feuj’, je ne vous raconte même pas comment on traite les gays et autres « déviants ».
Notez que, chez les mahométans, on s’en contre-cogne le coquillard…
Comme chez les « papistes » ou on préfère détourner le regard : Une sombre habitude.
 
En attendant, c’est bien un tournant : Maintenant et désormais, « Jupiter » est seul. Il perd ses « parrains », il a perdu son « totem » « Hurle-eau », les autres vont lui sucer le sang jusqu’à la moelle (j’ai dit le sang, pas autre chose) et les plus ambitieux songent déjà à se recaser.
Et si finalement « Jupiter » n’aura été qu’un « épiphénomène », une comète dérisoire dans le paysage politique du pays ?
Il a loupé son « coup d’État » et, à moins qu’il trouve la ressource d’y revenir (comment et avec qui cette fois-ci ?), on peut considérer qu’il est mort…
Parce que je reviens une dernière fois sur le déroulé de l’affaire « Benne-Allah » : Et si c’était bien un coup à trois-bandes fomenté par ses anciens « amis » qui ne toléraient plus ses dérives ?
Passionnante étude de cas…

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